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Une région accueillante

Chapitre 1

Gay
Après avoir hésité de nombreuses années, nous nous sommes enfin décidés à déménager en province. Originaire du Var, mon épouse ne s’est jamais vraiment adaptée à la vie parisienne et c’est tout naturellement que nous avons déposé nos valises sur les hauteurs de Toulon.Ayant tous deux atteint la trentaine et n’ayant pas d’enfant, les difficultés d’une telle aventure n’avaient rien d’insurmontable. Infirmière, Solange n’a pas tardé à trouver un emploi. Pour ma part, expert-comptable, cela n’était pas aussi facile. Chargé de la comptabilité de deux petites entreprises artisanales, je profitais de mon temps libre pour prospecter dans la région.Un après-midi en rentrant, j’ai vu sur le bord de la route un homme accompagné de son chien qui marchait d’un bon pas. La journée était chaude mais cela ne semblait pas le déranger. Arrivé à sa hauteur, j’ai ralenti pour lui proposer de le déposer. Il devait avoir une soixantaine d’années mais les portait plutôt bien. Les cheveux blancs taillés en brosse contrastaient avec sa peau bronzée. J’aurais parié pour un ancien militaire à la retraite.— Cela vous dit que je vous dépose ?— Volontiers mon gars.Le ton était sec mais, mais étrangement adouci par un sourire sympathique. Après avoir fait monter son chien à l’arrière, il s’installa et entama de lui-même la conversation.— Vous n’êtes pas d’ici vous ?— Pourquoi, cela se voit tant que ça ?— Personne ici ne porterait un costume par une chaleur pareille.Sans en savoir plus sur le personnage, je me suis mis à raconter mon histoire. Je luis faisait part des difficultés que j’avais à trouver des clients et des tensions que cela engendrait dans mon couple. Il écoutait sans montrer le moindre ennui et ponctuait certaines de mes confidences d’une boutade qui nous faisait rire tous les deux. En peu de temps nous avions sympathisé.Nous longions la forêt d’Ollioules lorsqu’il me demanda de tourner sur la droite. Il s’agissait d’un grand chemin qui semblait s’enfoncer entre les arbres. J’avais dû faire une drôle de tête car c’est en éclatant de rire qu’il m’annonça qu’il habitait là. En effet, dissimulée derrière un mur de végétation, je pouvais apercevoir une grille s’ouvrant sur un mas de Provence. Il s’agissait d’un mas modeste mais remarquablement situé avec vue superbe sur la mer. — Chouette coin dit donc.— Tu aimes ?— Faudrait être difficile.Tout en remplissant un bac d’eau pour son chien à la fontaine, il me raconta l’histoire de ce mas. Il avait appartenu à la famille de sa femme. Au décès de celle-ci, il en avait hérité. Une fois à la retraite il avait décidé de l’habiter en permanence.— Tu veux boire quelque chose ?— Un truc frais si tu as.— Bière ?— Oui, parfait.Lorsqu’il est revenu avec les bières, j’étais en train d’admirer le panorama. Le coin était vraiment tranquille et le paysage digne d’un roman de Giono.— Tiens, installe-toi là. Il m’indiqua un canapé en rotin à l’ombre d’un auvent fait de tuiles.— Ça te dérange si je prends une douche ? J’en ai juste pour un instant.— Non, non vas-y.Je savourais la bière et profitais de la fraîcheur de l’auvent. Le chien avait bu tout son soul et s’était allongé sur le flanc. — On est bien là, non ?
Je me suis retourné et je l’ai vu. Torse et pieds nus, il n’était vêtu que d’une serviette qui lui ceignait les reins. La bière à la main, il est venu s’installer en face de moi. En s’asseyant le pan de la serviette s’est entrouvert et j’ai aperçu son sexe. Il ne semblait pas l’avoir remarqué. — Tu vas voir, si tu décides vraiment de t’adapter à la région, elle saura se faire aimer.J’avais encore en tête la vision de sa queue au repos et je n’ai entendu que la fin de sa phrase. Aussitôt je me suis mis à rougir.— Pardon ?— Je disais que dans la région pour s’y sentir bien, il faut faire l’effort de s’adapter aux gens.— Oh ! on ne connait pas encore grand monde mais, je crois que ça va aller.Nous avons discuté un moment. Le ton était amical, comme familier. J’avais la tête qui tournait un peu, mais je me sentais bien et je voulais faire durer cette sensation.— Tu veux une autre bière ?— Ok une petite dernière et je vais y aller. Lorsqu’il s’est levé, je l’ai suivi du regard. Il devait mesurer 1m75 et semblait ne pas avoir un poil de graisse. Il avait une musculature sèche mise en valeur par sa peau dorée. Soudain, je me suis aperçu que je bandais. Il faut dire que depuis quelques temps, le sexe avait déserté ma vie. Le tissu léger de mon pantalon était déformé au niveau de la braguette. J’avais l’impression qu’on ne voyait que ça. Il m’a tendu la bière et s’est assis à côté de moi. Cette fois-ci sa queue semblait s’être éveillée. Même après qu’elle eut disparue sous le tissu de la serviette, je gardais son image gravée dans mon esprit. Pour tenter de la faire disparaître, j’ai bu une nouvelle gorgée, mais rien n’y faisait. Une autre a suivi, puis une autre encore. Plus j’essayais d’oublier cette vision, plus elle s’accrochait à moi. Lorsque j’ai voulu me lever, j’ai dû m’y reprendre à deux fois. Mais une fois debout, l’impression d’ivresse m’obligea à me rasseoir. — Tu ne vas pas pouvoir partir dans cet état.— Oh avec un peu d’eau fraîche sur le visage ça va aller.Il ‘est approché de moi et, sans que je m’y attende, il a plaqué sa main sur la bosse que j’avais entre les jambes.— Pas aussi chargé quand même ?C’était la première fois qu’un homme posait la main sur moi. Du moins à cet endroit et surtout de façon aussi directe. J’aurais pu le repousser, j’aurais dû le faire immédiatement même, mais j’étais soudain paralysé. Sa main était à la fois douce et ferme et, comme envouté je le laissais me palper l’entre-jambes.— Tu aimes ?— Oh oui !— C’est la première fois ?— Oui.— Jamais eu envie ?— Non ! Enfin si … Je ne sais pas …Ses lèvres avaient trouvé les miennes sans aucune difficulté et j’avais soudain envie qu’il me serre fermement dans ses bras. Ses baisers devenaient de plus en plus intenses. Il fouillait ma bouche de sa langue et me palpait les couilles avec rudesse. J’aimais ça, jamais je n’avais ressenti un tel désir me tarauder le ventre. Lorsqu’il s’est écarté, la serviette avait disparue. Sa queue n’avait pas encore atteint sa plénitude mais elle était déjà bien plus grosse que je ne l’imaginais. J’avais chaud, j’avais soif et j’avais envie qu’il me touche à nouveau. Devais-je le lui dire ? Je me sentais complètement perdu. J’attendais un mot, un geste de sa part. Face à moi, une jambe écartée, il a commencé à se caresser le chibre. J’étais fasciné par le mouvement de va et vient qu’il donnait à sa main. Fasciné aussi par la beauté de sa queue qui maintenant se dressait fièrement. — Elle te plait ?— Oh oui !— Je n’ai pas entendu.— Oh oui ! oui ! oui !— Tu as déjà sucé un mec ?— Non ! jamais.— Et pourtant tu en a envie hein ?— Oh oui !— Cela t’excite seulement ou tu en as vraiment envie ?J’étais au comble de l’excitation, je n’en pouvais plus d’attendre, il me la fallait maintenant et j’étais prêt à tout pourvu qu’il me laisse la sucer.— Oh j’en ai vraiment envie … Oh oui … Donne-la-moi … Laisse-moi la sucer.— Tu vas t’appliquer ?Le salaud, il jouait avec moi. Je le savais mais je m’en foutais, je ne pouvais plus revenir en arrière, j’avais trop envie de sa bite.— Oui ! je vais m’appliquer … promis … promis. — Qu’est-ce que tu attends alors ?Sans réfléchir, je me suis penché en avant et j’ai approché ma bouche. D’un geste sec il m’a giflé avec sa matraque. J’ai été surpris mais je suis revenu à la charge. Encore une fois j’ai ressenti le choc contre ma joue. J’aimais ça … oui j’aimais ça qu’il cingle mon visage avec sa queue si dure.— Doucement gourmande … Je me suis avancé et j’ai courbé la tête. J’avais son gland sous les yeux. Du bout des doigts je me suis mis à le caresser. Il était lisse et velouté comme la peau d’un fruit, souple et moelleux. J’allais enfin pouvoir le goûter. Ce premier contact avec mes lèvres m’a fait frissonner mais très vite, j’ai eu une envie folle de le lécher. Langue tendue j’ai exploré son pieu. D’abord sur le bout en titillant la fente puis glissant sur le frein je me suis aventuré jusqu’aux bourses. Elles étaient pleines et lourdes et sentaient bon le mâle. Puis, remontant le long de sa tige, je l’ai pris dans ma bouche. Pour la première fois, je l’ai entendu gémir. J’adorais ça, mais je ne voulais pas qu’il jouisse. Pas maintenant. J’en voulais encore, j’en voulais plus, je voulais le branler et le mettre au supplice. Je voulais lui bouffer la queue encore et encore. Soudain, j’ai senti sa main peser sur ma nuque. Il m’obligeait à aller plus vite, plus profondément aussi. J’aimais ça, ça m’excitait de ne plus contrôler mes mouvements. Ma bouche ne m’appartenait plus, elle subissait les assauts de sa bite.— Ah c’est bon ! Oui vas-y ma petite pute, suce-moi bien salope !J’étais excité comme jamais, oui je voulais être sa pute, oui je voulais qu’il me défonce la bouche de ses coups de queue. Il accélérait encore et s’enfonçait plus profondément. Je ne pouvais plus respirer, je bavais, j’allais mourir. Soudain, il bloqua mon visage et déchargea dans ma bouche en râlant. Je ne pouvais pas tout avaler, il fallait que je respire à tout prix et surtout je voulais qu’il me jouisse sur la gueule. C’était vraiment trop bon d’être aspergé de foutre et je me suis redressé qu’une fois le dernier spasme passé. Lorsque j’ai repris mon souffle, je me suis aperçu que j’avais joui dans mon slip et que le sperme sur mon visage commençait à sécher.— Alors ?Adossé au coin de la banquette, il me souriait, mais son sourire n’avait rien de moqueur. L’ivresse avait disparu et je prenais conscience de ce qui venait de se passer. J’étais gêné, mais je n’avais pas honte. Face à moi, il avait à peine débandé. Je ne savais pas quoi dire … Du moins j’hésitais. — Je ne sais pas ce … Oh et puis merde ! Quand j’ai vu ta queue, j’ai perdu la tête. — Tu as jouis au moins ?Cela ne faisait aucun doute mais j’ai compris qu’il voulait l’entendre. J’aimais cette façon qu’il avait de vouloir jouer avec moi et cela m’excitait d’entrer dans son jeu.— Oui, je n’ai pas pu résister. Je m’excuse. Je me suis montré égoïste.— Lève-toi et fous-toi à poil.Cela sonnait soudain comme un ordre. J’allais sourire mais son regard m’en dissuada. Il était sérieux et sans m’en rendre compte j’ai obéi. Je me suis levé, j’ai ôté mes chaussures et mes chaussettes, quitté ma chemise et mon pantalon et fait glisser mon slip. J’étais nu devant lui et la gorge sèche j’attendais. Sa main avait repris son gracieux va et vient sur son engin et brusquement j’ai pris conscience de la taille ridicule de ma propre bite. — Tu vas te branler, mais pour ça tu vas te mettre à quatre pattes comme une chienne.J’aimais l’entendre me parler ainsi. Cela m’excitait. Moi qui avais du mal à bander plusieurs fois de suite, voilà que ma petite bite reprenait de la vigueur. Je me suis laissé glisser sur les genoux puis je me suis penché en avant. J’étais conscient de me donner en spectacle. — Cambre tes reins salope … Relève ton cul.— Oui ! Oui ! (je le faisais)— Ecarte les cuisses … Plus vite. — Oh oui ! (et j’obéissais de plus belle). — Allez, branle-toi le clito cochonne.Le visage contre le sol, je me suis mis à me masturber. J’étais soudain merveilleusement bien. J’étais une chienne en chaleur devant son maître. Je remuais le cul et m’astiquais la biroute. Hum ! Oui ! C’est bon ! Je vais décharger ! Hum encore ! J’avais envie de jouir et je n’y arrivais pas.— Dragon vas-y.Aussitôt j’ai compris qu’il appelait le chien. Non ! Non ! Pas ça … Mais au fond de moi j’en avais envie. Oui j’étais une chienne … Je tendais mon cul le plus haut possible. Soudain j’ai senti sa langue se glisser entre mes fesses. Il était adroit le salaud, il a tout de suite trouvé mon trou et il savait comment le fouiller. Oh oui ! Comme ça … Bouffe-moi le cul Dragon … Oui ! Oui ! Comme ça sur les couilles. Hum ! Et brusquement j’ai craché la purée. Après m’être vidé, je me suis affalé à moitié conscient.Lorsque j’ai repris mes esprits, Dragon me léchait la queue et les couilles. Soumis je me laissais faire. Après tout n’étais-je pas une chienne, sa chienne.
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