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Une Prof Fan de Sodo ?

Chapitre 1

Hétéro
Je me présente, je m’appelle Henry, étudiant en 2ème année BTS Négociation et Relation Client. Âgé de 20ans et plutôt beau garçon, je n’étais pas quelqu’un qui avait beaucoup de relations sexuelles, mais énormément de fantasmes. L’un de mes meilleurs fantasmes se réalisa. Ma professeure de Relation Clientèle, Madame A, âgée de 47ans. Assez fine, avec des cheveux courts, cette prof ne me laissait pas indifférente malgré le fait qu’elle ait plus du double de mon âge, que ça ne soit pas non plus un mannequin et qu’elle soit assez énervante comme prof, assez sévère.
Un jour alors qu’on faisait des recherches sur les ordinateurs, je rêvassais, ou plutôt je fantasmais sur la prof, une robe rouge, des collants chairs, des bottes en cuir noir avec un talon d’une hauteur d’environ 9cms. Elle enchaînait les allers-retours entre son bureau et les ordinateurs, et à chaque fois je regardais son cul et sa démarche gracieuse. Tout à coup, elle se dirigea vers moi.
— Henry, tu pourrais me donner un coup de main s’il te plait ?— Euh oui bien sûr Madame, que puis-je faire ? bégayais-je en étant surpris.— J’ai des cartons à ramener dans une des petites salles inutilisées au fond du couloir, tu veux bien les emmener avec moi. — Oui oui.
Nous étions accroupis près des cartons remplis de documents. Elle en prit un. Il en restait 3.
— Tu peux prendre celui-là à mes pieds d’abord.
Si près de la femme qui me faisait fantasmer depuis désormais 15 mois, je devins tout stressé. Tout tremblant, je finis par toucher ses bottes en voulant prendre le carton par en dessous. Je ne sais pas si elle le sentit, car ce n’était pas très virulent. Cependant, elle esquissa un sourire. Je réussis tout de même à saisir le carton.
Nous étions maintenant en route vers la soi-disant salle, je la suivais, et je ne le perdais pas de vue. Ces jambes me rendaient totalement fou. Je commençais à bander durement. Le souci était que ça se voyait. Je baissais le carton pour éviter que cela se voit de trop. Nous arrivâmes devant la salle. Elle posa son carton par terre, prit les clés, ouvrit la porte, se baissa pour ramasser son carton, jeta un oeil vers moi et me laissa passé en premier. Lorsque je passai la porte, elle me parla :— Tu as eu du mal à attraper le carton, mais alors pour le porter je viens de voir que tu n’as pas besoin de tes bras.Elle avait dû voir que mon membre était au garde à vous et y faisait référence. Je posais le carton dans un coin au fond, lorsqu’elle fit de même, mais à l’entrée. La pièce ne faisait même pas 10m◊. La porte avait été refermée, je m’y dirigeais, j’allais ouvrir la porte, mais Madame A me stoppa. — Attends— Pardon ?— Tu crois que je ne t’ai pas vu ? dit-elle en se rapprochant de moi.— Vu faire quoi ? angoissai-je.— Me mater lors de mes défilés sous tes yeux toute à l’heure, je suppose que tu t’es bien rincé l’oeil sur le chemin également, je n’imagine même pas tes pensées pour avoir une trique pareille.
Elle saisit mon paquet à travers mon pantalon, avant de continuer à me parler, mais cette fois en chuchotant dans mon oreille.

— Je suis prof, j’en ai vu des jeunes, aucun ne m’avait excité, mais alors toi.
Je restais bouche bée, tandis qu’elle commençait à m’embrasser dans le cou et à descendre lentement. Sa main glissait sur mon torse. Elle était à genoux en train de me retirer mon pantalon. Je savais que je bandais beaucoup trop, et que lorsqu’elle allait me retirer mon caleçon, elle se prendrait une bifle énorme sans que je puisse rien faire. Je n’en pouvais plus, mais une pulsion m’envahit.
— A-A-Attendez.
Elle me regardait avec des yeux de chien battu.
— Désolé Madame, mais je n’en ai trop envie.
Je la saisis par les dessous de bras et la releva d’un coup, elle entoura ses jambes autour de ma taille. Je la regardais dans les yeux, et enfin je l’embrassai. Ses lèvres, sa langue, tout était excellent. Je m’arrêtai de l’embrasser seulement pour pouvoir reprendre mon souffle. Sur le moment, je ne voulais plus rien gouter d’autre de ma vie que ses lèvres.
— Vos lèvres ont un goût exquis.— Merci, tu es gentil, et pour ça je vais te remercier, d’une excellente façon. Repose-moi par terre. Je m’exécutais. Elle baissa le caleçon pour me libérer, mais elle se mangea une biffle en plein dans les dents. — Tu as aimé ma langue et mes lèvres, tu vas aimer ce qui va venir.
Elle posa la main sur mon chibre, sortit sa langue comme un serpent, et vint titiller mon gland. Mes yeux firent 15 tours tellement c’était bon, je ne fus pas loin de crier. Et là, ses lèvres arrivèrent. Un pur délice, ces allers-retours étaient divins. Jamais je n’avais connu ça. Au bout de 5mins, je ne fus pas loin de lancer la sauce. Je la prévins et elle arrêta de suite. Elle s’assied sur une des tables, je la regardais un peu incrédule, elle souleva sa robe, retira sa culotte, et me regarda dans les yeux. Elle prit son pied droit botté pour venir appuyer sur mon front, me forçant à m’agenouiller. Elle mit ses bottes autour de mon cou et me força à me rapprocher de sa chatte. Avant d’attaquer, je m’excusais.
— Pardon madame, mais je ne pourrai pas vous donner autant de plaisir que vous m’en avez donné.— Tais-toi, et lèche ! me dit-elle en appuyant avec ses bottes de façon à ce que je lèche.
J’étais parti, et j’avais l’impression d’avoir plus de plaisir qu’elle malgré ses gémissements. Je massais ses petits seins également. Tout en elle était bon.
— Je pourrais vous embrasser et vous léchez jusqu’à la fin de la vie. Tout est succulent en vous.— Tout est bon dans la cochonne.
Je sentis l’étreinte de ses bottes s’amoindrir.Elle me tira les cheveux pour que j’arrête, me cracha au visage, et me lâcha.
— Tu vas me remplir comme jamais, je veux que toutes les salles de cours m’entendent.
J’avais de la pression. Elle s’installa comme elle le voulait, c’est à dire, les avant-bras sur la table, penchée en avant, sa chatte offerte. Je mis une capote, et commençais à entrer en elle, et c’était parti, j’enchainais les va-et-vient. Durant 2 minutes, tout se passait bien elle criait, mais ses "encore" m’invitaient à lui donner encore plus de plaisir, et la pression m’envahit. Ma queue sortit, je voulus la faire rentrer à nouveau, mais dans la précipitation je lui mis dans l’anus. Cela la déchira. Elle se rétracta, cria de douleur, puis me donna un coup de pied sur le torse pour que je me retire. Je m’excusais, en essayant de rentrer à nouveau dans son vagin, mais elle refusa.
— Le spectacle est fini ! On retourne en cours !— Vous, vous allez bien ? Vous ne pouvez pas me laisser comme ça. — Oh que si.
Sans pouvoir éjaculer, je retournais avec elle en cours. Excitée et remplie, la dernière heure de cours avec elle allait être difficile. À la fin de l’heure, elle vint me voir.
— Désolé pour toute à l’heure. Je n’étais pas prête pour la sodomie, mais pourquoi pas en fait, la sodomie entre nous peut être sympa. Vu ce que j’ai ressenti, je vais aimer la sodomie à mon avis. Samedi, chez moi, 20h.— Merci Madame, je ne vous décevrai pas.
J’attendis que tout le monde parte pour me lever, je l’embrassais à pleine bouche.
— Excellent.
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