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Une rencontre inattendue.

Chapitre 1

Erotique
Cela fait quatre longues heures que je planche sur ma dissertation. Étudiant en droit, je dois rendre un devoir sur l’efficacité de l’action du Conseil constitutionnel français à mon chargé de travaux dirigés. Quatre longues heures à potasser des manuels de Droit constitutionnel, des ouvrages de juristes, des articles de revues juridiques... Et là, je commence sérieusement à en avoir marre.     Installé sur une table de l’espace juridique dans la bibliothèque de la faculté, je décide de me lever et d’aller prendre l’air. Je laisse mes affaires ; je ne crains pas de me les faire voler.     La bibliothèque est assez vaste. Elle se compose d’un grand hall d’entrée où sont installées deux employées derrière leur bureau qui sont chargées d’enregistrer les emprunts de livres par les étudiants ainsi que leur retour, et de deux niveaux : un étage où on trouve les ouvrages littéraires, d’art, de musique, d’histoire... et un niveau inférieur où se situe les espaces juridique, économique... Il y a de grandes baies vitrées qui laissent la lumière naturelle pénétrer les lieux.     Je monte les quelques marches de l’escalier qui mène au hall d’accueil ; je passe devant les deux femmes derrière leur bureau qui discutent, et je passe la porte d’entrée. Une fois dehors, je prends une grande inspiration. Une jeune femme blonde passe devant moi pour entrer dans la bibliothèque. Je la reconnais : c’est Maud Robin.     Il fait beau. Nous sommes au printemps mais la température est plus élevée que les normales saisonnières. Devant la bibliothèque, les étudiants des deux sexes profitent du soleil, installés en petit groupes dans l’herbe. Ils discutent, rigolent. Je remarque une très belle fille aux cheveux bruns, assise avec ses amis. Elle s’est presque allongée de tout son long dans l’herbe. Puis elle change de position. Elle relève son buste et s’assied en croisant ses jambes sous son corps. C’est alors que son string rouge apparaît, dépassant légèrement de son pantalon. "Quel cul" me suis-je dit.    Je serais bien resté là juste pour l’observer. Cela fait un an que je n’ai pas touché une femme ; une rupture douloureuse m’a poussé à un long célibat. Et depuis quelques temps, cela me pèse.     Mais je dois retourner travailler sur ma dissertation. Je reviens dans la bibliothèque et regagne ma table. Comme je m’y attendais, mes affaires n’avaient pas bougé de place.    Mais ce à quoi je ne m’attendais pas, c’est la présence d’une superbe blonde qui s’est installée à ma table, sur la chaise juste en face de la mienne.    Cela me surprend, car avec le beau temps, beaucoup d’étudiants préfèrent rester à l’extérieur, dans l’herbe au soleil ou à l’ombre d’un arbre pour travailler, si bien que la bibliothèque est quasiment vide. Il y avait beaucoup de tables libres.    Surpris par la présence de cette fille, je m’installe pour reprendre mon travail.    Elle travaillait, le nez plongé dans un manuel de Droit constitutionnel tout en prenant des notes sur une feuille.    Elle lève les yeux quand je m’installe. Elle me sourit. Surpris par son attitude, je lui réponds moi aussi par un sourire accompagné d’un léger signe de tête. Je ne dis pas un mot.    Je la reconnais tout de suite. C’est Maud Robin : nous sommes dans le même groupe de travaux dirigés. 1 mètre 70, un corps de déesse, une belle poitrine et des fesses à faire damner un saint. Une blonde aux magnifiques yeux bleus.    Elle remet le nez dans son manuel. Je reprends mon travail.    Mais je ne suis resté concentré très longtemps sur mon devoir. Je lève la tête ; je regarde autour de moi. Il y a des tas de tables inoccupées, et d’où je suis je ne vois que quatre personnes réparties sur deux tables. Par intermittence, je la regarde travailler. Très vite, je me suis posé des questions :"Pourquoi est-elle ici ?Pourquoi s’est-elle installée à cette table alors que la bibliothèque est quasiment vide ?Pourquoi ne s’est-elle pas installée à une table libre ?Et pourquoi ce sourire ?"    Ces pensées se bousculent dans ma tête. Je n’arrive plus à me concentrer sur ma dissertation.    Je lève les yeux vers cette beauté.    Plus je la regarde travailler, plus je me pose de questions :"Pourquoi m’a-t-elle souri ? On ne se connaît pas portant ; on ne s’est jamais parlé. Elle me fait une farce, ou quoi ?" me dis-je à moi-même.     Toutes ces questions me poussent à la regarder de plus en plus souvent en faisant attention qu’elle ne le remarque pas.
    Je m’attarde sur sa poitrine, un joli bonnet B. Elle porte un débardeur rouge qui lui fait un superbe décolleté plongeant. Les fine bretelles de son habit me font comprendre qu’elle n’avait pas de soutien-gorge. Je regarde sa poitrine, et je devine ses tétons. J’en suis sûr : elle n’a pas de soutien-gorge.    À cette idée, mon esprit fait disparaître son débardeur. Maintenant, je la vois seins nus devant moi. Mon Dieu, quelle belle vision !    Je me force à reprendre mes esprits.     Elle travaille toujours, le nez baissé sur son manuel.    Je regarde à nouveau sa poitrine, et à nouveau je l’imagine seins nus.    Je sens que je commence à avoir une érection.Je pense : "Putain, t’es trop con ; tu t’excites tout seul !"    Mais cela devient plus fort que moi : dès que je lève les yeux vers elle, mon excitation augmente et mon érection devient de plus en plus forte.    J’étais gêné. Même si la bibliothèque est presque vide, j’ai peur que quelqu’un remarque mon état. Et surtout j’ai peur que Maud remarque mon état d’excitation."C’est bon ; arrête, pense à autre chose !"    Je prends une profonde inspiration et j’essaie de me remettre au travail.    Au bout de quelques minutes, mon sexe retombe au repos. Cela me soulage.     Mais à ce moment-là Maud fait tomber son stylo. Alors qu’elle lisait son livre, elle s’amusait à le faire tourner entre ses doigts comme les majorettes font avec leur bâton quand, emporté par l’élan de sa gestuelle, celui-ci atterrit sur le sol derrière elle."Zut" dit-elle.    Elle se lève, me tourne le dos, fait deux pas en direction de son stylo, puis se penche en avant, les jambes bien droites et le dos baisé (quelle souplesse, me suis-je dit). Cette position me donne une vue directe sur ses fesses. Elle porte un tout petit short en jean bleu et un string noir qui dépasse légèrement."Woua !" ai-je pensé.    Elle ramasse son stylo et revient s’asseoir en face de moi.    Aussitôt, je baisse les yeux pour feindre de travailler.    Mon sexe redevient dur. "Pas encore !"     Je regarde le plus discrètement autour de moi : personne ne semble remarquer quoi que ce soit.    "Pourquoi est-elle ici ?Pourquoi s’est-elle assise à ma table ?Mais pourquoi ?"    Mon esprit ne pense plus qu’à ces questions.    Je ne la connais pas. Hormis son nom que je connais car notre chargé de travaux dirigés fait l’appel en début de séance, je ne sais rien d’elle. Une fille si belle, il faut être aveugle pour ne pas la remarquer…    "Excuse-moi, tu peux m’expliquer le fonctionnement de la question prioritaire de constitutionnalité, s’il te plaît ?– Hein ? dis-je en levant les yeux vers elle.– Peux-tu m’expliquer le fonctionnement de la question préjudicielle de constitutionnalité, s’il te plaît ?" répète-t-elle avec une voix douce et un sourire.    Elle a un très beau sourire. Abasourdi, je ne sais que répondre par un petit oui timide :"Heu... oui... bien sûr... aucun problème."    Ma voix trahit ma surprise.    D’un coup, elle se lève et fait le tour de la table. Je la suis du regard en me demandant où elle peut bien aller.Puis elle tire la chaise qui se trouve à ma gauche et s’y installe. Je commence à paniquer. J’ai peur qu’elle ne voie l’effet qu’elle me fait.Elle tourne son buste vers moi pour me regarder droit dans les yeux. Je sens un filet de sueur couler le long de ma colonne vertébrale."Pourvu qu’elle ne se rende compte de rien" me dis-je.    Sous la table, je place discrètement ma main droite sur la bosse que fait mon pénis en érection dans mon jeans, espérant ainsi cacher mon excitation.    Je garde le silence, oubliant sa question.    Mes yeux sont plongés au fond des siens.    "Alors ? me demande-t-elle.– Alors quoi ? dis-je.– La question prioritaire de constitutionnalité, me rappelle-t-elle.– Heu... oui... la question... prioritaire... de... constitutionnalité..."    Je ne me souvenais plus de mon cours, ni de la réponse à sa question. Pourtant je suis plutôt bon élève. C’est d’ailleurs peut-être pour cela qu’elle s’est installée à ma table, pour que je l’aide dans son travail.Mais là, gêné, je bafouille. Je veux détourner mes yeux des siens ; mais au lieu de tourner la tête, je baisse mon regard et m’attarde sur sa poitrine.    Une voix dans ma tête me dit d’arrêter de la mater comme ça. J’essaie de reprendre mes esprits, mais je continue de regarder ses seins. Moi qui ne voulais pas me faire prendre, c’est raté.     "Tu bandes ?"    Ces mots me ramènent à la réalité.    "Hein ? demandai-je, pensant que c’était le fruit de mon imagination.– Tu bandes ? répète-t-elle avec la même voix douce.– Non, répondis-je aussi sec sur un ton révélant mon mensonge.– Ah bon ? dit-elle en douceur.– Heu..."    Je ne sais plus quoi répondre.    "Je suis sûre que si" dit-elle avec un sourire.    À ces mots, elle tend sa main droite vers mon pantalon et la pose sur la bosse que faisait mon sexe en érection.     "Eh bien si, tu bandes" dit-elle en souriant.     Je ne sais pas quoi dire. Je déglutis. Une goutte de sueur coule de mon front.    "Ne sois pas timide, me dit-elle ; ce n’est pas grave, au contraire. C’est la preuve que je te plais aussi."    C’est donc pour ça qu’elle s’est installée à ma table ; c’est parce que je lui plais. Et le coup du stylo, c’était pour attirer mon attention. Cela me flatte ; je ne suis plus aussi gêné qu’au début.    C’est alors que je sens sa main caresser ma bosse.    "Que fais-tu, dis-je.– Je profite, répond-t-elle, toujours avec la même voix douce et son magnifique sourire.    Elle caresse ma bosse. Cela me plaît, mais j’ai peur que quelqu’un nous voie. Je regarde autour de moi.    "Ne t’inquiète pas, me dit-elle. Ils ne remarquent rien."    Ces mots me rassurent et me poussent à la laisser faire. Je replonge mon regard dans ses yeux bleus.    Moi qui avais peur de me faire prendre, voilà que j’aimais de plus en plus cette situation. Mon excitation devient si forte que mon pénis me fait mal.    Tout en continuant à me regarder dans les yeux, elle se rapproche avec sa chaise pour être le plus près possible de moi.    Sa main droite continue de caresser ma bosse tandis que sa main gauche défait ma ceinture et dégrafe mon pantalon.    Je la laisse faire avec plaisir.    Elle baisse très lentement ma braguette pour faire le moins de bruit possible.    Elle ne dit rien, moi non plus.    Elle sort mon sexe de mon caleçon. Elle baisse les yeux pour regarder. Je bande vraiment fort. Puis elle relève son regard vers mon visage et commence à me branler lentement.À chacun de ses mouvements mon plaisir grandit. Elle me branle sous la table et je commence à véritablement comprendre la situation. Je lui plais et elle me le fait comprendre. Je profite de la moindre sensation. Ma gêne du début a laissé place au plaisir. Je respire lentement, au rythme des mouvements de va-et-vient de sa main.Soudain, elle retire sa main de mon sexe et la porte à sa bouche. Elle crache dessus et vient déposer sa salive sur mon gland. Mon Dieu, que c’est bon… Elle lubrifie mon pénis et continue de me branler avec des mouvements lents et réguliers. Une chose est certaine : elle sait ce qu’elle fait.    Je fixe ses yeux. Puis je laisse descendre mon regard sur sa poitrine."Tu veux voir mes seins ? demande-t-elle.– Oui, répondis-je.– Viens."    Elle lâche mon sexe, se lève et passe dans mon dos. Je la suis du regard en remettant mon pénis dans mon pantalon.Elle se retourne et me regarde avec un sourire, comme pour me montrer son impatience. Je me lève et la rattrape. Nous reprenons notre route ensemble. Elle passe devant moi comme pour me montrer le chemin. Je décide de lui mettre la main aux fesses. Elle ne la repousse pas. Cela lui plaît.     On trouve refuge entre des étagères, à l’abri des regards entre celle d’Histoire du Droit et celle de la Philosophie du Droit.Arrivé au milieu, je la retourne et l’embrasse avec fougue ; nos lèvres respectives s’appuient avec force et nos langues se rencontrent. Je prends les choses en main. Je n’ai plus aucune peur. Je veux juste lui faire l’amour, ici et maintenant. Ma main droite est posée sur sa joue et ma main gauche caresse ses fesses. Nous nous embrassons avec passion.Tout est continuant de m’embrasser, Maud sort mon sexe une nouvelle fois et recommence à me branler. Ma main droite quitte sa joue pour aller trouver sa poitrine. Je caresse son sein droit à travers le tissu. Nous sommes seuls au monde, et rien ni personne ne pourra troubler notre plaisir. Je décide de relever son débardeur rouge pour libérer sa poitrine. J’avais raison : elle ne portait pas de soutien-gorge. J’observe un instant sa sublime poitrine ; ses seins sont bien ronds. Je caresse son sein droit avec douceur, puis j’y porte ma bouche pour les embrasser et titiller les tétons avec ma langue alors qu’elle continue de me branler lentement. Je les mordis.Maud souffle de plus en plus fort. Elle pousse un soupir de plaisir. Je continue un peu jusqu’à ce qu’elle décide de s’agenouiller et de prendre mon sexe dans sa bouche. Elle commence par jouer avec mon gland. Je la regarde faire. Tout en le léchant, elle lève ses yeux vers moi. Elle voit le plaisir qu’elle me procure dans mon regard. Elle fait tourner sa langue tout autour de mon gland. Je respire de plus en plus fort. Puis elle avale tout mon membre. Je sens la langue tout le long de mon sexe. Mon plaisir est intense. Je décide de lui rendre la pareille. Je la fais se relever et la plaque contre l’étagère derrière elle. À mon tour de m’agenouiller et, en passant, j’en profite une nouvelle fois pour embrasser ses magnifiques seins. Je défais le bouton de son short et je le descends lentement le long de ses jambes. Elle respire fort. Je lui retire son string ; il est humide. Elle est vraiment excitée. Puis je porte ma bouche à son vagin. Elle est épilée. Je commence par le goûter gentiment ; je mets de légers coups de langue. À l’entendre respirer, je sais qu’elle aime ça. Nous n’avons pas besoin de dire quoi que ce soit pour nous exprimer notre plaisir mutuel. Je commence à jouer avec son clitoris. Je prends mon temps. Je veux lui donner du plaisir. Je glisse un doigt dans sa fente. Elle se retient de jouir, je le sais, je le sens. Après plusieurs minutes, je me relève et l’embrasse avec passion. Elle caresse mon sexe et moi le sien. Elle me glisse un petit "je te veux en moi" à mon oreille. Je me plaque contre elle. Je lui fais écarter les cuisses afin de pouvoir la pénétrer debout, contre l’étagère. Je colle mon pénis contre l’entrée de son vagin. Je la pénètre tout doucement. Je sens le souffle de sa respiration dans mon oreille. Je commence des petits va-et-vient. Elle respire de plus en plus vite. Elle exprime son plaisir en silence. Au bout d’un moment, je me retire et je la retourne. Elle comprend tout de suite ce que je m’apprête à faire. Elle cambre son dos et tend ses fesses vers moi. Je me place derrière elle. Par-dessous sa chatte, elle guide mon pénis vers son vagin. Je la pénètre de nouveau. Je reprends mes mouvements de reins qui deviennent de plus en plus puissants. Nos souffles respectifs sont de plus en plus forts et rapides. Elle tourne sa tête sur le côté pour m’embrasser. Notre plaisir est de plus en plus fort, jusqu’à l’explosion de nos orgasmes respectifs que nous avons du mal à contenir. Après avoir joui, nous continuons à nous embrasser.     Après nous être rhabillés, Maud et moi quittons la bibliothèque. Nous décidons de nous revoir très vite. Notre histoire ne fait que commencer.
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