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Une histoire d'amour et de sexe

Chapitre 2

Gay
Leur vie était juste parfaite. Ils s’aimaient de plus en plus, et leur amour sautait aux yeux tant il était brillant. Christophe, grâce à l’intervention de son homme, avait rapidement trouvé un boulot de juriste dans la même boîte que lui avec, à la clé, un excellent salaire. Ils n’avaient pas eu à souffrir de manque d’argent mais à présent ils pouvaient se permettre de dépenser sans compter. Restaurants, spectacles, cadeaux, ils ne réfrénaient aucune de leurs envie. Et leur vie sexuelle était tout aussi idyllique, encore plus depuis qu’ils avaient découvert qu’ils pouvaient passer de rapport emplis de tendresse à de la baise hard. Ils ne prévoyaient rien se laissant aller à leurs envies du moment. La majeure partie du temps, ils faisaient l’amour en douceur, Hervé étant très attentif à ne pas heurter Christophe. Mais il leur arrivait aussi plus ou moins régulièrement de se laisser aller à ce jeu pervers où l’un devenait l’objet de l’autre. Dans ces moments-là, les insultes pleuvaient, et il ne s’agissaient plus de faire l’amour mais bien d’un acte bestial, dénué de tout sentiment... Tout du moins, c’est ce qu’on aurait pu croire de l’extérieur, parce qu’il ne cherchait chacun qu’à satisfaire les pulsions un peu violentes de l’autres, et ils adoraient ça.
Peu de temps après que Christophe ait été embauché, leur boîte avait organisé, comme elle le faisait deux fois par an, un dîner auquel était convié tous les employés, les cadres, et leurs conjoints. Ne faisant mystère auprès de qui que ce soit de leur relation, c’est donc en couple qu’ils y arrivèrent et prirent place à table dès la fin de l’apéritif. Ils essuyèrent l’un ou l’autre regard désapprobateur qui ne les blessaient nullement. Chacun était libre de penser ce qu’il voulait, ce n’était pas leur problème. En tant que cadre supérieur proche de la direction, les deux hommes partageaient le repas du PDG de la société. Il n’y avait là aucun honneur, juste une tradition que personne n’aurait osé remettre en question sous prétexte qu’ils formaient un couple "hors norme". Le président était venu seul, sa femme l’ayant quitté en début d’année pour un monde soi-disant meilleur. Il était assez grand, à peine plus petit qu’Hervé, son passé de grand sportif se devinait sans peine à sa large carrure, les abdominaux d’acier avaient certes disparus cédant leur place à un léger emboipoint, et bien qu’il n’était pas réellement beau, il émanait de lui un charme certain dont, consciemment ou non, il usait beaucoup auprès de ses collaborateurs. Ses beaux yeux clairs reflétaient de la douceur ainsi que de la tristesse tristesse depuis que celle qu’il avait aimé durant plus de trente-cinq ans était partie, et sa barbe argentée parfaitement entrenue lui donnait un air aristocratique. Sa situation prestigieuse faisait de lui une proie idéale pour toutes les célibataire attirées par l’argent, mais il avait juré le jour de l’enterrement de sa dulcinée que plus jamais il ne toucherait à l’une d’entre elles. Christophe, installé à côté de lui, était attendri par cet homme qu’il ne croisait que de temps en temps dans les couloirs de l’entreprise. C’était la première fois qu’ils avaient l’occasion de discuter vraiment tous les deux et ils ne s’en privaient pas. Les sujets de conversations s’enchaînaient naturellement, et il n’y eu entre eux aucun moment de silence.
Dès la fin du repas, alors que la soirée débutait, Christophe s’excusa auprès de son PDG et d’Hervé et alla rejoindre certains de ses collègues avec lesquels il s’entendait particulièrement bien. Il s’éloigna des deux hommes, déposa sur la joue de son amoureux un rapide baiser, et promis dans un grand sourire de revenir d’ici peu auprès d’eux.
— Vous avez de la chance, Hervé, Christophe et vous formez un magnifique couple. Votre bonheur fait plaisir à voir.— Merci, monsieur le Président, nous sommes effectivement très heureux ensemble, et nous avons bien l’intention de faire tout ce qui est en notre pouvoir pour en profiter le plus longtemps possible.— C’est tout le mal que je vous souhaite. Lorsqu’on rencontre la personne faite pour soi, c’est un crime de la laisser s’échapper, croyez-moi. C’est un garçon bien, tout le monde le dit.— Et tout le monde a raison de le dire. Sincèrement, et je suis on ne peut plus objectif, tout chez lui est exceptionnel... Vraiment tout !!!— Je n’en doute pas, Hervé, je n’en doute pas. Et il faut admettre qu’il est physiquement très attirant, ce qui ne gâche rien. J’espère que ce que je viens de dire ne vous choque pas, telle n’était pas mon intention. Si daventure je vous ai blessé, je vous prie de m’en excuser, très cher.— Non, non, monsieur le Président, pas du tout. Je trouve aussi que le fait qu’il soit très attirant, et je dirais personnellement extrêmement sexy, ne gâche effectivement rien.— Bien, je vous laisse. Ma présence ici n’est plus indispensable, les heures qui viennent sont réservées à la jeunesse. Amusez-vous bien, Hervé, et saluez Christophe de ma part.— Je n’y manquerai pas, monsieur le Président. Passez une excellente fin de soirée.
Hervé n’en revenait pas. Le président de la société trouvait que Christophe, son Christophe était attirant. Il le suivit du regard et remarqua que tout en se dirigeant vers la sortie il se retourna à plusieurs reprises en direction de son amant. Si on lui avait dit que cet homme, connu pour sa fidélité absolue envers sa femme ainsi que pour ses positions assez radicales sur la notion de couple, avait des tendances homosexuelles, il ne l’aurait pas cru. Mais c’était pourtant le cas, il n’avait pas rêvé. "Comme quoi, pensa-t-il, on ne peut jamais être sûr de rien ni de personne".
Ils se mirent au lit très tard, cette nuit-là, et trop émêchés que pour faire l’amour, mais ça n’avait aucune importance. Ils se blottirent l’un contre l’autre, Christope emprisonné dans les bras de l’homme qu’il aimait, ses fesses sur son sexe, et ils s’endormirent calmement.Ce n’est qu’en début d’après-midi qu’Hervé ouvrit les yeux. Ils avaient oublié, vu leur état pour le moins alcoolisé, de fermer les rideaux, et la lumière l’avait tiré de ce sommeil dont il aurait pourtant encore bien profité un peu. Christophe était toujours blotti dans ses bras. Comme à son habitude, il ne bougeait pas de la nuit, sauf lorsqu’Hervé s’éloignait. Il ne lui fallait jamais plus de quelques secondes pour s’en apercevoir, et revenir se serrer contre lui sans qu’il eut pour cela besoin de se réveiller. C’était plus fort que lui, il était comme magnétisé par son compagnon.Hervé, bien qu’un peu grognon comme il l’était à chaque fois que venait le moment de se lever, se sentait bien. Il sentait contre sa peau la chaleur de Christophe et respirait son odeur qu’il aimait tant. L’effet sur son entrejambes fut immédiat. Il ne tenait pas à déranger déranger son homme qui dormait comme un bébé, mais d’un autre côté il mourait d’envie de lui faire l’amour. Il pesa le pour et le contre, mais sa queue l’emporta sur la raison. Ce n’était pas grave, il aurait tout le reste de la journée pour se reposer, le week-end servait à ça. A sa grande surprise, une main qui n’était pas la sienne prit sa grosse bite et la dirigea vers le petit trou qu’il convoitait.
— Suis-en train de rêver, ou aurais-tu envie de moi ?— Non, tu ne rêves pas. Et je te signale que j’ai toujours envie de ton, mon amour. Mais si tu préfères dormir, nous ferons l’amour plus tard.— Mais voyons, tu sais bien que je suis incapable de me refuser à toi, et que te sentir exciter me rend fou de désir pour toi. Pénètre-moi, mon chéri, ce sera une merveilleuse façon de me réveiller.
— Ce que Christophe veut, Hervé le peut. Ouvre-toi, mon ange, ouvre-toi pour moi !
Ils firent l’amour très lentement. Hervé se sentait bien dans ce petit cul chaud et doux, et Christophe ne connaissait rien de meilleur que cette queue au fond de lui. La bite gonflée s’enfonçait et reculait sans à-coup aucun pendant que ses se baladaient sur le corps lisse et que sa langue envahissait cette bouche tendre. Il ne fallut pas très longtemps, une quinzaine de minutes tout au plus, pour que son sperme se déverse dans ce fourreau bouillant qui n’attendait que ça. Il se glissa hors du lit, et se précipita sous la douche.Le jet d’eau chaude qui coulait sur sa peau lui faisait du bien, et finit de le ramener dans le monde des vivants. Il sortit de la cabine, noua autour de ses hanches une serviette de bain, et c’est encore dégoulinant d’eau qu’il se planta devant Christophe qui ne put réprimer un soupir de satisfaction. Les semaines, les mois même, ne changeaient rien à toute l’admiration qu’il avait pour Hervé. Plus le temps passait, et plus il le trouvait beau, sexy, attirant, excitant, et moins il comprenait pourquoi cet homme si parfait pouvait avoir posé les yeux sur lui. Il chassa cette pensée de son esprit, se rapprocha du bord du lit, glissa sous le morceau de tissu une main pour saisir cette tige épaisse et noueuse dont il ne se lassait pas, et se mit le sucer profondément comme il aimait tant le faire. Volontairement, et tout à sa délicieuse tâche, il écarta largement ses cuisses tout en jetant à Hervé des regards appuyés qui disaient "S’il-te-plait, caresse-moi". L’effet ne se fit pas attendre, Hervé se pencha et inséra un puis deux doigts et bientôt trois dans son petit trou plissé. Aucun des deux ne boudait son plaisir, ni celui de son partenaire. Christophe, chaud comme la braise, se recula vers le milieu de la couche où en moins de temps qu’il ne faut pour le dire il fut rejoint par Hervé qui d’affala sur lui, et trouva sans avoir besoin de le chercher, son puit d’amour. Ils étaient imbriqués l’un dans l’autre reprenant en quelque sorte l’activité entreprise dès le réveil. Hervé couvrait complètement son corps, et vu de dos, on avait un peu l’impression d’une drôle d’animal bicolore muni de quatre bras et de quatre jambes. Ils n’étaient qu’un, ce qui leur arrivait si souvent.
— Je voudrais que tu fasses l’amour avec le Président, mon ange.— Tu peux répéter.— Tu as très bien compris. Je voudrais que tu fasses l’amour avec notre PDG.— Je ne sais pas... Et s’il refuse ?— Il m’a parlé de toi, hier soir, il acceptera. Alors, c’est oui ?— Bien sûr, si c’est ce que tu veux.— C’est ce que je veux.— Alors, c’est oui. Mais parlons-en plus tard, pour l’instant je veux uniquement profiter de ta grosse queue qui me fait tellement de bien.
Hervé offrit à Christophe le plus magnifique des sourires. Il posa ses chevilles sur ses épaules musculeuses ce qui eut pour effet de soulever les fesses qui emprisonnaient son sexe. Dans cette position, ses mouvements de bassin étaient plus amples, et ses pénétrations plus profondes, ce que Christophe adorait. Le jeune homme ferma les yeux, et se concentra sur ce qu’il ressentait au fond de son ventre. Hervé, quant à lui, admirait réellement son ange, son bébé, son petit coeur. Il souriait ne pensant à rien d’autre qu’à l’amener vers la jouissance. De ses doigts, il frôlait la jeune paire de couilles qui se couvrirent de frissons. Avec toute la délicatesse dont il était capable, il saisit à pleine main la queue dure et la masturba sans cesser pour autant son travail en profondeur. Christophe gémissait fort, il se mordait les lèvres, ses mains parcouraient le corps d’Hervé au hasard, touchant parfois son ventre, parfois son torse, ou encore son visage, avant qu’il ne les ramène vers lui pour les passer dans ses cheveux ou se couvrir les yeux. C’était un magnifique spectacle durant lequel rien n’était simulé, pas plus, d’ailleurs, que le long soupir d’aise qu’il poussa lorsque sa jouissance éclata en éclaboussant son ventre, son corps tout entier étant secoué de spasmes. Hervé l’avait regardé sans cesse, et l’avait trouvé sublissime de bout en bout. Il sortit de ce cul qu’il aimait tant sans, pour une fois, y avoir explosé.
C’est plus tard ce jour-là, durant une promenade au bord de l’eau, qu’ils décidèrent de convier le Président à un dîner chez eux le WE suivant. Hervé avait toujours été dans ses petits papiers et il leur était arrivé à plusieurs occasions déjà de partager un repas loin du stress du bureau. Cette invitation ne lui mettrait pas la puce à l’oreille. La partie n’était bien entendu pas jouée, et aucun des deux ne savaient encore comment amener le Président à profiter de Christophe. Dans le pire des cas, rien ne se passerait, et ce fantasme resterait lettre morte... ce qui, devait-il bien l’avouer, les agaçait un peu.
Le Président, avait apprécié l’offre du jeune couple, et avait remercié Hervé. En ce doux dimanche, Il arriva chez eux un peu avant 19h ravi à l’idée de passer la soirée avec ces deux hommes sympathiques. Il allait sans dire qu’il parlerait boulot et le cas échéant, il n’était pas certain d’arriver à leur cacher la prochaine promotion d’Hervé. Le conseil d’administration avait pratiquement pris sa décision estimant qu’il était le meilleur candidat possible pour ce poste le poste de directeur financier qui bientôt serait vacant. D’un autre côté, il valait peut-être mieux qu’il se taise tant que rien n’était officiel. Bah, il verrait bien le moment venu.C’est Christophe, tout aussi charmant qu’à son habitude, qui le reçu. Il avait pour l’occasion revêtu une tenue décontractée et un peu sexy, en particulier le bermuda qui lui moulait les fesses mieux que ne l’aurait fait une seconde peau. Après en avoir beaucoup discuté avec Hervé, ils en étaient arrivé à la conclusion qu’il faudrait un minimum jouer la carte de la provocation pour qu’il arrive à ses fins. Le Président, confortablement installé dans un large fauteuil, s’étonna de l’absence de la seconde moitié du binôme.
— Il est vraiment désolé, il nous rejoindra le plus rapidement possible. Un problème familial auquel il n’a pas pu se soustraire.— C’est regrettable, mais je comprends. Rien d’important, j’espère.— Non, merci beaucoup de vous en inquiéter. Monsieur le Président.— C’est bien normal. Christophe, j’apprécierais beaucoup que vous ne me donniez pas du "monsieur" en dehors de la société. Je ne suis pas ici votre supérieur hiérarchique. Appelez-moi par mon prénom,— Excellente idée, je préfère aussi. Enchanté, Paul, Tant qu’à faire, pourquoi ne pas se tutoyer aussi, ce serait tout de même plus sympathique, tu ne trouves pas ?— Tu as tout à fait raison.— Et bien, trinquons pour fêter ça.
Christophe vint s’assoir d’une fesse sur l’accoudoir de l’assise son mollet et son pied nus touchant osctensiblement la jambe de son invité, et le regard plongé dans celui de son invité fit tinter son verre contre le sien. Son intention était de titiller l’homme d’âge mûr le plus possible pour finalement se donner à lui. En de nombreuses occasions, pour tout et n’importe quoi, il se levait en dandinant légèrement avant de venir reprendre sa place auprès de lui allant à même jusqu’à négligement poser sa main d’abord sur son épaule et ensuite sur sa cuisse. Mais rien n’y faisait. De deux choses l’une, soit Hervé s’était fourvoyé, soit Paul cachait bien son jeu et se forçait à rester de marbre. "Ce serait dommage, se dit-il, j’ai tellement envie de faire plaisir à Hervé. Et puis, il est loin de me déplaire."Cela faisait déjà plus de trente minutes qu’ils discutaient tous les deux sans que la situation n’évolue d’un iota, et Christophe ne savait pas quoi faire. Mais le hasard, fort heureusement, s’en mèla, lorsque Christophe se prit les pieds dans le tapis et que le contenu des verres qu’il venait de servir termina sa course sur son hôte qui fut bien incapable de faire quoi que ce soit pour éviter le liquide, et ils ne purent tous deux que constater les grosses taches qui se formèrent instantanément sur la chemise et le pantalon, et les gouttes sur le visage.
— Si ton intention était de me baptiser, je crois que c’est réussi ! s’amusa Paul.— Je suis confus, vraiment. Quel gaffeur, je fais. Vas te débarbouiller, et donne-moi tes vêtements, je vais faire tourner une machine et il n’y paraîtra plus lorque tu partiras d’ici. En attendant, enfile la robe de chambre d’Hervé qui pend à la porte.— Mais non, ce n’est pas si grave.— Pas de discussion, Paul, je suis ici chez moi, c’est moi qui donne les ordres, Allez, zou, m’sieur, strip-tease !!! Et douche aussi, nos apéritifs n’ont pas du épargner la peau.
Contraint et forcé, il se rendit dans la salle d’eau, où Il se défit un à un de ses vêtements, la chemise d’abord, puis le t-shirt qu’il portait dessous, ensuite le pantalon, et enfin son caleçon que la toile légère du Chino n’avait pas protégé. Ayant l’impression de n’a avoir d’autre choix, ce qui d’ailleurs le fit sourire, il entra dans la vaste cabine. Christophe, profitant que l’eau coulait, vint chercher les effets de Paul et vit à travers le verre dépoli l’objet de sa convoitise. S’il avait été plus audacieux, il l’aurait rejoint sous l’onde chaude, mais ça ressemblait par trop à un mauvais film porno et il chassa rapidement cette idée de sa tête.Une dizaine de minutes plus tard, Paul, encore légèrement humide, se réinstalla dans le fauteuil après avoir pris soin de croiser le plus qu’il le put les pans du peignoir pour masquer toute trace de son anatomie. Christophe qui s’était un instant éclipsé dans la cuisine fut troublé plus qu’il ne l’aurait voulu quand il découvrit son patron si peu vêtu et sans même s’en rendre compte passa la langue sur ses lèvres. "L’occasion fait le larron", dit le proverbe, et le jeune homme fit sien ce proverbe. Il se dirigea vers le séduisant soixantenaire et s’appuyant sur les jambes dénudées s’agenouilla face à lui. L’homme était troublé, son bas ventre en attestait qui durcissait à vue d’oeil. Il tenta de se calmer, mais rien n’y faisait, sa queue continuait à se remplir de sang. Mais que lui arrivait-il ? J’amais, pas même dans ses jeunes années, il n’avait ressenti le moindre émoi pour la gent masculine. Certes, il ne le niait pas, il trouvait le jeune homme assez beau, mais de là à bander pour lui, il y avait un monde !Christophe avait une vue parfaite sur le membre de plus en plus dur. Il se défit le plus rapidement possible de ses effets et, sans en avoir demandé la permission, il se redressa et s’assit à califourchon sur Paul qui n’osa rien dire ni bouger. Son visage se rapprocha du sien, et du bout des lèvres en embrassa chaque centimètre carré. Tout à son agréable activité, il prit les grandes mains viriles dans les siennes, les posa sur ses fesses rebondies, avant de saisir de ses paumes avec une infinie tendresse ses paumes le sexe à présent triomphant.Paul avait chaud, de plus en plus chaud. Il ne savait que faire. Son éducation, son passé, le souvenir de son épouse, tout lui disait de mettre fin à ce qui venait à peine de commencer. Pourtant il n’en fit rien. Il appréciait le léger mouvement de va-et-vient sur son membre, et se mit à palper les globes de chairs. Quand il sentit la langue qui cherchait la sienne, il ferma les yeux, et sut qu’il était vaincu. Le baiser se fit plus insistant devenant fougueux, et il aimait ça. Christophe écarta largement le seul habit qui le couvrait encore, et colla le plus possible son torse contre le sien. Ses mains qui n’avait jamais touché le corps d’un homme se baladaient sur ce corps offert, et sans s’en apercevoir se rejoignirent sur la rosette frémissante. L’angelot, parcouru d’un délicieux frisson, rejeta sa tête en arrière incapable de masquer le plaisir qui déjà l’envahissait. Paul ne comprenait rien à ce qui lui arrivait et ne voulait rien y comprendre.Christophe tel un félin glissa jusqu’au sol et sans autre forme de procès enfourna d’un seul la tige épaisse surmontée d’un beau gland large qui buta au fond de sa gorge. Il suçait avec gourmandise, enfonçant jusqu’à s’en étouffer le chibre qui n’avait rien à envier à la vigueur de beaucoup de trentenaire. Il en appréciait le goût, la forme, et et pensait déjà au moment où il le sentirait au fond de lui, ce qui l’excitait au plus haut point. La fellation était pour lui une véritable gourmandise, et il était passé maître en la matière, Hervé le lui disait souvent. Le souffle court de Paul, et ses grosses couilles poilues qui tressautaient dans ses mains le confortait dans l’idée qu’il était effectivemet doué. Il ne se lassait pas de bouffer la magnique colonne de chair mais son envie de se faire enculer prit le dessus. Peu importait, il y regoûterait un peu plus tard.C’est de dos qu’il choisit de s’empaler d’un seul coup sur Paul, son incroyable excitation l’ayant tellement fait mouiller qu’il n’eut aucun besoin de lubrifiant. Une main appuyée sur le fauteuil pour ne pas perdre l’équilibre, il pliait et tendait les jambes rapidement, offrant à Paul l’incroyabe spectacle de sa bite d’airain fichée dans ses entrailles. Le plaisir de ce dernier était trop intense, et il ne tarda pas à lacher son sperme épais dans le fourreau bouillant de son jeune amant qui l’épancha à son tour pratiquement au même moment.
— Waow, c’était... Je ne sais pas quoi dire... Je n’avais jamais connu ça. Fantastique. Non, mieux que fantastique !— C’était ? Parce que tu crois que c’est fini ?— J’en suis même certain, et crois bien que j’en suis désolé.— Sachez que vous avez tort, monsieur le Président. Tu as à disposition un vrai passif insatiable qui a bien l’intention de profiter encore du beau mâle que tu es.— Mais, et Hervé ?— Hervé n’est pas là. Ici il n’y a que toi, moi, et personne d’autre.
Il se jeta sur le grand lit où il fut rejoint par Paul qui le couvrit de son corps massif. Les deux hommes s’embrassèrent passionnément durant de longues minutes, le plus jeune des deux profitant de leur position pour décourir de ses mains ce que ses yeux n’avait pas encore eu l’occasion de voir. Ses doigts parcoururent, en prenant tout leur temps, la colonne vertébrale de la nuque au coccyx avant d’atteindre l’arrière-train aussi solide que le reste du corps et la raie des fesses poilues si sensible chez la plupart des actifs qui préfèrent en général ne pas l’admettre. Paul ne faisait pas exception à la règle, et bien qu’appréciant plus qu’il n’aurait pu le dire cette caresse, il se laissa rouler à côté de Christophe.
— Que se passe-t-il, sexy ?— Ecoute, je suis désolé, mais je ne suis pas gay ?— Et je n’ai pas prétendu que tu l’étais, que je sache. Où est le problème ?— Le problème ? Tu te fous de moi ? Je viens de coucher avec toi, je viens de coucher avec un autre homme.— Allons allons, qu’est-ce que ça peut faire ?— Mais je ne suis pas homo, et dorénavant c’est comme ça que tu me verras et que je me verrai aussi, je suppose.— Calm down, on passe un bon moment ensemble, rien de plus. Crois-moi, tu n’as rien perdu de ta virilité, tu découvres seulement d’autres plaisirs. Tourne-toi... et profite sans te poser aucune question !
Christophe se laissa glisser entre les jambes qu’il écarta légerement et positionna son visage juste au niveau du viril cul. Il commença par le mordiller avant de se mettre à le lécher affectueusement en se rapprochant de son centre pour finalement le lui bouffer. Paul, tou d’abord un pru crispé, se laissait maintenant faire. Personne ne l’avait jamais touché "là", personne n’y avait d’ailleurs jamais pensé. Mais les choses était différente. Et ça lui plaisait, pouquoi devrait-il en avoir honte ? Il adorait ce qu’il ressentait, et il en voulait davantage. Il écarta un peu plus les cuisses et cambra le plus qu’il le put son dos. Christophe se régalait, tant de ce qu’il goûtait que de l’attitude de Paul. Le trou enfui sous de légers poils s’ouvrait comme par magie et palpitait de plus en plus. La langue désormais ne se contentait plus de le survoler mais le pénétrait franchement. Une main appuya sur son crâne l’invitant à aller plus loin, le plus loin qu’il était possible d’aller. Paul ne gémissait plus, il haletait franchement, de plus en plus fort. Il avait l’impression que tout son corps était relié à son trou, il n’en revenait pas.
— C’est bon, bordel que c’est bon ! Tu me fais du bien.— Il me semble, oui. — C’est con que tu ne sois que passif...— Je vois ça, ton cul est totalement ouvert. Dommage qu’Hervé ne soit pas là. Il te trouve sexy, il adorerait profiter de toi.— Et j’adorerais qu’il en profite. Bouffe-moi encore, s’il-te-plaît !!!
Un léger bruit dans son dos fit légèrement sursauter Christophe. Son homme était au pied du lit, il se déshabillait, un sourire qui en disait long sur les lèvres.
— Donc si Hervé arrivait maintenant, tu voudrais qu’il te baise ? Tu en es bien sûr ?— Oh, oui, sans aucun doute.
Le petit blond céda sa place au grand brun qui la queue bandée comme celle d’un âne prit possession de ce puit vierge et très demandeur.
— Oh, oui, que c’est bon. Mais je croyais que tu...— Oui, monsieur le Président, il... Mais moi, par contre, je ne suis pas passif !— Oh, Hervé, faites-moi décrouvrir le plaisir de se faire prendre par une queue vigoureuse.— Avec plaisir, monsieur le Président, avec plaisir. Comptez sur moi pour profiter de votre superbe cul.
La bite d’Hervé bougeait doucement, il ne voulait en aucun cas faire souffrir Paul dont le cul était collé sur son pubis. Christophe assis à côté d’eux, loin d’être jaloux, se sentait un peu frustré. Dire qu’il y avait deux sublimes queues à portée de main mais que son antre restait désespérement vide... Il ne pensait pas que ça puisse arriver un jour et ça le faisait enrager. Au moins, il assistait un live show digne des meilleurs porno, c’était toujours ça...Paul, au contraire, s’éloignait de plus en plus de la terre ferme. Ses yeux étaient révulsés, et il allait de nouvelle sensation en nouvelle sensation à chaque seconde qui passait. Il poussait son cul en arrière aussi fort qu’il le pouvait tant il aimait être rempli par cette grosse queue pleine de vie, tant et si bien qu’il se retrouva bientôt à quatre pattes.Le hasard venait de frapper une seconde fois, et Christophe en profita à nouveau. En se tortillant, il se glissa de dos sous l’homme qui décrouvrait avec joie le bonheur de se faire mettre, et il écarta ses longues jambes le plus possible et pris dans ses mains la belle bite. Hervé compris immédiatement ce qui lui restait à faire. Il força Paul à retrouver la position qu’il venait à peine de quitter, permettant à son homme de planter le sexe dur au fond de son trou de passif avéré.
— Donne-lui de grands coups de bassin, mon ange, baise-le fort, il va adorer !— Tu penses ?— J’en suis certain ! Et toi, Paul, tu vas jouir comme jamais tu n’as joui dans ta vie.
Sur ce, il l’embrassa et le força presque à ne plus quitter ses lèvres. Le rythme de la pénétration d’Hervé se fit plus important et plus violent aussi; et chacun de ses coups de bassin se répercutait non seulement dans le cul qu’il embrochait mais aussi dans celui de Christophe qui avait l’impression d’être pénétré par ces deux beaux mecs. Paul devenait fou, son souffle était court. De grosses gouttes de sueur coulaient de son front, son dos était trempé. Il ne ressentait aucune douleur, pas la moindre. Il ne ressentait que du plaisir, un plaisir inconnu et d’une intensité indescriptible. En réalité, c’était mieux encore, il jouissait sans cesse. La bouche d’un homme fouillait la sienne, un chibre majestueux perforait son cul, jeunes hommes plein de vie le faisait renaître à la sienne alors que depuis des mois il ne faisait que survivre. Il sentait le corps d’Hervé sur le sien, il sentait son souffle chaud son cou, il le sentait sortir régulièrement de son intimité, et y replonger un intant plus tard. Lui ne bougeait pas mais sentait sa bite plus épaisse que lorsqu’il avait vingt ans. Il ne gémissait plus, il ne haletait plus. il grognait. Et ses lèvres quittèrent celles de Christophe, et il hurla. Une fois, deux fois, dix fois, de plus en plus fort, jusqu’à ce qu’il n’y ait plus qu’un seul cri ininterrompu qui déchira tout son être, des pieds à la tête. Et le cri qui déchirait son corps se fit plus intense, prit possession de chaque parcelle de son être... Il se redressa sur ses bras, fut prit d’un tremblement impossible à canaliser. Hervé, arrimé à ses hanche, sentant que le moment était venu, le pistonna avec ce qui lui restait d’énergie. Plus aucun ne sortit de sa bouche lorsqu’il inonda de litres de foutre les boyaux de Christophe et sentit le sien noyé par celui qui avait profité de son intimité ! Il s’écroula de toute sa masse sur le jeune corps couché sous lui... Il pleurait de bonheur... Il était à nouveau vivant !!!
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