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Une relation anormale ?

Chapitre 1

Inceste
Catherine entre dans la chambre de son fils Romain.Elle n’est même pas surprise par l’état de la chambre. Pour un peu, elle lui ferait des compliments sur … la moitié de la pièce.Côté lit, ça va, il lui faut peu de temps pour remettre ça en bon ordre.Quand elle change les draps, elle ne peut s’empêcher de sourire en discernant des traces de plaisirs nocturnes de son gamin de seize ans. « Un p’tit homme, maintenant ! » pense-t-elle.
C’est quand elle arrive dans le coin de travail du fiston que le sourire disparaît. Des bouquins, des feuilles, des stylos, des transparents, encore des livres, … un véritable bazar digne d’un garçon de cet âge-là.Elle commence par enlever du sol tout ce qui jonche la pièce. C’est en arrivant dans le coin, à droite du bureau qu’elle fronce les sourcils. Elle aperçoit sur la plinthe et sur le parquet, des traces blanches de plâtre. Elle pense aussitôt à un trou mais en regardant le mur n’en déniche pas le moindre.Elle a alors l’idée de soulever la photo d’un groupe rock et là, elle voit une cavité de deux bons centimètres de diamètre. Elle se penche pour être à la bonne hauteur et se rend compte après quelques instants d’hésitation que la lumière qu’elle aperçoit par le petit trou visible de l’autre côté de la cloison provient de la salle de bains. Pas n’importe quel endroit, l’espace douche à l’italienne.S’étonnant de ne l’avoir jamais remarqué, elle change de pièce et se place sous la douche. Le mur voisin de la chambre de Romain est à un bon mètre cinquante d’elle et elle finit par voir le trou. Il est très discret car placé dans un coin de carreau de carrelage et le porte-vêtements tout proche le rend encore plus discret. Désormais, elle ne voit plus que ce trou, réfléchit et finit par déduire que son fils est un voyeur et qui regarde-t-il ainsi ? Il n’y a que deux possibilités : son père ou elle ? Ecartant immédiatement son mari, elle rougit en pensant que son fils la regarde quand elle prend sa douche.« Ce matin, j’ai pris une douche ! M’a-t-il regardée ? » Elle rougit encore un peu plus en repensant au moment certes assez furtif mais délicieux où elle a laissé ses mains glisser sur ses seins pour les caresser pendant quelques secondes avant de placer ses mêmes mains, une sur son minou, l’autre entre ses fesses, pour ce qu’elle appelle son petit cadeau du matin. Elle ne jouit pas, enfin pas toujours mais adore imaginer deux sexes en elle alors que ce sont deux doigts qui la pénètrent dans ses cavités.Et ce matin, elle a fait durer le plaisir un peu plus longtemps parce que la jouissance venait et elle a joui de ses deux bites imaginaires qui la pénétraient. Elle est toute chamboulée en retournant dans la chambre de Romain et peine à retrouver ses esprits. « Oh ! S’il m’a vu ! Qu’a-t-il pensé de moi ? »
Comme une somnambule, elle range un livre par ci, des crayons par là et manquant de place pour une série de feutres, elle ouvre le tiroir du bureau.Et là, stupeur ! Elle découvre deux de ses petites culottes ! Elle qui pensait que c’était ce vicieux de voisin qui les lui avait piquées sur le fil, dans le jardin.Second moment de stupéfaction ! L’une des deux est couverte de taches blanches qu’elle n’a pas de difficulté à reconnaître : c’est à n’en pas douter du sperme.Elle referme rapidement le tiroir et va s’asseoir sur le lit. Le choc est trop fort. Pour elle, les événements s’imbriquent facilement : son fils l’a maté sous la douche, une petite culotte à la main et a joui dessus. Elle a beaucoup de mal à recouvrer ses esprits. Elle est troublée, émue, choquée, excitée ! Tout se mélange dans sa tête ; une certaine fierté de l’effet qu’elle fait à son fils, contrebalancée par l’horreur d’imaginer que justement, c’est son fils !
Comme un automate, elle récupère les deux culottes, les mêle aux draps sales et emmène le tout en refermant la porte de la chambre.
Treize heures, Catherine et Romain déjeunent face à face. (Le mari de Catherine est parti pour la journée, comme d’habitude). En cette période de vacances estivales, ils sont sur la terrasse, sous un parasol.
Romain particulièrement bavard, saoule de paroles sa maman au sujet de sa matinée kayak, matinée absolument géniale.Catherine est beaucoup moins expansive, ses idées ayant du mal à prendre leurs justes places dans son esprit.Romain finit par s’en apercevoir et lance :« Y’a quek chose qui va pas maman ? »Elle hésite un bon moment, finit lentement la bouchée qu’elle a peine à avaler et lui répond enfin :« J’ai rangé ta chambre ce matin !— Oh, merci ma maman adorée !— Je me suis permis de mettre mes petites culottes au sale ! »C’est au tour de Romain de perdre sa voix. Il baisse du nez sur son assiette, l’air penaud et finit par murmurer :« Tu m’en veux, maman ?— Non, …, non, mon chéri, mais … ce … n’est pas … tout à fait … normal ! Je suis ta maman !— Mais tu es si belle !— Tu es gentil ! Mais, ça ne se… ça ne se fait pas !— Je ne fais de mal à personne !— C’est vrai mais …— Je ne t’ai pas touchée, je ne t’ai pas fait de mal !— Non, je sais ! Je sais aussi que tu me regardes quand je suis sous la douche !— … Tu, Tu m’en veux !— Si c’était une autre femme, je comprendrais ! Mais, …, je …, je suis ta maman !— C’était si beau, ce matin de te voir te caresser !— Ah ! Arrête, s’il te plaît ! »Et pour couper court à toute discussion, Catherine prend la corbeille de pain et la bouteille d’eau comme si elle avait prévu de débarrasser la table.Quand Catherine revient quelques instants plus tard avec la coupe de fruits, elle découvre son fils en pleurs.« Pardon, maman ! J’ai honte, tu sais, mais c’est plus fort que moi ! J’ai essayé de résister mais … tu me donnes tellement de plaisir ! »Voir son fils pleurer secoue Catherine qui s’approche de lui, plie ses jambes pour être à la hauteur du visage de son fils qu’elle commence à caresser :« Ce n’est pas grave, tu sais ! C’est même assez normal ! Tu deviens un homme et c’est logique que le corps d’une femme t’excite ! J’en suis très flattée, d’ailleurs ! Mais, admets, que cela n’est pas raisonnable puisque je suis ta mère ! Tu comprends ! Dis, tu me comprends ? »Et Romain plonge son visage dans le cou de sa maman pour lâcher les grosses larmes qui n’étaient pas encore sorties. Elle continue de caresser ses cheveux en répétant sans arrêt : « Ce n’est pas grave, allez, ce n’est pas grave ! »Romain insiste et à chaque fois que ses larmes lui laissent un peu de répit, il rabâche : « Je n’ai pas voulu te faire de peine, je ne t’ai pas fait mal, tu me donnes tant de bonheur ! »
Romain ayant bien du mal à se calmer, Catherine se relève, le prend par la main et l’emmène sur la balancelle, en bout de terrasse. Elle le prend dans ses bras et le doux mouvement d’avant en arrière finit par endormir son fils.Catherine ne bouge pas. C’est un merveilleux moment d’avoir son garçon dans ses bras. Plus le temps passe, plus l’image de son fils se faisant jouir en la regardant, l’excite au plus haut point. Elle se dit qu’elle ne doit pas être normale mais elle sent son corps réagir aux images qu’elle crée au fil des minutes qui s’égrainent.
Quand Romain ouvre les yeux, ils n’ont pas bougé de place. Sa mère lui sourit et en réponse, il lui dit :« Je t’aime, maman ! Je t’aime, tu sais !— Mais, moi aussi, je t’aime ! »Seulement, s’aiment-ils de la même façon ?Romain, se disant que s’il ne le fait pas maintenant, il n’osera jamais, brave sa timidité habituelle auprès du sexe faible et ose :« Maman, s’il te plaît, redonne-moi une de tes petites culottes ! C’est trop bon de les respirer en pensant à toi ! »Elle devrait crier, hurler : « Non, espèce de petit dégoûtant ! Obsédé sexuel ! »De longues secondes s’écoulent, tous les deux plongés dans des leurs pensées, mais sûrement différentes. Qui a les idées les plus scabreuses ? Pas le fils, en vérité qui semble se contenter de ses pratiques habituelles. Au lieu de cela, elle lui sourit et comme Romain se redresse, elle en profite pour se lever, s’écarte un peu de la balancelle et son fils est estomaqué de voir sa maman, plonger ses mains sous sa jupe, faire descendre la petite culotte rouge qu’elle porte et la tendre à son fils, en se retournant immédiatement pour cacher sa gêne !Bien vite, Romain se sauve dans sa chambre et s’enferme … pour une branlette qu’il estime bien méritée !
Quand, le soir, après le dîner, alors que son père est déjà devant la télé pour suivre son journal de 20 heures et qu’il débarrasse la table de la terrasse pendant que sa mère y déguste un café, au retour d’un de ses voyages (terrasse-cuisine), Romain est pris d’une incroyable audace. Il se penche et murmure à sa maman : « Ce matin, c’était génial, mais sans poils, ce serait encore mieux ! »Il ne demande pas son reste et file à nouveau en cuisine avec les derniers couverts présents sur la table.Catherine, interdite, n’a pas estompé le moindre geste. Elle avait la tasse au bord des lèvres et elle y est toujours. Elle est sidérée par l’aplomb de son fils, troublée par sa demande et gênée par son entrecuisse qui s’humidifie à mesure qu’elle se répète la phrase de Romain ! »
Le lendemain après-midi, alors que Catherine apporte une pile de linge dans la chambre de son fils, celui-ci, un large sourire aux lèvres, lui dit :« Je vais prendre une douche ! »Et hop, le voilà parti ! Catherine est désormais seule dans la chambre.Le sourire de son fils est très clair. Il veut qu’à son tour, ce soit elle qui le mate.Bien malgré elle, son cœur bat de plus en plus vite.Elle s’en défend mais elle meurt d’envie de soulever la photo du groupe rock pour observer son fils.Elle tient quelques minutes, assise sur le lit, jouant maladroitement avec ses doigts qui se nouent et se dénouent, avant de se lever. Elle respire un grand coup et va dans le coin de la pièce et dépunaise la photo qui cache le trou.Elle se penche.Son fils fixant le trou côté salle de bains, elle a le sentiment d’être elle-même observée et a un geste de recul. Mais la curiosité est la plus forte.Elle se repositionne et voit son fils, nu sous le jet d’eau.Il est tout sourire et le corps bien savonné, il éteint la douche.Ce qui concentre l’attention de Catherine, c’est l’entre cuisse de son fils. Romain bande et lentement, il se masturbe. La mousse glisse sur son sexe et pressentant la présence de sa mère, il se tend en avant, emprisonne sa bite en plaçant ses doigts le plus près de la base de sa queue pour la rendre encore plus grande.L’effet est réussi car sa mère est subjuguée par ce spectacle et dire qu’elle en est toute troublée est bien faible. Elle mouille comme cela ne lui est pas arrivé depuis un bon moment et là encore, l’envie est trop forte. Son corps réclamant la jouissance et étant amoureuse de plaisirs, elle glisse sa main gauche sous sa jupe, la faufile sous le fin tissu de sa culotte et commence à se branler.Romain a remis la douche en route, a vite fait d’ôter toute trace de mousse et reprend sa masturbation. Quelques allers et retours et imaginant sa mère de l’autre côté de la pièce, il ne tarde pas à sentir la sève monter dans sa queue et il se tend une nouvelle fois en avant et lance plusieurs jets de foutre en direction du mur où il y a le trou.Presque en synchro, sa mère voyant le sperme gicler, jouit, jouit très fort, l’index sur son bouton, tournant et tournant encore, avant de ralentir, le plaisir retombant.De peur que son fils ne la surprenne, elle s’échappe bien vite de la chambre de Romain.
C’est au cours du dîner que, son père étant parti chercher une bouteille de vin, il en profite pour glisser à l’oreille de sa mère :« C’était bon, hein ! »Nouvelle faiblesse de Catherine. Elle devrait montrer qu’elle est choquée et que ses propos sont scandaleux, mais au lieu de cela, elle lui sourit quand il se rassoit.Prétextant d’aller à son tour chercher quelque chose en cuisine, elle se lève, passe auprès de son fils et lui murmure :« Ce serait mieux sans poils ! »Finalement, le plus scotché n’est pas celui qu’on pense !
Nuit agitée pour tous les deux qui se demandent l’un comme l’autre jusqu’où ils vont aller. Catherine dit vouloir empêcher tout débordement et Romain commence à croire en l’impossible : faire l’amour à sa maman !Quand en milieu de matinée, Catherine entre dans la chambre de son fils, celui-ci est déjà à son bureau en train de « travailler » sur sa maquette navale.Après un tendre baiser, alors qu’elle regarde son fiston coller une minuscule pièce, dès qu’il a fini, Romain se tourne vers sa mère, aperçoit en premier le peignoir de bain dont est vêtu Catherine, relève son visage pour bien voir les yeux de sa maman et dit : « Pas gentille de mettre ton peignoir devant le trou ! Je n’ai rien pu voir ! … Dis, … tu l’ouvres ton peignoir !— Romain, veux-tu te taire ! Tu n’as pas honte ?— Je te promets que je ne te toucherai pas ! C’est juste pour me régaler de ton corps merveilleux !— …— Allez, dis, tu ne risques rien puisque je te promets que je ne toucherai pas !— … Bon, d’accord, mais toi aussi, y’a pas de raison !Il ne faut pas longtemps à Romain pour ôter les tee-shirt et caleçon qu’il porte.Il est maintenant assis face à elle, nu comme un ver et le sexe (sans le moindre poil – il a obéi à la demande de sa mère) en train de prendre une taille respectable.Sa maman se recule et lentement dénoue le cordon de son peignoir. Il s’entrouvre naturellement et laisse entrevoir un joli abricot (sans le moindre poil – elle a obéi à la demande de son fils) à la fente engageante. Avec ses mains, elle fait glisser le vêtement le long de ses épaules et elle est nue devant son fils. « Assieds-toi, lui dit-il et ouvre-toi que je voie comment est fait ton sexe. Je n’en ai jamais vu de près.— Tu ne me touches pas ?— Je te l’ai promis ! »Catherine s’installe au bord du lit et une fois bien assise, elle écarte lentement ses jambes jusqu’à ce qu’elle soit ouverte au maximum.« Ecarte les lèvres avec tes doigts ! »Rouge de confusion mais terriblement excitée par l’érotisme de ce moment d’abandon, elle obéit.Romain, émerveillé par le spectacle, s’agenouille devant elle.« Tu m’as promis de ne pas toucher !— C’est tellement beau que je veux voir ça de près ! … Et ça a l’air tout mouillé !— Oui, je mouille, je mouille comme toute femme qui est excitée par ce qu’elle vit ! »Prise par une folie de sexe, elle glisse son index entre ses petites lèvres, le retire, observe le jus qui le recouvre et tend ce doigt à son fils qui le lèche goulument. Vu le sourire radieux que lui adresse Romain, elle renouvelle le jeu plusieurs fois jusqu’à ce que … le téléphone vienne briser ce moment de bonheur.Comme redescendue de son nuage, Catherine enfile son peignoir et se précipite vers la porte de la chambre.Romain est seul, la bite en feu. Se délectant du parfum qu’il a dans la bouche, il ne tarde pas à laisser exploser son foutre sur le mouchoir qu’il a toujours dans son caleçon.
En fin d’après-midi, quand Romain rentre de sa partie de basket de rue, sa mère l’interpelle au passage :« Tu as vu dans quel état tu es ! Allez, à la douche et tout de suite ! »Romain saisit la balle au bond et se rapproche de sa maman :« Dis, et si tu me lavais comme quand j’étais petit !— Ça va pas, non ! Tu es bien trop grand !— Allez, s’il te plaît ! Je ferai comme quand j’étais petit ! Je me laisserai faire sans bouger ! »Après quelques instants d’hésitation, elle répond :« Allez, file, …, j’arrive dans deux minutes ! »S’il y en a un qui est heureux, c’est Romain.Quand Catherine entre dans la salle de bains, son fils est nu, sous la douche, ne lui montrant que son dos. Elle enlève prestement sa robe et enfile un peignoir, de crainte d’être mouillée.Elle s’approche de son fils, prend au passage le gel douche sur le lavabo et en fait couler sur le cou de son fils. Lentement, avec ses mains, elle étale le produit jusqu’à ce que le dos soit bien recouvert.Elle reprend le flacon et en verse à nouveau sur les épaules et tout en restant derrière Romain, elle fait, à l’aide de ses deux mains, descendre le gel sur la poitrine du garçon.Ses mains tournent, tournent tout en descendant petit à petit jusqu’à ce que l’une des deux mains touche la bite de Romain.Catherine enlève sa main gauche pour mieux se placer légèrement en côté de son fils : ainsi, sa main droite est bien en place pour la caresse qu’elle a prévue de lui administrer.Romain, telle une statue, ne laisse percevoir aucune émotion quand sa maman commence les va et vient sur sa bite. Mais, le plaisir est si intense qu’il commence à gémir, d’autant plus que sa mère vient de placer sa main gauche devenue libre, sur sa fesse droite. Lentement, les doigts se déplacent vers la fente qui sépare ses fesses, et l’index, plus inquisiteur pointe son extrémité à l’entrée du cul avant de se mettre à tourner tout autour.Comme les gémissements de Romain sont de plus en plus forts, elle ose enfoncer l’index d’une phalange puis de commencer des va et vient rythmés sur ceux de l’autre main.Il n’en faut pas plus pour que Romain arrive au bord de la jouissance.Au moment où sa mère murmure : « Jouis, mon chéri, fais gicler ton jus ! », il se raidit et plusieurs jets de foutre sont projetés vers le sol.Il faut quelques instants à Romain pour reprendre ses esprits. Sa maman a quitté la pièce et il sourit. Il est tout simplement heureux !
Nouvelle journée et Romain, en se réveillant, se demande ce qu’elle va bien pouvoir lui apporter.C’est son père qui le fait sortir de son sommeil en claquant de manière bien involontaire, la porte d’entrée.Impossible de se rendormir. Romain regarde l’heure de son radioréveil 7 :30Il décide de se lever, enfile son boxer et se dirige vers la cuisine. Passage obligé devant la chambre de ses parents.Il tourne machinalement la tête et voit sa mère, en slip et soutien-gorge, debout, de profil, le regard perdu dans ses pensées.Sans faire de bruit, il vient se placer derrière elle.« Bonjour, ma maman adorée ! »Il vient de plaquer ses mains sur les seins de sa mère.« Non, Romain, arrête ! »Romain n’obéit pas et couvre de baisers la nuque de Catherine tout en commençant à caresser les seins de sa mère.« Arrête Romain, tu n’as pas le droit ! »Romain n’écoute pas et continue le ballet érotique de ses mains qui sont en train de s’attaquer aux tétons qu’elles parviennent à pincer (délicatement) sous le tissu.« Tu m’agaces, Romain ! Je t’ai dit qu’on ne devait pas ! Voir, oui, mais pas toucher !— Et ma bite, tu l’as bien touchée hier … et visiblement, ça t’a bien plu, non ?— C’est pas pareil ! Je suis … ta mère et … tu me dois du respect !— Mais je te respecte tellement que je t’aime ! Tu sais ça ? Je t’aime et …— Ce n’est pas bien de profiter de ma faiblesse ! »Romain sourit et poursuit sa quête de plaisir.
Sa main gauche enveloppe le sein et le caresse lentement.Sa main droite, progressivement, descend sur le ventre de Catherine.Centimètre par centimètre, pour faire durer ce moment intense, les doigts se rapprochent de la culotte féminine.Cette fois, ils arrivent au but recherché ; ils s’insinuent sous le tissu et parviennent au sexe visiblement trempé de Catherine.Pour renforcer encore les sensations, Romain est maintenant collé contre sa mère, la bite agressive entre les fesses de sa mère protégées par le slip.Catherine ferme les yeux et comme Romain, hier, gémit sous les caresses. Elle n’est plus en état de s’opposer à la volonté de son fils. Le veut-elle d’ailleurs ? Les doigts de son fils alternent un doux frottement le long du clitoris avec une pénétration lente mais forte à l’intérieur d’une grotte dégoulinante de cyprine.Le jeu amoureux dure, dure jusqu’à ce qu’un cri s’échappe de la bouche de Catherine.« Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii ! oh ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii !Les jambes tremblantes, elle jouit avec une intensité rare.Romain attend, la mine réjouie et la bite gonflée.Puis il sent que la respiration de Catherine reprend un rythme normal.Lentement, il retire sa main de la culotte de sa mère et se sauve dans sa chambre sans attendre son reste. Il lèche ses doigts avec un profond délice avant d’entamer une séance de masturbation qu’il pimente d’images où sa mère tient le rôle principal. La jouissance est rapide à faire monter et il inonde rapidement son mouchoir d’un foutre généreux.Catherine ne reparaît pas de la matinée.Pendant le déjeuner, des amis de la famille étant invités, ils sont six autour de la table.Romain reste silencieux face à tous ces adultes mais plonge souvent ses yeux dans ceux de sa mère.Plusieurs fois, Catherine a les yeux tournés dans sa direction à ces moments furtifs ; ils se sourient.Un sourire amoureux, plein de promesses.Ils savent que l’impossible, l’impensable va se produire. Ne reste plus qu’à savoir quand ?Comme tout ce petit monde reste à la maison toute la journée, ils ne disposent pas d’un temps privilégié pour eux.
En ce dimanche matin, Catherine prépare le repas dominical et pour sa fameuse recette de viande froide au vin, elle demande à son fils d’aller à la cave chercher une bouteille de Hautes Côtes.Cela fait maintenant dix minutes qu’il est parti et toujours pas de Romain.Un peu agacée, elle descend à la cave, voit son fils face à un véritable mur de bouteilles soigneusement rangées avec certes de nombreuses étiquettes mais aucune ne correspondant à la commande de sa maman.Catherine passe à côté de lui et en bas à droite, prend une bouteille et se relève. Alors qu’elle dit que ce n’était quand même pas difficile à trouver, elle sent son fils se coller contre elle, la propulsant contre les étagères aux bouteilles.« Je t’aime, maman, je t’aime ! » et sans attendre une réponse avance sa bouche vers celle de sa mère, tout en s’aidant de sa main gauche pour lui faire tourner le visage.Fou de désir, il enfonce sa langue dans la bouche de sa mère qui s’offre à lui.C’est un baiser sauvage, plein de fougue de la part de Romain et d’abandon, d’envie de sa maman.Elle s’est retournée pour être plus à l’aise et a posé sa main sur la nuque de Romain pour mieux s’enlacer.Un baiser interminable avec des changements de côté, la tête de Romain passant de gauche à droite avant de reprendre sa position initiale.C’est quand Romain pose sa main droite sur le devant de la jupe de sa mère, voulant caresser son entrecuisse qu’elle réagit :« Non, pas là, pas maintenant ! »Et comme Romain affiche une mine bien triste, elle ajoute :« Bientôt, mon amour, bientôt ! »
Après-midi Tour de France à la télé pour le papa.Mine de rien, alors qu’elle est assise dans le fauteuil du salon, elle lance :« Vu cette chaleur, j’irai bien faire un p’tit tour en forêt, moi ! Tu viens chéri ! »Son mari rétorque la réponse attendue :« Oh ! Non ! C’est une étape de montagne et je ne veux pas rater ça !— Et toi, Romain, tu viens avec moi ?— Pourquoi pas, y fait tellement chaud que ça doit être bien agréable ! »
Et les voilà partis tous les deux à pied vers la forêt.Tant qu’ils sont sur la route traversant le village, ils s’affichent comme toute maman avec son fils et ils parlent de tout, de rien.Une fois le premier chemin de terre emprunté, ils se prennent par la main, parlent moins et se sourient de plus en plus. Un sourire complice qui annonce leur bonheur à venir.Quand, enfin, ils pénètrent dans la forêt, une forêt profonde où la lumière peine à passer entre les nombreux arbres, Romain colle sa mère contre un chêne et l’embrasse avec la même fougue que le matin dans la cave. Catherine participe pleinement à ce jeu de langues enfonçant à plusieurs reprises la sienne dans la bouche de son fils.C’est elle qui interrompt l’instant délicieux :« Attends, mon chéri, je connais une clairière où je venais quand j’étais jeune ! Je vais t’y emmener. »
Une quinzaine de minutes après, ils arrivent effectivement dans un espace sans le moindre arbre où l’herbe a du mal à pousser, les animaux du coin devant la prélever au fur et à mesure qu’elle tente de pousser. Pas âme qui vive. Dans un coin, un tapis de mousse s’offre aux deux amoureux.Catherine s’y allonge avec à ses côtés, son fils Romain.Il se penche vers elle, caresse sa joue et tout ému lui dit :« J’ai un peu peur, tu sais ! Pour moi, c’est … c’est la première fois !— Laisse-toi faire, mon amour, je suis sûr que tu vas me faire jouir comme jamais ! Ce que j’attends de toi, c’est de la douceur et quand tu sentiras que tu vas juter, tu viendras me donner ton foutre dans ma bouche. Je veux boire ton jus, mon chéri !Romain, tout intimidé, approche ses lèvres de celles de sa mère et l’embrasse avec une douceur infinie. En retour, elle lui sourit.Puis il se dégage de leur étreinte, se place devant les pieds de sa maman bien face à elle, soulève la jupe de ses doigts avant de les glisser le long des jambes féminines. Catherine a compris son désir et se soulève légèrement pour lui faciliter la tâche. Il enlève la jolie culotte noire à dentelles qu’il s’empresse ensuite de porter à son nez.« Petit coquin !, lui lance-t-elle, tu devrais avoir honte ! Faire sa à ta maman ! » Et elle part dans un rire généreux.Romain se lève, ôte ses vêtements avant de s’allonger sur sa mère.« N’aie pas peur, laisse-toi aller, tout va bien se passer ! Je suis tellement trempée ! »Ils sont les yeux dans les yeux. Romain s’est un peu soulevé permettant à sa mère de positionner sa bite à l’entrée de son con.« Vas-y mon chéri, baise-moi, pénètre-moi, enfile-moi, enfonce-toi le plus loin possible ! »Romain reprend les lèvres de sa mère pour un nouveau baiser toujours aussi fougueux et en profite pour s’enfoncer lentement en elle.Quand il sent ses couilles buter contre la paroi vaginale, elle lui donne le signal pour de lents va-et-vient jusqu’à ce qu’elle réclame plus d’ardeur. Il ne se fait pas prier et entame des coups de queue de plus en plus amples et à un rythme qui s’accélère.Qu’ils sont beaux, tous les deux, fous d’amour et de désir ! Leurs corps sont entremêlés et on assiste à un accouplement parfait jusqu’à ce que leurs gémissements réciproques annonçant la jouissance, Romain ne s’apprête à se retirer du ventre de sa mère mais elle lui crie que finalement, elle veut qu’il reste en elle :« C’est trop bon, jouis en moi mon amour, je vais jouir aussi ! Je veux sentir ton foutre gicler dans ma moule ! … Ah ! Ce bruit délicieux que nous faisons tous les deux ! Tu entends mon chéri, le bruit que fait ta bite avec ma mouille ! Un vrai bo……………………………………..nheur ! »Catherine a joui avant Romain (les deux branlettes du matin lui donnent un peu de répit.) Mais, excité par les propos de sa mère, il se bloque en elle, la queue tendue au maximum, et ne tarde pas à faire gicler son foutre dans le sexe maternel.Alors que le plaisir se prolonge avec cette béatitude si douce, il murmure : « Je t’aime, maman, je t’aime ! »Catherine sourit et ferme les yeux. Après cette petite mort, son cerveau reprend ses droits et lui dit qu’elle a commis l’impensable, l’irréparable, …, mais elle continue de sourire et se parle à elle-même.« Je suis heureuse, je ne regrette rien ! … Arrivera ce qui arrivera ! … C’est vraiment trop bon ! »
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