Ah c’est toujours pareil. L’été : les amis, la fête, l’alcool et les rires. Et c’est toujours pareil, j’ai un gros faible pour Claire depuis de nombreuses années. Pourtant je ne suis jamais passé à l’action. Un excès de timidité malgré nos vingt-ans passés. Ce soir là, on était toute la bande réunie chez Marion pour un apéro, avec tentes dans le jardin, pour pouvoir profiter à fond de l’alcool et de ce week-end. Déjà le mois d’août. L’été passait encore une fois bien vite. Nous étions sept ce soir là. Affalés sur le canapé de Marion, à déconner et refaire le monde. Les relents d’alcool avaient encore une fois raison de nous, et nous étions tous «faits», mise à part Claire qui buvait toujours un peu moins que le reste du groupe. Claire était tout contre moi, serrée entre bibi et Marion. De l’autre côté de notre hôte, son copain avec qui elle était depuis le collège : Vincent. Cédric était présent juste à côté de lui sur le fauteuil. A nos pieds, sur des poufs, Lise et Florian. La soirée se passait magistralement, quand Marion prit la parole. — Attendez, on vous a pas montré nos souvenirs de vacances de juin les gars ! Il y a quelques semaines, Marion accompagnée de son copain Vincent, Caire, Cédric et Benoît (absent ce soir là) étaient partis passer plusieurs jours dans une villa en Espagne. — On a des photos à vous montrer ! C’était super avec la piscine, le beau temps et tout le reste. Marion brancha son ordi à la télé et commença à faire défiler les photos. Beaucoup de délires, de plage, de grillades, de piscine... Tout le monde riait en regardant les photos. Après une vingtaine de photos défilées, Lise questionna Marion. — C’est quoi cette vidéo à la suite de tes photos ?— Ahahaha un délire un soir dans l’appart.— On peut voir ?— Je sais pas si vous l’avez mérité hihi. Bon heureusement qu’on a tous la vingtaine passée, sinon...— Sinon quoi ? Allez montre nous ! Tu en as trop dit ou pas assez !
Après ces mots, et bien aidée par l’alcool Marion ouvrit la vidéo avec le logiciel. On y découvrit justement Marion au côté de Claire dans le bain sans mousse. Claire assise contre moi, commençait à rosir des joues et se replia sur elle même. C’est la première fois que je vis mes deux amies dénudées depuis nos rencontres en classe de primaire.Le contraste entre les deux était assez fort. La caméra filmait les têtes des filles, ainsi que leurs poitrines. Marion était une jolie brune au teint mat, avec de jolis seins biens ronds et assez volumineux avec de larges auréoles brunes. Claire était quant-à-elle toute fine, avec des cheveux blonds et des yeux bleus. Et des seins quasiment absents. Comme si sa puberté s’était arrêtée à ses quatorze ans. Elle était plate, avec juste deux boutons minuscules : ses tétons roses. On voyait à peine la naissance de ces seins en forme de poire. Je savais qu’elle avait toujours complexé sur son manque de formes. Même si elle pouvait se mettre sans complexe en maillot de bain devant nous depuis le temps.A la vue de la vidéo, je la trouvais sublime, même si Marion n’était pas mal non plus. Elles rigolaient et parlaient. — Vous êtes trop mimi les filles. C’est chou, et un peu hot, je le reconnais. Après ces mots de Lise, on entendit la voix du cinéaste dans l’enregistrement. C’était Benoît. Je commençais à devenir jaloux. Claire s’était montrée à poil devant un pote. Je n’avais jamais eu le privilège de cette situation. Dans cette baignoire si grande, on vit alors le gros plan s’estomper pour laisser place à une vue d’ensemble. « Claire tu caches bien ton jeu coquine» scandait Benoît de l’autre côté de la vidéo. On vit alors debout dans le bain, Vincent à poil à côté de Marion. Il avait une bite assez longue mais plutôt fine. Cédric lui était positionné pareil, mais à côté de Claire. Lui était très bien membré. Je vis alors Claire qui approchait son visage de sa bite, et lui fit milles bisous sur la verge s’amusant avec sa langue avec un regard qui en disait long sur son désir. J’étais stupéfait. Claire à côté de moi, assise, ne disait rien mais avait les larmes aux yeux. - J’aime la bite ! Surtout quand elle est grosse comme celle-là. Viens mon cœur, laisse moi te sucer. Je veux palper ton gland, exprimait dans l’ardeur Claire dans le film vidéo. Au même moment, Marion se laissait caresser les seins par son copain. Claire faisait une fellation à Cédric, avec un savoir-faire de qualité. J’étais submergé. La voir faire ça, à un pote d’enfance qui savait que j’étais fou d’elle... En plus il était présent là, à quelques mètres de moi. Et puis merde, elle l’avait appelé «mon cœur». Plus personne ne parlait dans la pièce, happés par la scène qui se jouait dans cette baignoire.Rapidement, Vincent vint se positionner entre les deux filles, et commença à jouer avec les mini-seins de Claire qui aimait visiblement ça. Elle râlait de plaisir, tout en se faisant appeler par des noms coquins comme « sale pute, chienne, avaleuse de bite...». Rapidement Claire se leva dans la baignoire. Elle était entièrement épilée et était sublime avec ces petites hanches toutes fines. Marion elle s’occupait ardemment de son copain en le suçant avec tant de douceur et de fièvre. C’était assurément une pro. Dans le même temps, sur le canapé, Claire chercha ma main avec la sienne, et me la serra espérant trouver quelqu’un à qui se raccrocher. Mais je la retirais illico. La scène était autant insoutenable pour moi que pour elle. Claire me dégoûtait. Mon regard fuyais le sien. J’étais fou d’elle, et la soirée virait au cauchemar pour moi. Marion se leva dans la baignoire à son tour, nous faisant admirer sa chatte rasée en ticket de métro, et son cul ultra callipyge. Elle avait des fesses bien rondes et charnues, parfaitement musclées. Les fesses de Claire étaient parfaitement blanches, et bien plus minces, mais tout aussi belles. Les deux filles s’échangèrent alors des bisous. Elles se cajolaient, se câlinaient, et jouaient chacune leur tour avec les seins de l’autre. Elles se doigtaient aussi, provoquant de nouveaux râles. A présent, Vincent jouait avec les fesses de la meilleure amie de sa copine (Claire), pendant que Cédric en faisait de même avec Marion. Sans jalousie aucune. La scène était torride et si cruelle à la fois... C’est alors que Vincent glissa sa bite dans le cul de Claire qui se laissa faire avec grand plaisir. Cédric fit de même entre les fesses de Marion. Assez rapidement, Marion montra une objection. «Pousse-toi Cédric, c’est le moment de Claire pas le mien. Je vais prendre la caméra, pour que tu en profites avec Benoît», dit-elle en rigolant. On vit alors l’échange de caméra se faire. Claire toujours entrain de se faire enculer, se positionna en levrette, et se mit à sucer Benoît. Cédric et Vincent eux se prêtaient à tout de rôle l’anus de ma blonde désirée tout en pinçant, et jouant avec sa mini-poitrine qui pointait comme jamais. Marion qui filmait le tout, tourna alors la caméra vers sa tête, et dit : «Ma Claire aime la bite. Surtout la grosse. Elle s’imagine sans doute que c’est Bastien qui la ramone. Mais non, ce sont ses meilleurs potes ahah». Elle se filma alors entrain de se masturber. Mon sang ne fit qu’un tour en moi. Elle s’imaginait se faire ramoner par Bastien... Je ne vous l’ai pas encore dit mais c’est moi Bastien... Claire jouissait dans la vidéo. Sur le canapé, les yeux rouges, elle me chercha du regard, et repris ma main. Elle était en sanglot. «Mais je t’aime Bastien. Comme toi tu m’aimes. Je le sais depuis toujours... C’est toi que je désire», me soufflait-elle entre les pleurs. Je la regardais pétrifié. «Comment je pourrais te désirer à présent, alors que t’es avec Cédric, ou Benoît, ou Vincent à niquer dans le film. Tu t’es fait sautée par toute la bande sauf moi... puis j’ai une petite bite en plus, et toi visiblement tu préfères le niveau au dessus..» Ce dernier commentaire la fit bugger le cours d’un instant... - Mais arrête j’avais bu, ça c’est passé qu’un soir pour délirer. Tu n’as jamais fait le premier pas non plus depuis le temps que tu me désires. Ne me fais pas culpabiliser... Entre-temps j’avais retiré ma main de la sienne. C’était moi à présent qui était en pleurs. Je laissais l’orgie se poursuivre à la télévision, et rejoignis ma tente deux places, qui devait justement accueillir en tout bien tout honneur Claire cette nuit. Tant bien que mal, après m’être débarrassé de mes vêtements mise à part mon boxer, et aidé par l’alcool, je tombais dans les vapes. Je ne sais combien de temps après, je sentis une présence dans la tente. Dans la difficulté je trouvais ma frontale que j’allumais. Claire était là pour dormir, munie d’un sourire marquant la gêne et la honte. Elle avait les yeux rouges. Devant moi, alors, elle retira la robe qu’elle portait ce soir là. A ma grande surprise, elle ne portait aucun sous-vêtement. - N’éteins pas s’il te plaît Bâtou. Pourquoi m’appelait-elle comme ça se soir là. Elle se colla contre moi. Mes seins étaient définitivement plus gros que les siens. Elle me regardait dans les yeux. Les larmes me remontaient ainsi qu’à elle. - Si tu savais comme je m’en veux Bastien. Ça va faire dix ans que je rêve que tu m’embrasses. Mais j’ai compris un truc ce soir. Même si tu en meurs d’envie, tu n’oseras jamais. Tu es trop timide. Alors elle colla ses lèvres aux miennes, et je ne sais pourquoi, je me laissais faire. Mes mains partirent à la rencontre de son corps svelte. Mes caresses lui plaisaient visiblement. De son côté elle enleva mon boxer. — C’est peut être un petit zizi, mais c’est le plus joli que je n’ai rencontré... Sa bouche rencontra mon pénis. Elle me suça et bien plus, et depuis nous sommes ensemble. Et plusieurs fois nous sommes partis en vacances ensemble avec tout le groupe. Et je peux vous dire que Marion suce vraiment bien. Et je ne vous parlerait pas de la bite de Cédric que j’ai découvert par la même occasion...
