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une relation à l'armée qui tourne mal

Chapitre 1

Divers
La suite de ma découverte sexuelle se déroula pendant le service militaire
Et oui à cette époque, « l’armée » était obligatoire pour une durée de 10 mois.
Pas spécialement emballé mais je n’ai pas le choix, je tombe dans l’armée de l’air, jusque-là ça va sauf que je suis « fusillé commando de l’air » et là c’est beaucoup moins drôle. Le but étant d’effectuer la protection des bases militaires aériennes, bref de tourner autour de la base toute la journée et la nuit pendant 10 mois, super…..
A la fin des classes, donc 1 moi après on me propose de faire la même chose mais en outre-mer, Guadeloupe, Martinique ou Guyane, ça m’intéresse, je n’ai personne attachée à moi sur le continent, en gros je suis seul, je peux donc partir 4 mois et je tombe sur la Guadeloupe. Tant qu’à faire le con autant le faire ou il fait beau. Arrivé sur place nous sommes séparés en plusieurs groupes et dans chaque groupe 3 personnes étaient désignés pour « garder » l’escale. L’escale est un endroit à quelques km de la base principale ou les avions militaires étaient stationnés.Je me retrouve « chef » d’escale avec deux autre bidasses comme moi dont un avec j’avais bien sympatisé. Donc à chaque garde, une voiture nous dépose à midi et reprend l’équipe de la veille, on reste donc seul les 24 h restants dans cet espace protégé avec seulement deux ALGECO (cabane de chantier), une pour dormir et l’autre pour le « chef ». Le principe est simple, je dois planifier les rondes des 2 copains et noter sur un cahier tout ce qui se passait, c’est-à-dire RIEN.
Je restais donc seul une grande partie de la journée dans cet ALGECO et surtout devait rester éveiller la nuit, autant dire que personne ne restait debout, on dormait allongé sur deux chaises et ma montre me servait de réveil pour faire partir la patrouille aux heures prévues.Et ce qui devait arriver arriva, une nuit je suis réveillé par des klaxons, je me réveille en sursaut et remarque une voiture à la grille qui klaxone, j’allume le spot depuis le poste de control et remarque un véhicule militaire. Je m’empresse d’aller ouvrir la grille, la voiture passe et se dirige directement à l’ALGECO, je referme la grille et court jusqu’ à la voiture.Un Lieutenant, un appelé comme moi, mais ayant fait l’école des sous-officiers, était dans le bureau et m’attendait, il s’appelle Franck. Je savais que j’allais me faire engueuler, j’entre, le salue, il regarde ma tenue, effectivement je n’étais pas très bien habillé, et pour cause je dormais 5 mn avant. Je me rhabille et attend la suite, calmement il me demande si tout va bien et si les 2 autres dormaient ou si ils étaient en ronde. Heureusement je les avais envoyés patrouiller, nous étions donc seul. Il était plutôt petit, 1.65m environ assez trapu, brun et plutôt l’air gentil, je lui demande pourquoi il est venu au milieu de la nuit, et me répond qu’il voulait s’assurer que le travail était fait et qu’on ne dormait pas. Je baisse les yeux, il s’approche de moi et me montre mon entre jambe avec sa main, je suis surpris, je regarde et remarque que ma braguette n’était pas fermé, je la referme et attend de nouveau.Il va vers la porte me demande de lui ré ouvrir le portail, je suis surpris et je m’exécute. La nuit se fini et le lendemain midi, la voiture se présente au portail avec la nouvelle équipe, c’était Franck qui conduisait, il descend de la voiture et vient signer le cahier ou l’on doit tout noter. A ce moment il m’indique qu’il va laisser un espace sur le cahier et qu’il va réfléchir, comme ça il pourra marquer un commentaire plus tard si nécessaire. Ça me fait peur et je ne sais pas à ce moment ce que cela veut dire. On remonte tous dans la voiture et on rentre à la base, en arrivant il m’indique qu’après avoir mangé je dois le rejoindre ou au bureau des officiers ou dans sa chambre si il n’y est pas. Il faut dire qu’à chaque fin de garde, on avait 2 jours de quartier libre, donc normalement j’étais libre mais je sentais bien la punition venir. Je le cherche dans la salle des officiers et ne le trouve pas, je frappe à la porte de sa chambre qu’il partageait avec un autre officier, aucune réponse, j’insiste, toujours rien, j’entends l’eau coulé, il prend sa douche, que faire, si je pars ça sera pire, j’entre et me signal à voix haute, il me répond et je le vois arrivé avec une serviette dans la main, il s’essuyait le visage avec mais la serviette était assez longue pour cacher son sexe. Je me retourne, rapidement, il m’indique de le regarder, je lui fais donc face et le regarde dans les yeux. Il voit que je suis troublé, il faut rappeler que j’ai déjà eu une relation avec un homme et j’avais aimé, il me demande si ça me choque de le voir nu, je réponds que non alors que je sentais que je commençais à avoir une érection.Il se dirige vers son armoire et laisse tomber la serviette, je le vois nu de dos, ces fesses étaient fermes et blanches et surtout musclés. Il passe un tee-shirt et un caleçon avec des affaires civiles, cela voulait donc dire qu’il n’était plus de garde non plus, comme moi normalement, il me dit:
Franck- tu sais que ce que tu as fait est grave, dormir pendant ta période de garde est une faute très grave et je dois te punir ?Moi –oui je sais, et je commence à essayer de trouver une excuse.Lui –tais-toi, écoute tu me parais pas entièrement bête, on doit pouvoir trouver un terrain d’entente.Moi –oui je pense
Lui – je te propose de faire le ménage dans ma chambre et aussi dans le bureau des officiers car c’est mon tour, et après on en rediscute, ça te va ?
De toutes façons je n’avais pas le choix, je commence à faire le ménage alors qu’il reste en caleçon, régulièrement je regarde son cul et sa bosse sous son caleçon. Je suis attiré par cet homme qui reste gentil avec moi et j’ai l’impression qu’il ne profite pas de la situation.A ce moment je vois partir mes copains de chambrés avec le bus de l’armée, tous habillés en civile, ils partaient comme à chaque fois sur l’ilet Gosier. On passait à chaque fois les 2 jours sur cette ile avec nos hamacs et surtout du rhum, je savais que je ne pourrais pas les rejoindre, il n’y a qu’un bus qui nous dépose en ville et il est impossible d’y aller à pied.Je fini le ménage de sa chambre et lui indique que je vais le faire dans le bureau :
Lui- laisse tomber, il doit y avoir du monde, et si quelqu’un te voit il faudra que je me justifie. Tu voulais faire quoi pendant ta permission ?Moi- je devais aller sur l’ilet Gosier mais le bus est déjà parti.Lui- j’y vais avec mon copain de chambré, nous on peut se faire déposer par un véhicule, si tu veux on t’y emmène, simplement ne dis rien à mon copain.
Je ne comprends pas pourquoi il fait tout ça, mais j’ai de plus en plus d’estime et de respect en lui.
Je fonce dans ma chambre me doucher et me changer, quelques minutes après je rentre dans ma chambre car les douches étaient communes dans le couloir, il était là et m’attendait. Je n’avais que ma serviette sur moi comme lui toute à l’heure. Moi- je me dépêche, j’en ai pour 2mnLui - prends ton temps, mon copain n’ai pas prêt de toute façon.Je me demande alors pourquoi il est dans ma chambre, ça m’inquiète un peu mais ça m’excite surtout et déclenche une érection sous ma serviette qu’il remarque.Lui – et bien, c’est moi qui te fais de l’effet ?Moi - non je pense que c’est naturel.Lui- ah bon, je ne sais pas, moi toute à l’heure quand tu es rentré dans ma chambre je n’ai pas bandé comme toi, pourtant tu es plutôt mignon, tu devrais me faire de l’effet.Je suis choqué mais toujours autant excité, il se lève passe derrière moi, et pose sa main sur mes fesses, je ne bouge pas, il la soulève et pose sa main directement sur mes fesses.Lui- et bien, on dirait que tu aimes ça, je t’attends à la voiture.Il quitte la chambre, je laisse tomber la serviette pour attraper un short et alors qu’il passe devant la fenêtre je me tourne pour qu’il puisse voir mon sexe. Son regard reste sur mon sexe et continu à marcher, puis disparait.Je le rejoins à la voiture avec mon sac à dos, j’étais en short de bain, celui qui n’a pas besoin de slip en dessous car il y a un double fond, des tongs au pieds et tee-shirt.On part tous les 3, en voiture de l’armée et elle nous dépose juste à côté de l’embarcadère pour aller sur l’ilet gosier. Mes copains de chambrés n’étaient pas arrivés, effectivement, normalement il faut prendre 2 bus différents pour y arriver et ça met environ 1h30 pour y aller.
Arrivé sur l’ile, mes copains nous rejoignent et sont un peu surpris de voir ces 2 sous-officiers avec moi. Ils avaient prévus, ils sortent plusieurs de rhum et finalement se mêlent à nous l’alcool aidant. En début de soirée, les touristes quittent l’ile et il ne reste que nous, on suspend les hamacs et commence à faire un feu pour manger. A la nuit tombée, nous sommes plusieurs à vouloir prendre un bain de minuit, même si il n’était que 20 ou 21 heures, tous à poils on court dans l’eau et on commence à jouer à se couler, on était 4 dans l’eau et j’invite les autres à nous rejoindre, en regardant spécialement Franck, le lieutenant. Il jette son short et son caleçon et court dans l’eau accompagné de quelque autre. Une fois dans l’eau, toujours dans la cohue, je sens quelqu’un prendre mon sexe en pleine main, à qui était-elle, je me doutais bien, surtout que cette main me faisait pas mal mais que du bien.
Je me retourne et le vois juste derrière moi, je décide de lui rendre la pareil et attrape son sexe dans la main, je commençais à bander et lui aussi, finalement on se lâche mutuellement et on finit cette bagarre. En sortant de l’eau j’avais ses fesses juste devant moi, je sens que ça m’excite et recommence à bander, je cours jusqu’à mon sac attrape ma serviette et cache mon sexe avec, je me sèche et je renfile que mon short de bain. Je cherche ou se trouve Franck, est-il encore à poil ? Son hamac était à 10 mètres du mien mais je le vois pas, je retourne sur la plage, il est allongé sur le sable face en avant, seul, je lui demande si ça va, il me répond :
Lui – alors on dirait que je te fais un peu d’effet finalement ?Je m’assois à côté de lui, presque sur lui, je regarde autour de moi si quelqu’un pouvait me voir, et pose ma main sur ses fesses. Il se laisse faire. Il était plein de sable car il s’était roulé dans le sable encore mouillé.Lui je vais me rincer, tu viensMoi- je ne préfère pas les autres vont me voirLui –et alors ?Moi- je ne préfère pas du moins pas tout de suite.Il se lève et se dirige vers la mer, rentre dans l’eau, et ressort aussi rapidement, passe à côté de moi, toujours nu, il ne bandait pas, je ne sais pas comment il faisait, moi je bandais encore comme un fou.La soirée avance, on mange, on boit surtout, je ne suis pas un gros amateur d’alcool, et là encore moins, quelque part dans mon subconscient, il me mettait en garde de conserver mon esprit.Quelques heures plus tard, on était autour du feu, il ne restait plus grand monde, il se trouvait juste à côté, et nos regards se croisaient souvent, je me lève et indique que je vais me coucher mais avant je vais aller de l’autre côté du camp là où on fait les grosses commissions. Je pars donc seul le long de la plage et disparait dans la nuit. Je rentre un peu dans l’ile et reste à côté d’un cocotier. J’en suis sure il va me rejoindre, j’attends, regarde la plage, mais je ne le vois pas arriver, encore quelques minutes et finalement il arrive, mais par derrière.Lui- je suis passé prendre les serviettes de bainMoi- tu as raison ça sera plus agréable
On rentre un peu plus dans l’ile et on cherche un coin tranquille, on installe les deux serviettes côte à côte, je bandais depuis un petit bout de temps, il place sa main sur mon sexe et commence à la malaxer à travers mon short. Il passe la main derrière l’élastique et attrape mon sexe à pleine main, il descend doucement sur ces jambes en tirant sur mon short jusqu’en bas, il remonte ses mains le long des mes cuisses jusqu’à arriver à mon sexe qu’il sert dans sa main, puis pour la guider dans sa bouche. Il commence à me sucer et à enlever la substance laiteuse déjà bien présente sur mon gland.Lui- j’avais bien vue toute à l’heure, tu as une belle bite, longue et fine.
Je savais que j’avais une bite plutôt dans le haut de la moyenne, mais elle n’était pas fine.On se couche tous les deux et alors que j’attrape sa bite également derrière son short je remarque qu’elle est petite mais bien épaisse. On joue avec nos bites mutuellement et il cherche à vouloir m’embrasser, je tourne la tête pour lui indiquer que je ne voulais pas, il insiste et je continue à refuser.Lui- quoi tu n’aimes pas les bisousMoi – je ne suis pas un PD. Je n’aime pas les garçons mais c’est vrai que je suis attiré par ton corps, je ne sais pas pourquoiLui- je pense que tu aimes les garçons mais que tu ne veux pas te l’avouer, je n’aime pas le terme PD.Tu crois que je suis PD comme tu disMoi- j’en sais rien on, dirait pas nonLui - et ben si, je n’aime que les hommes, et toi tu m’attires.Moi -je suis désolé, je veux bien qu’on se touche mais je ne te ferais pas de bisous.Ça avait un peu refroidi l’ambiance
Il place sa tête entre mes jambes et recommence une fellation très sensuelle, il suçait terriblement bien, avec sa main il me caresse les couilles et cherche à me toucher le trou du cul.Ça non plus je ne le veux pas, je décide de changer de position pour lui stopper l’envieJe me présente devant son short, lui enlève et commence à le sucer, sa bite était effectivement courte mais très épaisse, très dure également. En fait elle ne devait pas être si petite que ça, mais proportionnellement à l’épaisseur elle paraissait courte. Il était hors de question qu’une bite comme ça rentre dans mon cul. Je commençais à avoir peur, lors de ma première expérience avec un gars c’était avec un novice comme moi, là c’est différent, je suis tombé sur un PD avec une grosse bite qui n’a surement pas les mêmes limites que moi. De plus, avec l’histoire de ma garde ou j’ai dormis, il a beaucoup d’éléments en sa possession pour faire ce qu’il veut, j’avais peur que cette soirée tourne mal et qu’il profite de ses supériorités, le grade militaire, la force physique, et le chantage. ça va mal finir, j’en étais sure...
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