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Une folle comédie au lycée

Chapitre 7

Inceste
EPILOGUE :
J’ai une boule à l’estomac tandis que je sors de la voiture. Ma compagne arrive à mes côtés, me prend par le bras et m’encourage d’un geste à avancer. Je pose un pied en avant sur les graviers, puis l’autre et ainsi de suite en direction du petit groupe réuni. Le soleil brille fort dans le ciel. C’est drôle, mais j’imagine toujours ce genre d’événements bien pluvieux, pourtant aujourd’hui il règne une chaleur presque étouffante.Soudain, une silhouette se distingue dans ce groupe. Je n’ai pas de mal à la reconnaitre bien que la dernière fois que je l’ai vu remonte à cinq ans maintenant. Elle porte une veste et une jupe noires qui lui arrive au dessus du genou et est chaussée de talons de la même couleur. Bien évidemment, elle a revêtu ces habits pour la circonstance. Ses cheveux blonds sont attachés et semblent plus court que dans mes souvenirs. Elle regarde d’un air absent le cercueil descendre lentement dans le sol. Malgré la situation, je n’arrive pas m’empêcher de trouver Maude toujours aussi ravissante. Ma compagne et moi arrivons à l’arrière du groupe. Elle me fait signe de continuer seul et de rejoindre ma demi-sœur. Tandis que je m’élance, je ne peux pas m’empêcher de repenser aux événements d’il y a maintenant quinze ans. J’ai vraiment déconné cette nuit là, j’ai frappé ce type dont j’ai maintenant oublié le nom et est fini par coucher avec Mélanie. Je me maudis encore jour et nuit d’avoir gâché ainsi la meilleure relation que j’ai eu de toute ma vie. Car oui, cette soirée a fait voler en éclats notre relation de couple. J’ai fait beaucoup de mal à ma sœur. Elle a commencé par m’hurler dessus, puis m’a évité le plus possible et a refusé de m’adresser la parole. J’ai lu le dégoût que je lui inspirais dans ses yeux pendant des semaines et des semaines. J’ai espéré en vain qu’elle finisse par me pardonner mais elle a continué de s’éloigner de moi de plus en plus. Et puis l’année scolaire s’est terminée, j’ai décroché mon bac et je me suis inscrit dans une fac à Lyon que j’ai intégré quelques mois après. J’avais mon appartement là bas alors je rentrais moins souvent à la maison. J’ai finalement perdu espoir de retrouver ce que j’avais perdu quand j’ai apprit que Maude s’était entichée d’un nouveau petit-ami. J’ai alors enchainé les conquêtes et les coups d’un soir pour tenter de l’oublier sans résultat. Le temps a continué de défiler et j’ai vu de moins en moins souvent ma demi-sœur. J’ai moi-même éviter le plus possible de la revoir car à chaque fois je souffrais en me rappelant ce que j’avais perdu. C’était comme remuer le couteau dans la plaie. Je rentrais donc le plus rarement possible au domicile familial et elle de son côté, a fini par s’installer avec son copain suivant. La dernière fois que je l’ai revue remonte à cinq ans. C’était aussi lors d’un enterrement, celui de mon beau-père. C’était encore un jour ensoleillé. J’ai voulu renouer contact jusqu’au moment où j’ai appris qu’elle allait se marier avec un certain Pierre, celui qui est d’ailleurs aujourd’hui dans ce cercueil, alors je me suis fait distant et j’ai prit la fuite dès que j’ai pu.
Mais voilà qu’il y a quelques jours, je reçois un coup de fil. Mon cœur a fait un bon quand j’ai reconnu sa voix. Elle m’annonçait la mort de son mari et me demandait de venir à l’enterrement.
Je m’avance donc vers elle et lui pose une main sur l’épaule. Elle réagit soudain, se tourne vers moi et se jette dans mes bras. — Désolé pour le retard, je suis venu dès que j’ai pu me libérer, lui chuchote-je en l’enlaçant.— Merci, répond-t-elle la tête posée sur mon épaule. — Je suis vraiment désolé…pour tout.— Je sais.
La cérémonie se termine rapidement et les premières personnes quittent déjà le cimetière. Très vite, nous ne nous retrouvons plus qu’à trois : Maude, ma compagne et moi. Soudain, le portable de ma compagne sonne et elle s’éloigne pour répondre après s’être excusé auprès de Maude.— Elle est vraiment ravissante, déclare Maude. Tu es avec elle depuis combien de temps ?— Bientôt deux ans. — C’est bien pour toi, dit-elle dans un soupir. Tu ne mérites pas d’être seul.— Toi non plus Maude. C’est vraiment affreux ce qui t’arrives. Je n’ose même pas imaginer ce que tu peux ressentir. — Du soulagement…je crois.Hein ? Qu’est-ce qu’elle vient de dire là ? Ai-je bien entendu ? Son mari est mort et elle exprimerait du soulagement ?
— Il me battait, reprend-t-elle pour s’expliquer. Quand il était saoul il me frappait. J’avais l’intention de m’enfuir avec ma fille de toute façon. Au moins maintenant je sais qu’il ne nous retrouvera jamais. Oh mon dieu ! Si seulement j’avais su. J’aurais pu la protéger. — Tu as une fille ?— Oui, de deux ans. Je l’ai laissé chez sa nounou et la récupère demain. Elle n’avait pas à assister à ça. C’est elle qui m’a permis de tenir et de me donner le courage d’organiser notre fuite. D’ailleurs à ce propos, je déménage dans une semaine pour m’installer en Bretagne. Cette annonce me fait un choc. Je viens à peine de retrouver ma sœur qu’elle m’apprend qu’elle déménage à l’autre bout de la France la semaine suivante.— Pourquoi partir maintenant ? Tu n’as plus de soucis à te faire maintenant qu’il a disparu. Tu peux rester.— Non, j’ai vraiment besoin de changer d’air et de prendre un nouveau départ. Je ne supporte plus Meronze. J’y ai quand même des bons souvenirs mais j’ai vraiment besoin de partir. Et puis j’ai déjà accepté un poste là bas.Je vois que sa décision est prise et qu’elle ne changera pas d’avis alors je n’insiste pas. — Tu te souviens de nos dernières vacances en Bretagne ? me questionne-t-elle l’air nostalgique. Celles qu’on avait passées avant d’arriver dans la région ? — Oui, on s’était vraiment bien éclaté.— C’est là que j’ai compris que j’étais amoureuse de toi, m’avoue-t-elle. Je savais déjà avec ce qu’elle m’avait confessé précédemment que toute cette comédie au lycée trouvait son origine en partie dans le désir que je la soumette mais j’ignorais que ça allait bien plus loin que ça et qu’elle était déjà amoureuse de moi. Ce dernier aveu apporte un éclairage nouveau sur cette histoire.— Oh Maude, je n’ai pas envie que tu partes. S’il te plait, reste ici, l’implore-je en la prenant dans mes bras. On vient à peine de se retrouver, j’ai tant besoin de toi. Tu m’as tant manqué. — Je ne peux pas. Mais si tu y tiens, tu peux toujours passer la soirée chez moi. Tu pourras comme ça profiter un peu de ta petite-sœur avant son départ. Je suis heureux de l’avoir retrouvé et qu’on est finalement fait la paix mais je regrette qu’elle doive sans aller. Alors je n’ai pas d’autre solution. Je vais profiter un maximum que ma sœur soit encore dans le coin une semaine. J’accepte donc sa proposition. Ma compagne revient de sa conversation téléphonique et je la préviens que je vais rester avec ma sœur ce soir car elle a besoin de soutien. Elle rentre donc seul dans notre appartement, quant à moi, j’accompagne Maude chez elle.
Nous nous installons côte à côte sur son canapé après qu’elle nous est servie à boire. Nous évoquons de vieux souvenirs, nous plaisantons, nous chahutons et nous rions. Je retrouve enfin la complicité que j’avais avec elle. C’est vraiment agréable de retrouver ma Maude. Je me sens si bien. Et puis au grès des sujets, la conversation dévie sur l’époque du lycée et nous arrivons fatalement par aborder la fameuse nuit. Mais très vite, Maude me rassure en me confirmant qu’elle ne m’en voulait plus et que c’était trop vieux. — En plus, poursuit-elle, tu avais raison pour Luc. Tout ce qu’il voulait c’était me baiser. Son amitié n’était pas sincère. Je l’ai raccompagné chez lui comme Mélanie m’avait conseillé…— Attends quoi ? la coupe-je. C’est Mélanie qui t’a conseillé de le raccompagner chez lui ?— Oui c’est elle. Elle m’a dit que ça serait mieux qu’il parte et que je le raccompagne. Je n’étais pas trop d’accord pour le raccompagner, je pensais bien que ça n’allait pas te faire plaisir mais elle m’a dit de ne pas m’en faire et qu’elle te parlerait. Je lui ai donc fait confiance.— Elle s’est bien foutue de notre gueule en fait ! peste-je. Qu’est-il arrivé une fois chez Luc ?— Une fois là bas, il a commencé à vouloir m’embrasser et me peloter en prétextant qu’il méritait bien ça après ce que tu lui avais fait. — Non vraiment ? fais-je surpris. Et qu’est-ce qu’il s’est passé ensuite ?— Je l’ai repoussé mais il a insisté et a commencé à me tenir par les poignets pour me maintenir. Je crois bien qu’il m’aurait violé si j’avais opposé moins de résistance. Mais ce ne fut pas le cas, je l’ai frappé dans les couilles avec mon genou. Il s’est effondré par terre en chialant et je me suis enfuie pour venir te retrouverJe regarde ma demi-sœur avec des yeux éberlués suite à cette anecdote, puis soudain j’explose de rire. Nous partons tous deux dans un fou-rire pendant plusieurs minutes. — J’aurais vraiment adoré voir ça. La scène aurait été absolument jouissive, dis-je entre deux éclats de rire.Nous récupérons peu à peu notre sérieux. Puis je me retrouve soudain en train de fixer le regard abyssal de ma sœur dans un silence pesant. L’ambiance a d’un coup bien changé.— Oh Maude, reprends-je. Si seulement j’avais su ça, je n’aurais pas fait le con et n’aurait pas tout gâché entre nous deux. Si seulement je pouvais revenir en arrière.Pour seule réponse, ma sœur me saute au coup et m’embrasse. Je fonds de retrouver le contact de ses lèvres et lui rends son baiser avec passion. Nos bouches se décollent finalement et on se retrouve de nouveaux les yeux plongés dans ceux de l’autre. — Fais-moi l’amour, m’implore-t-elle. Rien qu’une fois avant notre séparation. S’il-te-plait.Je ne me fais pas prier, ça fait quinze ans que j’attends de pouvoir refaire ça. Nous nous déshabillons l’un et l’autre lentement sans nous quitter une seconde des yeux. Les habits glissent délicatement et nous découvrent peu à peu. L’atmosphère est maintenant électrique. Une fois nus, nous nous enlaçons et recouvrons de baisers et de caresses le corps si longtemps absent de l’autre. Mon cœur bat la chamade et je suis pris de frissons. C’est merveilleux de revivre ça une toute dernière fois. Je me sens comme libéré d’un poids que j’ai dû porter sur mes épaules des années.Maude s’allonge sur le canapé et m’invite d’un regard à poursuivre notre aventure. Je me positionne au dessus d’elle et pénètre délicatement son doux sexe. Nous commençons comme ça à faire l’amour, sans s’embarrasser des préliminaires. Nous allons directement à l’essentiel : retrouver le frottement de nos deux corps l’un contre l’autre, nous retrouver. C’est comme une libération, un retour aux sources. Les souvenirs enfouis remontent un à un à la surface. Tandis que j’entame un nouveau cycle de va-et-vient sans le sexe de ma sœur, je revois tous nos précédents rapports, toutes les fois où elle s’est donné à moi, toutes les fois où j’ai jouit en elle. Je la revois à genoux dans les bois à me sucer, je la revois après sa première fois, je la revois quand elle m’a avoué qu’elle m’aimait après notre baise intense dans les toilettes du lycée de Meronze. Je revois aussi notre complicité d’antan, nos gestes de tendresse et notre attachement l’un pour l’autre. Tout ce qui a suivi, cette fameuse soirée où j’ai tout détruit et les quinze ans après, est oublié en un éclair. Tout a disparu dans le brasier allumé par nos retrouvailles. Ainsi nous consumons notre nouvelle étreinte dans un plaisir charnel sans précédent. Mon sexe toujours à l’abri de son four brulant s’agite en harmonie avec les sentiments qui me bousculent. Je prends conscience que cette future séparation va être encore plus difficile que je que je craignais. J’aime ma sœur. Je l’aimais d’ailleurs déjà à l’époque du lycée. Je me sens comme chez moi en elle. Je ne veux plus quitter ce foyer. Malheureusement, je sais que notre nouvelle étreinte n’est qu’éphémère. Alors j’essaye de profiter au maximum du plaisir que l’on s’offre et je dois avouer que ce n’est pas si difficile. Le fait de savoir qu’il n’y aura pas de prochaine fois donne aussi curieusement une excitation particulière. Mon sang bout. Chaque caresse que dépose Maude déclenche des crépitements sur ma peau. Je bois avec plaisir chacun de ses ardents baisers.La température monte de plus en plus. Ça commence à vraiment s’échauffer dans mon bas-ventre. Maude aussi s’agite généreusement. Elle est toute rouge à cause de l’effort physique, elle sue beaucoup. Je suis bercé par le parfum de sa transpiration et de nos odeurs intimes mélangées. Ça donne un mélange assez fort mais j’adore ça. Je trouve que c’est une senteur rassurante et enivrante. Cette fois, la jouissance arrive et j’explose en harmonie avec sa propre jouissance. Ma semence se répand une nouvelle fois en elle comme elle le faisait quinze ans plus tôt. Nous finissons tendrement enlacer l’un contre l’autre sur son canapé. Et voilà, notre merveilleuse et dernière étreinte est déjà terminée. La soirée est bien avancée ce qui nous rapproche malheureusement de son départ et de notre séparation. Une semaine, je n’ai qu’une semaine pour profiter de ma sœur enfin retrouvée. Plus j’y pense et plus je trouve cette idée inadmissible, intolérable, inacceptable. Je ne veux plus jamais la quitté, je n’ai jamais eu ni n’aurais jamais de relation aussi profonde que celle que je partage avec ma sœur. Cette fois, je prends une décision qui va changer ma vie à tout jamais.— Maude, dis-je. Et si jamais je venais m’installé en Bretagne avec toi ?— Quoi ? fait-elle surprise, méfiante et intriguée à la fois. Mais tu es en couple ici et tu dois avoir un boulot aussi. Tu es sûr de toi ?— Oui je suis sûr, je romprais dans la semaine et poserais ma démission. Je suis sûr que je n’aurais pas de mal à retrouver un nouveau poste en Bretagne. Ce que je sais c’est que je t’aime et ne veux plus jamais te quitter. Nous pourrions vivent heureux, comme un couple. Elle me saisit fort dans ses bras et nous nous embrassons avec fougue et passion pendant plusieurs minutes. Elle finit enfin par poser sa tête sur mon torse toute souriante pendant que je resserre mon étreinte et respire son doux parfum. — L’histoire se répète presque, me dit-elle. Maman a trouvé papa après l’enterrement de ton père et nous, nous nous retrouvons juste après l’enterrement de mon mari.— Puissions-nous être aussi heureux que nos parents l’ont été. — Je n’en doute pas un instant, déclare-t-elle… Tu viens à la maison demain ? me demande-t-elle. — Oui évidemment. Pourquoi ? Tu as quelque chose de prévu ?— En quelque sorte, je veux présenter à ma fille son nouveau papa.— J’ai hâte alors, finis-je par déclarer souriant en pensant aux années de bonheur qui m’attendent.

FIN
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