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Une famille bien recomposée

Chapitre 10

Inceste
Saison 2 – Chapitre 2
Le début des vacances – Partage et découverte
La nuit précédant les vacances d’Avril, Mathilde et moi-même nous étions retrouvés dans notre chambre pour un moment magique qui nous avait procuré beaucoup de plaisir. Ce matin, je me lève vers 9h, je prends ma douche et je m’habille d’un jogging et d’un simple tee-shirt car le temps pluvieux ne permet pas de mettre autre chose. Ma mère se lève peu de temps après moi et descend directement à la cuisine pour déjeuner. Elle commence par allumer la radio, puis elle met sa théière en marche. Je la rejoins et je la vois se dandiner sur un morceau américain très explicit. Je m’imagine le clip de cette chanteuse, au popotin très développé, dans lequel elle « twerk » et j’essaye de penser à ma mère à la place de celle-ci, elle porte sa nuisette de la veille et ses fesses se découvrent facilement selon ses mouvements. Cette image me fait bander dur instantanément et je m’approche d’elle pour lui faire un gros câlin. Elle sursaute et me dit que je lui ai fais peur lais la peur ne reste pas longtemps et elle passe ses bras derrière mon cou et se propulse sur les orteils pour m’embrasser. Ce baiser dure longtemps, nous n’avons pas envie de nous séparer mais la théière la rappelle à l’ordre. Je vais dans le frigo pour prendre de la confiture et du beurre. Je m’assois autour de la table et Mathilde continue de préparer sa boisson. Elle me rejoint à table et nous déjeunons ensemble, en silence, aucune parole n’est prononcée, seule la voix d’un animateur « qui paye le loyer » des gens nous fait un bruit de fond. Nous pensons tous les deux ce que nous sommes devenus, un couple heureux.
    Après avoir fini notre déjeuné, nous montons préparer nos valises. Je remplis simplement un gros sac de sport avec des maillots, des shorts, des pantalons, une chemise, des sous-vêtements, et des affaires de toilette et pour la piscine : au bout de cinq minutes, tout est bouclé… pour moi seulement. Pour Mathilde, c’est une autre histoire : elle hésite sur tout ce qu’il y a dans son dressing. Elle veut tout emmener mais elle n’a que deux valises. Je la conseille et en profite pour lui faire prendre ce que j’ai envie qu’elle porte durant nos vacances, durant nos nuits. Elle me donne ensuite ses valises que je descends dans le coffre de la voiture. Quand je retourne dans la maison, elle est habillée d’un jeans marron, de ballerines noires, d’un top large à fines bretelles, elle est maquillée très légèrement et ses cheveux sont coiffés en chignon. Elle prend les clés, ferme la maison, et monte dans la Mini pour prendre la route.
    Sur le parcours, nous nous arrêtons sur le parking d’un centre commercial pour faire deux ou trois achats afin de nous ravitailler. Rapide aller-retour dans le magasin et nous reprenons la route. Je commence à boire mon jus de fruit. J’ouvre ensuite un sachet de bonbons gélatineux représentants de tous petits nounours mais la difficulté aidant, je déchire complètement le paquet et le contenu part dans tous les sens. Je ramasse les quelques bonbons tombés à mes pieds pendant que Mathilde, redevenue ma mère durant un instant, me fait ses remontrances digne d’elle. Je réfléchis deux secondes et je m’aperçois que quelqu’uns ont dû se disperser de son côté. Je m’approche d’elle et je regarde. Dans son entrejambe, à ses pieds, sous le levier du frein à main, sous son siège. Il y en a pas mal. Je récupère ceux que je peux. J’hésite puis prenant mon courage à deux mains. J’enfouis ma main entre ses cuisses et j’essaye de retrouver mes bonbons. Elle semble surprise mais elle ne dit rien, elle me lance des regards discrets afin de voir ce que je fais. Elle écarte ses jambes et me laisse continuer ma recherche, j’en récupère deux et je les mange. Voyant qu’elle ne dit toujours rien et pour m’occuper sur ce long trajet, je m’amuse à la titiller. Je continue à enfouir mes doigts entre ses cuisses, lui faisant croire qu’il y en a encore, et je fais passer mes doigts sous son vagin ce qui fait en sorte que mon pouce frotte contre son pantalon et donc contre son clitoris. Elle sursaute mais ne dit toujours rien. Elle me laisse faire et je continue, elle semble même prendre du plaisir, elle gémit doucement mais pas assez pour que je ne puisse pas l’entendre. Je continue comme ça pendant un moment, jusqu’à ce qu’une trace humide se forme sur son pantalon. Je retire mes doigts car ses gémissements commence à devenir forts mais je ne m’arrête pas pour si peu, je fais glisser ma main sur son ventre, je défais le bouton de son jeans, elle s’enfonce dans son siège ce qui permet à ses jambes de reculer de son pantalon et de créer de l’espace dans son vêtement. Je fais glisser ma main vers son pubis et je m’aperçois tout de suite qu’elle ne porte pas de culotte. Elle s’aperçoit elle aussi de mon émoi et sourit en m’avouant qu’elle avait prévu de réaliser un de ses fantasmes mais elle n’avait pas trouvé le courage de me le dire. La questionnant sur ce fantasme, elle me dit qu’elle voulait le faire sur une aire d’autoroute, comme les légendes urbaines le décrivaient : du sexe sauvage et inconnu pendant 15 ou 20 minutes. De mon côté, je n’avais pas arrêté de la caresser, et mes doigts étaient d’ores et déjà sur sa chatte mouillée, et là, ses gémissements étaient maintenant forts et sa conduite risquait de devenir dangereuse. Je m’abstenais de mes caresses et elle continua sa route jusqu’à la prochaine aire d’autoroute.
    Arrivés là-bas, elle stoppa la voiture un peu au loin des endroits où les gens circulent habituellement. On défait nos ceintures de sécurité et on se mange littéralement la bouche. Je continue mes caresses là où je les avais arrêté plus tôt et elle ne se priva pas de jouir sous mes doigts. Elle quitta son pantalon, et moi je sortis mon sexe bandé de mon jogging et je rabattis le dossier de mon siège vers l’arrière et elle grimpa sur moi pour s’empaler sur ma bite raide d’amour pour elle. Comme une affamée, elle se déchaina sur mon sexe, tellement que je me retiens au maximum mais c’est trop difficile et je sens que je vais éjaculer. Je lui demande d’arrêter et elle se retire et commence à passer sa langue sur ses lèvres d’une façon très érotique dont seule elle a le secret. Sa main me caresse le torse. Elle glisse sa deuxième main sur mes couilles mais elle n’hésite pas, se penche sur mon sexe et le prend en bouche. Je crois que je vais exploser tellement c’est bon de sentir ses lèvres sur ma verge, me la masser au fur et à mesure des vas et viens que fait sa tête sur ma bite et sa langue qui vient titiller mon gland juste avant qu’elle avale de nouveau mon sexe complètement. Au bout de cinq minutes, elle réussit à me faire jouir dans sa bouche.
    Nous ne l’avions pas vu mais un couple faisait l’amour dans sa voiture, juste à côté de la nôtre. Ils nous regardaient faire. Dès que nous avions finis, ils nous souriaient mais ne s’arrêtèrent pas pour autant. Surpris, je rangeais mon matériel devenu mou en moins de quelques secondes dans mon pantalon. Mathilde, elle, ne se cacha pas, fixait ces deux personnes durant leur ébat amoureux. Elle s’amusa de ma honte. Les deux voyeurs nous firent signe. Je ne fus pas très d’accord de rejoindre d’autres personnes pour baiser, car il faut le dire : ici, quand tu viens « faire des rencontres », ce n’est pas pour faire l’amour tranquillement, c’est pour baiser sauvagement avec des gens que tu ne reverras pas de sitôt et Mathilde voulait ce genre de rapport à cet instant. Elle descendit de la voiture et grimpa dans celle des deux autres. Leur 4x4 laissait la place à une ou deux personnes supplémentaires. J’étais réticent à l’idée qu’elle monte avec des gens qu’on ne connaissait pas mais si c’était pour son plaisir, je ne pouvais pas lui en empêcher.
    Elle commence par rouler une galoche à la femme. Elle fait passer son top par-dessus sa tête et l’enlève, et de là, tout part dans tous les sens. La femme la retourne, et elle partent dans un 69. L’homme, lui, les regardent dans son coin en se masturbant lentement pour se maintenir dans sa forme. Il me lance un regard pour m’inviter à les rejoindre. Je décline l’invitation en secouant la tête, et lui, haussant les épaules, il rejoint les deux femelles avides de sexe. Il se place derrière sa compagne et commence à frotter son gland contre sa fente. Ma mère, tant qu’à elle, arrête son gouinage et passe des coups de langue sur le sexe du monsieur. Il introduit son engin un coup dans le vagin de sa compagne, un coup dans la bouche de Mathilde. Après quelques minutes, elles se redressèrent sur les sièges devant elles en tendant leurs culs vers lui. Il fouilla la chatte de chacune avec trois doigts dans chaque vagin. Le ballet de langues des deux filles continua d’exciter l’homme qui se place derrière Mathilde et remplace ses doigts par son membre. Il commence par s’enfoncer doucement dans la chatte à ma mère puis passe vite à des mouvements rapides et brutaux. Etant déjà échauffée de ce que nous avons fait dans notre voiture, elle s’accroche comme elle peut aux fauteuils et elle pousse de petits gémissements, il se retire pour titiller son anus. Il rentre en elle avec difficulté mais il réussit à passer après quelques tentatives. Il la secoue dans tous les sens tandis que la femme passe sous elle pour s’occuper de son sexe laissé vide et seul. Ça y est, elle crie tellement fort que je peux ‘entendre jouir comme si elle était à côté de moi, il se lance au maximum en elle et donne un coup de boutoir final, il a atteint le point de non-retour et il éjacule en elle, dans son cul accueillant. Elle semble heureuse à l’idée de réaliser un fantasme qui la travaille depuis plusieurs mois. Il se retire d’entre ses fesses et la femme vient coller sa bouche au trou baillant de ma mère. Elle aspire le contenu que son compagnon vient de déposer au fond de Mathilde.
    Les trois se sont assis, en se rhabillant et ils passèrent bien dix minutes à discuter avant que ma mère ne revienne dans la voiture. Elle enfila son pantalon et m’embrassa en m’expliquant le bonheur qu’elle avait ressenti. Elle me détailla aussi les sensations qu’elle avait perçu. Elle me dit que ce couple était formé de deux allemands venus en France pour les vacances et qu’ils adoraient « rencontrer » des gens dans de telles conditions. Après ça, nous avons repris la route mais cette fois, c’est moi qui conduisais. Elle s’endormie, à peine l’entrée d’autoroute passée. Je la réveillais à l’entrée du village où nous nous rendions. Elle s’étira et commença à sortir de sa léthargie mais dans le virage en contre-bas de notre chalet, un fou furieux arriva dans sa voiture de sport et malgré nos freinages excessifs, il manqua de nous rentrer dedans. Il descendit de la voiture et nous hurla dessus. Là, Mathilde descendit à son tour et poussa des hurlements qui auraient pu alerter le voisinage. Elle passa ses nerfs sur le chauffard, qui d’un coup, se stoppa dans sa colère et se mit à déshabiller ma mère du regard, et limite à la draguer son mes yeux en sortant son baratin, comme quoi, il aurait été heureux de lui prodiguer le bouche-à-bouche pour la réanimer et tout ça. Mathilde, qui ne s’attendait pas à cette prise en main du jeune homme, se calma, ne sachant quoi faire. Et remonta dans la voiture avant de dire quoi que ce soit, comme si elle avait été prise en faute.
    Arrivés au chalet, on descendit nos bagages et on entrait dans la maison dont la clé était cachée dans le numéro de l’adresse, fixé sur la porte. A peine le hall passé, on entendit un bruit venir de l’étage.
(La suite au prochain chapitre…)
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