Le retour en voiture s’effectua en silence, chacun ayant du mal à revenir sur ce qui venait de se passer. De retour au camping nous saluâmes Henri et regagnâmes notre mobil-home. Il nous fallut un petit moment pour aborder le sujet et c’est Sarah qui prit la parole.-Pourquoi tu m’as dit d’accepter ?-Ben… l’année dernière il était resté sur sa faim, je te rappelle que tu lui avais dit oui sans mon aide l’année dernière.-Je le sais mais là sans vêtements je savais qu’avec son expérience…-Je te coupe tout de suite, je ne t’en veux pas, puisque j’étais d’accord même pour ce qui s’est passé ensuite ça m’a beaucoup excité.-Moi aussi, il caresse vraiment bien et quand il m’embrassé je n’ai pas eu la force de dire non.-Et s’il avait voulu aller encore plus loin…-Je ne sais pas … franchement je ne sais pas comment j’aurais réagis.-Tu as pris du plaisir et ça c’est le principal.-Bon, pour ma part je suis vanner je mange un bout et je vais me coucher.— Ok je te suis, moi aussi avec toutes ces émotions…Je repas vite avaler je me couchai, des images plein la têteLe lendemain matin, dès que l’on fut près nous sommes retournés sur cette petite crique et une fois de plus nous étions seuls. Nous avions bien évidemment laissé Henri au camping. Nous avons donc profité de la plage et de ma mer sans avoir à se soucier de la place disponible ou d’un voisin de serviette quelconque.La journée s’acheva donc et le soir venu nous avions décidés de participer à la dernière grande soirée du camping avant la fermeture, où il y aurait un buffet offert à l’ensemble des campeurs suivit d’une soirée dansante. Pour l’occasion Sarah avait revêtue une petite jupe relativement courte et un chemisier sous lequel elle ne portait pas de soutien gorge car malgré la lourdeur de sa poitrine celle-ci résistait sans problème à la gravité. Le buffet terminé, l’animateur augmenta le son et changea le type de chansons diffusées pendant le repas et invita l’ensemble des personnes présentent sur la piste. Nous étions attablés et avions partagés quelques danses lorsqu’Henri fit son apparition.-J’étais partit vous inviter pour boire un verre et ne vous voyant pas au mobil-home j’ai pensé que vous profitiez de la soirée dansante. La soirée est bonne ?— Parfait, comme la journée puisque l’on a encore profité de la petite crique d’hier, répondit Sarah.— Si tu veux encore me remercier se sera avec grand plaisir.Je fus surpris par les paroles d’Henri qui avait pour habitude d’être relativement discret par rapport à l’attirance qu’il éprouvait envers Sarah. La journée d’hier l’avait sans doute décomplexé surtout par rapport à moi-même qui n’avais à aucun moment protesté. Je repris le chemin de la piste de danse accompagné de Sarah à plusieurs reprises avant qu’Henri invite Sarah sur un slow. Je repris ma place et regardais Henri pour savoir ce qu’il allait encore tenter.Au bout d’un certain temps il se pencha et glissa quelques mots à l’oreille de ma femme qui pour seule réponse déboutonna deux boutons de son chemisier. Dès cet instant les yeux D’Henri restèrent plongés dans le décolleté de Sarah jusqu’à la fin de la chanson. Alors qu’ils revenaient en direction de la table sur laquelle j’étais accouder je pu m’apercevoir que les deux boutons en moins laissaient largement entrevoir ses seins ce que je lui fis remarquer. Elle les referma en regardant autour d’elle. Alors que l’on regagnait nos mobil-homes accompagné d’Henri, il nous invita à boire un dernier verre « chez lui » ce à quoi nous répondîmes favorablement. Une fois installé à l’intérieur, Henri nous quitta pour les toilettes.-Déboutonne à nouveau des boutons, demandais-je à Sarah.-Mais pourquoi ?-Tu lui as demandé pourquoi tout à l’heure ? Mais si tu veux le savoir, ça m’excite de te savoir désiré par cet homme, et si tu veux aller plus loin …A ce moment Henri sorti des toilettes et nous demanda ce que nous souhaitions boire. Sarah lui demanda un thé et pour ma part un déca. Lorsqu’il nous fit plus face pour préparer les boissons ma femme déboutonna non pas deux mais trois boutons de son chemisier et elle en écarta les pans afin que l’on puisse voir un maximum de ses deux obus. Quand Henri se retourna avec les tasses en main il marqua un temps d’arrêt devant Sarah présenté ainsi.-Ouhaaa ! Encore mieux que tout à l’heure. Elle a vraiment les plus beaux seins que j’ai jamais vus, dit-il en me regardant.
Voulant en voir plus qu’hier je surenchéri : -Elle sait comment te faire plaisir.-Oh !! Que oui surtout hier sur cette plage.— Pour info il n’y a pas que toi qui as pris du plaisir, répondit Sarah.La réponse de Sarah me stupéfia, je ne m’attendais à ce qu’elle joue la petite allumeuse mais en même temps j’avais tout fait pour.-Je peux t’en redonner si tu le souhaite ?-Si tu t’y prends aussi bien qu’hier pourquoi pas ?Comme la veille je n’existe plus mais je bandais déjà fort en attendant de voir la suite. Henri se mit à genoux devant Sarah et plongea sa tête entre les seins. Ma femme émit un léger gémissement et resserra ses seins sur les joues d’Henri dont on ne voyait plus que le crâne. Au risque de mourir asphyxié il sortit la tête de son emplacement et vint coller ses lèvres sur les tétons, il alternait entre les seins les compressant pour qu’ils soient proches, je pouvais voir sa langue passer d’un téton à l’autre. Une des mains de Sarah s’aventura sous la table, j’avais l’impression de revivre la même scène qu’hier, à savoir ma femme se faisant sucer les seins pendant qu’elle branle son amant .Le rythme s’accéléra quand Henri se releva baissa son short et présenta son sexe devant la bouche de Sarah. Son sexe était énorme fortement veiné, mais malgré la taille Sarah commença par de petits coups de langue sur toute la longueur du sexe puis sur le gland, elle redressa le sexe à la vertical et lécha les couilles de son amant puis les aspira dans la bouche. Henri était dans un état second avec le traitement que lui prodiguait ma femme. Elle replaça sa langue sur la tige puis lorsque le gland fut entre ses lèvres elle le mit entièrement dans sa bouche malgré le sexe hors norme qu’elle avait devant elle. Elle continua donc sa fellation très lentement pour qu’à chaque mouvement la bite d’Henri disparaisse dans sa bouche. N’y tenant plus Henri releva ma femme et l’embrassa goulûment.Ma femme tout en échangeant ce baiser déboutonna son chemisier et le fit tomber à ses pieds. Elle prit Henri par la main et l’attira vers la chambre du mobil-home. Lorsqu’elle fut devant le lit elle releva sa jupe laissant voir ses fesses bien rondes lesquelles n’étant cachées par aucun sous vêtement. Elle se mit à genoux sur le lit remuant doucement les fesses devant Henri qui y posa ses mains et commença à y déposer quelques petits baisers. Puis sa tête prit la direction de l’entre jambe de Sarah qui poussa immédiatement des gémissements. Au bout de quelques minutes de ce traitement Sarah poussait de vrais cris de plaisir.-OH oui tu me lèche bien la chatte… oui…encore….-Elle trop bonne ta petite chatte, elle dégouline de plaisir…-Viens baise moi, je te veux…Sarah était vraiment proche de l’orgasme pour parler de la sorte. Malgré le fait que Sarah soit une femme plutôt réservée, elle m’avait déjà parlé de cette façon un jour ou elle était très excitée mais ce cela n’était arrivé qu’une seules fois. Henri se redressa posa ses mains sur les hanches de ma femme qui était toujours à genoux sur le lit et il la prit en levrette. La réponse de Sarah fut immédiate.-Oh … mon dieu tu me remplis complètement avec ton gros sexe.-Et ça te dérange.-Non, c’est délicieux comme sensation.Henri lima ma femme avec une vigueur étonnante pour son âge et Sarah répondait par des cris de plus en plus forts. Lorsqu’il détecta le premier orgasme de Sarah il coupa net son mouvement, se retira et introduit deux doigts dans le sexe de Sarah et effectua des vas et viens très rapides en quelques secondes de puissants jets de cyprine vinrent arroser les draps du lit. Henri arrêta ses mouvements. Sarah elle, s’écroula et se retourna sur le dos après ce traitement.-Mon dieu…mais quel pied … je ne sais pas ce qui m’est arrivé.-Tu viens simplement de découvrir ce qu’est une femme fontaine.-C’est fantastique, tu es vraiment un sacré coup. Elle faisait des compliments sans même se soucier de moi qui accusait le coup après ce que je venais d’entendre, apparemment ce vieux de 69 ans baisait bien mieux que moi. Ne perdant pas de temps le corps vieillit et lourd d’Henri s’allongea sur celui de ma femme. Le contraste était saisissant de voir mon petit bout de femme avec ses gros seins, paraissant écrasé par le corps d’un vieil homme gras mais qui était en train de lui rouler une pelle tout en présentant sa bite à l’entrée du sexe de ma femme. D’un puissant coup de reins il fit de nouveau entrer son sexe jusqu’en butée arrachant un râle de jouissance à ma femme, et repris ses longs mouvement pendant quelques secondes puis il prit les jambes de ma femme et les posa sur ses épaules.-Qu’est ce que tu fais ?-J’ai envie de te sodomiser…-Non tu es trop gros, tu vas me faire mal.-Ne t’inquiète pas je vais te préparerSarah ne répondit pas à cette dernière phrase et laissa Henri lui introduire un, deux et enfin trois doigts dans le rectum afin de la préparer à recevoir son énorme bite. Lorsqu’il présenta son sexe à l’entrée, il poussa fortement mais lentement de manière à ce que la pénétration soit la plus douce possible. J’attendais avec impatience la réaction de Sarah car nous avions déjà pratiqué la sodomie et elle y prenait beaucoup de plaisir mais mon sexe était long d’avoir les proportions de celui d’Henri.La pénétration fut longue et apparemment peu douloureuse pour Sarah , Henri avait vraiment prit soin d’y aller doucement. Lorsque sa bite fut entièrement rentrée il resta immobile le temps que les chairs se dilatent et s’habitues à un tel engin, puis il reprit lentement des mouvements de bassin, la respiration de Sarah s’accéléra immédiatement et en quelques secondes des cris de jouissance remplissaient le mobil-home. Je le l’avais jamais vu dans un tel état, elle hurlait, secouait la tête, et sa fente dégoulinait tandis que Henri continuait à accélérer. Puis les deux poussèrent un cri simultanément. Je compris qu’Henri venait de se vider dans le fondement de ma femme, alors qu’elle venait pour la deuxième fois d’expérimenter l’éjaculation féminine.Les deux amants s’allongèrent l’un à coté de l’autre pour reprendre leurs esprits.Sarah se releva après avoir récupérée de toute cette jouissance et m’embrassa en me remerciant et elle en fit de même avec Henri. Nous regagnâmes notre mobil-home ne sachant pas ce que la journée de demain nous réservait. Merci par avance pour vos idées de suite ou pour toute autre proposition d’histoires.
