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Une nuit de sexe brutal avec Sabrina

Chapitre 3

SM / Fétichisme
Je prends l’autre téton dans la bouche et je le suce et le mâchouille pour bien le faire ressortir. Sabrina a des gros tétons et ce traitement le fait encore plus ressortir. Cela ne me donne qu’une envie, le torturer, infliger à ce bout de chair érogène de violentes douleurs. Je profite que la fellatrice a temporairement sorti ma queue de sa bouche pour en lécher le contour avec sa langue pour mordre son téton érigé du bout des dents. La pute se cambre sous la douleur en laissant échapper un halètement de plaisir."Continue à lécher ma bite et mes couilles feignasse" je lui dis tout en appliquant la ventouse sur le bout de sein martyrisé. Puis je prends la pompe et la presse. Je vois le téton grossir, cela m’excite vraiment. Il y a aussi une commande pour émettre des vibrations et en bon pervers que je suis je l’enclenche à donf. La grosse salope semble apprécier ce traitement car elle se met à onduler du bassin et entreprend de se doigter la chatte. Je lui envoie une bonne gifle dans la tronche, "je t’ai pas dit de te faire du bien sale pute ! Tu ne te touches que quand je te l’ordonne, compris stupide tas de viande femelle ?""Pardon, me dit-elle, mais j’aimerais que vous vous occupiez de ma chatte s’il vous plait."Et vlan, une autre avoinée dans les gencives ! "Tu n’as rien à demander ou à aimer, tu subis et tu obéis aux ordres de ma queue dont tu es l’esclave pour la nuit !" Je sors le gode du sac de la pute et je l’enfonce brutalement dans son vagin. J’y donne même un coup de pied afin qu’il soit enfoncé à fond. "Voilà, je me suis occupé de ton trou de femelle, t’es contente connasse ?" Evidemment j’appuie ma question d’une nouvelle paire de baffes ainsi que d’un mollard qui atterrit direct dans son oeil gauche.J’éclate de rire à voir la pauvre conne s’essuyer l’oeil avec la main. "Perds rien, mets tout dans la bouche et avale, régale-toi femelle idiote".Sabrina m’obéit et pour l’humilier un peu plus, je lui ouvre le bec en grand et lui envoie un nouveau mollard directement dans la trachée. Je lui ferme le bec, "Avale et dis moi combien c’est bon"."C’est bon", me dit-elle de sa petite voix, même si elle semble avoir avalé un peu de travers."Bouge pas ma pute, pendant que tu digères, je vais chercher ma boite à outils et les orties".J’aime le terme de boite à outils, ça me fait tout de suite visualiser des pinces, tenailles, marteaux, tournevis, etc. martyrisant de manière bien brutale la chair tendre du corps d’une jolie jeune femme bien bustée. En fait c’était ni plus ni moins qu’un gros sac à dos dans lequel j’avais regroupé pas mal d’ustensiles destinés effectivement à punir la chair féminine.Je reviens m’installer sur le canapé muni du sac à dos et de la poche remplie d’orties sous le regard peu assuré de la pute.
"Mains derrière la tête pouffiasse", j’ordonne à la conne pendant que je vais chercher dans une poche du sac une paire de menottes chouravée à un flic que j’avais tabassé un soir d’émeutes."Ca c’est de la vraie paire de menottes de pro, pas ton joujou de pacotille à fourrure pour pisseuses en manque de sensations fortes !"Je les passe aux poignets de Sabrina qui est très sexy dans cette posture impuissante. J’en profite pour lui pincer et étirer les joues et les oreilles. "Tiens, voilà un beau collier pour ma chienne, il y a même la laisse pour faire ta petite promenade pipi".Je lui montre le collier de clebs en cuir clouté, relié à une chaîne métallique. "En plus tu vois c’est une vraie chaîne en métal, donc non seulement maousse costaud mais s’il me prend l’envie de te cingler les fesses, les nibards ou la chatte avec, tu vas le sentir passer pute maso. Ca te changerait de ta tapette-plumeau de gonzesse ça !"Je fixe le collier au cou de la petite chienne de manière à ce qu’il soit bien serré."Dis-moi que tu sens chienne et femelle là ma pute" je lui dis."Oui je ne me suis jamais aussi sentie chienne et femelle, c’est bon vous pouvez pas savoir"."Désormais tu m’appelleras Maître puisque je t’ai fixé ton collier. Tu emploieras ce terme systématiquement à chaque fin de phrase. Dis moi que ton cerveau de moineau a compris"."J’ai compris Maître. Insultez-moi Maître s’il vous plait, j’adore ça"."Putain t’as vraiment qu’une cervelle de mouche, femelle décérébrée, je t’ai dit de dire "Maître" à chaque fin de phrase, bordel de merde !"Et j’envoie une bonne poire dans la gueule de cette idiote pour lui faire rentrer ça dans son crâne dégénéré."Oui Maître. Pardon Maître.""Bon, tout à l’heure tu voulais que je m’occupe de ta chatte de sale pute, je vais exaucer tes voeux, au plus grand plaisir de ma queue tu vas voir. Mets-toi debout lèche-bites".Je retire le gode de la moule poisseuse de la pute et le lui enfourne dans la gueule."Lèche bien ta mouille et si ce que je vais faire à ta chatte te procure des sensations assez extrêmes, alors serre les dents et mords le gode, il criera pas lui".Je prends une longue feuille d’ortie par la tige et je l’approche du sexe de la pute qui tente un léger recul mais je lui bloque les jambes avec mon autre bras. Je fais un lent mouvement de va-et-vient de l’ortie de haut en bas en la rapprochant de plus en plus de la chatte de la salope à la frôler. Je constate que le clito de la pute est extrèmement turgescent, elle doit être excitée comme jamais en ressentant un mélange délicieux de peur et de luxure."Bouge pas sale pute, ferme les yeux et ne pense plus qu’à ta chatte en fusion".Je relâche ma prise sur les jambes et je commence à écarter les lèvres de la chatte de Sabrina, dévoilant son intimité ruisselante et puante de mouille.Je caresse alors l’intérieur des lèvres ouvertes avec le bout de la feuille d’ortie. Sabrina se raidit et laisse échapper un gémissement étouffé, le gode lui emplissant la bouche.J’appuie plus fortement et fait promener la feuille le long de la chatte. Les gémissements s’accélèrent, un filet de bave coule le long du menton de la salope maso et il me semble entendre de légers "oui"."Jouis stupide pute masochiste!" je lui dis et je lui écrase la feuille dans le vagin. Sabrina se cambre, pousse un hurlement étouffé rapidement suivi d’un "Oui" déformé. Je maintiens à nouveau les jambes de la pute au cas où et j’enfonce l’ortie dans son intimité, en faisant des va et vient dans le vagin, jusqu’à ce que je n’ai plus qu’un bout de tige en main. La feuille d’orties s’est désagrégée, des bouts sont tombés par terre, d’autres sont restés enfoncés dans le vagin de la pute qui halète et flageole sur ses jambes."Assieds-toi sur le canapé et écarte les jambes, on sera plus à l’aise", je dis en prenant et enfilant une fine paire de gants en latex. Je suis pas fana des piqûres d’orties sur les mains !La pute confortablement installée, je me place entre ses cuisses écartées au maximum et prend une poignée d’orties.Cette fois j’y vais franco et tout en hurlant "souffre stupide femelle" j’appuie fermement les orties sur le clito que j’ai jusqu’à présent soigneusement évité. Sabrina a  un sursaut et pousse un long cri étouffé qui fait sortir le gode à moitié de sa bouche. Ses spasmes m’indiquent qu’elle ressent un nouvel orgasme alors je broie les orties à en faire de la purée et je lui enfourne le tout à lui remplir le vagin en m’aidant d’autres orties fraîches.Je retire le gode de la bouche de la pute pour pas qu’elle s’étouffe. Son visage est rouge et couvert de sueur. Elle halète et voyant que je la regarde, murmure "ma chatte me brûle, c’est bon, continuez, vous me baiserez la chatte après, c’est si fort, si bon". Elle continue à divaguer les yeux mi-ouverts et c’est vrai que j’ai terriblement envie de ramoner cette chatte martyrisée. Je m’emploie à retirer la bouillie d’orties du vagin de la pute. Les chairs brûlantes sont couvertes de petits boutons. Cela me met le feu dans la queue et je pénètre la pute jusqu’à la garde. Je n’ai jamais senti un vagin aussi chaud ! Et aussi humide ! La salope mouille comme une fontaine. Résultat, j’ai beau la labourer, je ne ressens finalement pas grand chose, la pute mouille trop ! Par contre elle, ses chairs à vif semblent lui procurer une sacrée jouissance car elle se met à hurler une série de "Ouuuuuiiii" significatifs. Ca me met en rogne et je décolle à la chienne une volée de coups sur la visage en lui hurlant toute ma frustration. Je lui arrache d’un coup la pompe à téton et les pinces tétons ce qui fait cambrer la conne sous la douleur. Je lui prends les seins et les serre fort, très fort. J’ai toujours ma queue en elle mais cela ne me procure aucun plaisir. Je me retire et fonce ouvrir le frigo pour en retirer le bac à glaçons de la partie congélo. Va y avoir vengeance ! Je récupère la serviette et un bol que je remplis des glaçons. Je retourne à la pute gémissante qui a toujours les cuisses grand écartées. "Tu vas aimer ça grosse pute maso!" Sans préambules je me mets à enfourner les glaçons un à un dans le vagin martyrisé tandis que Sabrina se contorsionne de manière ridicule et pousse de petits glapissements qui montent progressivement en intensité. Il n’y a rien de pire parait-il comme torture que d’alterner la brûlure par le chaud et le froid. La pute doit bien déguster à se faire traiter ainsi ses si sensibles chairs intimes."Tu aimes ça salope hein je lui demande ? C’est bon pour ta chatte ce que je lui fais ?"Une fois le vagin entièrement rempli, je prends un autres glaçon et le promène sur les lèvres et le clito. Je l’enfourne ensuite dans la bouche de la salope "Suce, il a le bon goût de ta mouille".Avec un autre glaçon je m’amuse à titiller les tétons puis je le frotte vigoureusement sur les mamelles.Un filet d’eau coule du vagin de Sabrina. Je me dis que la putain a bien mérité une bonne série de coups de martinet et de cravache sur son sexe meurtri. "Assieds-toi bien droite, bombe le buste et écarte tes cuisses stupide vide-couilles" j’ordonne à la pute.Je prends la cravache de la main droite avec laquelle je vise la chatte et de la main gauche je fouette les nichons de la salope.La chienne se met à hurler sous ce double traitement. La cravache s’abat en faisant des "splotch" sur la chatte du fait des glaçons en train de fondre, ce qui doit atténuer la force de l’impact mais je suis sûr que la stupide masochiste déguste quand même. Tout en n’arrêtant pas d’insulter cette stupide femelle, j’alterne les coups quand ils commencent à manquer de précision et je ne m’arrête qu’une fois l’opulente poitrine bien zébrée. Les glaçons ont l’air d’avoir bien fondu au vu de la petite mare aux pieds de Sabrina. Celle-ci n’a pas arrêté de hurler sa douleur et son plaisir. Il est temps que je prenne mon pied moi aussi. Avec la serviette je récupère le reste de glaçons enfoncés dans le vagin de la pute. Ce dernier est tout froid désormais. Il faut vite que je le défonce avant que la chienne ne l’inonde de sa putain de cyprine !Je m’empale à nouveau dans le sexe martyrisé. Le froid enveloppe ma queue, c’est une sensation étonnante. Je me mets à ramoner le vagin mais je sens un engourdissement progressif dans ma queue dû au froid. Je me dis que la pute aussi ne doit plus rien sentir. Bordel c’est pas possible ! Moi qui voulait jouir dans une chatte mutilée ! Je me retire. Mon gourdin est complètement insensible et dur comme du bois. Il ne reste plus qu’une solution pour le ranimer, un bon deep-throat !"Mange ma queue et réchauffe-la sale pute". Je m’enfonce dans la bouche ouverte et je tiens la tête de la suceuse de bites dans mes mains. Je lui impose des va-et-vient et je sens la vie revenir dans mon membre viril. Une douce chaleur s’empare à nouveau de ma queue et de mes couilles. Rien de tel qu’une bonne bouche à bites et d’une langue pour connaître les meilleures sensations. Et Sabrina est vraiment une bouffe-bites douée. Elle joue de sa langue quand je ressors partiellement mon membre, elle sait le laisser s’empaler dans sa gorge sans avoir de hoquets, et le garder de longues et délicieuses secondes dans cette position. Le feu s’empare de mes couilles sous ce traitement divin. Avec le feu se réveille à nouveau la Bête en moi et j’ai envie de faire mal, très mal à cette femelle. J’enfonce ma queue d’un coup à fond, je prends des orties dans la main droite et je les frotte contre un sein de la pute. Sous la brûlure elle me mordille légèrement la base de la bite mais cela ne fait que renforcer mon plaisir et je prends mon pied à écraser les orties sur le pauvre sein qui se couvre de petits boutons et de rougeurs. Cette vision m’excite à mort en gros sadique que je suis. Je change de main et offre le même traitement à l’autre mamelle pour pas qu’elle soit jalouse. Je sens mes couilles commencer à exploser, je ne vais plus pouvoir me retenir longtemps. De même Sabrina est en transe, elle bave sans retenue, laisse échapper moults gémissements et cris étouffés, son corps est traversé de spasmes. Je me sens venir. Je veux éjaculer sur les nichons martyrisés. Je me retire juste à temps, juste avant qu’un flot de sperme ne jaillisse de mon membre dégoulinant de bave. En hurlant, j’asperge les mamelles de la pute, encore en partie couverts de purée d’orties. Mon jet est si long que je peux aussi finir par une faciale sur le visage rougi de la pute, qui la bouche ouverte, essaie de récupérer le plus possible de sperme, cette salope !Je lui enfonce alors à nouveau ma bite à fond dans la gorge. "Tu aimes le sperme, sac à foutre, régale-toi, n’en perds pas une goutte !"
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