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Une nuit à l'hôtel

Chapitre 1

Erotique
Se déplacer continuellement pour le travail c’est souvent ennuyeux. Mais il arrive parfois... Laissez-moi vous raconter.
J’attendais tranquillement que le comptoir de l’hôtel se libère pour me faire enregistrer. Juste à côté de moi, une femme, la soixantaine, visiblement pressée de récupérer ses clés. Elle me plait bien avec sa robe simple et classique. De jolis escarpins pointus, de beaux mollets, des hanches un peu fortes mais une taille bien marquée et une paire de seins imposante (un bon bonnet D à mon avis) viennent complétés se joli tableau.
Le guichet se libère et j’esquisse un pas. Elle aussi. Nous nous retrouvons un peu bête."Excusez-moi" me dit-elle, "vous étiez peut-être là avant moi ?"C’était bien le cas mais j’ai tout mon temps."Je ne sais pas. Mais allez-y, de toute façon il devrait bien me rester une chambre de libre""Je suppose oui" me répond-elle avec un joli sourire."Et puis si jamais vous prenez la dernière..." Je m’interromps. Un peu trop osé de lui dire "vous la partagerez bien".
Elle fait mine de n’avoir rien entendu et se présente donc à la réception. Je reste en retrait et dois avouer que je ne regrette pas de l’avoir laissée passer devant. J’en profite en effet pour la mater de haut en bas en fantasmant sur ses trésors. Ses cheveux sont courts. Son cou appétissant. Mon regard descend le long de ses bras nus. Grrr, quelles fesses. Larges mais apparemment fermes si j’en crois les reliefs qu’elles dessinent au travers de sa robe. Je m’imaginerais bien la retrousser lentement en lui caressant les cuisses et découvrir le style de culotte qu’elle porte. Je parie sur un tanga.
Deux minutes sont passées. Elle prend les clés de sa chambre et se dirige vers les ascenseurs. La valise qu’elle traine est énorme.
Je termine les formalités d’enregistrement et je me dirige vers la cage d’escalier. Surprise : La belle est toujours là en train d’attendre qu’un ascenseur vienne au rez-de-chaussée.
"Ils ne sont pas rapides on dirait.""On ne peut pas dire effectivement."
J’ai l’habitude de toujours pendre les escaliers pour ma part. Mais ce soir, je n’ai pas très envie. Me retrouver en tête à tête avec cette femme dans l’ascenseur me semble être une bien meilleure idée. A peine 30 secondes que je suis là que la porte s’ouvre et nous invite à monter. Je la laisse entrer en premier. Avec sa grande valise, il ne reste plus beaucoup de place pour bouger. Et nous voilà en train de monter. Elle va au 3ème étage tout comme moi.
Nous sommes arrivés. Je sors dans le couloir. Elle est un peu coincée, essayant de pousser son imposant bagage.
"Laissez-moi vous aider."

Je lui prends des mains la poignée de la valise et la tire vers moi.
"Je vous livre ça à quelle chambre ?" dis-je en riant."351 s’il vous plait jeune homme." me répond-elle sur le même ton."Je vous suis."
Elle me sourit et passe devant moi. Je me régale à regarder se jambes (c’est ce que je préfère chez les femmes en général). Elles sont bronzées. Elle doit revenir de vacances. Je suis heureux de constater que sa chambre se trouve tout au fond du couloir, cela me donne plus de temps pour mater son joli cul.Nous arrivons devant la porte de sa chambre.
"Voilà Madame.""Merci. Je vous dois quelque chose ?" me demande-t-elle en souriant."Rien du tout. Ce fut un plaisir que de vous aider. Et puis de toutes façons, je devais venir jusqu’ici, je suis dans la 352, juste en face.""Merci beaucoup en tout cas. Ca n’est pas tous les jours qu’on trouve des gens serviables.""Je vous en prie. Ca me parait naturel. Et puis au moins, j’aurais fait quelque chose qui sort un peu de la routine des soirées solitaires à l’hôtel.""C’est vrai que se retrouver seul les soirs lorsque cela se répète souvent, ça n’est pas très drôle."
Elle est donc seule et n’attend personne. Pourquoi ne pas l’inviter au restaurant ?
"Si vous êtes toute seule vous aussi, que diriez-vous de manger avec un pauvre homme solitaire ?""Pourquoi pas oui.""Il est 19h20. 20h00, ça vous irait ?""Parfaitement. Ca me laissera le temps de me rafraichir.""Je viens frapper à votre porte alors. 20h00 pétantes !"
Me voilà seul dans ma chambre. Je déballe mes affaires. Je vais prendre une petite douche et me changer. En me lavant, je fantasme sur ma voisine. Je l’imagine en train de se savonner. Comme j’aimerais le faire moi-même. Lui caresser le ventre, remonter sur ses seins, frotter mon corps contre le sien.Tout en imaginant cette scène, je me savonne sensuellement. Ma queue est gonflée et raide. Je la prends en main et l’astique lentement. Cette coquine aime-t-elle sucer ? Comment gémirait-elle si je la doigtais ? Je l’imagine à genoux en train de me faire une belle cravate de notaire entre ses seins. Je la prends par terre. Elle s’empale sur mon sexe. Et si... oh oui, et si elle aimait se faire enculer ? Je lui tiendrais les hanches pendant que ma verge tendue va et vient entre ses fesses généreuses.Cette image provoque ma jouissance. Je me branle en pensant à elle. L’eau chaude qui coule sur mon corps. Mon sperme gicle. Je suis bien.
20h00. Je frappe à sa porte. Celle-ci s’ouvre. La coquine est en peignoir."Désolée, j’ai un peu de retard. J’ai pris ma douche mais n’ai pas eu le temps de m’habiller.""Je reviens dans un quart d’heure si vous voulez.""Oh non !"Quelle surprise. Que veut dire ce "Oh non" ?"Comment ça ? Vous ne voulez plus que l’on dîne ensemble ?""Non, pas du tout. C’est pas ça." Elle bredouille.
Que veut-elle alors ?Elle me regarde bizarrement. Je ne la sens pas si embêtée en fait. Le peignoir est court et me permet d’admirer ses cuisses. J’aime beaucoup ce que je vois. Presque naturellement, je pénètre dans sa chambre. Elle referme la porte derrière moi. Je me retourne. Elle a de très jolis yeux. Et ses seins lourds sont parfaitement mis en valeur. Je m’approche d’elle, lui caresse le visage.
"Je dois vous avouer une chose." lui dis-je. "Moi aussi j’ai pris une douche. Et j’ai beaucoup pensé à vous en me savonnant. Vraiment beaucoup."Elle me sourit."Vraiment ? J’espère que vous avez pensé à moi en bien au mois.""Oh que oui. Cela m’a procuré un très grand plaisir.""J’en suis très heureuse alors. Vous pensez que vous allez continuer à penser à moi à présent ?""Je ne le pense pas non. J’en suis certain."
Et là, sans ménagement, je la retourne face au mur et me colle à son dos en la serrant fort contre moi. Je l’embrasse dans le cou. Je lui mordille le lob de l’oreille."J’ai même joui en pensant à vous."Ma main gauche s’est emparée de son sein droit. Je le caresse, je le pétris, je joue avec son téton. J’ai glissé mon autre main sous le peignoir juste en dessous de la ceinture. Son pubis est lisse. La coquine s’épile totalement. Je dévore ses épaules. Elle frotte ses fesses contre mon sexe. Il est dur.La voilà qui conduit mes doigts entre ses cuisses. Sa fente est trempée. Elle appuie fort. Mon index et mon majeur glissent dans son antre. Je la fouille frénétiquement. Elle gémit. Après quelques instants, je décide de prendre le contrôle.
Je prends sa main et la pose contre le mur, juste à côté du miroir mural. Au tour de l’autre main de se poser de l’autre côté.
"Ouvrez les yeux. Regardez-moi dans la glace."
La voilà face à son image. Son peignoir est largement ouvert et laisse échapper un sein.
"Je vous interdis de fermer vos yeux à présent."
Elle me jette un regard excité. Elle aime visiblement la tournure que prennent les évènements.Je me remets à la fouiller avec frénésie. Sa respiration se fait de plus en plus forte. Sa bouche s’ouvre largement à la recherche de l’oxygène que son excitation réclame.Quel joli visage. Et ses yeux qui ne quittent plus les miens.
Je ne peux plus attendre. Je veux la prendre. J’arrête soudainement de la caresser pour lui agripper les hanches. Lentement je la tire vers moi. Ses mains glissent le long du mur. Nos regards ne se lâchent pas. La voilà en belle position, les jambes écartées, le cul bien offert.Je prends mon temps pour enlever mon pantalon et mon boxer. Je relève ensuite son peignoir pour dévoiler son superbe fessier. Comme il est beau et appétissant.
"Regardez-moi bien. Je veux voir dans vos yeux ce que vous allez ressentir quand je vais m’enfoncer en vous."
De ma main droite, je serre ma queue bien fort et la dirige vers la chatte offerte de ma coquine. Mon gland va et vient le long de cette fente trempée. Je fais languir la coquine. L’expression de son visage ne laisse planer aucun doute. Elle n’attend qu’une chose : que mon pieu s’enfonce en elle.
Je la pénètre enfin. Lentement. Doucement. Chaque centimètre qui entre est un moment de pur bonheur. Me voilà enfoncé jusqu’à la garde. Je la tiens fermement pas les hanches. Puis je me retire. Puis je rentre à nouveau. Son écrin est délicieux. Je vais et viens de plus en plus vite, de plus en plus vivement. Mon corps claque sur ses fesses. L’érotisme fait place à de la bestialité. Je la baise à fond.

Ces mains restent collées au mur pendant que je l’empale. Ses seins se balancent dans tous les sens. Elle gémit. Ses yeux se plissent de plaisir.
"Non, regardez-moi ! Je veux vous voir jouir."
Et la voilà qui vient. Les "Oh oui" succèdent aux "Encore". Ses yeux pétillent de plaisir. Je suis heureux et si excité. A mon tour d’atteindre les sommets. Quelques saillies violentes et je ne peux plus me retenir. Je m’enfonce à fond et commence à me vider. C’est extraordinaire.
"Regardez-moi !"
C’est elle qui m’interpelle. Je jouis si intensément que j’en fermais les yeux.
"Désolé." Lui dis-je en déversant mes dernières giclées de plaisir.Je n’en peux plus. Mon sexe s’amollit. Je suis en nage. Oui, elle a bien raison. Je ne dois pas la quitter du regard. Ces yeux sont si jolis. Et son sourire tellement coquin. Elle est magnifique. Et, ce soir, elle est à moi.
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