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Une jeune maman

Chapitre 2

Le commencement

Trash
_ Mon chéri, je pense que je suis prête à avoir un enfant et toi ?Il ne répondit pas, me laissant sur ma faim. Pourtant, nous avions situation stable, nous étions en couple depuis un certain nombre d’années, nous avions tous deux un boulot qui nous plaisait, un petit appartement douillet et même un chien que nous avions adopté ensemble. Bref, nous menions une vie bien tranquille, tel un vieux couple, alors que je n’avais pas encore passé la trentaine. Ce sujet de conversation revenait de temps en temps, mais à chaque fois, il esquivait la question ou restait hésitant. Au bout d’un certain temps, excédée, je finissais par lui annoncer que j’arrêtais la pilule quel que soit son avis. Je mis mes menaces à exécution le lendemain même.Ce jour-là, je portais ma plus belle lingerie pour aguicher mon homme. Je rentrai plus tôt du travail pour me préparer, me faire belle et l’attendre. Je ne portais que mes sous-vêtements et je l’attendais couchée sur le canapé. En rentrant, il fut surpris de me voir ainsi, à quatre pattes sur le canapé, me caressant la fente déjà juteuse.
Il s’approcha d’un pas déterminé._ Viens là que je m’occupe de toi… dis-je en fourrant deux doigts dans l’abricot.Puis, je lui sortis sa queue de son pantalon, avant de le pomper furieusement. Le connaissant par cœur, je m’arrêtai juste avant qu’il ne m’éjacule dans ma petite bouche._ C’est le moment de remplir mon petit minou, m’exclamai-je.Tandis que je me positionnai pour me faire prendre en levrette, il me tira violemment la tête en arrière par les cheveux. Il me besogna bestialement. J’adorai cela. Je couinai comme une truie avant de jouir. Je sentais qu’il allait balancer bientôt son foutre en moi. Toutefois, il se retira rapidement… pour me sodomiser par surprise. Mon amoureux me déchira le cul, tandis que je hurlai de douleur. Il étouffa mes cris en me pressant la tête sur un coussin. Mon mâle me donna des coups de rein puissant, sans retenue, à tel point que je dus me cramponner au canapé pour ne pas basculer. Ma douleur se transforma en plaisir et très vite, je le suppliai de me défoncer ma rondelle. Je lâchai alors : _ Oui, oui ! je suis ta petite chienne, baise moi comme tu veux !
Il continua obscènement son ramonage frénétique, me sautant comme s’il n’en avait rien à faire de moi. Le mâle me prit par les hanches et s’acharna sur sa petite femelle qui faisait la moitié de son poids._ Prends ça au fond de ton cul, petite chienne ! s’écria-t-il, alors qu’il rentra entièrement son double décimètre en moi.Il me fit jouir une deuxième fois en stimulant mon clitoris avec ses doigts. Mes cris eurent raison de son endurance. Il se déchargea au fond de mes intestins, en se vidant entièrement les couilles. Puis, il resta emboîté en moi quelques instants, pour profiter encore un peu de mon intérieur chaud et humide.Après m’avoir embrassé, il se retira et me laissant en plan sur le canapé.Bon, je suis pressé, j’ai d’autres trucs de prévu lâcha-t-il rapidement avant de s’esquiver. Les autres fois nous fîmes l’amour, il trouva également d’autres parades pour ne pas me remplir le minou :
Il se retirerait au dernier moment pour éjaculer sur moi. Parfois, mon chéri m’enfonçait sa queue dans ma bouche, me tenant fermement la tête pour y finir à l’intérieur. Mais, la plupart du temps, il me baisait le cul en jurant qu’il allait finir ensuite dans mon petit abricot. Avec ses promesses et l’excitation, je me laissai naïvement faire à chaque fois. C’est ainsi que pendant plusieurs semaines, il me détruisit la rondelle et fourra des intestins de sa crème. J’avais donc jour et nuit les intestins remplis de foutre !Sentir sperme dans mon petit cul n’était pas déplaisant et puis, je dois avouer que j’aime beaucoup le sexe anal. De plus, mon amoureux me donnait plusieurs orgasmes à chaque fois. Néanmoins, je commençais à être frustrée, d’autant que j’adore sortir son liquide bien chaud me fourrer l’abricot. Une certaine tension s’installa ainsi dans notre couple et des pensées perverses commencèrent à envahir ma tête...C’est dans ce contexte que je repris des nouvelles de Yannick, mon ex et longtemps mon amant. J’avais coupé les ponts avec lui depuis quelques années, car nous avions tous deux suivi des chemins très différents. Le hasard voulut qu’il passât près de chez moi, pendant quelques jours, pour son travail. Il en avait profité pour me retrouver sur les réseaux sociaux et m’inviter à boire un verre. Tout d’abord hésitante, je finissais par d’accepter. La nostalgie, probablement ? Nous nous retrouvâmes alors dans un café assez discret, là où mon amoureux ne risquait pas du tout de m’apercevoir. Mon chéri connaissait l’existence de Yannick, car nous étions un couple assez libre. Je n’avais donc aucun problème à lui raconter tout mon passé sulfureux. Toutefois, avec les années, nous commencions à être moins libertins, pour finalement être entièrement fidèles l’un avec l’autre. Depuis très longtemps, je pus à nouveau ressentir cette excitation, cette poussée d’adrénaline déclenchée par la peur de me faire démasquer. Je me demandai pourquoi j’avais une telle peur, puisque je n’avais pas du tout l’intention de faire quoi que ce soit avec Yannick. Toutes les histoires avec lui faisaient désormais partie du passé. J’avais un mâle qui me comblait au quotidien. J’étais heureuse et, plus que tout, je voulais un enfant de lui.
Après un échange de banalités, je finis par lui raconter mes petits soucis du moment. Yannick insista pour que je lui raconte tous les petits détails croustillant de mes ébats avec mon amoureux. Je pouvais voir à travers son pantalon qu’il avait une énorme trique, après que j’eus raconté que mon homme prenait énormément son pied à me remplir le cul tous les jours. Etrangement, cela m’excita de voir que j’arrivai à faire bander un autre mec de la sorte. Yannick stimula davantage cette tension sexuelle en me remémorant toutes les folies que nous avions réalisées ensemble. Je me revis alors à mon adolescence, lorsque mon ex et moi commencions à sombrer dans la luxure la plus totale. Cette simple pensée suffit à inonder ma culotte...
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