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Une journée comme je les aime…

Chapitre 1

Hétéro
Une journée comme je les aime…

9h
Le soleil qui traverse le double vitrage est déjà haut en ce samedi de juin. Entièrement nue, je peux le sentir réchauffer le bas de mon dos, les draps étant partiellement retirés et ne couvrant que la moitié de mes fesses. La nuit fut chaude et la journée s’annonce sous les mêmes auspices. Le gazouillis des oiseaux me sort doucement des bras de Morphée et je m’étire tel un chat après une longue sieste.
J’ai de la chance, je vis en plein Paris et j’entends les oiseaux de ma chambre. J’habite seule dans un beau 3 pièces traversant, de type Haussmannien entièrement refait à neuf, ce qui lui confère un cachet très appréciable tout en ayant les touches de modernité nécessaire pour un confort optimal. Je suis au cinquième étage sur six, avec un salon côté rue mais des chambres donnant sur une charmante petite cour arborée encadrée par 3 autres immeubles anciens du même type que le mien. Le vis-à-vis avec les voisins pourrait être considéré comme le point faible de ce logement mais j’aime la promiscuité et je ne suis pas pudique, bien au contraire.
J’enfile un shorty et saute de mon lit pleine d’entrain. Pieds nus, mes seins lourds mais fermes, ballottent allègrement au rythme de mes pas. J’attrape la télécommande de la radio et monte fortement le son pendant je me dirige vers la salle de bain. Pauvres voisins.
Pour se faire, je passe devant la fenêtre de ma chambre en tenue d’Eve et je remarque mon voisin, personne que je connais bien sans jamais lui avoir parlé. Je le soupçonne d’être étudiant car très souvent chez lui, mais ce dont je suis sûr, c’est qu’il aime me regarder de derrière ses rideaux régulièrement, laissant transparaitre un œil et une bite tendue qu’il astique frénétiquement en me voyant nue, voire même me faire défoncer par mes amants d’un soir. Cela m’excite de le savoir la scrutant mes faits et gestes, d’être obnubilé par l’envie de me voir et que possiblement il jouisse en même temps que moi.
Les premiers jets d’eau fraiche sortant des canalisations me saisissent instantanément et me font frissonner. La température grimpe petit à petit et je me détends de nouveau, pour laisser l’eau couler sur mes seins, mes épaules et pour finir mon visage. Mes cheveux s’humidifient peu à peu, je les rejette en arrière et me masse le visage et le cou pour me détendre. Stoppant l’eau, je prends le gel Dove et commence un savonnage dans les règles de l’art. Les épaules, le ventre, les cuisses, les fesses, les mollets, les pieds et je finis par le dos. Une remise en route de l’eau élimine cette mousse et laisse ma belle peau dorée, lisse et douce.
Je change de flacon pour ma toilette intime et avec un produit au PH neutre, frotte mon sexe délicatement. Il faut savoir que je n’ai pas baisé depuis 5 jours et cela s’en ressent fortement sur mon état général. J’ai un besoin fréquent du contact peau à peau et cette « disette » est inhabituelle pour moi. Alors, je trouve très agréable un moment censé être anodin comme cette douche et j’en veux même plus, mes doigts titillent désormais mon clitoris. Je dirige le pommeau de douche auprès de mon intimité et ferme les yeux, la pression de l’eau stimulant agréablement ma vulve. Tête rejetée en arrière, ma deuxième main continue son travail et caresse allègrement toute ma chatte désormais. J’immisce deux phalanges et rapproche la pomme de douche pour mieux sentir la puissance du jet. Je ressens déjà une vague de plaisir m’envahir, mon esprit s’évade et se remémore ma dernière baise avec Mathieu la semaine dernière, un véritable étalon, qui m’a littéralement fait grimper aux rideaux. Face à la fenêtre, accroupie, mes pieds dans son encadrement et m’accrochant aux 2 rideaux, je me tenais pour ne pas tomber pendant lui me pilonnait debout, faisant claquer ses couilles contre mon cul et coulisser sa longue bite dans mon petit trou lui servant de fourreau. Ce soir-là, mon voisin n’en a pas perdu une miette non plus et nous avons, je crois, jouis tous les 3 ensemble. Mon étudiant préféré crachant de longs jets de semence fenêtre ouverte, au travers de ses rideaux. Foutre qui vint s’écraser dans notre petite cour mignonette. Si la copropriété savait cela…
Il n’en faut pas plus pour que cette petite douche vaginale digne d’une adolescente découvrant son corps pour la première fois, fasse son effet, Mon corps se crispe, ressentant la boule de désir m’envahir et m’inonder. J’en laisse tomber le pommeau de plaisir et je crie, libérant ce bel orgasme nécessaire à ma santé mentale.
Passé ce rapide moment de plaisir, je quitte ma salle de bain en trombe car je viens de réaliser que je suis à la bourre pour mon massage hebdomadaire. Je me suis réservé une séance dans un nouvel institut qui vient d’ouvrir, relativement loin de chez moi, mais pour lequel j’ai eu de très bon échos
La journée sera caliente, je me vêtis donc d’une petite robe bustier légère aux motifs liberty, laissant mes épaules découvertes et affichant mes longues jambes fines que beaucoup de femmes me jalousent. En dessous, rien, j’aime me sentir libre et à l’aise, mais surtout j’apprécie le regard des hommes envieux sur mon corps plantureux

10h

Me voici devant l’institut, prête à apprécier une heure de soins bien-être. Le salon est tenu par des asiatiques. Je rentre et me présente à l’accueil.
— Bonjour, j’ai une réservation à 10h au nom d’Emilie
Une jolie jeune asiate légèrement plus jeune que moi, me sourit et me demande dans un français approximatif :— « ok, quel massage » ? tout en me présentant une feuille avec les différents tarifs.
J’hésite, j’opte habituellement pour un massage californien mais étant dans un institut un peu « typique », je me laisse tenter par le massage relaxant chinois, sur les conseils de cette belle masseuse. Je la suis jusqu’à la cabine de soins, endroit qui est plutôt chaleureux et de bon standing. C’est un bon point, cela démarre bien. Elle tamise la lumière, augmente légèrement la diffusion d’huiles essentielles et la musique d’ambiance. Elle m’indique que je dois me déshabiller, enfiler leur string jetable et ensuite m’allonger sur le ventre. Aussitôt dit, aussitôt fait, me voilà avec cette horreur entre les fesses, à tel point que je ressemble à un sumo en tenue de combat, sans les kilos tout de même. De plus, j’aurais apprécié avoir quelque chose plus proche de ma taille 38, je baille véritablement dedans, je me sens totalement nue. Mauvais point.
Quelques minutes plus tard, Li Na, c’est son prénom, toque à la porte afin de démarrer la séance. Quelques dizaines de secondes plus tard, je sens alors un premier filet d’huile tiède sur mon dos puis ses mains sur mes épaules. Ses mains sont très douces et tièdes ce qui est très agréable. Elle me masse le dos en appuyant le long de la colonne vertébrale. Ses mains glissent de mon cou jusqu’au bas de mon dos ce qui accentue mon bien-être, mouvement après mouvement. Après un quart d’heure de ce traitement, elle change de place et se positionne à mes pieds. Je réalise alors qu’elle doit avoir une vue complète de mon intimité. Par réflexe, je resserre les jambes. Je sens alors un filet d’huile sur ma jambe droite qui me fait sursauter. Puis Li Na saisit mes deux chevilles et écarte mes jambes de manière assez autoritaire. Elle commence à étaler l’huile. Je n’ose plus resserrer mes jambes. Elle recommence son massage par mon pied puis remonte lentement jusqu’au creux de mon genou avec des mouvements tantôt appuyés, tantôt sous forme d’effleurage. Elle s’attaque ensuite à ma cuisse et remonte jusqu’à ma fesse. Ce traitement procure son petit effet et commence à m’exciter. Il faut dire qu’étant bi, me faire tripoter par une jolie fille ne me laisse jamais indifférente. Elle me masse longuement les fesses en les poussant vers l’extérieur ce qui les ouvre et tire sur mon anus dont elle doit avoir une vue imprenable. Je respire plus rapidement, mes seins se durcissent contre la table, mon sexe s’humidifie et mon clitoris se tend. Petit à petit, je sens le doigt de ma jeune masseuse se rapprocher de mon anus. Ma chatte est maintenant toute ruisselante. A chaque mouvement circulaire de ses mains sur mes fesses, on entend le flic-flac de mon sexe qui bave de mouille. Je suis excitée à mort. A chaque fois qu’elle frôle mon anus je tends mon cul en arrière en relevant un peu mon bassin pour qu’elle puisse titiller mon petit trou. Soudainement, elle arrête son massage ce qui me laisse dans un état de frustration totale mais heureusement cela n’est que de courte durée. Un long filet d’huile coule le long de mes fesses, mon anus se resserrant à son contact, et finit sa course jusqu’à mon sexe tout lisse. Je suis dans un état second.
Elle saisit mes deux fesses et les écarte, effleure d’un doigt la zone allant de ma fente jusqu’à mon coccyx. A force de relever mes fesses, je suis maintenant presque à genoux, la tête et les épaules collées à la table de massage. Elle passe sa main sous mon ventre et caresse mon pubis. De l’autre, elle écarte mes grandes lèvres et je sens un doigt entrer en moi. Je gémis. Je tente d’emprisonner ce doigt dans mon sexe mais je mouille trop. Son autre main revient pour s’intéresser à mon clito, gonflé à son maximum. Je sens ses petites phalanges le titiller. Elle rentre un second doigt et le rythme s’accélère. Je n’en peux plus. Comme ce matin, je repense à Mathieu. Je voudrais qu’il me prenne sur le champ, me remplisse la chatte en levrette avec sa grosse bite, accompagnée de mots doux
— « ma cochonne » me dirait-il.
Je suis maintenant à quatre pattes, je bouge mon cul pour que ses deux doigts s’enfonce au plus profond. Le rythme s’accélère et je quémande :
— «  Allez-y, baisez moi, faites-moi jouir ».
Je ne suis pas sûr qu’elle ait compris mais elle sait s’y prendre. Elle place un de ses doigts sur mon anus et le titille magiquement. Il n’en faux pas plus pour que je vienne, poussant un long cri pendant que mon corps tout entier se contracte. Mes jambes tremblent, je m’affale sur la table, vidée. Li Na termine son massage comme si de rien n’était. Belle expérience, bel orgasme, car je ne m’y attendais pas.

11h30
De nouveau dans le métro, je rentre chez moi, détendue et zen, au moins pour quelques instants, car la rame est pleine à craquer et nous sommes collés les uns aux autres. Le métro démarre. Rapidement, je sens un homme se frotter contre mon cul. Loin de me démonter, je me colle plus encore contre ce petit pervers. Je me retourne et remarque que derrière moi, c’est un grand et bel homme au regard sombre, visage attractif mais fermé. Il met sa main juste au-dessus de la mienne sur la barre verticale. Je profite d’un mouvement de la rame pour me plaquer contre lui. Mes fesses se retrouvent à hauteur de son sexe. Je bouge un peu. Je sens soudain qu’il a une érection. Comme le métro nous secoue, il se retient soudain à ma taille, puis il glisse sa deuxième main sur la barre. Il est donc derrière moi et m’enveloppe de son corps. Je sens son odeur délicieuse, son souffle qui se rapproche de mon cou. Je suis excitée par cette présence et je sais qu’il en a conscience. Tout comme mon corps ne le laisse pas indifférent. Personne autour de nous, n’est au courant de ce qui se joue entre nous. J’arrive à ma station. Je descends mais il ne me suit pas. Quelle déception.

22h
La journée est passée et malgré mes deux orgasmes matinaux, ma rapide rencontre tactile avec cet inconnu du métro me laisse frustrée et gourmande. Il me faut un homme rapidement pour une belle baise. Je suis invitée chez des amis ce soir, j’en violerai un là-bas, ce ne serait pas la première fois. Je suis bien en retard sur l’heure prévue et arrive donc la dernière. Les groupes de conversation se sont déjà formés et je me présente au fur et à mesure. Malheureusement beaucoup de filles sont là et sur les hommes présents, aucun ne me plait réellement. Pire encore, j’ai en horreur un quadra grande gueule qui monopolise l’attention, que je n’ai jamais rencontré. Cheveux poivre et sel à la George Clooney, sportif, qui se sait beau-gosse et qui s’écoute parler. Tout ce que je déteste.

3h30 du matin,
Dans la salle de bain, sa bite de quarante ans d’âge en bouche, je m’active pour le sucer comme une belle salope que je suis. Je ne sais pas comment j’en suis arrivé là, à pomper ce misogyne qui pense que les femmes ne sont bonnes qu’au fourneau et à se faire baiser quand cela convient à Monsieur. Pourtant, cela m’a terriblement excité de me faire malmener dans nos échanges verbaux toute la soirée, cela ne m’était jamais arrivé.
Il m’insupporte au possible mais je veux qu’il me baise réellement, qu’il prenne les choses en main, que je ne sois que sa chose.
A genoux, ma tête s’active d’avant en arrière à un rythme effréné. Il ne se gêne pas pour m’appuyer fortement dessus, encourageant mes gorges profondes, que j’ai du mal à réaliser. En effet, avaler un double décimètre n’est pas chose aisée et ma main en fait à peine le tour. C’est un véritable gourdin qu’il a entre les cuisses. J’en ai même peur.
— Lui : « Je t’entends moins que tout à l’heure-là, tu ne fais plus la maline hein».
Je ne réponds rien. Ses mains puissantes malaxent mon visage et agrippent mes cheveux.
— Lui : « Allez lève-toi, on va chez toi, je veux te démonter ».
J’obéis, récupère mes affaires, veste et sac, laissées dans la chambre de mes amis et nous voilà dans les escaliers, partis sans un au revoir. Passée la porte cochère, je cherche du regard une voiture susceptible de lui appartenir mais je suis d’autant plus surprise lorsqu’il s’arrête devant un scooter 3 roues. Il ouvre son coffre et en sort deux casques. Je n’habite pas très loin mais la sécurité avant tout.
Grimpant sur son tricycle à moteur et tenant le guidon de sa main gauche, il se recule au maximum et me demande de m’asseoir devant lui, contrairement à la logique qui voudrait que j’occupe la place arrière. Je m’exécute malgré tout, sans poser de questions.
Il actionne la poignée d’accélérateur et nous voilà partis sur son engin puissant. Je lui indique d’un geste de la main lorsqu’il doit tourner, lui servant de GPS humain. Au deuxième feu rouge, il prend ma main et l’amène derrière mon dos. Je sens alors une verge tendue et chaude, dépassant de la braguette ouverte de son jean.
— Lui : « Relève ta robe et empale toi la dessus »— Moi : « Mais, c’est dangereux en roulant » — Lui : « Dépêche-toi »
Je me relève légèrement afin de débloquer ma robe coincée sous mes fesses et glisse son membre dans mon con trempée. J’en ai le souffle coupé et les sensations sont très intenses. Je démarre les montées et descentes sur ce piquet de chair. La route reprend et nous avons beaucoup de succès avec les autres automobilistes, la plupart filmant avec leurs smartphones cette scène incongrue. Je devrais me retrouver sur YouPorn très vite. Heureusement que j’ai un casque. Chaque bosse, chaque défaut du macadam me procure une sensation intense. C’est incroyablement bon. Le danger et la sensation de vitesse décuplant mon plaisir, je n’ai pas envie que cela s’arrête, et pourtant nous voilà déjà arrivés devant mon appartement. Nous allons donc poursuivre tout ça à l’étage.

4h du matin
Devant la porte de mon appartement, je tente fébrilement d’y insérer la clé. Sentir sa présence, presque collé derrière moi, me trouble. Nous voilà rentrées, il me pousse contre le mur, mon visage y faisant face. Il prend mes mains et les plaquent en hauteur comme pour une fouille de la police nationale. J’obéis, sans un mot, il se met à parcourir mon corps. Je suis comme folle, je sens les caresses sur ma robe, il frôle mes seins, mon ventre, mes cuisses. Sa main remonte vers ma chatte accessible. J’essaie de me retourner, mais d’un geste autoritaire, il me force à rester face au mur. Des deux mains, il arrache violemment le haut de ma robe qui se déchire en deux sur une belle longueur, mes seins ballottent à l’air libre désormais. Ses mains s’en emparent, il fait rouler mes tetons dressés entre son pouce et son index. Je bascule ma tête en arrière, ses lèvres glissent dans mon cou. Je me retourne un peu pour que sa bouche prenne la mienne. Je suis complètement trempée de mouille. Puis il me plaque à nouveau contre le mur. Ses mains parcourent mes jambes, mes fesses, il remonte ma robe au-dessus pour les mater. J’ai une envie folle de prendre sa bite mais il m’en empêche. Ses doigts s’emparent de ma chatte qui dégouline le long de mes cuisses. Un vrai dégât des eaux. Sans mal, il glisse un doigt dans ma fente inondée. Je pousse un gémissement plus fort car je sens le désir monter encore d’un cran. Son doigt s’active, entrant et sortant de ma chatte. Je suis en manque, j’ai envie qu’il me défonce. Il le sent et s’empare maintenant de ma fouffe avec trois doigts, qui vont et viennent, me procurant un plaisir inouï. Il me gode, tournant sa main dans un sens puis dans l’autre. Je sens l’orgasme venir, j’essaie de me retenir mais une vague me submerge et explose, tandis qu’il a glissé presque ses 5 doigts en entier en même temps. Il burine mon minou vigoureusement, me fistant presque. Je jouis en tremblant de tout mon corps et chose rarissime me concernant, j’éjacule une grande quantité de liquide qui se déverse sur mon parquet. Il s’arrête alors, retire ses doigts trempés et les essuie sur mes cuisses. Puis il descend la braguette de son pantalon. Je peux sentir de nouveau son sexe chaud et dur contre la raie de mes fesses; J’ai envie qu’il me pénètre. Mais Il préfère m’agripper le bras et me tirer vers la chambre. C’est lui qui mène la danse, je ne suis plus que sa chose.
— Lui : « Tu vas me montrer ce qu’une petite jeune sait faire ! »
Il me pousse sur le lit ou je bascule violemment. Il m’ordonne :
— Lui : « Fous-toi à poil »
Une simple robe à enlever et me voilà dans le plus simple appareil.
— Lui : « Allonge-toi…écarte tes cuisses ! Plus que ça ! Voilaaaa ! »
Sa tête entre mes cuisses, il commence un cunni à tomber à la renverse, sa langue de velours maniant douceur, précision et vivacité. Elle fait le tour de mon clito, se balade sur mes lèvres, change de forme pour donner un coup de langue magistral sur toute la longueur de mon sexe. Je suis en extase par une telle maitrise de la dégustation du fruit féminin. Sa langue experte a du faire capituler plus d’une femme et j’en serai la prochaine victime. Pendant ce cunni 4 étoiles, il me pétrit les seins à pleines mains, les faisant gonfler et les gorgeant de désir. Sa main droite abandonne ma poitrine pour s’occuper aussi de mon abricot juteux, en y insérant deux doigts directement. L’alliance de sa langue et de ses doigts me font vibrer et prépare la venue de sa queue.
Il se positionne en missionnaire et j’en profite pour lui malaxer ses petites fesses rebondies pendant qu’il s’introduit au plus profond de moi.
— Lui : « T’aimes ça te faire défoncer».— Moi : « Oui, par des grosses bites comme ça, oui, encore,… »
Rapidement, il bascule sur le dos et je me place au-dessus de lui
— Lui : « Vas-y, occupe-toi de moi, sois ma chienne ».
Accroupie, mains sur ses chevilles et lui tournant le dos mais lui offrant une vue imprenable sur mon cul, je m’empale sur sa bite gigantesque. Je maitrise désormais le rythme de la pénétration mais en contrepartie, subis quelques fessées bien appuyées qui réchauffent mon postérieur et me font lâcher des petits cris à chaque claquement.
Il me fait pencher un peu plus en avant, appuyant sur mon dos pour pouvoir orienter l’angle de pénétration au fond de ma petite chatte ruisselante.
— Lui : « Je veux te voir bondir sur ma queue. »
J’aime cette position car je le sais en train de mater ma rondelle et ma chatte se faire limer. C’est très jouissif.
— Lui : « Viens ! » dit-il en se dirigeant vers le balcon. 
Il ouvre la porte-fenêtre et me pousse contre la rambarde. En contrebas, je distingue les quelques lumières de la cour. Chez mes voisins, c’est nuit noire sauf chez mon petit étudiant. Ah non, il vient d’éteindre mais je crois l’avoir aperçu à côté de sa fenêtre cependant. Peut-être restera-t-il à nous observer. Je l’espère.
Sans crier gare, je sens une belle bite me prendre en levrette, rentrant de plus en plus en plus profond en moi. Ses couilles cognent sur mes fesses trempées de mouille. Je râle comme une furie, perdant complétement mes moyens. Par l’arrière, Il agrippe ma bouche avec les index et majeurs de chaque main, tel un jockey sur son canasson au grand prix de Longchamp.
— Lui : « Tu aimes ça hein, tu en veux encore ? »— Moi : « Uuuuui » dis-je péniblement avec ses doigts en bouche!— Lui : « Tu vas prendre cher ma gourmande ! »
Il y va fort avec ses coups de bite. Lui, couine, gémit et m’agrippe de plus en plus sauvagement, j’adore ça, il me domine et je suis sa chienne, son objet.
Je me contrôle de moins en moins, atteignant le septième ciel à vitesse grand V. J’entends sa queue faire des semblants de bruits de ventouse en entrant et sortant de ma chatte brûlante et dégoulinante tellement cette position est bestiale.
— Lui : « je veux ton cul, écarte tes fesses »
Crachant sur sa bite et ma rondelle, il y glisse son majeur sans trop de difficultés. Apres plusieurs minutes de ce traitement, mon anus est bien préparé et prêt à accueillir sa pine, qu’il présente à l’entrée. Je souffle doucement pour tenter de me relaxer, le passage est difficile et douloureux mais il sait s’y prendre et la douleur fait place rapidement au plaisir, à la chaleur d’un anus défoncé et déformé. Je suis complètement remplie par cette verge tellement épaisse et longue qui me tiraille. Ce traitement de ramonage a un effet dévastateur et je sens que je perds pied. Me faire démonter dehors, à la possible vue de tous, par une bite énorme, je vais jouir. Le rythme de ses coups de butoirs s’accélère, sa main gauche tient mon bras gauche dans mon dos et sa main droite stimule ma chatte brulante pendant que sa bite me pistonne. Une boule de plaisir grossit à toute vitesse et envahit mon corps et ses moindres recoins. Mes sens deviennent plus aiguisés et ma peau devient plus sensible. J’ai chaud, ma respiration s’accélère et je laisse échapper des cris de plus en plus puissants sans pouvoir les retenir. Je sens ma chatte et mon fion palpiter, mon clito se rétracte et le plaisir explose, s’évacue :
— Moi : «Baise-moi, je jouis, je jouis, c’est trop bon, ouiiiiii ! », phrase résonnant en écho dans ma cour d’immeuble
Quelques secondes plus tard, il sort de mon cul, me retourne et me fait m’agenouiller.
— Lui : « Ouvres ta bouche et avales tout ».
Je suis encore perchée mais je prends sa belle verge luisante à deux mains et l’astique à toute vitesse tout en léchant et aspirant son gland violacé, ce qui a pour effet de rapidement lui faire cracher de grosses quantités de sperme au fond de ma gorge. Le tout est avalé en sortant ma langue pour lui montrer que je ne perds pas une goutte de sa délicieuse semence.
9h du matin
Même si je suis plutôt matinale en temps normal, je suis toujours endormie à cette heure car épuisée par notre soirée et nuit sportive. Je sens de l’agitation sur mon côté droit mais n’ouvre pas les yeux. Mon coup d’un soir doit surement vouloir s’éclipser, lorsque je réalise qu’il m’a finalement enjambé et que sa bite se trouve au-dessus de mon visage, frappant à l’entrée de ma bouche, ce qui m’oblige à l’engloutir.
— Mon dieu, me dis-je. il me prend pour une poupée gonflable qui est là pour répondre à ses moindres désirs
Me voilà réaliste mais paradoxalement, cela me fait terriblement mouiller de répondre à la moindre de ses envies.
Sa queue n’est pas encore bandée mais je la sens grossir au fur et à mesure de mes passages de langue sur son manche qui se dresse de plus en plus. Je joue avec son gland, je le lèche délicatement en passant ma langue sur tout le tour, puis je mordille légèrement la peau. Ma langue joue avec son bout, qui secrète un liquide que je connais bien. Puis je me retire et je lèche son sexe, de bas en haut. Je le suce en alternant les mouvements lents et rapides, le regardant droit dans les yeux tout en continuant ma fellation.
— Lui : « Continue ma petite salope. T’es une vraie gourmande insatiable, tu n’en as pas eu assez hier soir !? »— Moi, la bouche pleine : « Hmpfff » — Lui : « Lèche moi les couilles, vas-y n’aie pas peur »
Serrant le haut de ses bourses dans sa main, il me glisse dans la bouche ce gros sachet imberbe et doux que je gobe goulument.
Apres quelques minutes de ce traitement testiculaire, il me tend alors mes lunettes qui sont posées sur la table de nuit, que je pose sur mon nez. Il prend ma tête entre ses mains pour y donner des coups de reins et baiser ma bouche. Je serre le plus possible mes lèvres pour que le plaisir soit au maximum. Son sexe va et vient dans ma bouche au rythme qu’il impose, en guidant ma tête avec ses mains. Il accélère le mouvement.
Soudain, ressortant sa bite précipitamment, il jouit sur mon visage et mes lunettes qui sont finissent complètement inondées de semence. Je reprends sa bite en bouche pour y pomper les dernières gouttes de son chaud nectar amer.
Quelques minutes plus tard, il enfile son pantalon et claque la porte sans mot dire. Je me rendors, repue.
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