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Une future star

Chapitre 2

Parking plein-air

Voyeur / Exhibition
Nous nous étions planqués tout au fond de ce parking plein à craquer de voitures, entre une Opel noir et une Peugeot grise à l’abri des regards indiscrets. Planté tout autour, des arbres donnaient un peu de verdure dans ce décor urbain, idéal pour un couple pervers cherchant de l’intimité.
— Bien Vanessa, si tu nous en dévoilais un peu plus de toi.
Bien que souriante, mon amie semblait nerveuse. Quoi de plus normal ? Nous nous étions déjà retrouvée nue devant une bande de mec à faire des choses pas très propres mais là, c’était autre chose. Nous échangions nos regards, comme si elle cherchait en moi pour se rassurer et au moment où elle arriva enfin à se détendre, je redécouvris une amie de plus en plus osée. L’adrénaline de se faire surprendre entre ces deux voitures en rajoutait à l’excitation.Vanessa s’appuya sur l’Opel noir et écarta les jambes tout en prenant une pose lascive. Doucement, elle remonta les pans de sa jupe et nous fit découvrir un tanga blanc qui contrastait à merveille avec sa tenue et la voiture.
— Tout à l’heure j’ai pu tâter de ta poitrine très prometteuse, tu pourrais nous la montrer ?
Elle rigola tout en s’agitant sur place. Elle hésita. Finalement, elle scruta les alentours pour vérifier qu’aucun importun approchait et enleva son tailleur qu’elle me donna. La jupe toujours au niveau des hanches, elle agrippa le bas de son débardeur, le remonta lentement, un coup à droite un coup à gauche pour faire durer le suspense, puis le leva enfin jusqu’au dessus de sa poitrine. Elle fit découvrir à la caméra un soutien-gorge blanc plus banal mais bien fourni.
— C’est bien, continue Vanessa.
Et c’est ce qu’elle fit malgré la rougeur de ses joues. Le but n’étant pas de se foutre entièrement à poil, elle engouffra sa main dans le soutient-gorge et y déborda le seins qu’elle pressa devant la caméra. Vanessa se trouvait là, entre deux voitures, exposant vulgairement son sein entre le débardeur et le soutif. C’était un poil vulgaire mais efficace. Stéphane, lui, s’empressa de l’empoigner et d’y caresser la douceur du galbe, titillant allègrement le téton entre ses doigts afin de les faire durcir et ne résista pas à l’envie de lécher l’aréole brune qui ressortait fortement. Elle se laissa faire bien malgré elle et, encouragée par le contact de cette langue sur son téton, continua dans sa perversité et dévoila, souriante, le second sein de la même manière. Gonflant sa poitrine, elle se caressa, soupesa le galbe de ses seins et formant des arcs de cercle avec, les pressa puis les relâchant d’un coup pour les faire rebondir. Il y avait bien longtemps que je n’avais vue moi même sa poitrine ainsi dénudée et l’effet fut garanti, chez moi comme chez ces messieurs.
Cette vision que j’avouais torride fit une fois de plus réagir l’impatient Stéphane qui lui empoigna les seins des deux mains et jouant avec tout en la complimentant sur son corps.
— Attention ! Murmurais je précipitamment. Quelqu’un approche !
Surprise, paniquée, Vanessa s’empressa de tout remettre maladroitement en place sans se soucier de la véracité de mes dires. Mais en effet, un couple de trentenaire se rapprochait de nous et avec un peu de poisse, il se pourrais bien que la Peugeot grise juste à coté de nous leur appartienne. Mais non. Fausse alerte, heureusement le couple s’arrêta quelques voiture avant pour partir vers dieu sait où.
— J’ai eue peur, avoua Vanessa toute rouge.— C’est libre, tu peux continuer ma belle.
Alors, reprenant son calme, cette fois-ci elle se retourna pour montrer ses fesses. Se caressa elle même et remonta les pans de sa mini-jupe, elle dévoila la chaire de ses fesses et nous fit redécouvrir le beau tanga blanc qu’elle portait en dessous. Comme un instant auparavant, Stéphane précipita sa main sur les fesses et les malaxa ardemment.
Vanessa n’en resta pas là. Provocante à ma plus grande surprise, elle abaissa le tanga à hauteur de cuisses en s’aidant de ses pouces, affichant ainsi, par derrière, sa plus grande intimité. Je restais éberluée en la voyant dandiner des fesses, se cabrer même pour mieux nous montrer, pourtant toute gênée, la fine fente de son sexe bien rasée mais dont les petites lèvres vaginales ressortaient. Stéphane ne tenait plus et puis, pourquoi se gênerait-il ? Ni une ni deux, il porta la main sur la vulve de mon amie et la caressa sans se priver, passait avec son index le long de la fente alors que Vanessa trémoussait à ce contact qui lui parcourait l’intimité.
— Film bien ça Marc !
De son majeur, Stéphane continua ses caresses. Ce qui semblait bien plaire à Vanessa tant j’avais l’impression qu’elle mouillait déjà. En fait, ce n’était pas juste une impression. Elle mouillait carrément, la copine, et Stéphane nu aucun mal à pénétrer un doigt entre les lèvres vaginales complètement humide. La pénétrer ainsi fit décocher un petit cris de surprise à Vanessa qui ne s’y attendait pas, mais ne protesta pas.Moi, j’en restais scotchée, la bouche bée par ce que je voyais au point d’en oublier ma surveillance. Je regardais sans pouvoir en détacher le regard avec de grands yeux mon amie se faire doigter par cet homme rencontré il y a à peine une heure. Impressionnant ! Stéphane bandait dur tandis que son doigtage en règle se fit plus intensif, j’étais persuadée qu’il n’allait pas tarder à sortir sa queue pour la baiser. Mais pour le moment, prenant plaisir, Vanessa écartait les cuisses et se pencha en avant en posant ses mains sur la voiture pour lui faciliter la tâche. Vanessa laissait ce doigt lui trifouiller le minou et gémissait. J’eus encore le réflexe, malgré moi, de jeter un regard discret entre les jambes de Marc qui filmait juste à ma droite. Comme au café, une bosse déformait son pantalon, elle me semblait même plus grosse encore. Le pauvre, pauvre cameraman obligé de rester stoïque face aux cochonneries des deux pervers. La bite sous cette bosse m’obsédait, vraiment. Rougissante, petit sourire en coins des lèvres, j’alternais sans cesse mon regard entre Vanessa et l’entre-jambe de Marc. Je n’arrivais plus à penser à autre chose et j’en devenais obnubilée en me mordant les lèvres. Je mourais d’envie de la toucher, m’imaginais trop bien entrain de le branler pour lui faire cracher son jus sur les fesses de Vanessa. Une branlette c’est juste une branlette après tout… Troublée par mes pensées, j’ai posé ma main sur mon visage, cette scène dangereusement trop érotique me donnait de dangereuses envies perverses.J’en devenais chaude rien qu’à voir ce magnifique spectacle. Stéphane accéléra le mouvement, la baisait avec son doigt dans l’espoir de faire venir Vanessa qu’il sentait devenir si fébrile. Elle n’allait quand même pas jouir ici ? Avoir un orgasme avec un simple doigt ? Pourtant, le doigtage couplé au risque d’être découverte par des passants ne l’en excitaient que d’avantage.
— Résiste ma fille, pensais-je, Tu as subie pire que ça, montre leur que tu n’es pas une débutante en la matière.
Mais elle semblait hélas ne pas pouvoir en supporter d’avantage car étant trop prise dans l’euphorie, je la voyais s’emporter. Soudain, alors que Stéphane continuait de doigter sans relâche mon amie, je le voyais trépigner. Avec sa main libre, il déboucla sa ceinture, puis j’entendis le son net de sa braguette qu’il baissa. Oh mon dieux. Il allait le faire ! Stéphane gesticula, sortit son sexe et se positionna bien derrière Vanessa qui ne voyait rien de ce qui se rapprochait de sa fente dégoulinante…
— Passant ! Criais-je soudainement.
La réaction de Vanessa fut net. En panique, elle s’avança précipitamment, ce qui fit sortir le doigt de Stéphane ruisselant de cyprine et, dans un sursaut de honte, s’empressa à remonter sa culotte et baisser sa jupe.J’avais menti, il n’y avait pas de passant, mais je ne pouvais tout simplement pas laisser mon amie s’emporter de la sorte comme une pucelle sortant d’un couvant et se faire simplement baisée dans un parking. Il y avait une certaine réputation à tenir après tout et, malgré mon interruption, les deux gaillards semblaient satisfaits. Semblaient seulement. Car c’est avec un sourire forcé que je vis Stéphane me regarder avec frustration tout en remontant sa braguette, il aurait bien évidemment aimé plus le salaud et il devait se douter que mon interruption n’était pas innocente. Mais il décida de faire contre mauvaise fortune bon cœur.
— T’es géniale Vanessa, tu es bien partie pour avoir un rôle.— Merci. — A ton tour Diane, montre nous donc un peu tes charmes… hum… pas mal…
Avec un air de vengeance mesquine, il posa sa main sur mes fesses. Mais étant prise dans l’euphorie de l’ambiance, je ne m’en offusqua pas immédiatement, le laissant sensuellement tâter de mes fesses pendant un petit moment.
— Aller, montre nous un peu ce dont tu es capable.
Il était très insistant le petit gars, alors j’ai décidé de jouer le jeux. Lentement, avec un regard sensuel, je fis doucement glisser ma veste le long de mes bras et la donna à Vanessa qui me regardait toute étonnée de mon approbation. Je lisais très bien dans ses yeux qui me disaient « Toi ? Tu vas le faire? » Et pourquoi pas ma grande ? Moi aussi j’ai des envies. Il faut dire que cette scène m’avait bien chauffée. Alors  lentement, j’agrippais en croisant les bras le bas de mon débardeur à col roulé et je me suis mise à le remonter doucement, très doucement même. Je devais bien l’avouer, sentir leur regard admirer mon corps alors que je me déshabillais dans un lieu public était excitant. Ils n’en rataient pas une miette et à peine leur avais-je montré le nombril que je rabaissais prestement mon débardeur.
— Finalement non, déclarais-je avec un sourire malicieux.— Ah la méchante, j’y ai vraiment cru. Toujours pas tentée ?— Aucunement, lui répondis je net mais toujours avec le sourire.— Ce n’est pas grave, dit-il avec une pointe de frustration. On ne force personne. Bien alors. Nous avons ce qu’il nous faut. Et si nous rejoignons enfin notre local ?
Nous quittions donc le parking alors que j’échangeais un clin d’œil avec Vanessa et nous avons suivi nos deux guides. Cinq bonnes minutes plus tard, nous  étions arrivé à leur fameux lieu de travail et on pouvait dire qu’il ne payait pas de mine. A première vue c’était un immeuble d’appartement bon marché… le genre d’endroit qui n’était certainement pas occupé par des multinationales. En entrant, j’avais l’impression d’être une fille ayant fuguée de chez ses parents pour se jeter dans les bras d’un gigolo. C’était pas loin en fait, mais c’était surtout plus le cas pour Vanessa. Trois étages plus haut et nous étions arrivé au pas de la porte de… d’où en fait ? Je ne connaissais absolument rien d’eux, ma bonne amie m’ayant lancée dans l’aventure sans vraiment me fournir de détail. Sympa la copine.Stéphane nous fit entrer et je découvris un appartement aussi peu emballant que ne le suggérait l’immeuble. Un trois pièces dont une assez grande, un ameublement coloré mais fade, des posters au design douteux de New-York… pas le genre d’endroit où j’aimerais vivre…
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