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Une généreuse maman

Chapitre 2

Inceste
Le lendemain, j’ai mis autant de zèle à éviter maman que j’en avais mis à l’épier les jours précédents.
Toute la journée je me suis fait le plus discret possible, redoutant de la croiser à tout instant, et j’ai appréhendé l’heure du diner, seul moment où je savais que je ne pourrais plus la fuir.A table, la tension était palpable entre nous, et mon père aurait dû s’en inquiéter s’il n’avait préféré, comme à l’accoutumée, se plonger dans l’analyse des pages saumon de son quotidien préféré avant de se retirer dans sa chambre.

Plus tard, nous avons pris le café au salon, aussi embarrassés l’un que l’autre, et maman a dû prendre conscience qu’il était temps pour elle de se comporter en adulte, aussi m’a-t-elle apostrophé sans détour :
— Ecoute Victor, je ne veux pas qu’il y ait de malentendu entre nous ! Je regrette ce qui s’est passé… mais tu étais si… désemparé… que j’ai voulu te consoler…
Je sentais qu’elle faisait de gros efforts, qu’elle ne savait pas sous quel angle aborder le sujet ; je me demandais comment elle allait retomber sur ses pieds.
— Ce qui est arrivé est de ma faute. Tu n’as aucun reproche à te faire. Dis-toi simplement que c’était un moment d’égarement… qui ne doit plus jamais se reproduire !
Elle était assise sur le canapé, me livrait ses états d’âme en buvant sa tisane, les yeux rivés sur ses pieds. J’écoutais son baratin avec attention, quand soudain elle s’est levée d’un bond, a pris une cigarette dans son paquet avant de sortir précipitamment sur la terrasse. Je l’ai regardée s’éloigner, incapable de détacher mon regard de son cul admirablement moulé dans le legging rouge qu’elle portait et qui épousait ses fesses comme une seconde peau.Elle pouvait raconter ce qu’elle voulait, je n’arrivais pas à penser à autre chose qu’à cette vague de plaisir qui m’avait submergé lorsque j’avais éjaculé sur sa culotte.
Comment pouvait-elle me demander de passer à autre chose ?
Et qu’aurais-je pu dire pour la convaincre du contraire ?
Je suis sorti à mon tour, pour fumer avec elle et poursuivre notre conversation.Elle ne supportait pas de me voir malheureux, elle l’avait reconnu elle-même ; c’était probablement ma seule chance…

— Tu ne peux pas comprendre, maman… Ce qui c’est passé entre nous… je ne pourrais jamais l’oublier… Je n’ai jamais rien ressenti d’aussi puissant !
Quand j’ai levé les yeux vers elle et que j’ai découvert comment elle me regardait, je me suis dit que j’avais sans doute pousser le bouchon un peu loin.
— Bon-sang Victor, je suis désolée pour toi, mais tu es mon fils ! Tu n’as pas le droit de penser à moi de cette façon. Voyons !
Elle avait l’air si stupéfaite par ma confession que me suis jeté dans ses bras sans réfléchir.Je l’ai enlacée et cette fois, comme nous étions debout, mon bas-ventre s’est écrasé sur son pubis ; son caleçon en lycra était le seul obstacle entre sa chatte et ma queue. Je bandais.Quand elle a senti mon érection, elle s’est écartée en me repoussant violemment, et elle a secoué la tête, hébétée, en balbutiant : « Mais tu es devenu fou ou quoi ? Bon-sang Victor, mais qu’est-ce qui t’arrive à la fin ? Je suis ta mère ! »Elle est rentrée dans la maison, s’est sauvée en courant, me laissant dans un tel état d’excitation que je suis retourné dans ma chambre pour me branler en pensant à ce qui venait de se passer…

Loin de dissiper sa gêne, cette désastreuse mise au point l’avait accentuée. Maman gardait ses distances, évitait de se retrouver seule avec moi.Alors que j’avais toujours été plutôt distant dans mes rapports avec elle, je ne perdais à présent pas une occasion pour lui démontrer mon affection.Je revenais constamment à la charge, de manière plus ou moins déguisée.Elle me rabrouait tout le temps mais se laissait faire, tant que je ne me montrais pas trop entreprenant.Mais cette entreprise de séduction restait bon enfant, et bien inoffensive ; j’étais sur le point de renoncer lorsque enfin, un matin…

Nous étions seuls à la maison quand elle m’a demandé de la rejoindre dans sa chambre.Elle était en train de faire le lit comme l’autre fois, mais cette fois elle avait enfilé un grand peignoir en éponge fermé à la taille par une ceinture. Avec le recul, je pense qu’elle voulait vraiment en découdre, qu’elle souhaitait mettre un terme à mes agissements pas si innocents une bonne fois pour toutes.Mais qu’a-t-il bien pu lui passer par la tête pour me convoquer en sortie de bain ?

— Ça suffit, Victor ! Tu vas finir par me rendre folle… qu’est-ce que tu cherches à la fin ?
Elle était agressive, sur la défensive ; je voyais qu’elle ne rigolait pas.
— Réponds moi…qu’est-ce que tu attends de moi ?
Elle s’impatientait, et je ne savais pas quoi lui dire ; j’étais pétrifié.
— Tu comprends bien que ça ne peut plus durer, n’est-ce pas ? Il faut que tu cesses de me harceler… Ton père va finir par s’en apercevoir… Il vit dans son monde, mais il n’a pas les yeux dans sa poche !
Alors, en réalisant qu’elle n’avait qu’un peignoir en éponge sur le dos, j’ai trouvé la réponse à sa question.
— Je voudrais te voir toute nue !— Excuse-moi ?— Je voudrais que tu enlèves ton peignoir, que tu te déshabilles devant moi !— Mais enfin Victor, tu te rends compte de ce que tu me demandes ?— Allez quoi, sois gentille ! Je n’ai jamais vu une vraie femme toute nue !— Je ne te crois pas… et tes petites copines, alors ?— Ça ne compte pas ! Ce ne sont pas des femmes ! C’est toi que je veux voir ! C’est à toi que je pense tout le temps…
C’était à son tour d’être pétrifiée, d’avoir les yeux écarquillés.
— S’il te plait, maman, rien qu’une fois !
Elle réfléchissait, je le voyais ; c’était plutôt bon signe.
— Si j’accepte, tu promets que tu me laisseras tranquille, après ?— Oh oui maman, c’est promis-juré !
Alors elle a lentement écarté les pans en les ouvrant par le col, et puis elle a hésité.
— Bon-sang Victor, mais qu’est-ce que tu me fais faire ?— Continue maman, s’il te plait…
Avec des gestes très lents, un peu gauches, elle a dégagé les épaules doucement, et puis elle a laissé glisser le peignoir dans son dos, jusqu’à la taille encore ceinte.
Découvrir la poitrine dénudée de maman m’a particulièrement troublé, et pas seulement parce qu’il s’agissait de ma mère, mais surtout parce que le décalage qu’il y avait entre ses gros seins blancs et le reste de sa peau bronzée, dans la pénombre de sa chambre, était d’une impudeur totale. Le spectacle revêtait un caractère sacré ; j’avais la gorge sèche, j’étais incapable de déglutir.Torse nu, maman a penché la tête sur le côté et a posé ses poings sur ses hanches.
— C’est ça que tu voulais n’est-ce pas, tu es content j’espère ?
Elle a vu que j’étais vraiment troublé, alors elle a eu une moue désabusée.
— Hé bien dis donc, ce ne sont que des seins, tu sais… tu les as tétés quand tu étais bébé… Toutes les femmes sont pareilles, nous sommes toutes identiques ! Il n’y a aucune raison de te mettre dans un tel état !— Oh non, maman, tu n’es pas comme toutes les autres… tu es parfaite !
Tout en continuant à la dévorer des yeux, je réfléchissais de plus en plus vite. Elle me disait qu’elle était ma mère, et en même temps elle m’allumait, exhibait ses gros nichons sous mon nez. Qu’est-ce que j’étais supposé faire de toutes ces informations contradictoires ?Et puis elle a détaché sa ceinture et son peignoir a glissé à ses pieds ; elle était toute nue.Elle est restée devant moi dans le plus simple appareil, et je ne savais plus quoi regarder.Tout me plaisait.
— Tourne-toi maman !
Elle m’a obéi, a pivoté sur ses talons pour me présenter son cul.Lui aussi était parfait.
Mais alors que j’étais sur le point de lui sauter dessus, nous avons entendu papa qui rentrait et qui l’appelait d’en bas, brisant net la magie de l’instant.Maman a remis son peignoir en un rien de temps, fait un nœud avec la ceinture, enfilé sa paire de mule et dévalé les escaliers.
Je suis resté dans sa chambre un moment, sans pouvoir bouger ni respirer, et je l’ai entendue qui parlait avec mon père comme si de rien n’était…
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