Salut, mon nom est Steve et l’histoire que je vais vous raconter est l’une des plus cochonnes auxquels j’ai pu assister mais le pire dans tout sa c’est que c’est moi qui était l’acteur. Maintenant, J’ai 23 ans et cette histoire ces passé lorsque j’avais 16 ans. Je vais toujours me rappeler de ce merveilleux jeudi. Comme tout les jeunes de mon âge, j’allais au secondaire. Depuis plusieurs années, j’avais toujours eu une fille écoeurante qui m’était tapé. Son nom était Caroline. Cela faisait 5 ans qu’on était dans la même classe mais je crois qu’elle ne m’avait jamais remarqué auparavant. Et voilà une autre année qui passe sans quelle me remarque. Mais durant cette été du 4 secondaire, j’ai grandi et pris du muscles. Je suis passé de 5.9 à 6.2 en une été. Alors, à la rentré, les filles n’arrêtaient pas de me coller. Mais la seule qui m’intérressait était Caroline. C’est ce jeudi de janvier que tout ce passa. J’étais allé chercher mes livres et je buvais de l’eau. C’est à lors que Caroline s’approcha. Elle me passa sa main dans les cheveux. Elle m’avait pris en sursaut alors je n’eut aucune réaction. ’ Je sais bien que tu me regardes depuis le secondaire un ’. J’étais vraiment gêné mais je n’eut quand même aucune réaction. La cloche avait sonné et il n’y avait plus personne dans les couloirs de l’école. Elle me prit par en arrière en me carressa tout le corps. Je me retourna et la colla sur moi. Elle m’arrêta et m’emmena dans les toilettes. On s’enferma dans une cabine et je lui enleva tout doucement son chandail. J’y découvris des seins ronds et fermes. Elle me déboutonna les jeans et commenca à me suser. J’avais peur de jouir tout de suite alors je l’arrêta. Elle se mit complètement nue. Je la prit dans mes bras et elle croisa ses jambes autour de ma taille. Ma bite était dans sa chatte. Je faisait des va et vient en donnant des coups sur un des côtés de la toilette. Cela dura pendant près de 30 min jusqu’à ce que la cloche sonna. Maintenant, j’ai 23 ans et je sors avec Caroline depuis se temps la. et maintenant à chaque fois que l’on baise on aissait d’avoir le plus d’imagination possible.
