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Une famille recomposée

Chapitre 1

Inceste
Jeanne et Albert sont un couple reconstruit, elle a quarante ans, grande, mince et brune, la poitrine menue mais une bonne paire de fesses. Elle est toujours une belle femme malgré les années, son teint mat et ses cheveux noirs font retourner plus d’un homme dans la rue. Jeanne est fonctionnaire dans une petite ville du sud ouest de la France. Divorcée trois après son mariage et deux après la naissance de son fils Bernard, elle donne tout à son fils qui a maintenant seize ans. D’un tempérament fort et personnalisé, elle n’a jamais eu d’aventure avec un homme depuis sa séparation. Bernard poursuit ses études au lycée, garçon très brillant et très discret, il n’aime qu’une chose : sa mère, on lui connaît aucune aventure, aucun flirt, à la sortie du lycée, il file directement chez lui.
Albert est veuf, sa femme a été tuée dans un accident de la route qui a laissé Albert et sa fille Sylvie dans un désarroi complet. Brun, de taille moyenne, quarante trois ans, il est cadre dans une banque, autoritaire au travail mais doux comme un agneau à la maison. Ce pauvre homme ne sait jamais comment faire pour rendre sa fille la plus heureuse. Sylvie a seize ans, brune comme son père, légèrement boulotte, ce qui la complexe un peu, pensant que les autres élèves du lycée sont beaucoup mieux. Albert consacre toute sa vie pour le bonheur de sa fille.
Jeanne a avec son fils une relation d’une grande complicité que peu de gens peuvent comprendre. Cela a commencé un peu plus de deux ans après son divorce, il s’est installé le plus naturellement du monde une relation de plaisir partagé sans fausse pudeur. Jeanne a gardé contact avec son cercle d’amis mais repousse de plus en plus les chances de les voir.Cette vie a évolué sans ressentir la moindre honte ou gène, en grandissant, Bernard se transforme et mûri, ce qui ne modifie pas les habitudes prises au cours des années. Les parties de chatouilles et de câlins sont toujours constantes le soir sur le canapé devant la télé. Bernard n’a pas de petite amie, il trouve sa mère beaucoup plus intéressante que ses copines du lycée et surtout beaucoup plus belle !
Ces changements dans la vie intime de chacun d’eux se manifestent progressivement à la maison. Jeanne prend un plaisir trouble à porter des jupes plus courtes, à négliger de fermer totalement ses robes pour laisser voir comme par accident un bout de chair ou de dentelle de ses dessous. Bernard lui, traîne le plus souvent à la maison dans des bermudas amples qu’il porte sans slip. Il aime rester torse nu ou en débardeur.
Jeanne ne dit pas grand-chose quand son fils passe sa main entre ses cuisses en chahutant, elle le repousse gentiment, mais il faut dire… De plus en plus mollement
— Maman…tu sais je te trouve si belle…si belle.
Et en disant cela il saisit sa sensuelle Maman par les hanches en la repoussant au fond du canapé. Beaucoup plus troublée qu’elle ne voudrait se l’avouer, Jeanne se laisse aller, incapable de résister.
Se rapprochant l’un de l’autre sur le canapé, Jeanne et Bernard s’embrassent d’abord timidement, puis avec de plus en plus de passion, se titillant la langue. Les mains ne restent pas inactives, rapidement, la jupe de plus en plus remontée, les quatre mains partent à la conquête de terrains de jeux interdits mais délicieux.

Lorsque Bernard vient se frotter contre sa mère, celle-ci sent le sexe qui durcit, elle savoure au contraire l’hommage de son fils devenu homme.
C’est Jeanne qui un soir osa le premier geste. Elle fut prise d’une pulsion plus forte que d’habitude, elle porta sa main sur la tige raide et chaude à travers le caleçon. Le regard embué de reconnaissance que lui adresse son fils l’amène à caresser son front puis le parsemer de petits baisers en lui disant des mots tendres.
A chaque soirée ils vont un peu plus loin dans les gestes, un soir la main de Jeanne passe sous le vêtement pour s’emparer directement de la verge bandée. Elle touche la tige de chair durcie par ses caresses en glissant doucement sous les testicules pour aller entre les fesses s’attarder sur l’anus, puis ressaisir la verge qu’elle masturbe lentement, Jeanne demande alors :
— Tu es heureux mon petit homme ?
Bernard lui chuchote à l’oreille comme si quelqu’un écoutait :
— Tu ne peux savoir combien je suis heureux, je t’aime très fort.
Elle voudrait lui dire que ce n’est pas courant, que ce n’est pas normal avec sa mère, mais elle n’ose pas elle fixe sa main qui doucement branle le jeune sexe en érection.Une douce chaleur part de son ventre et parcoure tout son corps, elle prend Bernard par l’épaule, qui laisse sa tête aller contre la douceur maternelle et ferme les yeux. Entre les cuisses ouvertes, la main de Jeanne va plus vite le long de la hampe, elle ne prête pas attention a la tête de son fils qui glisse pour se poser sur son sein, elle fixe du regard les mouvements répétés et de plus en plus précis de la main, elle admire le gland qui se découvre. De sa main elle enserre plus fermement l’épaule de son fils dont la tête appuie fermement sur son sein. Déjà ses genoux battent l’air, ses muscles se tendent. Elle sent le souffle de son fils qui s’arrête, sa main glisse doucement vers l’arrière et reviens comme au ralenti, alors Bernard grogne un spasme qui le déchire, son sperme gicle et macule la cuisse de sa maman, un autre spasme propulse un autre jet dans le vide, puis un troisième vient sur son autre cuisse.
C’est venu tout naturellement sans honte, Jeanne étend pensivement le sperme sur elle en s’octroyant une petite caresse. Ils ont la tête qui tourne un peu, elle a peur d’avoir fait une folie mais le sentiment de plaisir l’emporte. Ils vont rapidement se coucher ensuite Jeanne, dans sa chambre exécute sa masturbation quotidienne, elle a un orgasme d’une intensité qu’elle n’a pas connue depuis longtemps.Bernard vient de connaître sa première éjaculation, une vraie jouissance d’amour, c’est autre chose des baisouillages que font à la sauvette ses camarades du bahut.
Les jours qui suivent augmentent les tentations partagées, ils vont de plus en plus loin machinalement. Jeanne ne résiste plus, sa bouche s’ouvre pour accueillir la tige. Bernard se cambre, s’offrant totalement à la bouche qui l’engloutit pour son plus grand plaisir. Elle va et vient avec beaucoup de savoir faire et de tendresse le long de la verge, elle la goutte, la déguste son autre main à la base s’amuse avec les testicules. Bernard ne peut s’empêcher de geindre et de donner de petits coups de reins. Jeanne se délecte de ce membre vivant dans sa bouche, avec son fils son plaisir atteint des sommets les plus vertigineux. Elle a envie de porter sa main entre ses cuisses mais n’ose pas, pas encore. Il se raidit, gros, tendu mais elle est prête et le jet lui frappe le palais. Elle déglutit amoureusement savourant les saveurs délicieuses de son tendre rejeton.

C’est depuis ce jour que leurs relations prirent un nouveau tournant dans le secret de leur intimité. Jeanne est devenue l’initiatrice de son fils, lui faisant découvrir les milles chemins du plaisir dans un épanouissement réciproque.

La tête posée sur l’épaule de sa Bernard, elle colle passionnément sa bouche sur celle de son fils, puis elle pousse affectueusement son visage vers son ventre en lui disant doucement :
— Embrasse ta maman ici avec ta langue, suce-la bien mon bébé.
Pour la première fois Bernard découvre la vraie femme.L’accès à la longue fente ruisselante est ouvert, terriblement ému, le désir augmente à très grande vitesse. Les murmures incompréhensibles font comprendre à Bernard de continuer, il avance sa bouche vers l’entrée mystérieuse, le visage s’incruste entre les cuisses charnues. Plongé dans les chairs écarlates, Bernard enfonce sa langue dans la cavité léchant avec gourmandise les parois gorgées de suc. Immédiatement Jeanne se cambre sur le canapé en agitant son bassin. Les cuisses refermées autour du visage, Bernard broute maladroitement la chatte, Jeanne s’abandonne sans pudeur au cunnilingus.
Jeanne lui a bien appris à frôler la crête finement ourlée de sa chatte, de se servir de ses doigts et de sa bouche avec adresse et délicatesse, ci bien que Bernard masturbe sa mère aussi bien qu’elle ne pourrait le faire elle même. Elle lui a bien enseigné à administrer une feuille de rose d’une infime douceur, attaquer de la langue le clitoris bandé au cœur de sa bouche baignant de salive. Elle lui a bien expliqué comment faire vibrer son corps sans interruption jusqu’à la délivrance de l’orgasme.

Albert a avec Sylvie une relation que tous les deux veulent garder dans le secret. Le départ de la mère de Sylvie a été très brutal, elle a beucoup de mal à se remettre dans la vie normale, comme les filles de son age. Albert consacre beaucoup de temps et de tendresse pour lui maintenir le moral. En reconnaissance, Sylvie accorde une grande importance à son père, surtout depuis qu’elle est réglée.
Aussi Albert n’est plus insensible à sa fille, son regard s’attarde sur ses cuisses, sa poitrine quand Sylvie lui dit bonne nuit en sortant de la salle de bain dans sa petite chemise de nuit.Sylvie aime bien les compliments que lui fait son père quand elle traîne dans le salon, ou quand elle s’assoit dans le canapé à ses cotés. Bien souvent elle est triste et inconsolable invoquant la disparition de sa maman. Albert aussi peiné que sa fille la prend dans ses bras pour la réconforter en lui caressant les cheveux et lui donnant de petits baisers.C’est ainsi que Sylvie s’apaise contre le torse chaud de son père. Ils se sentent bien tous les deux dans ces moments éprouvants, Sylvie adore passer sa main dans la douce toison de la poitrine de son papa, les petits bisous de plus en plus appuyés de son père la rassure énormément. Albert aime la dorloter, lui dire qu’elle est belle, qu’elle aura un jour un beau prince charmant. Il la traite de plus en plus comme une petite femme et plus les jours défilent et plus les caresses deviennent précises, comme si l’un et l’autre recherchaient ce qui leur manque en émotion.
Les cuisses nues de Sylvie contre celle de son père activent les sensations charnelles de part et d’autre, une érection gonfle rapidement le slip d’Albert, Sylvie sent bien cette bosse dure et chaude contre sa cuisse, à chaque fois elle se retrouve malgré elle avec sa culotte mouillée. Les petits bisous deviennent plus assidus quand leurs lèvres se rejoignent dans un baiser timide et langoureux pour finir dans un soupir de reconnaissance.
Les choses avancent lentement mais sûrement, leurs vêtements deviennent de plus en plus légers jusqu’au jour où ils se retrouvent nus tous les deux. Les caresses évoluent vers des étreintes très chaudes pour aboutir aux milles chemins du plaisir. Curieusement, chez les filles, les choses viennent naturellement,
— Tu es encore tout excité mon petit papa…
Elle laissa sa phrase en suspens et frotta effrontément sa jeune poitrine sur les épaules paternelles. Albert a du mal à avaler sa salive. Mais en fait, Sylvie ne semble pas perturbée à cette découverte. Elle parait même amusée par la situation. La jeune fille continue ses suppositions.
— J’aimerais bien savoir ce qu’aurait fait maman si elle était là avec toi.
Il le sait cette situation est un aphrodisiaque parfait, les caresses des seins de sa fille contre son corps n’arrangent rien. Sylvie insiste en se moquant un peu :
— Et depuis que maman est partie, je dois la remplacer dans ses tâches, toutes ses tâches...
Elle chatouilla gentiment l’épaule de son père puis elle posa sa main sur sa cuisse, puis remonte doucement vers le haut de la cuisse. Les muscles de la cuisse d’Albert frémissent sous la tendre caresse.La main de la jeune fille continue à monter sur sa cuisse et parvint sur l’érection frémissante. Doucement, Albert tente d’enlever la main tremblante de sa fille, puis, il laisse poursuivre.
Les doigts remontèrent sur la cuisse et s’arrêtèrent à proximité du membre tendu pointant son gland humide.Il s’abandonne dans le canapé, l’esprit vaincu, incapable de résister à l’appel de ses sens. Les mains de sa fille le palpent doucement. Elle coiffe la tête frémissante de la verge. Albert sursaute et tout son corps se met à frémir. De l’autre main elle lui presse doucement les couilles puis remonta sur toute la longueur de la tige paternelle en s’amusant à dessiner les contours vibrants de l’engin. Sylvie prend toujours beaucoup de plaisir à promener ses mains sur le corps de son papa. Il se laisse faire, chacun des ses muscles se lâche, les mains fragiles glissent sur les chairs puis s’en emplit. Albert se contracte puis se tend au plaisir que lui donne sa fille. Enfin les lèvres prennent la relève, aspirent la chair tendre dans les poils serrés qui décorent le bas ventre. La respiration se fait plus rapide, un frisson parcourt Albert qui lance un cri rauque en vibrant de tous ses membres. Sylvie se jette sur son père, heureuse du bonheur qu’elle lui a donné.

***
Un jour Jeanne a eu besoin d’un petit crédit pour acheter une automobile, c’est lors de cette démarche qu’elle a rencontré Albert. Seuls tous les deux avec leur progéniture, ils ont appris à se connaître. Leur amitié se transforme en une sorte d’amour qui grandi chaque jour. Ils ne se font pas de confidences sur la façon dont ils élèvent leurs enfants, seulement quelques phrases très équivoques. Malgré cette petite pointe de fourberie, ils découvrent ce qu’il se passe chez l’autre. Ils se voient une ou deux heures chaque soir après le travail, systématiquement la conversation est dirigée vers les enfants.Ils n’ont jamais fait l’amour ensemble, même pas des caresses poussées, c’est seulement leur vie de famille qui semble se calquée et qui permet d’entretenir cet amour rare et virtuel.
Sylvie et Bernard sont dans le même lycée, donc ils se connaissent sans plus, ils savent que leurs parents ont une relation, mais ils ignorent de qui il s’agit.
Le jour des présentations aux enfants est enfin venu. Nous sommes un après midi d’un dimanche très ensoleillé du mois de juin. Lorsque la sonnerie de la porte retentit chez Jeanne, elle dit simplement :
— Ah je crois que les voilà.— C’est la surprise répond Bernard.— Oui mon bébé, enfin j’espère que tout se passera bien.— Ne t’en fait pas maman je suis là et je t’aime.
Jeanne a revêtue une jolie robe légère qui descend juste au dessus des genoux, très décolletée sur sa petite poitrine nue, mettant en évidence sa chute de reins.Elle ouvre la porte, Albert est là avec Sylvie qu’il tient par le cou.
— Bonjour ma chérie, dit Albert en tendant son bouquet de roses.— Entrez dit Jeanne en embrassant Albert et Sylvie, ne restez pas là.
Albert n’a pas non plus trouvé utile de s’habiller avec recherche, il a mis un short ample et une chemisette blanche largement ouverte. Sylvie est vêtue d’une jupette assez courte et un débardeur qui la moule admirablement en mettant bien en évidence ses tétons durcis. Elle a accentué son air de petite fille par deux couettes attachées par des rubans décorés de figurines. En arrivant dans le salon ou Bernard attend les nouvelles connaissances.
— Voilà, je vous présente Bernard mon grand bébé.— Ho salut Sylvie ! Puis s’adressant à Albert : Euh bonjour monsieur.
Bernard en bermuda fait une bise à Sylvie comme à une camarade et sert la main de son père.
— Pas de chi chi entre nous, appelle moi Albert.— Alors bonjour Albert, puis il s’adresse à Sylvie : Drôle de surprise pas vrai ?— Je trouve que c’est génial. Répond Sylvie.
Albert prend place dans le canapé, Sylvie à ses cotés. On aurait pu croire à les voir, à un papa affectueux qui raconte des histoires à sa fille.Les compliments pleuvent, les liens se resserrent. Les parents ne tarissent pas de louanges pour leur progéniture, chacun veut démontrer à l’autre que tout ce qu’il a dit au cours des mois est vrai. Pendant ce temps, les enfants s’extasient sur l’abondance des compliments ainsi que les confidences plus ou moins intimes à leurs égards. Plus les parents débitent leurs commentaires et plus Sylvie et Bernard apprennent à se connaître, c’est comme si ils étaient frère et sœur, l’abondance des mots de leurs parents les met en confiance et leur font découvrir beaucoup de petits secrets communs.
Albert est assit à coté de sa fille dans le canapé, il lui fait des petits baisers dans le cou. Jeanne est en face dans le fauteuil, la robe largement relevée sur les cuisses et les jambes légèrement écartées. Bernard est assis sur l’accoudoir le bras reposant sur l’épaule de sa maman.
Les heures s’écoulent sans s’en rendre compte, il fait chaud, l’atmosphère devient très détendue et brûlante.Albert a posé négligeament son pied nu sur la table basse qui les sépare. Jeanne a placé également un pied, sur le bord de son fauteuil, le talon en butée sur sa fesse. C’est ainsi que les deux invités peuvent contempler la culotte blanche d’où sortent quelques poils noirs. La réaction est immédiate, Sylvie imite Jeanne en repliant sa jambe sur le canapé, le pied droit sous la cuisse gauche, sa petite culotte est tendue sur son abricot, elle pose sa main sur la cuisse de son père, heureuse de montrer que c’est son tendre et cher. Albert écarte les jambes pour laisser de l’aisance à son sexe qui commence à prendre de l’ampleur.
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