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Une relation malsaine

Chapitre 1

Hétéro
Il y a quelques temps j’avais une amie, une bonne amie, très jolie, qui m’avait toujours plu, une jolie brunette d’1m60, la vingtaine, avec un visage harmonieux et angélique, un joli cul bien rond et une grosse poitrine. Mais jamais je n’avais pu aller plus loin avec elle car elle sortait avec un homme depuis des années, un black qui avait son age, plutôt beau garçon, qui s’appelait Thomas.
Au fil du temps, notre relation a changé. Elle commençait a m’envoyer des messages disant qu’elle était très attirée par moi, mais qu’elle n’était en aucun cas amoureuse. Elle pouvait être très virulente avec moi, énervée et possessive. Elle aimait qu’on s’engueule avec des mots assez durs, et pour ça elle n’hésitait pas à me rendre jaloux au possible, me racontant vraiment toute sa vie sexuelle, par exemple elle m’envoyait un message pour me dire « je vais faire la sieste » et une demi-heure plus tard je recevais un SMS me disant « j’étais partie pour dormir, mais en Thomas est sorti de la douche et en voyant sa grosse bite, je n’ai pas pu m’empêcher de le sucer jusqu’à ce qu’il éjacule dans ma bouche » et lorsque que malgré la trique que m’avait filé son message, je la suppliais d’arrêter, elle me disait a quel point sa bite avait bon goût et son sperme aussi. Il n’était pas rare non plus qu’avant d’aller au lit, pour notre message de bonne nuit habituel, qu’elle m’envoie un truc du genre « bonne nuit mon petit soumis, je vais au lit. Enfin... je vais me faire baiser parce que j’en ai très envie et après j’irai dormir ».
Une autre fois, alors que son copain n’était pas la, elle m’a envoyé un long message pour me dire « Je me suis mise nue. Tout ce que je porte actuellement c’est du rouge à lèvres. Imagine ce corps que tu ne pourras jamais avoir, mes deux seins fermes, ma petite chatte humide et lisse, ce cul qui aime être fessé... J’ai envie de me branler alors dis moi ce que tu aimerais me faire. »Estomaqué, je n’ai pas répondu de suite. J’ai donc reçu un autre message :« Allez, mon chien. Dépêche toi, ça pourrait me passer. »« Putain t’es vraiment une salope. Tu sais ce que je te ferais ? Tu me fais tellement bander et languir depuis longtemps que je te forcerais juste à t’allonger et je te baiserais, avec violence et sans amour. En mordant tes tétons pour te faire mal »Cinq à dix minutes plus tard, j’ai reçu une réponse :« Ahah, tu crois vraiment qu’une petite merde faible comme toi se mettrait au dessus pour me baiser ? Enfin merci quand même, j’ai bien joui. »
Finalement, elle finit par m’inviter à Bordeaux pour dormir une nuit dans l’appartement qu’elle partageait avec son copain, avec qui je m’entendais pas mal malgré tout. On a passé une bonne soirée a regarder des films, a blaguer, bref aucun signe de ce que l’on se disait par SMS a part qu’elle portait un très profond décolleté et qu’elle n’hésitait pas a se pencher devant moi, ce qui m’excitait quelque peu. A une heure tardive de la nuit, nous allons enfin nous coucher et c’est quand je me mets au lit que mon portable se met à vibrer. Je lis : « D’habitude, j’essaye de ne pas faire trop de bruit pour les voisins, mais là, je pense que je vais te faire l’honneur d’utiliser ma voix. Ah et au passage, la porte est entrouverte. Branle bien ta petite bite de soumis. »
Très excité et un peu horrifié, j’attends. J’entends du mouvement, mais rien de plus. Mais soudain des petits cris aigus se font entendre, cris devenant de plus en plus forts. J’ose enfin bouger de mon lit et m’approcher de leur chambre. Et dans la maigre ouverture laissée par leur porte mal fermée, je vois la fille de mes rêves, à quatre pattes, en train de se faire pilonner par son copain, qui semble vraiment très bien monté. Son corps est magnifique, son cul est cambré à souhait, ses seins malgré leur taille ne tombent pas et ont une splendide forme. Je n’aperçois pas son visage mais ses cris me laissent imaginer sa pulpeuse bouche ouverte et ses cheveux en vrac descendant sur elle... Elle parle peu, se contentant de pousser des cris, a part quelque fois ou elle exhorte Thomas à la baiser plus fort ou à la fesser. J’ai une immense érection, presque douloureuse. Comme j’aimerais rentrer, me joindre a eux, enfoncer ma queue dans cette bouche qui me fait si délicieusement souffrir... Au lieu de ça, je reste à les observer, pendant un temps qui me paraît irréel, puis retourne dans la chambre d’amis, avec la crainte de me faire prendre. Je me masturbe frénétiquement au son des derniers râles que j’entends sortir de sa bouche et j’éjacule très rapidement.
Une petite heure après, alors que je n’arrivais pas a trouver le sommeil, j’entends des pas se diriger vers ma chambre. Elle apparaît dans ma chambre, simplement vêtue d’un string. Silencieusement elle s’agenouille a côté du futon, et me caresse le visage en murmurant « je suis désolée de t’avoir fait subir ça... ». Son visage se penche sur le mien et elle me roule une pelle, avec l’haleine sentant l’intimité d’un homme que j’ai vu lui faire l’amour il y a quelques instants... Elle me dit ensuite « j’ai menti. Je ne suis pas désolée. J’ai adoré faire ça, t’imaginer te branler en me regardant. ». Sa main se dirige vers mon caleçon et elle s’aperçoit que je bande encore. Elle dégage mon pénis de son abri, et commence a me masturber lentement, tout en me parlant à l’oreille.« Tu es vraiment pitoyable. Regarde moi cette bite de loser, tu crois vraiment que j’accepterais de me prendre ça à la place de la grosse et satisfaisante queue de Thomas ? T’es vraiment une pauvre merde, mais tu es un jouet très amusant, et je vais continuer à te torturer comme ça, ne t’inquiète pas... »Je jouis rapidement, lui laissant un peu de sperme sur les mains. Elle commence à approcher ses doigts de sa bouche puis se ravise. « Oh et puis non, je vois pas pourquoi ce serait a moi de nettoyer cela ». Elle approche ses doigts de ma bouche et je ne peux que l’ouvrir pour les lécher...« Oui, comme ça.. Faudrait pas que Thomas s’en rende compte... ». Une fois que j’ai fini elle repart sans un mot. Et moi, honteux, je m’endors.
Le lendemain matin a 8h, je suis réveillé par le bruit de Thomas allant au travail. N’arrivant pas à me rendormir je me lève. Je tape à la porte de leur chambre, et elle me dit d’entrer. Elle est allongée sur son lit, habillée d’une nuisette noire très décolletée. Sans un mot, a moitié somnolant, je viens m’allonger à coté d’elle. Le silence s’installe, puis, d’un coup sec, elle vient me chevaucher et me colle une magistrale baffe.« Alors mon chou, un peu de mal à se réveiller ? Tu as aimé ces querelles par SMS ? Tu va voir c’est encore mieux en vrai. »Et elle commence a me mordre le cou avec une violence rare, jusqu’au sang. Ce qui s’ensuit est encore flou. Pris tous deux d’une espèce de rage guerrière et sexuelle à la fois, on s’est battu avec violence. Griffures, baffes, morsures. Rien n’a été épargné : elle ma foutu des coups de poings dans mon entrejambe, je lui ai giflé les seins. Au bout d’un moment, elle s’est levée et est revenu avec des menottes. Elle a essayé de m’attacher, je ne me suis pas laissé faire mais elle y est arrivée. Puis ele a retirée sa nuisette et m’a chevauchée de nouveau.« C’était si bon cette violence, mais ça m’a excitée, je suis toute mouillée, et je déteste être frustrée, pas toi ? »Je sentis son bassin commencer a se mouvoir, elle se masturbait sur ma bite en érection, comme si je n’était qu’un vulgaire jouet de plastique. Malgré tout, mon plaisir commençait a poindre et le sien aussi. J’ai joui avant elle, de peu. Une fois que je lui ai donné son plaisir, elle a ri et m’a reproché d’avoir taché mon caleçon comme un pauvre ado en rut. Et est partie se doucher me laissant seul, attaché sur le lit. Bien entendu, elle a pris tout son temps. En sortant, une serviette autour de la taille, elle est venue se planter devant moi et l’a lâchée au sol, en lâchant un petit « Oups ! » ne laissant aucun doute sur ses intentions. Devant moi, elle s’est habillée par petit gestes, m’offrant un strip-tease inversé où j’avais le droit à chaque fois a la meilleure vue.Une fois ce manège arrêté, il était presque l’heure pour mon train. Elle a consenti à me libérer, et je me suis habillé en quatrième vitesse, ne prenant même pas la peine de changer de caleçon.Elle m’attendait à la porte, et juste avant que je ne parte elle a agrippé mon entrejambe, m’a embrassé et m’a lâché ces quelques mots :« Pense à moi... »
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