Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 110 J'aime
  • 7 Commentaires

Une famille sans complexe.

Chapitre 1

Inceste
Une famille sans complexe.
Présentation des personnages :
Vanessa Beauvit : 17 ans, 1m63, cheveux châtains, yeux verts, corps intégralement épilé, petits seins ronds. Vanessa aime le sexe mais n’aime pas courir après les garçons. Pour assouvir ses besoins, elle entretient, depuis plus d’un an, une relation incestueuse avec son frère Julien. Elle entretient également une relation saphique avec ses deux meilleures amies, Karine et Noémie.
Julien Beauvit : le frère de Vanessa, 19 ans, 1m80, cheveux bruns, yeux bleus, pubis fourni, sexe long et épais. Julien plait aux filles et aux garçons, il collectionne les conquêtes. Il a de gros besoins quotidiens qui imposent à ses partenaires une grande disponibilité et il sollicite sa sœur chaque fois qu’il est avec elle.
Corine Beauvit : la mère de Vanessa et Julien, professeur d’histoire et géographie, 35 ans, 1m60, blonde, yeux bleus, belle poitrine ronde et opulente, pubis taillé court. Elle a rencontré son mari durant des vacances avec ses parents en club naturiste. Marc était le fils d’amis intimes de ses parents. Elle avait à peine 16 ans et Julien est né neuf mois plus tard. Elle est très amoureuse de son mari qui a su entretenir chez elle un côté un peu nymphomane contre lequel elle ne lutte pas. Corine le trompe régulièrement, avec son consentement et souvent en sa présence. Bisexuelle, elle dispose d’une véritable cour de partenaires des deux sexes. Elle satisfait le candaulisme de Marc, autant que possible, lors de soirées passées en club ou à l’hôtel en faisant l’amour devant lui avec un ou plusieurs amants. Ils pratiquent aussi l’échangisme en famille avec ses parents et avec ceux de Marc.
Marc Beauvit : le père de Vanessa et Julien, architecte, 37 ans, 1m80, cheveux bruns, yeux verts, assez poilu du torse et du pubis, sexe long et épais. Marc est bisexuel et candauliste, il adore voir Corine baiser avec d’autres hommes et, quand c’est possible, se faire enculer par les amants de sa femme. Il aime sa femme plus que toute personne au monde et n’a pas souvent de relations extraconjugales, hormis avec sa mère, sa belle-mère et parfois sa sœur quand ils se voient.
Eliane Grossein : la grand-mère maternelle de Vanessa et Julien, secrétaire de direction, 50 ans, 1m62, cheveux châtains très clairs, poitrine lourde avec des tétons pointant légèrement vers le haut, pubis fourni. Assez précoce, elle a eu sa fille à 15 ans sans savoir avec qui et n’a rencontré Georges, son compagnon, que huit ans après. Comme sa fille, elle aime le sexe et n’a pas de tabous. Elle est soumise à son mari qui l’a initiée à de nombreuses pratiques et l’a menée à certaines extrémités. Depuis qu’ils sont en couple, ils pratiquent beaucoup l’échangisme. Ils ont commencé avec les parents de Marc, que Georges connaissait depuis longtemps et ensuite, Georges l’a emmenée en club ou sur des lieux de rencontre. Eliane aime beaucoup sa belle-famille et en particulier son gendre à qui elle offre régulièrement son cul. Pour ses petits enfants, c’est une vraie « Mamie gâteaux »
Georges Mulet : le grand-père maternel de Vanessa et Julien, Directeur d’agence bancaire, 59 ans, 1m75, cheveux grisonnants, sexe standard légèrement supérieur à la moyenne, pubis poivre et sel. Même s’il l’a légalement adoptée, Georges n’est pas le père de Corine et ne se considère pas vraiment comme tel. D’ailleurs, elle ne l’appelle pas « Papa ». Par contre, il se considère bien comme le « Papi » de Julien et Vanessa, statut qui ne lui est pas contesté. Georges est infécond et n’a pas pu avoir d’enfant avec Eliane mais elle avait déjà une fille, ça ne lui a pas posé de problème. Il est très proche de Corine, l’aime plus que de raison et lui fait l’amour à chaque fois qu’ils se voient. Leur relation amoureuse a commencé très tôt puisque c’est lui qui a dépucelé sa belle-fille.
Martine Beauvit : la grand-mère paternelle de Vanessa et Julien, esthéticienne, 1m65, 59 ans, cheveux blond vénitien, yeux verts, des seins légèrement tombants avec de larges aréoles et des tétons volumineux, une toison aux reflets roux entretenue courte et épilée en triangle. Martine aime ce qui est « sale » et un peu d’uro et de scato dans les jeux sexuels n’est pas pour lui déplaire, bien au contraire. Voyeuse et exhibitionniste, dans sa maison, les pièces n’ont plus de porte, pas même les wc. Les rapports incestueux l’excitent, c’est elle qui a déniaisé son fils sous l’œil complaisant de son mari et comme elle est bisexuelle, elle couche régulièrement avec sa fille.
Lucien Beauvit : Le grand-père paternel de Vanessa et Julien, 60 ans, 1m78, cheveux blancs, yeux bleus, un pénis épais entouré d’une toison blanche. Lucien est un queutard invétéré pour qui un cul est un cul. D’ailleurs, il dit souvent : « Peu importe qu’il appartienne à un garçon ou à une fille, tant qu’on peu rentrer dedans, ça fait l’affaire. » Il aime aussi le sexe crade et ne rechigne donc pas à faire plaisir à sa femme. Insatiable, il a toujours trompé Martine avec tout le monde. Il affectionne particulièrement les parties fines qu’ils ont avec les Georges Mulet et Eliane Grossein car il se retrouve fréquemment avec trois bouches, deux chattes et trois trous du cul à son service. Son seul regret est la tendance lesbienne de sa fille qui du coup ne fait que très rarement l’amour avec lui. Depuis quelque temps, il fantasme sur son petit fils Dominique qui se dit gay et passif.
Josiane (Josy) Beauvit : la sœur de Marc, tante de Vanessa et Julien, infirmière, 39 ans, mère célibataire, rousse aux yeux verts, le sexe intégralement épilé et de joli seins en poire. Josiane aime les femmes et entretien des relations étroites avec sa mère et sa belle-sœur. D’une manière générale, elle ne fait pas confiance aux hommes, à l’exception de son père et de son frère aux quels elle se donne de temps en temps. Sa vraie passion c’est son fils Dominique qu’elle soutien et encourage en tout.
Dominique Lanus : le fils de Josy, cousin de Vanessa et Julien, 19 ans, cheveux longs, roux comme ceux de sa mère, sexe petit et fin intégralement épilé. Dominique est passif, attiré par les hommes et il ne s’en cache pas. Il aime se travestir et depuis qu’il est à l’université, l’ambiguïté de son prénom lui a permis de le faire quotidiennement. Son plus grand rêve serait d’avoir des seins aussi beaux que ceux de sa mère.
Chapitre I : Vanessa est en manque.

Dans la famille de Vanessa la nudité est d’usage, tout le monde, jusqu’à ses grands-parents maternels et paternels, sa tante et son cousin, pratique le naturisme, chez eux et en vacances. Elle et son frère y sont habitués depuis leur naissance et enlever tous leurs vêtements quand ils rentrent du lycée ou de l’université est plus qu’un acte normal, c’est une libération, une nécessité absolue. Tous tant qu’ils sont ne s’habille que pour sortir dans la rue et aller travailler mais, à la fin de la journée, les vêtements leurs pèsent tellement qu’ils n’ont qu’une hâte : rentrer chez eux pour se « foutre à poil ».
Vanessa, comme son frère, trouve beaucoup d’avantages à cette coutume familiale. Tout d’abord, c’est pour elle une question de confort ; elle n’aime pas emprisonner son corps et se sent plus libre et plus vivante nue. Ensuite, cet usage les a protégés de toute pudeur excessive, lui a permis de savoir très vite, en regardant sa mère, comment son corps deviendrait et, surtout, de savoir comment sont faits les hommes et ce qu’est une érection. Vanessa pense également que les câlins de ses parents ne seraient pas si doux et si tendre s’il y avait la barrière des vêtements. Quand elle a un chagrin ou qu’elle se ressent un besoin de câlin de sa mère ou de son père, elle aime pouvoir sentir le corps, le toucher, le caresser et l’embrasser. Ça contribue à son réconfort et ce serait absolument impossible si ce contact était freiné par un tabou déplacé ou une pudeur malsaine. Elle est aussi persuadée qu’ils ne seraient pas si unis et si proches sans cette nudité permanente ; le corps ne ment pas et quand on vit nu, on ne se cache rien. Au quotidien, la pratique familiale du naturisme est très pratique pour accéder à la salle de bain quand quelqu’un s’y trouve déjà ou poursuivre une conversation en faisant pipi car personne ne ferme pas la porte des WC pour ça. Chez Vanessa, fermer une porte et une indication précise pour dire qu’on ne souhaite pas être dérangé. La plupart du temps c’est lié au sexe et à l’amour, qu’il s’agisse d’une masturbation ou d’un acte consommé à deux, cela se fait généralement porte fermée.
Le seul inconvénient dans cette tradition, c’est qu’elle est mal perçue par ses copains et copines qui évitent, tant que possible, de venir chez elle quand elle les y invite. Pourtant, Vanessa fait tout pour les mettre à l’aise en les prévenant de cet usage familial : « Faut pas que tu t’affoles, chez moi on vit tous à poil, mais rien ne t’oblige de faire pareil ; tu peux garder tes fringues, ça ne nous gène pas. » Généralement, ça ne rassure pas ses copines et ça excite un peu trop ses copains, alors leurs visites sont très ponctuelles. Il faut dire que quand ses amies se retrouvent nez à nez avec son père ou son frère à poil, elles font une drôle de tête. Elles ont généralement beaucoup de mal à ne pas rougir et à détacher leurs regards de leurs grosses bites pendantes. Car ils ont, autant l’un que l’autre, été sacrément bien dotés par la nature. Vanessa s’en est rendue compte récemment, en sortant, pour la première fois de sa vie, avec un garçon de sa classe. Son sexe lui avait tout de suite paru ridicule, presque aussi petit que celui de son cousin Dominique, âgé de presque vingt ans et qui a, de loin la plus petite bite de tous les hommes de la famille. Lui même dit qu’elle a oublié de pousser et qu’il a un robinet de garçon impubère. C’est vrai que c’est l’effet que ça donne ; surtout depuis qu’il s’épile intégralement.
Vanessa n’est pas restée longtemps avec son petit copain. Elle a voulu sortir avec lui pour se détendre durant ses révisions du bac et pour « s’éloigner » de la relation incestueuse qu’elle entretient, de façon épisodique, avec son frère. En effet, Julien n’est plus très souvent à la maison, trop occupé par ses partiels et surtout par une petite amie que Vanessa déteste. Par jalousie et par dépit, elle s’est rabattue sur le beau gosse de sa classe qui lui courait après depuis la seconde. Malheureusement, en plus d’être un parfait idiot, il s’est avéré parfaitement « nul au plumard ». Furieuse de ses piètres performances, Vanessa l’a jeté en moins de quinze jours et se contente, depuis, de ses doigts et d’un gode emprunté sa mère jusqu’à la fin de l’année scolaire. Heureusement que Karine et Noémie viennent régulièrement « réviser » avec elle. Depuis qu’elles se connaissent, elles passent fréquemment de chaudes après-midi toutes les trois. Au début, Vanessa était sortie avec Karine qui est une lesbienne pur jus, mais cette relation était difficile car Karine n’admettait pas la bissexualité de Vanessa. Elle la voulait pour elle toute seule et éprouvait beaucoup de jalousie à l’égard de Julien. Elles ont pris de la distance et Vanessa a rencontré Noémie qui, bien que lesbienne, n’est pas aussi exclusive que Karine. La relation incestueuse de Vanessa et Julien ne l’a jamais gênée et elle a souvent accepté qu’il participe à leurs ébats en baisant sa sœur sous son nez. Et puis Vanessa lui a présenté Karine à l’occasion d’une soirée qu’elles ont terminée à trois dans un même lit. Depuis, Karine et Noémie sont ensemble mais elles continuent d’intégrer Vanessa à leur couple quand elles ont envie. Du coup, sachant qu’elle était un peu seule durant les révisions, elles ont décidé de se montrer solidaires et de venir la détendre, à leur manière, une ou deux fois par semaine. Pour Vanessa, ça a été un vrai réconfort même si des langues, des doigts et des mains ne remplacent pas un bon coup de queue. Et puis, au delà du plaisir qu’elle a pris, ces sauteries lui laissent un goût amère ; elle était amoureuse de Noémie et joue, maintenant, la troisième roue du carrosse.
Plus le BAC approche et plus Vanessa est d’une humeur exécrable. Elle n’a pas été correctement baisée depuis bientôt deux mois, depuis que son « frère chéri » sort avec « cette conne de Jennifer ». Elle se sent véritablement abandonnée par Julien qui ne dort presque plus chez eux. Sa bite lui manque terriblement et le gode prêté par sa mère ne la remplace pas. En plus, Corine a exigé qu’elle le recouvre d’une capote pour se l’enfiler dans le cul et elle n’aime pas ça. Vanessa ne sait pas ce qui l’ennuie le plus entre devoir s’habiller durant la journée pour sortir, aller au lycée et chez ses amies ou ce manque de vraies bites. Bien souvent, en révisant son bac, elle se dit : « Vivement les vacances que je puisse vivre à poil dedans comme dehors ! Et puis si on va à Montalivet, peut-être que je trouverai des mecs bien montés pour me sauter, j’en peux plus ! »
Les jours passent, Vanessa a son BAC avec mention bien. Devant le tableau d’affichage des résultats, elle est contente mais sans plus car ses copines Noémie et Karine partent en vacances toutes les deux le lendemain. Elle va se retrouver toute seule à Paris à devoir enfiler des fringues pour sortir de chez elle. En plus du désert sexuel qu’elle traverse, Vanessa réalise que la contrainte vestimentaire lui pèse de plus en plus. Pourtant, en été, un t-shirt, une jupe mi-cuisse et des ballerines suffisent à l’habiller ; elle ne s’encombre pas de culotte ou de soutien gorge. Plus elle pense à tout ça et plus Vanessa broie du noir. Elle se hâte de rentrer chez elle, monte quatre à quatre les escaliers, pousse la porte de son appartement et à peine entrée, elle jette au sol son t-shirt et sa jupe en faisant voler ses ballerines au quatre coins de l’entrée.
— Vanessa ? C’est toi ? Qu’est-ce qui t’arrive, ma Chérie ? Demande sa mère qui arrive du salon.— Y a un problème ? Demande son père qui sort de la cuisine avec son tablier de chef et une cuiller en bois à la main.— Alors ? Tu l’as ? Demande son frère qui arrive de sa chambre.— Vous… vous êtes tous là ?! Dit Vanessa incrédule et prête à fondre en larmes.— Bien sûr, ma Chérie, c’est un jour important… répond sa mère en la serrant contre elle. Dis nous ? Tu n’es pas reçue ?— Si… si bien sûr, je l’ai. J’ai la mention « bien »… J’ai loupé la « très bien » de pas grand-chose.— Aaah ! Je le savais ! S’exclame Marc. C’est pour ça que j’n’ai pas attendu que tu rentres pour nous préparer un vrai repas de fête, tout à ton honneur.— Bravo, sœurette, j’n’en attendais pas moins de toi ! Et c’est parce que t’a loupé la mention très bien que t’as l’air si triste ?— Non, c’est pas pour ça, mais ça va passer… c’est rien. Je suis contente qu’on soit tous ensemble.
Vanessa s’essuie une larme, quitte les bras de sa mère et va embrasser son frère puis son père qui l’étreint fortement. Elle se serre à lui également et savoure son parfum de mâle, le nez collé à son poitrail velu. Elle ne résiste pas à l’envie de le caresser et de l’embrasser. Marc frémit en sentant les lèvres de sa fille se poser sur son cou et sa jeune main parcourir sa poitrine. Son sexe se tend instantanément et soulève son tablier de cuisine. Vanessa sent l’imposant pénis de son père grossir contre son ventre, elle rougit et relâche son étreinte.
— Bon ! Je crois qu’il faut que je retourne à ma cuisine. Dit Marc en s’esquivant rapidement, gêné par la situation.— Je viens t’aider, mon Chéri, rajoute Corinne en lui emboitant le pas. Faites ce que vous voulez les enfants, on vous appelle quand c’est prêt.
Vanessa se retourne vers son frère, elle a la chatte en feu et se précipite de nouveau dans ses bras pour l’embrasser. Dans la cuisine, Marc a retourné Corine sur la table, il s’est accroupi derrière elle pour lui écarter les fesses et lui lécher la chatte et le cul. Corine gémit, de là où elle est, elle peut voir le couple formé par ses enfants. Vanessa s’est agenouillée devant son frère et a pris son sexe en bouche. Elle le suce au milieu de l’entrée sans se soucier d’être vue par ses parents. Marc et Corine n’ont jamais ignoré la relation incestueuse de leurs enfants, ils en ont souvent parlé tous les quatre mais jamais ils ne s’étaient retrouvés dans une situation de témoins.
— Oh ! Oh, mon Dieu, Marc ! Aah ! Ils… ils vont baiser dans l’entrée. Aah ! Ah, oui !— Et ça t’excite, on dirait ?! Tu mouilles comme une truie !— Ah ! Ah oui, elle… elle le suce, mon Dieu ! Elle l’avale ! Aaah ! Elle avale sa bite, putain !— Oui, dis moi ce qu’ils font pendant que j’te lèche ta grosse chatte, cochonne !— Aaah ! Elle se met à quatre pattes fa… face à moi, ah ! Ils… ils nous voient, Aaah ! Oh mon Dieu ! Ça y est il la pénètre, aaah ! Baise-moi, Marc ! Donne-moi ta bite !— Avec plaisir, fit Marc en se redressant. Oh le salop, regarde comme il la baise !— Oui, baise-moi comme ça, toi aussi ! J’en peux plus ! Baise… Aaaaah ! Ah oui !! Ramone moi ! Prends moi comme une chienne !— Aaah ! Ah oui, salope ! J’te baise, salope, aah !— Aaaaaaah ! Ah oui ! Aaaaah ! Ah, mon Dieu ! Aaaaah !
De leur côté, Vanessa et Julien ne peuvent s’empêcher de regarder leurs parents baiser dans la cuisine. Vanessa réalise qu’elle est tellement en manque qu’elle n’a pas pris le temps d’emmener son frère jusque dans une de leurs chambres. Elle s’exhibe devant eux et réalise que son père, qui a bandé pour elle quelques minutes plus tôt, va la voir jouir. Cette pensée l’excite et se mêle à la jalousie qu’elle éprouve pour Jennifer.
— Aaah ! Ah oui, salop ! Défonce ma chatte, Julien ! Baise moi fort ! Aaaah ! Fais comme Papa ! Aaah ! J’veux jouir comme Maman ! Aaaaaah !— Aaah ! C’est ça c’que tu veux, Salope ! S’écrie Julien en accélérant et en allongeant ses mouvement de bassin. Tu veux que j’te baise comme une pute !? que j’te défonce ta chatte !?— Oui Julien ! Aaah ! J’suis ta pute ! Ta femelle ! Prends moi fort ! Aaaah ouiii ! Ouii ! Aaah, encore ! Aaah !— Ah putain de salope ! Tu couines sœurette ! Tu couines comme Maman ! Aaah ! Ah putain, j’vais t’la mettre dans l’cul si tu continues !— Aaah ! Ah oui ! Encule moi, cochon ! J’suis sûre que tu n’peux pas l’faire à ta poufiasse ! Aaah ! Aaah oui ! Viens dans mon cul !— Oh oui putain ! J’vais te l’écarter ta rondelle, tu vas voir ! Aaaah putain, ça rentre tout seul, bordel !— Aaaaaaaaaah ! Oh que c’est bon, salop ! T’es énorme ! Aaaaah ! Il te plait mon cul !? Aaaah !— Oh oui, salope, t’as le meilleur cul que je connaisse. Aaah ! Ah oui, j’vais te le ramoner !— Aaah ! Ah oui, salop ! Aaah ! Dis moi que je suis meilleure que Jenifer ! Aaah !— Oui ! Oh oui ! T’es ma meilleure femelle ! Oh putain ! Ton cul ! Aaah ! T’aimes quand j’te l’baise ton cul d’salope ?!— Ah oui ! Ah oui ! Ah oui ! Aaah ! Aaah ! Ah oui ! Ah encore Oui ! Oui ! Aaah ! Baise moi ! Aaah ! Ah oui, salop !— Ah, putain ! C’est… c’est toi la salope ! Aaah, t’as l’cul plein d’merde ! J’te ramone ta merde, Pétasse ! Tu m’fais jouir, sœurette ! Aaaah ! Ah oui ! Ah !! Ah je jouis !
Vanessa sent le sperme chaud de son frère envahir ses entrailles, elle est certaine qu’il y a longtemps qu’il n’en a pas balancé autant. Sous ses yeux ses parents jouissent aussi et, de toute évidence, sa mère s’en prend plein la chatte. Cette vision lui procure un ultime orgasme, elle hurle et s’écroule au sol, enlacée dans les bras de son frère qui l’embrasse tendrement. Passé les quelques instants d’extase, ils retrouvent leurs esprits et se regardent, tous les quatre, en rougissant. Corinne se redresse, embrasse son mari et s’adresse à ses enfants.
— On est tous bon pour une douche avant de passer à table, dit elle en sortant de la cuisine. Si personne ne s’y précipite, j’y vais la première.— J’peux venir avec toi, Maman ? Demande Vanessa. Ce… ça ira plus vite.— Si tu veux ma Chérie, on va se faire une toilette entre filles.— Tu pourras me laver les cheveux ?— Je vais te laver toute entière, comme quand tu étais petite. Lui répond sa mère en la prenant par la main.
Elles se retrouvent vite sous la douche Corine s’occupe de régler la température de l’eau et mouille le corps de Vanessa de la tête au pied. Ensuite, comme quand Vanessa était petite, elle la lave. Sa fille se laisse faire, elle lui shampouine la tête, lui savonne le cou, les épaules, le dos. Vanessa soupire d’aise, se détend. Corinne se rend compte que ça n’a plus rien à voir avec ce qu’elles faisaient autrefois, Vanessa n’est plus une petite fille et il se dégage beaucoup de sensualité de son corps. Elle réalise qu’elle n’est pas en train de savonner une petite fille mais de caresser le corps d’une jeune femme attirante. Elle ralentit ses caresses, les fait plus douces, son esprit est troublé.Elle reprend un peu de savon et entreprend de laver le devant. Ses mains descendent des épaules au ventre de Vanessa, en contournant ses seins, puis elles remontent inexorablement vers la jeune poitrine. Les paumes de ses mains découvrent la fraicheur de ces deux mamelons, en font le tour, les soupèsent. Elle lui masse les nichons, en excite les tétons. Vanessa réagit en fermant les yeux et en poussant un nouveau soupir semblable à un gémissement. Elle se soumet intégralement aux mains de sa mère, en apprécie la douceur.Corinne continue sa toilette. Elle reprend du savon et s’attaque à sa croupe. Ses mains parcourent les fesses de sa fille, Vanessa pousse un nouveau gémissement étouffé. Corine s’accroupit pour lui laver les jambes, descend jusqu’aux pieds puis remonte le long des mollets et dans l’intérieur des cuisses. La jeune fille écarte un peu les jambes, elle est aux anges, les caresses de sa mère l’électrisent. Corinne se redresse, lui fait un bisou sur le nez. Vanessa n’ouvre pas les yeux, elle voudrait embrasser sa mère mais elle a trop peur de casser la magie de l’instant. Corinne reprend du savon, le fait mousser entre ses mains qu’elle aventure ensuite sur les parties les plus intimes de sa fille. Sa main gauche parcoure le sillon culier tandis que la droite savonne le pubis épilé et progresse lentement vers la chatte lisse de sa fille. Vanessa se suspend au cou de sa mère, écarte encore les cuisses pour donner un accès plus libre à ses deux orifices. Une main lui explore les fesses, caresse son anus tandis que l’autre se fraye déjà un chemin entre ses lèvres. Corine est consciente de ce qu’elle est en train de faire mais ne peut pas lutter. Elle désir faire jouir sa fille, revoir la beauté de son visage éclairée par un orgasme. Elle voudrait dire quelque chose mais ne sait comment l’exprimer. Son cœur bat fort, ses doigts s’enfoncent doucement dans les trous accueillants, Vanessa gémit, l’encourage.
— Ooh, oh oui, maman. C’est… mmm, c’est trop bon, t’arrête pas. Oooooh.— Tu es belle, ma Chérie… si belle. Ooh…— Mmm, Maman, si tu savais comme je t’aime… Oooh… tes doigts…— Oh oui, ma fille, moi aussi je t’aime… et… oh, si tu savais…— Ooh ! Maman ! tu… me fais jouir. Ooooh… oh ouii… branle moi comme ça, aah… Aaaah oui, c’est… trop bon. Oooooh… Oh ouiii… encore… — C’est bien ma Chérie, jouis, lâche toi, mmm… , qu’est que ta chatte et douce, oh oui… et ton cul… Tu m’excites, Chérie…— Aaah… Ah oui, Maman… Aaah… Ah ouiii ! Aaaaaah… Aaah, je jouis… Aaaaaah… Aaaaaaah…— Oui, vas y ma Chérie, jouis… jouis pour ta Maman, Trésor…— Aaaaaaaaaaaaaaah ! Ah Oui ! Aaaaaaaaaaaah !... Ah !! Encore ! Aaaaaaaaaaaaaaaah… Aaah… Mmmm…
L’orgasme de sa fille passé, Corinne rouvre le robinet pour rincer Vanessa et pour les rafraichir. Elle réalise ce qu’elle vient de faire, se sent un peu honteuse mais ne peut s’empêcher de penser que c’était ce que sa fille attendait.
— Je… pardon, Vanessa, je…— Chut, Maman, tu vas tout gâcher. C’était super, je t’aime et j’ai qu’une envie c’est de te rendre le plaisir que tu m’as donné.— C’est pas très sérieux, je suis ta mère, je n’aurais pas dû abuser de toi ainsi... il ne faut pas.— Pourquoi ce serait pire que ce que je fais avec Julien ou ce que Papa et toi faites avec Papi et Mamie et avec Pépé et Mémé ?— Co… comment tu sais ça, toi ?— Ben, je le sais, c’est tout. Vous n’avez jamais été très discrets malgré vos efforts. Julien et moi ça nous a toujours fait rire et excité aussi. Alors tu vois ?— Qu’est-ce que je devrais voir ?— Ben qu’on a rien fait de mal ! Tu m’as fait que du bien ; d’ailleurs, tu nous as toujours fait que du bien. T’es la meilleure des mamans et si tu me laissais faire… Ajoute Vanessa en posant sa main sur la chatte de sa mère et ses lèvres sur sa bouche.— Non… non, Vanessa, pas maintenant, sinon cette douche va durer des heures et nos hommes vont se poser des questions.— S’ils m’ont entendue, ils ne s’en posent déjà plus… mais c’est d’accord, tu ne perds rien pour attendre, je saurais te faire grimper aux rideaux en temps voulus.— Coquine !— Et fière de l’être.
Vanessa embrasse sa mère sur la bouche une deuxième fois, Corine ouvre la bouche. Leurs langues se cherchent, elle se colle à sa mère et lui caresse les fesses. Elle sent le trouble de sa génitrice, son désir encore contenu. Elle espère la voir flancher mais Corinne l’arrête une nouvelle fois.
— Non, s’il te plait, Chérie, pas maintenant… pas maintenant.— Comme tu veux, Maman d’amour, je te laisse à tes ablutions.
Vanessa sort de la douche et se sèche, puis elle attend que sa mère sorte à son tour de la douche. Lorsque Corine quitte la cabine, sa fille s’approche d’elle et l’enveloppe dans une grande serviette sèche. Vanessa en profite pour parcourir le corps de sa mère, soupeser ses seins, sentir sa chaleur sous l’éponge. Corinne se laisse faire, elle capitule. Vanessa s’accroupit, sèche ses jambes, ses fesses et son pubis. Corinne écarte les cuisses pour laisser sa fille sécher son intimité, Vanessa a le visage à quelques centimètres de son sexe. Elle se rapproche, darde sa langue et lèche son bouton. Corinne est au comble de l’excitation, après ce qu’elles viennent de faire sous la douche, cette caresse et comme une bombe. La langue de Vanessa s’insinue entre ses grandes lèvres, ouvre sa chatte, la pénètre. Corinne lui plaque la tête entre ses cuisses et se met à geindre. Sa fille est avide, elle lui bouffe la chatte comme jamais on ne lui avait fait. Elle se cabre, jouit, crie et éjacule dans sa bouche de gamine incestueuse. Jamais Corinne n’avait joui aussi fort et aussi vite. Vanessa se redresse heureuse et elles s’embrassent amoureusement.
De retour au salon, Corinne précise à Marc et Julien que la douche est libre. Ils ne leurs font aucune remarque mais leurs sexes érigés témoignent de l’excitation qu’ils ont eu à les entendre. Les deux hommes se lèvent et se dirigent ensemble vers la salle de bain. Corine et Vanessa se demandent si elles vont, elles aussi entendre des gémissements sans équivoque, mais Marc et Julien sont beaucoup plus sages que ces dames. Ils se contentent de simples masturbations. Debout l’un en face de l’autre, ils s’astiquent la bite en se regardant dans les yeux. Pas question d’aller au delà de ça, même si intérieurement ils en ont envie. Le rythme de leurs mains s’accélère lorsqu’ils pensent à tout ce qu’il ne feront pas. Julien se mord les lèvres, sa bite se tend, s’anime de soubresauts et expulse son sperme sur le ventre de son père. Marc en recevant cette offrande jouit à son tour en envoyant son sperme sur son fils. Ils se douchent ensuite, l’un après l’autre, avant de rejoindre ensemble Corine et Vanessa.
Tous propres et calmés, ils se retrouvent autours d’un bon repas. Tout est fait en l’honneur de Vanessa. Son père, qui cuisine comme un chef, lui a préparé tous ses plats préférés et, au moment du dessert, elle reçoit même un cadeau de sa famille. Elle détruit l’emballage pour découvrir de quoi il s’agit et découvre un magnifique double dong rose fluorescent.
— Comme ça tu pourras me rendre mon gode, fit Corinne, il me manque parfois.— Il est magnifique ! C’est dommage que Karine et Noémie partent demain, je l’aurais bien essayé avec elles…— Je suis certain que t’arriveras à l’utiliser toute seule, petite sœur. Lui dit Julien— Tu veux voir ? Demande Vanessa en écartant ses cuisses et en posant un pied sur la table.— Bah ?! Pas à table quand même ?! S’exclame Corinne.— Ce… c’est vrai, Chérie, ça ne se fait pas… ajoute Marc troublé.— Ce serait mieux dans le salon ? Vous me faites un cadeau, c’est normal que je l’essaye, non ?
Sans attendre de réponse, Vanessa suce une des deux extrémité phallique et en regardant son père dans les yeux, se l’introduit dans la chatte.
— Mmm, je ne sais pas si c’est toi qui est allé l’acheter, Papa, mais il me rempli à merveille… mmm, trop bien.— C’est dommage que tes copines s’en aillent, dit Julien en branlant sa bite tendue, tu vas manquer de partenaire pour mettre à l’autre bout…— Je ne crois pas, répond Vanessa en fixant sa mère dans les yeux. Je suis certaine de pouvoir essayer ça à deux, mais n’espère pas y assister, gros cochon. Aaaa… il est vraiment très bien, merci à tous.— Contente qu’il te plaise, dit Corinne, mais j’aimerais que tu le poses maintenant… S’il te plait.— OK, Maman, pas de panique…
Vanessa fait le tour de la table pour remercier tout le monde, au passage elle admire l’érection des deux hommes. Elle se serait bien jetée sur celle de Julien, mais Corine semble déjà un peu courroucée de son exhibition, alors elle s’abstient. Et relance la conversation sur un sujet qui lui tient à cœur.
— Au fait, vous avez prévu quoi, pour les vacances ? Vous nous avez toujours rien dit. Demande Vanessa à ses parents. Quand est-ce qu’on part à Montalivet, j’en peux plus de Paris.— Non, c’est vrai, on attendait de savoir ce que ton frère faisait avec sa « Julie » mais apparemment c’est compliqué, répond Corine à sa fille. Du coup c’est sûr, on n’ira pas à Montalivet cette année car on n’a rien réservé. On ira à la campagne, c’est bien aussi, toute la famille a prévu de venir nous voir…
En entendant ça Vanessa affiche une mine déçue. Adieu bites, baise et sodomie sous les pins ! Elle qui a tant besoin de queues. Celle de son frère ne lui suffit plus.
— Putain de merde ! S’écrit Vanessa. J’en peux plus d’être à Paris ! Pourquoi on n’partirait pas à la campagne plus tôt ?— Je travaille jusqu’au quinze juillet, ma Chérie, explique Marc à sa fille, si je parts en vacances plus tôt, je perds des contrats.— OK, mais alors on doit forcément tous rester à se faire chier à Paris pendant tout ce temps ?— Pourquoi dis-tu qu’on va se faire chier ? Demande Julien, je croyais que t’avais un petit copain en ce moment. Quinze jours de liberté totale avec un amoureux…— Tais-toi ! S’écrie Vanessa. On voit bien que t’es plus là depuis un moment ! Loïc n’est plus mon copain. Ce n’était qu’un gros nul ! Mes copines s’en vont et j’suis toute seule ! Sans même pouvoir profiter du soleil à poil. Et là, tu vois j’aimerai bien pouvoir vivre nue dedans comme dehors. J’ai envie de changer d’air, de voir d’autres têtes ! Mais bien sûr, toi, tu n’vois rien, t’es dans les bras de ta pauvre boniche, et moi je peux crever la gueule ouverte !
Corine, Marc et Julien n’en reviennent pas, jamais ils n’ont vu Vanessa dans une telle colère. Tout à coup, ils comprennent que l’état de déprime dans lequel elle était en arrivant ne l’a pas quitté réellement et que le mal est plus profond qu’il ne parait.
— On peut partir toutes les deux un peu plus tôt, si tu veux, lui dit sa mère. Enfin si ça peut te faire plaisir.— Toute les deux ?? Mais Papa va rester tout seul quinze jours, alors ?— Je n’ai pas dit ça, L’année scolaire est peut-être finie pour toi mais pas pour moi, j’ai encore des réunions jusqu’à la fin de la semaine. Explique Corinne. Ça te demande trois jours de patience encore.— Et ne t’en fais pas pour moi, ma belle, je suis grand, je sais me débrouiller sans ta mère.
Vanessa esquisse un sourire, partir un peu plus tôt avec sa mère lui fait plaisir, même si elle se dit que leur petit bled du Tarn, côté baise ça sera limité. Au moins, elle sait qu’elle pourra peut-être profiter encore de la douceur de sa mère et transformer l’essai de leur relation incestueuse. Et puis qui sait, il y a des garçons sympathiques dans le village… Elle trouvera peut-être ce qu’elle cherche après tout.Un peu réconfortée, elle insiste maintenant pour savoir si vraiment ça n’ennuie pas sa mère de conduire toute une journée pour descendre jusque dans le Tarn. Elle réalise que c’est une longue route et que ses parents se sont toujours relayés sur le trajet.
— Non, ma Chérie, ça ira, et puis si je suis trop fatiguée pour faire la route d’une traite, on la fera sur deux jours, J’ai une amie qui a ouvert des chambres d’hôte naturistes dans le massif central. Je pourrais l’appeler pour savoir si il y en a une de libre.— Et toi Papa, la route ne sera pas trop longue tout seul ?— Qui te dis que je ferais la route tout seul ? On en sait encore rien, peut-être que Julien m’accompagnera.— Ben ?! Tu n’dois pas aller camper avec ta dulcinée ?— Pour être franc, ça semble compromis… Plus ça va, plus Jennifer me prend pour un obsédé. Sexuellement, c’est plus trop ça, il y a plein de chose qu’elle n’aime pas trop, voir pas du tout…— Comme quoi ? Demande Vanessa amusé. La pipe et la sodo je parie.— Oui, c’est ça. En plus elle commence à me reprocher mon appétit, elle dit que je baise trop et que c’est pas normal. Alors quand j’ai parlé de faire du naturisme, ça a été le pompon…— Vous êtes vraiment fâchés ?— Ça en a l’air. Du coup, tu vas être contente puisque je suis de retour à la maison.— Ben je ne te cache pas que je ne devrais pas m’en réjouir car ce n’est pas gentil pour toi, t’avais l’air super amoureux… Et pourquoi tu n’viendrais pas avec nous plus tôt, alors ?— Tout simplement parce que j’ai encore un partiel à la fin de la semaine et que je dois attendre mes résultats pour savoir si j’ai un rattrapage à passer en septembre. Et puis comme ça ce sera mieux pour Papa, il ne sera pas tout seul. Ajoute-t-il en se disant qu’il était peut-être passé à côté de quelque chose avec son père un peu plus tôt.— Alors, ma Chérie, demande Marc à sa fille, est-ce que la proposition de ta mère te convient ?— Oh oui ! Merci, vous êtes super… et moi j’ai l’impression de m’être conduite comme une idiote et une enfant gâtée. Je… je vous demande pardon.— Mais non, Vanessa, t’as été assez stressée et tu as accumulé beaucoup de fatigue sans pouvoir te détendre comme tu en avais besoin. Lui dit sa mère. Et puis tu n’es pas la seule à en avoir assez de s’habiller tous les jours. Personnellement, il me tarde d’être à la campagne et profiter pleinement du soleil et de la piscine.
Après cette discussion, chacun est retourné à ses occupations. Marc, dans son bureau, peaufine les plans d’un très gros projet architectural, tandis que Julien s’enferme dans sa chambre pour réviser sa dernière épreuve. Corine et sa fille se retrouvent toutes les deux dans le salon. Les deux femmes discutent de choses et d’autres, Corine faisant des mots croisés et Vanessa regardant distraitement la télé. Après un moment, Vanessa ramasse sont godemichet et décide d’aller mettre de l’ordre dans ses affaires, en passant devant la chambre de son frère, elle frappe à sa porte.
— Julien ?... Je peux rentrer ?— Bien sûr, petite sœur !— Tu bosses dur ? Demande-t-elle en entrant.— Ça va, je révise mes fiches, mais je crois que je suis au point. Je te manquais ?— Je venais voir comment tu allais. Ça t’ennuie si je reste avec toi ?— Non, tu sais bien que non, mais à une condition.— Laquelle ?— Tu t’engages à rester dans ma chambre et sur mon lit, jusqu’au diner, pour me servir de distraction et de vide couilles.— Je serais ta pute, en quelque sorte. C’est d’accord ! Répond Vanessa enthousiaste.— Ma pute ou ma chienne, d’ailleurs, j’ai un truc ici qui devrait t’aller.
Julien ouvre un tiroir de son bureau en en sort une laisse et un collier de chien. Il se lève, s’approche de Vanessa, lui met le collier et attache la laisse à son lit de telle sorte que Vanessa ne puisse être que couchée ou à quatre pattes dessus.
— interdiction de te décrocher, c’est compris ? Moi seul peux décider de t’enlever cette laisse et ce collier. Ça te va ?— Oui, ça me va.— Bien, fais voir le truc qu’on t’a offert… Il te plait ? T’as vu que tu peux le plier pour obtenir un « U » ?— Oui…— Oui, Maître, on dit.— Oui, Maître, j’ai vu ; il es très souple…— Et tu sais pourquoi ?— C’est pour le mettre dans la chatte et dans le cul en même temps, Maître.— Tu t‘es déjà déjà pris deux bites en même temps ?— Non, Maître…— Bon, alors, avant de m’occuper de toi personnellement, je vais commencer par jouer un peu avec cet objet. J’espère pour toi que tu mouilles bien.
Julien pénètre une première extrémité de l’engin dans la chatte baveuse de Vanessa. Il le pousse vigoureusement jusqu’au fond et quand il arrive au bout, la jeune fille pousse un cri. Le gland de plastique et venu taper sur le fond de son vagin, Vanessa fait des efforts pour supporter la douleur. Julien ressort le phallus de plastique puis le rentre à nouveau, plus doucement et un peu moins profondément pour ne pas faire trop mal à sa sœur. Vanessa salue cette seconde pénétration par autre gémissement, de plaisir cette fois. Son frère manipule le double dong dans sa chatte, lui fait faire des allers retours et le ressort pour en apprécier la lubrification.
— Ecarte ton cul de salope ! Que j’vois si ça rentre.— Oui, Maître.— Tes prête, petite pute ? Ecarte bien,… oui, comme ça, montre moi ton petit anneau. Je vais te mettre dans le cul ce que t’avais dans la chatte.— Je suis prête, Maître… Aaaaaaaaaah… Oh putain, c’est… c’est plus gros que ta bite… Aaaaaaaaah.— Oui, c’est un peu plus gros, comme ça quand je t’enculerai tout à l’heure, ça rentrera tout seul.— Aaaaaaa… Ah ! Ah oui… Aaaaaaaah ! Ah ! Aaaaaaaaaaaah…— Bien, maintenant tu vas prendre l’autre côté dans ta chatte, tiens toi prête…— Ah ! Oooh la vache, Julien ! Aah ! C’est… c’est énorme ! Fais doucement… Aaaaaaaaah— C’est encore mieux que je pensais, maintenant, ça te fait comme une poignée sur le cul… Qu’est ce que ça fait si je la retire un peu et que je te la renfonce bien profond.— N… non, c’est trop… Aaaaah ! Aaaaaaaaaaah ! Tu me défonces ! Aaaaaaaah !... Aaaaaaaah !— Bon, ça va, j’arrête. Toi tu vas rester comme ça, avec ce truc dans ton cul et ta chatte. Interdit de l’expulser. C’est compris grosse pute ?— Ou… oui, Maître.
Julien retourne à son bureau, il bande comme un taureau et doit se faire violence pour ne pas la baiser sur le champ, il veut la mettre au supplice. Vanessa est obéissante, pour éviter que l’objet ne s’échappe tout seul elle contracte sa chatte et son cul. Cet exercice accroit son excitation ; tout son corps est parcouru d’agréables frissons. En même temps, elle sent le regard de son frère sur son intimité, elle est vraiment dans une position humiliante. C’est la première fois de leur vie qu’ils jouent au maître et à l’esclave, et Vanessa ressent du plaisir à devenir la chose de son frère, sa propriété. Elle se demande combien de temps il va tenir sans la baiser. Elle a envie de sa bite, elle ne bouge pas, elle attend. Julien commence à ressentir le besoin de la prendre. Sa bite tendue devient douloureuse. Il se lève, s’approche de sa sœur. Sans dire un mot, il retire le jouet de plastique des orifices de sa sœur et lui plonge directement la bite dans sa chatte baveuse. Vanessa pousse un cri de plaisir. Enfin son frère l’utilise, elle n’est plus son amante, elle est son vide couilles, sa pute. Tant qu’il n’est pas question de violence, elle sait que cette situation peut durer, tellement elle prend de plaisir à cette soumission. Julien lui ramone la chatte avec entrain ; sa bite longue et épaisse lui remplit bien la chatte. Son frère lui écarte les fesses pour admirer son petit anneau brun qui s’entrouvre à chaque pénétration. Il reprend en main le dong posé à côté de lui sur le lit et en dirige une extrémité vers le petit trou. Il n’a pas à forcer, le gland de plastique s’enfonce dans les entrailles de sa sœur. Julien sent le long de sa queue la progression du gode dans le rectum. Une fois l’objet bien planté dans le cul de Vanessa, Julien reprend ses mouvements.
— Aaaaaaaah ! Ah oui, Julien ! baise moi ! Baise ta Pute !— Ah oui, sœurette, t’es ma petite Pute ! Ma chienne ! Aaah ! c’est trop bon de sentir ton cul bien rempli !— Aaaaah ! Ah oui ! Ah oui ! Ouii ! Oui ! Aah ! Encore ! Aaah ! Ah ! Aaaaah !— Ah, putain ! Comment j’ai pu faire ? T’es trop bonne sœurette ! Aah ! Ah oui ! Putain ! t’aime ça la queue salope ! T’aime ça !— Aaah ! Aaah oui ! J’aime ta queue, Julien ! Aaaah ! Aaaah oui ! Encore ! Ah ! Aaaaaah !
Julien explose dans la chatte de sa sœur, il se vide les couilles. Il a l’impression que rarement il en a expulsé autant. Ça ne s’arrête pas. Enfin, il s’écroule sur elle, l’embrasse et lui permet de retirer le dong qu’elle a encore dans le cul.
En discutant de ce qu’ils viennent de faire, Vanessa avoue a son frère qu’elle est vraiment heureuse d’être sa pute, sa chienne ou son esclave et qu’elle souhaite le rester. Julien est d’abord un peu surpris mais il accepte de la traiter comme tel tous les jours. Pour prouver son asservissement, sa sœur décide de ne plus se défaire du collier et lui jure de faire tout ce qu’il lui demandera. Il n’en faut pas plus pour redonner de la vigueur à Julien qui lui impose donc de le sucer. Elle avale sa verge, fait des efforts pour la faire pénétrer dans sa gorge. Son frère grogne de plaisir, lui attrape les cheveux et le derrière de la tête pour gérer lui même la pénétration de sa bite dans le gosier de Vanessa. Rapidement, elle ne le suce plus, c’est lui qui lui baise la bouche. Plusieurs fois elle a le sentiment d’étouffer ou ravale des remontées gastriques. Son frère est de plus en plus actifs, il se tend et éjacule dans sa gorge et dans sa bouche.
Durant trois jours, Vanessa ne quitte plus l’appartement et s’occupe de préparer ses affaires et celles de sa mère pour les vacances. Quand son frère est là, elle doit rester à côté de lui, à genoux et le suivre partout où il va, promenée en laisse. Son frère lui a trouvé un nouveau petit nom ; il l’appelle « ma Pute » même devant leurs parents qui découvrent la soumission de leur fille. Corine se dit qu’elle doit tenir ça de Marc et pense que, si Julien s’y prend bien, ses enfants risquent de ne plus pouvoir se quitter. Marc bande de plus en plus pour sa fille ; de la voir servile l’excite. A chaque fois qu’elle paraît tenue en laisse par son frère, il ne dit rien mais son sexe parle pour lui. Du coup ces trois jours sont très chauds, Marc et son fils bandent tout le temps et Corine et Vanessa doivent les soulager souvent. Les deux adolescents ne se cachent plus pour baiser, ils le font n’importe où et, de préférence, devant leurs parents. Julien, en bon maître, se dit qu’il va devoir faire monter sa chienne mais décide d’en profiter d’abord durant ces quelques jours. Ils feront ça pendant les vacances.
Le jour du départ de Corine et Vanessa, Julien remet la laisse à sa mère
— Tiens, Maman, je te confie ma Pute, tu verras, c’est une chienne très obéissante…— Merci, mon Chéri, j’ai vu ces derniers jours que tu avais commencer à bien la dresser, je vais tâcher de poursuivre son éducation.— Je compte sur toi, Maman, fais au mieux… Comme on a dit.— Qu’est-ce que vous avez dit ? Demande Vanessa— Tu verras bien, répond sa mère. Dépêche toi de dire au revoir à ton frère et à ton père, une longue route nous attend.
Diffuse en direct !
Regarder son live