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Une nuit à l'hôtel

Chapitre 4

Erotique
Nous sommes allongés sur le côté et nos deux visages se font face. Nous nous sourions. L’atmosphère est joyeuse.« J’ai vraiment bien aimé vous prendre par tous les trous. »
« Comment ça par tous les trous ? Non, tu ne pas baisée par tous les trous ! »
Quel sourire ravageur. Elle m’allume encore.
« Ben si ! »
« Ben non ! Et ma bouche alors ? Elle n’a pas le droit de l’être ? »
La pute ! Si c’est ce qu’elle veut ! Tranquillement, je la regarde. Je la remonte légèrement vers la tête de lit, lui colle un oreiller. Tout cela délicatement. Mais n’allez pas croire que le reste va continuer à l’être chère Madame. Je l’enjambe et m’agenouille à califourchon à hauteur de ses seins. Je plonge alors mon sexe dans sa bouche. Elle ferme ses lèvres et s’empare de la base de mon membre pour le serrer fort. Mes deux mains appuyées contre le mur, je me mets alors à aller et venir. Je regarde vers le bas pour voir ma queue entrer et sortir. Il ne me faut pas longtemps pour libérer ma semence dans sa bouche gourmande. Elle est imperturbable et continue à me sucer, jouant avec sa langue, se délectant de mon foutre. Elle le recrache sur mon gland pour l’aspirer à nouveau. Des filets de sperme tapissent ses lèvres. Elle les aspire.
Elle finit par tout avaler. Ma queue brille. Elle a rarement été aussi bien nettoyée. Cette fois-ci, j’ai vraiment besoin de dormir.
Que le réveil fut pénible. Cette sonnerie qui se met à tinter à 6h30 du matin. Je voudrais dormir encore. Le peu de sommeil et la débauche de sexe de la nuit. Je n’ai plus 20 ans…
Je suis si bien dans le lit, allongé sur le côté en chien de fusil, enlaçant ma partenaire. Elle ne semble pas plus heureuse que moi de devoir émerger. Alors je me colle tout contre elle, la serre fort, pose mes lèvres sur ses épaules, dans son cou. J’aime le goût de sa peau. La Belle dégage une chaleur si agréable. Je l’étreins plus fort. Une sensation de plénitude m’envahit. Si seulement je pouvais rester ainsi.
« 6h30 ! Il est trop tôt pour se lever. Je veux dormir encore ! »
« Moi non plus je n’ai pas envie, mais on n’a pas le choix. » me répond-elle.
« On devrait toujours l‘avoir. Je suis tellement bien là. Avec une belle petite poupée dans mes bras. Que demander de plus ? »
Tout en parlant, je lui fais des petits bisous tendres et chauds, la mordille, la caresse. Je glisse ma main gauche le long de sa cuisse, remonte sur sa fesse pendant que de l’autre je joue avec ses seins. Je passe de l’un à l’autre, frôlant ses tétons, les malaxant, les faisant rouler entre mon pouce et mon index. Son corps ondule tout contre le mien. Elle me colle encore plus. J’ai toujours envie d’elle. Mon sexe durcir lentement. Il est tellement bien contre son postérieur généreux. Je relève ma tête pour placer ma bouche tout contre son oreille. Et tout en continuant mon câlin, je murmure :
« Comment faites-vous pour me donner tant d’envies. Vous es si belle, si sexy. J’aime la douceur de votre peau. Votre corps me rend dingue. Je ne me rappelle pas avoir passé une si belle nuit. C’était fantastique. Et je vous veux encore. J’aime vos seins. J’aime votre ventre. J’aime vos fesses. J’aime vos cuisses. J’aime votre dos. J’aime votre cou.»
Au fur et à mesure de mes paroles, je caresse ou j’embrasse la partie de son corps qui me fait tant vibrer. Lui dire tous ces mots m’excite autant que ça l’excite. J’adore ces moments érotiques. Je me frotte contre ses fesses. Mon érection a atteint son apogée. Comme c’est bon.
« Donnez-moi votre bouche, votre langue. Embrassez-moi. »
Nous nous roulons un patin extraordinaire, à la fois tendre et gourmand. J’adore sentir sa langue dans ma bouche. Je la lèche, l’aspire, la suce. La Belle glisse lentement sur le dos. Et me voilà bientôt sur elle, entre ses cuisses ouvertes. Nous nous regardons. Je remonte. Ma queue glisse toute seule dans son écrin mouillé. C’est bon, c’est chaud, c’est doux. Son visage est magnifique. Ses yeux pétillent. Je vais, je viens. Elle me tient par les hanches et rythme notre étreinte.
Son sexe ruisselle abondamment. Le mien coulisse de toute sa longueur. C’est si bon. Oubliée la coquine de la nuit que j’ai culbutée avec tant de plaisir. Non, je suis entre les jambes d’une femme que j’aime. Que j’aime d’un amour éphémère. Mais que j’aime réellement. Dans cet instant de pur bonheur, elle est la plus belle femme du monde, celle que je voudrais gâter de mille cadeaux, celle que je voudrais serrer dans mes bras éternellement.
C’est en même temps que nous jouissons. Le plaisir est total. Nos regards ne se quittent pas… jusqu’à ce que nos bouches n’en viennent à se rejoindre à nouveau. Oui, je l’aime.

Nous nous sommes douchés ensemble. Derniers moments d’érotisme.
Enfin pas tout à fait. Elle a étalé les vêtements qu’elle va mettre aujourd’hui. Comme hier, un ensemble classique et chic : Un tailleur avec une jupe légèrement fendue sur les côtés. Un chemisier fin. Et enfin un ensemble soutien-gorge et string en dentelle blanche. Elle a attrapé sa culotte. Je l’arrête.
« Vous permettez ? J’ai envie de vous habiller »
Elle me regarde. J’adore son sourire.
« Si tu veux. »
Je prends tout mon temps pour la vêtir, profitant de chaque occasion pour frôler sa peau une dernière fois. Je commence par lui mettre son soutien-gorge. Je m’offre un petit baiser dans son cou lorsque la dernière agrafe est en place. Puis vient le tour du chemisier que je boutonne lentement. Je m’agenouille à ses pieds pour lui enfiler la jupe. Derniers regards sur son sexe, dernières caresses sur ses cuisses. Au tour de sa veste que je laisse ouverte.
Je termine par ses jolis escarpins pointus.
« Et voilà, vous prête à aller travailler ! »
« Vraiment ? Tu n’aurais pas oublié quelque chose ? »
Elle me tend son string en riant.
« Oublié ? Non, absolument pas. Voilà quelque chose qui ne sert à rien. Et vous allez vous en passer aujourd’hui. Alors rangez-moi ça ! »
« Bon, si je n’ai pas le choix. »
Et elle jette sa culotte dans sa valise en me souriant.
« Content ? »
« Parfaitement heureux, oui. »
Je la prends dans mes bras.
« Adieu ma jolie. J’ai vécu un moment d’érotisme fantastique. Merci . »
Un dernier baiser, une dernière caresse sous la jupe et je m’en vais. J’aurais dû lui demander ses coordonnées. Je ne connais même pas son prénom.
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