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Une famille dépravée

Chapitre 1

Inceste
Je me prénomme Frédéric et j’ai 19 ans aujourd’hui. Ma sœur Julia est de 2 ans ma cadette. Nos parents nous on eu assez jeunes : 24 ans pour notre mère Olivia et 26 pour notre père Matt. Ils s’étaient rencontrés sur les bancs de la faculté et le coup de foudre fût immédiat. 2 ans après leur rencontre, en 1990 se marièrent et je suis né en 1992. Nous habitons dans le sud de la France, pas très loin de la mer, dans l’arrière pays comme on dit.Cette année, plus justement cet été, a été une révolution pour la famille.
Julia est vraiment très belle. Du haut de ses 17 ans, trônent déjà un regard malicieux, une bouche sensuelle et un corps de rêve. J’ai vu sa transformation de petite fille en belle jeune femme au fil des ans et plus d’une fois ces derniers temps, je me suis surpris à fantasmer, le soir dans mon lit, sur ce corps sublime. Il faut avouer qu’elle ne cachait rien de son anatomie lorsqu’elle sortait de la douche ou bien se prélassait au bord de la piscine. Bref ! On ne peut pas dire d’elle qu’elle soit pudique et elle sait la convoitise qu’elle suscite chez les hommes, elle en joue et elle aime cela. Elle a un copain depuis janvier dernier, Olivier, qu’elle voit le plus souvent chez lui mais qui a passé beaucoup de temps à la maison cet été avec d’autres amis à eux à fêter leur bac. Le fait d’avoir une grande maison avec piscine n’y est évidemment pas étranger et le fait que la côte soit bondée l’été, nous pousse le plus souvent à profiter de la maison et son relatif calme.
Maman n’est pas mal non plus. Jolie quadragénaire, blonde d’1m72 avec de beaux yeux verts et des courbes ! Je comprends pourquoi notre père en est tombé raide dingue 20 ans plus tôt. Des seins généreux, un cul magnifique surplombant des jambes tellement bien galbées ! Papa lui a vraiment le type latin : cheveux bruns, peau mate, yeux marrons, presque noirs. Il est plutôt grand (1m82) et vraiment, ils vont bien ensemble.
Un samedi de début juillet, nos parents étaient partis déjeuner chez des amis et Julia et moi profitions d’un après-midi ensoleillé au bord de la piscine à converser, se baigner, lire quelques magazines et échanger des potins… classique. Il faisait si chaud que même l’eau de la piscine semblait ne pas nous rafraîchir. N’en pouvant plus de cette chaleur, Julia me dit qu’elle préférait regagner la maison prendre une douche et qu’elle ramenait à boire. Je la regardais s’éloigner en ondulant son petit cul qui comme une invite me disait « viens ! suis moi ! »
Au bout de 15 minutes, ne voyant toujours pas revenir Julia, je décidais d’aller dans la maison pour voir où elle en était. Personne dans la cuisine. J’appelle mais personne ne répond. J’entends pourtant du bruit… Oui ! la douche. Je me dirige donc vers la salle de bain et m’aperçois que la porte est entrouverte et que Julia est encore sous l’eau. Elle ne fait pas que se doucher car je vois clairement l’une de ses mains pétrir sa jolie poitrine tandis que l’autre disparaît entre ses cuisses, mais le va-et-vient ne laisse aucun doute où ses doigts vagabondent. Elle marmonne doucement des mots incompréhensibles mais je devine qu’elle pense à son copain, aux moments où ils font l’amour tous les deux. Je suis alors pris par une érection comme jamais je n’en avais eu. Doucement, je mets ma main dans mon maillot de bain et me masse la queue en imaginant entrer dans cette douche et prendre ma sœur, comme çà, sans un mot sans qu’elle ne dise rien non plus. Mais non ! qu’est-ce que j’imagine… Cela va trop loin. Je la laisse là et retourne sur mon transat à l’attendre. Il ne faut pas plus de 10 minutes pour que Julia réapparaisse avec 2 verres de jus de fruit à la main.En les posant sur la table entre nous deux, elle remarque la bosse qui gonfle mon maillot.Elle s’allonge dans son transat et me dis alors tout de go :— Tu bandes !— Euh… oui, dis-je un peu gêné. J’ai des idées un peu...— Et tu pensais à quoi ? à qui ? à ton ex ?— Vanessa ? Non ! c’est fini avec elle tu sais bien et je n’aime pas ce passé avec elle.— Alors à qui d’autre ?— Peu importe…— Je sais ! Tu pensais à moi après m’avoir vu sous la douche !— Quoi ? Mais… euh… non ! balbutiais-je.— Allez ! ne me racontes pas d’histoire. Je sais que tu m’as observé tout à l’heure quand j’étais sous la douche. Je le sais parce que je t’ai vu dans le reflet du miroir et toi, tout occupé à me mater, tu n’as même pas remarqué !— Bon ! Oui ! c’est vrai et excuse moi… je n’aurais pas dû.Et là, le plus naturellement du monde, elle s’est mise sur le côté, a approché la main de mon maillot, l’a posée sur mon sexe qui battait la chamade sous mon maillot et m’a regardé fixement en disant :— ce n’est pas bien de laisser une belle érection comme çà !—  ???— Tu sais, souvent quand je suis avec Olivier, je ferme les yeux et je pense à toi mon grand frère. J’ai toujours trouvé ton corps magnifique et souvent je me suis demandé quel goût pouvaient avoir tes lèvres et ton sexe.—  ???— Laisse-toi faire.Sur ce, Julia se rapproche, baisse mon maillot et pose sur mon sexe un doux baiser. Je ne pouvais pas dire un mot tellement je restais bouche bée devant la hardiesse de ma sœur et ses propos. Elle met une main sur mes bourses et les malaxe doucement. Je sens alors sa bouche me prendre en entier. Sa langue déjà experte me donnant de petits coups malins sur mon gland. J’avais le spectacle de ma sœur en train de me faire une fellation et je n’en revenais pas… Sa tête montait et descendait sur mon membre qui n’avait jamais connu une telle érection tant la situation était particulière, électrique. Sentant que je ne tiendrais pas très longtemps à ce rythme là, je le lui faisais savoir et au lieu de s’arrêter, cette petite salope au contraire accéléra son va-et-vient ce qui me fit jouir immédiatement. Elle avala jusqu’à la dernière goutte de mon jus, posa un dernier baiser sur mon sexe et me dit :— J’adore le goût de ton foutre ! Exactement comme je l’imaginais. Tu es délicieux frangin. Il va falloir que j’en reprenne ! Et toi, tu as aimé ?— Le bonheur absolu ! Tu sais Julia, tu es mon fantasme depuis longtemps mais jamais je n’aurais imaginé que tu veuilles franchir cet interdit.— Pareil pour moi… Faut faire attention aux parents mais j’ai trop envie qu’on ne s’arrête pas là à l’avenir. Mais tu sais, moi, je n’ai pas eu de plaisir en retour. A toi !Julia retourne alors sur son transat, fait valser son bikini. Ses mains empoignent ses seins qu’elle pétrit, elle remonte ses jambes et me dit :— A toi de gouter le minou de ta sœur et me dire si tu aimes.Ne demandant que cela depuis pas mal de temps, je m’avançais vers elle, me mis à genoux au pied du transat et approchais ma bouche de cet adorable minou, tout épilé et qui sentais bon la petite salope en chaleur, ma sœur ! Elle mouillait comme une folle et avec ma langue j’excitais son clitoris, baisais ses petites lèvres, la léchais jusqu’à l’anus. Puis j’avançais doucement un doigt vers sa fente, ne sachant pas si elle accepterait mais vu où l’on en était… cela ne changerait plus grand-chose. Un doigt, puis deux et trois…. J’allais et venais avec mes doigts dans sa petite grotte intime tandis que ma bouche la dévorait. Julia commençait à pousser des petits cris d’extase et me demanda alors de la prendre, là ! maintenant. « S’il te plaît Fred, défonce moi ! ».
Je me suis alors relevé, allongé sur elle, je l’ai embrassé pour la première fois avec passion. Nos bouches et nos langues se découvraient mutuellement et elles aimaient çà. Sa main est venue entre nous deux, a cherché ma queue qui avait prit de nouveau une belle taille et l’a présenté à l’entrée de sa chatte. Je n’ai eu plus qu’à pousser pour m’y introduire tout entier. Nous avons savouré ce moment sans rien dire sans bouger un bref moment. Puis, elle a ondulé le bassin, j’ai commencé à la pistonner, doucement puis de plus en plus vite. Sa main titillait son clitoris, ma bouche embrassait ses seins. Elle gémissait, j’étais aux anges… sur le point de jouir, j’allais me retirer pour éjaculer hors d’elle, mais elle l’avait senti, elle referma ses jambes autour de moi et me dit : « viens en moi… ne t’inquiètes pas, je prends ce qu’il faut ».Ne pouvant y résister, me retenir plus longtemps, j’ai joui au fond de sa chatte un fleuve de sperme et nous sommes restés là, dans les bras l’un de l’autre à savourer ce que nous venions de faire.
Un peu avant le retour de nos parents, nous sommes rentrés dans la maison comme si de rien n’était. Nous avons pris une douche, sagement ;) puis avons préparé un apéritif pour le retour de nos parents.
Les jours qui ont suivi, Julia et moi avons profité de la maison dans tous les coins, nos parents étant absents le plus souvent, cela nous était facile. Entre temps, elle avait mis fin à sa relation avec Olivier n’y trouvant plus aucun intérêt. Cela me convenait très bien, j’avais ma superbe sœur pour moi tout seul, tout le temps et autant que je le souhaitais. Elle était presque tous les soirs dans mon lit quand nos parents étaient couchés et nous baisions comme des fous.
Une nuit, alors qu’elle était lovée dans mes bras, en attendant le petit matin et qu’elle regagne son lit, elle me glissa à l’oreille :— tu n’as jamais pensé baiser maman ?— tu es folle ! mais pour tout te dire, maman est vraiment trop bonne aussi. Papa doit bien s’éclater avec elle. Pourquoi tu me demandes çà ?— Parce que moi, j’ai souvent imaginé que nous pourrions les amener à jouer avec nous. Il faudrait que l’on trouve un truc pour les y amener et j’ai ma petite idée… Je te raconte.Puis elle me raconta tout son plan en détail. Je trouvais l’idée simple mais géniale et après tout, çà pouvait marcher.
A suivre…
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