Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 106 J'aime
  • 3 Commentaires

Une généreuse maman

Chapitre 7

Inceste
Par la suite, avec ma mère, nous avons rattrapé le temps perdu.
Enfin débarrassée de sa culpabilité, maman n’était plus accablée par les remords ; elle s’adonnait à la lubricité, se vautrait dans la débauche avec la même frénésie que moi, le même enthousiasme décomplexé.
Nous poursuivions la même quête : la recherche du plaisir maximum, avec le souci permanent de satisfaire l’autre plus que nous-même.
J’étais bien plus comblé quand je lui procurais des orgasmes à répétition que lorsqu’elle me faisait grimper aux rideaux, à l’aide de savantes gâteries manuelles ou buccales, plus raffinées et sophistiquées les unes que les autres.
De tous les petits jeux sexuels que nous partagions, honorer sa chatte - ce temple sacré d’où je sortais et qu’elle me permettait de revisiter – demeurait ma plus haute priorité.

Un de mes jeux favoris consistait à l’installer le cul au bord du matelas, les jambes à l’extérieur.
Elle se laisser manipuler avec indolence, me laissait de disposer de son corps comme si elle n’était qu’une grosse poupée de chair à ma disposition.
Quand j’étais satisfait par la posture que je lui avais fait adoptée, je m’agenouillais au pied du lit, et j’observais avec une attention passionnée son sexe qui baillait.
Je ne la touchais pas ; je me contentais de profiter du fascinant spectacle impudique que m’offrait sa vulve déployée, avant d’enfouir mon visage entre ses cuisses grandes ouvertes.
Je léchais sa fente de bas en haut, écartais les lèvres odorantes et baveuses avec ma langue, l’enfonçais dans son vagin, la faisait remonter pour laper son clitoris ; je lui dévorais la chatte à pleine bouche, gourmand, et elle soulevait son bassin, me tirait les cheveux comme si elle voulait les arracher par poignées.

A force de la pratiquer, je savais où concentrer mon attention pour réussir une stimulation maximale de son organe.
Toutes les zones sensibles, de la vulve à sa périphérie, n’avaient plus aucun secret pour moi ; soumise à la science de ma bouche experte, elle hurlait son plaisir sans retenue.

J’étais émerveillé par sa capacité d’abandon, par sa disponibilité.J’avais envie de la baiser tout le temps.
Du lever au coucher, je ne pensais à rien d’autre ; elle avait empoisonné mon esprit, et mon corps aussi.
Quand je ne pouvais pas me repaitre d’elle - quand mon père rodait dans les parages -, je me branlais au souvenir de son corps malléable à souhait dont je pouvais disposer dans toutes les positions. J’en perdais la raison.
Comme il faisait déjà chaud, je l’avais convaincue de ne porter que des petites robes légères, des tenues estivales vaporeuses que je pouvais lui ôter facilement.
Je la pistais toute la journée dans la maison, la traquais, et quand je la trouvais, je la coinçais dans un recoin pour la caresser à travers ses vêtements.
Je glissais mes mains dans sa culotte, sous l’élastique serré, pour prendre possession des lieux, et je me remplissais les mains de ses fesses.
J’éprouvais une telle adoration pour le cul de ma mère que je ne me lassais pas de le toucher, de le tripoter, d’en flatter les contours aux rondeurs épanouies.
Après, j’enfonçais deux, parfois trois doigts curieux, profondément, jusqu’à la butée du pouce, dans son vagin trempé, et je les faisais coulisser de plus en plus vite, dans un bruit de clapotement qui me rendait cinglé, tout en lui suçotant le bout des seins.
Quand ses gémissements devenaient halètements, que je la sentais prête à tout, je la déshabillais complètement et l’entrainais en toute hâte sur son lit pour la saccager.
Elle jouait le jeu à la perfection, endossait son rôle de mère incestueuse avec un naturel stupéfiant ; elle était en parfaite osmose avec mon désir inépuisable. Elle était devenue la raison d’être de son fils, à tous les niveaux, et elle s’en accommodait.
La duplicité de maman me donnait le tournis, mais j’en éprouvais d’autant plus d’admiration pour elle.
Elle vivait avec un parfait connard – mon père ! -, un fils de pute intégral qui la méprisait, mais elle avait pourtant réussi à l’apprivoiser durant toutes ces années, alors que lui-même était persuadé que c’était exactement le contraire.

Comme le bac approchait à grands pas, il a bien fallu, le moment venu, que je m’y mette sérieusement.
Quand maman a compris qu’il était impossible de me raisonner, que je ne pourrais jamais renoncer à la baiser, elle m’a proposé un marché.
Elle venait dans ma chambre tous les matins sagement habillée, boutonnée jusqu’au cou pour ne pas me donner de fausses idées – j’étais si obsédé ! - et nous établissions ensemble le programme de la journée.
Elle se montrait intraitable quant aux impasses à faire ; je devais réviser tous les sujets, dans toutes les matières.
Je travaillais dur la journée, et, le soir venu, elle venait m’interroger pour contrôler mes acquis.Quand mes réponses la satisfaisaient, elle me récompensait selon l’effort que j’avais fourni.J’avais réalisé que son petit stratagème n’était rien d’autre qu’une sorte de chantage au résultat, mais elle avait compris que c’était le seul moyen de me faire travailler.
Elle agissait en connaissance de cause, selon l’urgence du moment, et la suite a prouvé qu’elle avait fait ce qu’il fallait…

Arriva le premier jour des examens.Je dormais encore quand j’ai senti comme un corps étranger, une présence qui m’a réveillé.
Maman s’activait, sa bouche m’engloutissait.
J’ai ouvert les yeux ; ma mère était accroupie au bord de mon lit, à moitie nue, et elle me suçait la queue.
Elle s’appliquait, salivait abondamment, ne cherchait qu’à me faire jouir le plus rapidement possible.
J’étais sidéré, mais étant donné son efficacité – elle suçait tellement bien ! - j’ai vite éjaculé dans sa bouche le bassin en avant.
Elle a avalé mon sperme en déglutissant avec un rictus involontaire, s’est essuyée les lèvres d’un revers de main, m’a dévisagé de ses grands yeux curieux.
— Ça va mon chéri ? Maman t’a fait du bien ? Tu es détendu maintenant, j’espère ! C’est le grand jour, n’est-ce pas ?
Elle m’a gratifié d’un sourire très doux, et puis elle est sortie de ma chambre en fredonnant, avec ses gros nichons si attrayants qui coulaient sur son torse, libres de tout soutien.
En me douchant, je me suis fait la réflexion qu’un peu partout à cet instant des mères concernées, aimantes, déployaient des trésors d’attention.
Certaines devaient préparer un copieux petit déjeuner à leur fiston pour les mettre en condition.D’autres donnaient probablement les derniers conseils de rigueur, les dernières recommandations, les ultimes mises au point.
Elles avaient toutes la même ambition, un point commun qu’elles partageaient ; il fallait coute que coute que leur fils adoré réussisse les épreuves de cette première journée si importante qui conditionnent la suite.
Et voilà que pour me déstresser, la mienne n’avait rien trouvé de mieux que de venir me sucer la queue !
Elle a recommencé le lendemain matin, et elle est venue me réveiller de cette façon les jours suivants, pendant toute la durée des épreuves…
N’était-elle pas la meilleure des mamans dont puisse rêver un futur bachelier ?

Je ne voulais pas le reconnaitre, mais j’étais amoureux de ma mère, et je ne savais pas comment nous allions faire…
Diffuse en direct !
Regarder son live