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Une future star

Chapitre 1

Une journée pas comme les autres

Divers
J’observais les aiguilles de ma montre pour la quatrième fois en dix minutes et à ma grande frustration, elles n’avançaient pas plus vite. A cet instant, mon amie n’avais toujours pas pointée le bout de son nez. J’étais seule, comme une malheureuse à la table d’un café que je ne connaissais pas et éloignée du centre-ville. Un bar occupé par quelques bougres buvant leur bière et rigolant grassement tout en me matant du coin de l’œil. Je le sentais, leur envies. Dans deux minutes, ils allaient me proposer à boire et dans quatre, me proposer de s’isoler à l’arrière pour une gâterie… beurk.Vanessa m’avait donnée rendez-vous, mais pourtant, c’était elle la retardataire. « J’ai besoin que tu me rendes un service », me supplia-t-elle au téléphone, « c’est important ». A cette heure, je ne savais toujours pas ce qu’elle me voulait. Elle fut très évasive sur le sujet, se contentant de me répéter oh combien elle avait besoin de mon aide et me suppliant de venir dans ce café obscure digne d’un repère d’ouvrier… Ah misère.J’en étais à passer le temps avec la banquette vide d’en face quand je vis sa frimousse marocaine pointée le bout de son nez. Elle était toute de noir vêtue, simple mais sexy, au point que les quelques clients accoudé au bar ne purent s’empêcher d’y jeter un œil pas vraiment discret.
— Vanessa! Ici!— Diane! Tu es là.— C’est à dire… une certaine personne a insisté pour que je vienne dans ce… bar.— Oui je… excuse moi, je me disais que tu ne voudrais pas m’aider si je t’en disais trop, m’avouait-elle en s’installant en face de moi.— Quoi? C’est à ce point? Tout de même, tu sais bien que tu peux tout me dire.— Oui mais c’est…— Mais quoi?— Tu connais ma timidité pas vrai?— Ho, c’est bien une chose qui m’amuse d’ailleurs. Alors quoi? Tu as rencontrée un beau mec et tu as peur qu’il s’enfuit en te voyant si coincée?— Hé bien, rigola-t-elle nerveusement, c’est presque ça.— Presque? C’est une femme c’est ça? Tu es passée de ce côté…— Non non, pas ça…  j’ai rencontrée un mec sur internet et il m’a donnée rendez-vous ici.— Rencontres par internet hein? Soit. Donc c’est une première rencontre en tête à tête. Mais tu n’es pas d’une timidité maladive au point d’avoir besoin d’une traductrice pour parler, si?— C’est en rapport avec son métier en fait.— Quel rapport? C’est quoi son job?— Producteur de film porno.
J’eus un temps mort en entendant ces mots, affichant un regard stupide et perdu.
— Producteur porno? Lui répétais-je incrédule et un brin inquiète. Ton futur petit ami est producteur porno?— Non ce n’est pas… enfin… Laisse moi t’expliquer ! Tu te souviens un jour quand nous nous sommes échangées nos fantasmes? Tu te souviens que je t’avais parlée que j’aimerais faire un porno pour le délire, juste un fois?
— Attend, l’interrompis-je soudainement ayant peur de comprendre, tu ne me fais pas passer un casting porno sans me le dire j’espère?— Non c’est moi.— Toi, juste toi?— Oui.— Je… excuse moi mais là tu m’épates. Toi actrice porno? Dis moi ma cochonne, tu capitalises ton minou à présent?— Juste pour le délire.— Fameux délire, répondis-je en lui décochant les gros yeux. Et donc tu as décidée d’en faire profiter ta vieille amie, c’est cela?— Mais non. Juste que… Écoute, j’ai rencontrée le gars sur internet et il a directement avoué ce qu’il faisait et qu’il cherchait de jeunes talents, puis il m’a proposée un casting. Alors… Tu me connais, indécise que je suis, j’ai mis un bail à me décider. Au début je n’osais pas mais à force de discuter avec lui, de faire connaissance… j’ai accepté.— Et donc tu as rendez-vous avec lui.— Avec eux, ils vont venir à deux, ici même, dans une demi-heure.— Ouais OK, finissais-je par dire après un bref moment alors que je n’en revenais toujours pas. Et donc je suis la pour?— C’est… enfin comme c’est du genre bien intimidant quand même j’ai besoin de toi pour me soutenir, ne pas être seule tu vois. D’ailleurs j’ai faillie ne pas venir, d’où mon retard…— Mon amie Vanesse qui passe un casting porno et moi tenant la chandelle. Pas mal comme journée. J’espère que tu as gardée le secret ma poulette.— Mais oui bien sur.— Et tu es consciente qu’ils viennent pour te peloter?— Uhm…— Que tu risque de te retrouver la tête baissée à satisfaire monsieur inconnu là, sur cette même banquette?— Ils m’ont dit que pour une première, je n’étais pas obligée de…— Ben voyons, ils recrutent des saintes à présent?— Ho allez, tu sais bien que niveau baise nous ne sommes pas les dernières. Tu te souviens de Magaluf ? D’ailleurs je suis persuadée que ton petit ami ne sait pas tout ce que tu…— Oui! Bon! Nous ne parlons pas de moi là. En plus, comme tu le dis, je suis casée maintenant, si ça venait à se savoir…— De Magaluf ou du casting ?— Les deux !— Mais non rhoo…— Quelle galère.— Allez, dis moi que tu acceptes s’il te plaît. Seule face à ces deux inconnus je risque de passer pour une gourde.— Vanessa…— Alleeez— Bon OK, mais juste toi, si l’un des deux me touche c’est la baffe compris ? Et motus.— Mais oui rhoo… Merci t’es trop sympa.
Que pouvais je faire face à ce regard si insistant ? Comme la brave amie que je suis mais avec la tête de mes mauvais jours, j’ai donc attendue dans ce bars ces grands producteurs à n’en poins douter mondialement connu. Je nous avais commandée un bon verre pour faire passer la pilule, nous en avions bien besoin. Malgré un certain manque de confiance, Vanessa avait franchi un cap que je n’avais pas vue venir. J’avais du mal à m’en rendre compte. Elle par contre, semblait trépigner d’impatience. Vanesse ne tenait plus en place et gesticulait par nervosité au fur et à mesure que l’attente se prolongeais. Si je ne la connaissais pas aussi bien, j’aurais penser qu’elle mouillait d’impatience rien qu’à l’idée de se faire filmer en se faisant baiser par un inconnu. Elle m’épatait vraiment sur ce coup là la Vanessa.
— Oh ! Oh ! Je pense que c’est eux.
Effectivement c’était bien le genre de mec rien qu’à les voir. D’un coup d’œil par la fenêtre, je vis deux gars habillés chemise et jeans comme des play-boy et séducteur du dimanche, mais avec des tronches disons… ben, qui font moins célébrité dirais-je, sans être moche, ils étaient plutôt banals. L’un deux portait à la main un petit caméscope pour filmer sa bonne journée de travail. L’autre quant à lui, semblait faire des commentaires tout en pénétrant dans le café. Ils passèrent le lieu en revue et comprirent vite que c’était avec nous qu’ils avaient rendez-vous étant donné que nous étions les seules personnes du genre féminin présentes dans ce café.
— Bonjour bonjour mes demoiselles, commençais le premier tout sourire. L’une d’entre-vous ne serait-elle pas Vanessa pas hasard ?— Si si, c’est moi, répondit-elle grand sourire tout en faisant un signe de la main.— Ah, parfait, nous cherchions un peu l’endroit en fait. Enchanté alors, moi c’est Stéphane et derrière la caméra c’est Marc… et vous vous êtes ? Demanda-t-il en me regardant avec une joyeuse curiosité.— C’est mon amie, répondit Vanessa— Enchantée, moi c’est Diane.— Diane, un joli prénom, très joli.— Je l’ai emmenée avec moi, ça ne vous dérange pas ?— Mais pas du tout, deux si charmantes jeunes femmes au lieu d’une, bien au contraire même.— Merci… répondis-je timide à ce compliment. Heu dites, votre ami Marc, c’est possible qu’il ne me filme pas trop ? Je ne voudrais pas…— Oh ne vous inquiétez pas ! C’est une vidéo pour le castings, elle n’est pas publiée donc pas de problème.— Ah. Très bien alors, murmurais-je résignée. Mais prenez place, je vous prie.— Merci merci. Vous permettez que nous nous tutoyons ?— Bien sur.
Ils s’installèrent alors touts les deux à notre table. Stéphane s’assit à côté de Vanessa qui s’agitait comme une cruche s’attendant à ce que son petit-copain lui fasse sa demande en mariage, tandis que Marc le cameraman prit place à mes côtés pour mieux les filmer.
— Bien bien. Donc voilà mes demoiselles, vous pouvez vous présenter pour la caméra ? Oui ? Je te sens un peu tendue Vanessa non ?— Disons… que c’est un peu stressant, je n’ai pas trop l’habitude.— Ne t’inquiète pas, nous allons vite apprendre à nous connaître, laissez moi juste le temps de vous commander un verre mes demoiselles.
Stéphane commanda donc à boire pour nous autres les demoiselles afin de nous mettre à l’aise. Et en attendant les boissons, Vanessa se présenta à la caméra que tenait Marc. Ce dernier n’hésita pas à faire des gros plans sur toutes les parties du corps de mon amie pendant qu’elle répondait aux questions. C’était au début une séance de questions/réponses banales accompagné de rires nerveux et stupide entre chaque phrases. Nom, prénom, âge, profession, hobbies, ect. Bien que j’étais là en tant que spectatrice, je soutenais mon amie en participant un peu au casting, mais je ne révélais rien de bien transcendant.
— Bien. Alors Vanessa, tu souhaites donc passer un casting classé X, porno donc… non mais c’est pour que ce soit claire.— Bien sur.— C’est la première fois je suppose ?— Oui.— On à la primeur alors ? — Exacte.
Plus de deux mots, pensais-je, c’est possible gourdasse ?
— Bien, reprit Stéphane, ont est très ravi, deux si charmantes femmes, vous pensez. En plus toute souriante, très classe et tout…— Moi je ne suis la qu’en tant qu’amie, disais-je pour clarifier les choses, ce qui semblait le décevoir.— Oh vraiment ? Tu ne souhaites pas faire tes premiers pas dans le monde fantastique du cinéma X ?— Non désolée.— Oh tu ne me fais pas plaisir là, vraiment dommage. Mais je suis sûr que j’arriverais à te faire changer d’avis.
Il pouvait toujours tenter, l’animal, Stéphane en oubliait presque la future star du X à ses cotés. Le cameraman quant à lui semblait tout aussi intéressé par mes formes car il me filma sur diverses plans, s’attardant entre autres sur ma poitrine.Ensuite le blabla des castings s’enchaîna. Objectif dans la vie, pourquoi avez vous envie de faire du X, comment s’est passée votre première relation sexuelle, ses préférences dans le sexe… quelle répondit d’ailleurs timidement d’un « j’aime tout » complètement banal. L’entretient restait sage et finalement, je m’amusais bien à les regarder faire et m’imaginais sans peine ces deux-là dans diverses poses sexuelles. Stéphane découvrait Vanessa et cette dernière accompagnait chacune de ses réponses par de petit rire nerveux qui finissaient vraiment par m’irriter. Était-elle troublée au point de ne plus savoir réfléchir à des réponses correctes ? Le tout bien sur, soigneusement filmé par Marc qui restait la plupart du temps silencieux.Mais il ne fallait pas oublier que c’était un casting X et vint le moment où, après nous avoir bien mis à l’aise,  vint les contacts plus… ben physique. D’abord, Stéphane convainquit mon amie de simplement enlever son petit tailleur noir d’apparat tout mimi.
— Vas y, met toi à l’aise Vanessa. Que l’on te découvre mieux.
Tout en l’encourageant, Stéphane se colla timidement à elle et posa sa main sur la cuisse de Vanessa qui ne portait qu’une mini-jupe noire. Voyant qu’elle l’accepta, il se mit à la caresser tendrement.
— Tu es très jolie comme femme.— Merci, répondit-elle une fois de plus en rigolant stupidement.
Stéphane tâtait le terrain, sa main baladeuse se promenait tranquillement sur la cuisse  d’une Vanessa amusée mais un rien gênée. Finalement, elle se mit à l’aise, enleva son tailleur et dévoila un débardeur, lui aussi noir, moulant parfaitement bien son corps et les courbes de sa poitrine ferme qu’elle gonflait pour la rendre plus volumineuse. Vanessa avait bien choisie sa tenue la cochonne et elle nu même pas le temps de finir d’enlever son tailleur que Stéphane remonta ses caresses puis posa délicatement sa main sur la poitrine de mon amie.Au travers du débardeur noir, il ne se gênait pas le moins du monde pour lui soupeser les seins, les lui caresser alors que Vanessa semblait encore bien nerveuse. Pourtant, au fur et à mesure que cette main ferme lui pressait si facilement le galbe, Vanessa se mit à lâcher quelques soupirs de plaisir, peut être forcé du à son anxiété.
— N’aie pas peur Vanessa, prend des initiatives que je vois comment tu te débrouilles.
L’ambiance devint d’un coup plus sensuelle et j’étais impressionnée de voir qu’elle se prenait complètement au jeux, surtout avec cette étonnante rapidité. Vanessa prit un air plus sensuelle et rapprocha avec hésitation ses lèvres de celles de Stéphane. Elle lui offrit de langoureux petits baisers, prémisse d’une longue série, alors qu’il continuait à lui caresser le seins. Le roulage de galoche continuant ainsi, elle jeta sans ménagement sa mains dans l’entre-jambe du jeunes hommes qui se laissa faire bien volontiers. Elle le touchait, empoignait la bosse qui se dessinait sur le pantalon et caressait la forme comme pour le masturber. C’était incroyable de la voir si entreprenante. Stéphane répondit a son tour et, de sa main, s’ouvrit un passage sous la jupe de Vanessa pour lui caresser le minou avec tendresse.Leur échange dura un petit moment, chacun caressant l’entre-jambe de l’autre tout en s’embrassant bien avec la langue. Elle était chaude la copine et je n’arrêtais pas de penser aux gros pervers présente dans le café qui ne manquaient certainement pas le spectacle du coin de l’œil.Stéphane porta les mains entre ses jambes et chipota à son pantalon. Je ne vis rien car tout ce passait hors de ma vue sous la table, mais tout devint clair quand j’aperçus le mouvement discret de poignet de Vanessa s’agiter à l’endroit même !Elle avait osé ! Sous mes yeux ébahis cette cochonne avait osé !
Adieu timidité. Stéphane se mit à l’aise sur la banquette et grogna de plaisir en laissant la main de Vanessa le branler sous la table. Ho!Ho ! Non mais quelle sans gène ! J’avoue, j’aurais aimée en voir un peu plus. J’imaginais sans peine et avec un certain régal, sa main monter et descendre sur cette palpitante hampe de chaire, parcourant le gland sensible et violacé de ses doigts resserrés… hum… elle me donnait envie la cochonne, à masturber ce chibre que j’imaginais tendu au maximum.Avait-elle l’intention de lui faire cracher son jus d’amour ? En tout cas son mouvement de poignet se fit de plus en plus pressant et j’espérais ne pas avoir à ressentir un liquide chaud et visqueux jaillir sur ma jambe !Pendant qu’elle le branlait, j’avoue avoir discrètement posé mes yeux sur l’entre-jambe de Marc qui restait assis bien à coté de moi à filmer la scène. Je ne pouvais que constater, avec envie, la bien belle bosse qui déformait son pantalon en palpitant de temps à autre. Sur le coup, je m’imaginais trop bien sa bite à l’air libre, tendue et décalottée, et moi lui procurant ce petit plaisir de mes doigts agiles comme si de rien n’était. Il apprécierait sûrement le même traitement que son ami et il en fut à ce point troublée par le spectacle qu’il osa même faire le premier geste. Tout en continuant à filmer, il posa sa mains gauche sur mon genoux et caressa ma cuisse.Héla mon gaillard ! N’avais je pas mise les choses aux points en disant ne pas être là pour participer ? Ma première intention était de le lui enlever sans attendre mais comment lui en vouloir ? J’avais moi même des pensées perverses et les deux tourtereaux nous offraient une scène des plus torrides. Alors, bonne âme que je suis et pour ne pas casser l’ambiance me disais-je, je le laissais faire à sa guise, ce n’était pas grand chose après tout…Marc se perdait en caresses sur mon jeans pendant que Vanessa astiquait Stéphane sans faiblir. Je ressentais chaque bout de ses doigts me découvrir l’entièreté de ma cuisse. Alors, pour refréner ses ardeurs, j’ai serrée l’entre-jambe pour lui interdire l’accès à mon intimité. Je n’aimais pas vraiment cette main baladeuse qui n’était pas celle de mon petit-copain mais je prenais sur moi pour ne pas gâcher l’ambiance ou décevoir Vanessa qui elle, se débrouillait très bien. Mais devant mon manque de résistance, il s’engaillardit. Maladroitement puisque assis à ma droite, il remonta vers ma poitrine comme son collègue l’avait fait sur mon amie. Sa main se resserra sur mon seins qu’il caressa ensuite doucement.
— Héla mon gaillard, lui chuchotais-je suavement avec le sourire, c’est chasse gardée.
Sur ces mots, j’agrippais gentiment sa mains et vint l’éloigner de mon corps. Dans le geste, j’apercevais encore la bosse qui déformait son pantalon. Pas très professionnel me disais-je à moi même. Les deux tourtereaux ne virent rien de nous, trop occupés dans leur pelotages respectifs. Stéphane se faisait apparemment un point d’honneur à s’assurer de la qualité bucco-dentaire de Vanessa. Je n’était pas experte en production de porno mais franchement, ces deux là ne me semblaient pas être des hautes pointures de l’industrie vidéo-ludique.Les amants finirent pas rompre le contact et Vanessa devenait toute rougissante. Heureusement, pensais-je, que nous étions dans un lieu public et Stéphane ne pouvais pas faire plus dans un tel endroit. Et même s’il proposait d’aller dans les toilettes pour continuer le casting, je serais intervenue pour m’y opposée, il y à des limites tout de même. Mais le grand producteur avait bien prévu sa journée.
— Bien bien Vanessa, je vois que tu es très motivée à débuter ta carrière, c’est très bien. Et pour continuer le casting je vous propose d’aller sur notre lieu de travail pour rendre tout cela plus solennelle. Pas loin d’ici à pied.
Quoi ? Ils ont un local proche alors qu’ils disaient avoir chercher le café ? Beau parleur vas. Alors que je pensais que le casting ne risquait pas d’aller plus loin, le voila qu’il nous proposa de s’isoler dans leur lieu de travail pour une suite que j’imaginais sans peine. Personnellement je ne voulais pas y aller, je n’aurai ainsi eue pas à mentir à mon petit-copain, pire, si une connaissance me voyait entrer dans un lieu louche avec eux, je risquais gros et je ne voulais pas faire cela par respect pour mon petit-ami. Mais pour Vanessa c’était autre chose. Stéphane lui fit bien comprendre que la suite était indispensable pour le casting et la rassurait en lui disant que, bien qu’elle n’était pas obligée de se faire baiser, elle devait tout de même montrer la « marchandise ».Elle me lança un regard que je traduisait sans peine par « Tu viens avec moi n’est ce pas ? Pitié dis oui ! » Elle me suppliait sans dire un mot de l’accompagner alors qu’elle savait très bien que je ne voulais pas aller plus loin. Ah misère… Je ne pouvais pas lui faire faux bond quand elle avait ce regard là. Alors soit. Nous avons pris nos affaires et nous avons suivit Stéphane et Marc qui filmait tout, même en marchant dans la rue, pendant que son comparse continuait à questionner Vanessa.
— Dis moi Vanessa, qu’est ce que tu aimes chez les mecs ?— Ben, les grosses bites.
Ho la nulle, dans le genre réponse de gourdasse c’était du haut niveau, mais bon, je me tus et la laissais faire.
— Vraiment ? Ça tombe bien alors, tu ne seras pas déçue. Et question exhibition tu a déjà fais ? Ça te dérangerais d’en faire genre dans un parc ou un parking ?— Je n’ai jamais essayée…— Tu aimerais ?— Je… pourquoi pas, oui. Enfin pas montrer mon sexe devant tous les passants quand même.— Bien sur, bien sur. Donc la je te propose, il y a un parking sur notre route, tu pourrais nous faire un petit essai pour le casting ? Pas te mettre à poil hein, juste nous en dévoiler un peu plus et voir comment tu te débrouille. C’est un très bon exercice pour les futurs stars du X.
Il savait mener son affaire, je luis reconnaissais au moins ça. Vanessa n’avait pas un caractère très dominant et elle se laissait souvent embobinée. Alors Stéphane nu aucun mal à la convaincre avec ses mots de beau parleur. L’habitude professionnelle sans doute. Puis voila que quelques instant plus tard nous nous retrouvions dans le fameux parking en question.
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