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Une salle d'attente bien particulière

Chapitre 1

Hétéro
Samedi, quatorze heures, je vais chez le coiffeur, ou plutôt chez les coiffeuses puisque c’est un salon mixte où il n’y a que des employées féminines.Je lance un bonjour à la cantonade, et la patronne s’approche de moi:— Bonjour Monsieur, vous avez pris rendez-vous?— Non, je ne le fais jamais, je préfère avoir la surprise de celle qui va s’occuper de moi.— Alors autant vous prévenir, je suis désolée, mais nous avons eu des soucis électriques et nous avons beaucoup de retard.— Je n’ai rien de prévu et je peux attendre. Vous pensez qu’il y en a pour combien de temps?— Une bonne heure minimum, mais si voulez patienter il y a une petite pièce où vous serez beaucoup mieux qu’ici. Vous me suivez!Elle n’attend pas de réponse et je la suis jusqu’au fonds de la salle, dans les parties privées. Elle ouvre une porte:— Entrez et installez vous, je vous envoie de la compagnie.
Mon œil a vite fait de faire le tour: il y a un clic-clac, une télé, un petit frigo, et un fauteuil. J’ai juste de m’enfoncer dedans que la porte se referme derrière une ravissante minette:— Bonjour Monsieur, je m’appelle Marie. Sauf erreur, c’est la première fois que vous venez?— Au salon non, mais ici oui.— On vous a expliqué le principe?— Non, mais je suppose que tu vas le faire. Tu permets que je te tutoies?— Oui, bien sûr. Alors voila: je suis là pour vous rendre l’attente la plus agréable possible, et répondre à tous vos désirs.— Tous mes désirs, tu veux dire dans tous les domaines?— Oui.— Excuse moi si je me trompe, mais y compris sexuel?— Oui Monsieur, surtout sexuel.— Hum, c’est bien plaisant tout ça. Mais dis moi, il me semble que tu es un peu jeune pour ce genre d’activité. Tu as quel âge?— Dix-neuf ans Monsieur.— Je veux bien te croire, mais je ne veux pas me faire avoir comme nos footballeurs. Ne le prends pas mal, mais j’aimerais une preuve de ce que tu dis.Elle ne s’offusque nullement, et me montre sa carte en prenant soin de cacher son nom de famille. Je vois sa photo, son prénom, et sa date de naissance. Elle a effectivement l’âge annoncé, et est même très proche des vingt ans. — Ok, ça marche. Alors pour en revenir à ta proposition, si je veux une pipe tu es prête à me sucer.
— Oui Monsieur, avec plaisir.— Arrête avec ton "Monsieur". Appelle moi Eric, ou ne m’appelle pas, mais pas de monsieur s’il te plait, je suis un vieux cochon de soixante ans qui va s’offrir une petite jeune et je ne mérite pas de respect.— Excusez moi Monsieur, mais j’obéis aux ordres de Madame, elle veut que je sois correcte avec les clients.— Et moi, puisque je peux tout te demander, je ne veux pas que tu sois correcte. Compris?— Oui Mons..., oh pardon, oui.— Très bien. Dis moi, c’est elle qui t’oblige à proposer tes services?— Oui, mais elle n’a pas à me forcer, je suis une vraie petite salope, et j’adore le sexe.— Hum, tu commences à me plaire. Mais encore une question: je suppose que tu ne fais pas ça gratuitement, et qu’il y a des tarifs selon tes prestations.— Non, il n’y a aucune obligation, vous donnez ce que vous voulez.— Et on te donne combien en général?— Ca dépend, vingt ou trente euros le plus souvent, j’ai déjà eu cinquante, et aussi des clients qui ne donnent rien.Je lui avoue que je bande, ce dont elle s’est rendue compte, que j’ai très envie de sa bouche gourmande, de ses lèvres pulpeuses, mais que je n’ai pas de liquide sur moi. Je suis venu juste avec ma carte bancaire et de quoi donner un pourboire à ma coiffeuse du jour. Je rajoute que si elle veut bien me faire une fellation quand même, et que je suis satisfait d’elle, j’irai chercher de quoi la récompenser.Elle est d’accord, et me propose quelque chose à boire avant de démarrer. Elle me sert une bière, je suis toujours dans le fauteuil et elle s’agenouille entre mes jambes.
Elle écarte mes cuisses, pour poser sa main sur ma braguette et me masser à travers le tissu:— Hum, vous bandez bien, et votre queue va être à l’étroit là dedans. Laissez moi faire, je vais la libérer.Elle défait ma ceinture, le bouton, ouvre le zip, et je soulève mes fesses pour l’aider à descendre mon pantalon. C’est ce qu’elle fait et elle m’arrache le slip dans l’élan. Mon sexe se dresse devant elle, et elle pose ses mains dessus pour le caresser tendrement:— Ouah, elle est belle votre queue, elle doit être bonne à sucer!Elle n’attend pas de réponse et m’embouche aussitôt. Ses lèvres coulissent sur ma hampe, et je sens sa langue s’enrouler sur mon gland. C’est hyper délicieux, trop, et je la repousse:— Doucement, tu vas me faire jouir. — Non, pas déjà, on vient à peine de commencer.— Je sais bien, mais c’est imprévu et je n’ai pas eu le temps de m’y préparer. — Si vous voulez, vous pouvez jouir, mais ensuite je vous suce encore, tout le temps que vous attendrez, elle me donne envie votre bite.— Ok, tu suces à fonds?— Oui, et j’avale tout ce que l’on me donne.— Tu es une bonne petite salope, excuse moi mais c’est toi qui l’a dit la première.— Oui, et je m’assume. N’hésitez pas si vous voulez m’insulter, j’accepte tous les gestes et tous les mots.— Ok petite pute, ferme la et suce.Elle me reprend en bouche et s’active sur mon manche. Je fais des efforts pour me retenir de jouir:— Hum, salope, tu en as envie de mon sperme. Je t’ai dis que je n’avais pas de liquide sur moi, mais j’en ai plein les couilles à ton service.— Oui, j’ai vu Monsieur, oh pardon. Elles sont bien gonflées vos couilles, bien remplies, et vous pouvez tout me donner.— Oui putain, je vais te gaver jusqu’à la dernière goutte, je vais me vidanger dans ton vide couilles.Elle me pompe goulument et je lâche tout:— Prends salope, bouffe tout, avale, avale, putain de chienne, vicieuse, sac à foutre...Je décharge en abondance dans sa bouche, et elle s’applique à tout engloutir. Je lui ai tout donné, mon excitation retombe, et je m’excuse, honteux de moi:— Excuse moi Marie, mais tu m’as trop excité, et quand je jouis je ne me contrôle plus, c’est ma queue qui commande. Je te demande pardon pour tout ces mots abjects, tu es trop mignonne pour les mériter.— Ne vous excusez pas, je vous ai donné du plaisir et c’est tout ce qui compte. Et il nous reste du temps pour vous en donner encore.— Je voudrais bien, mais je ne suis pas sûr d’avoir encore envie.— Laissez moi faire, et je vous promets de vous exciter encore. Je vais bien m’en occuper de votre grosse bite et vous verrez qu’aucune queue ne me résiste.
Elle enlève mes vêtements que j’avais aux chevilles, et me fait m’installer bien au bord du siège, les jambes relevées sur les accoudoirs. Elle suce à nouveau mon sexe demi mou, salive dessus, me branle, me tire sur l’élastique, et je m’étonne de rebander rapidement. Elle crache abondamment sur mon gland pour mieux faire coulisser sa douce main dessus. Tout en me masturbant, elle me bouffe les couilles, les gobe, les broute, puis sa langue descend sur mon œillet. Elle me lèche le fion et je connais une sensation inconnue à ce jour:— Salope, putain de salope, mais tu es dégueulasse!— Ca ne vous plait pas?— Oui ça me plait, et même beaucoup, mais je n’ai jamais imaginé une femelle bouffer le cul d’un mec.— Excusez moi, mais il faut sortir. Il y a aussi des hommes qui aiment se faire doigter.— C’est une proposition?— C’est comme vous voulez, mais ça aide à bander encore plus fort.— Ok, vas-y salope, fais moi triquer, fait moi jouir que je te serve encore à boire.Elle me fout un doigt, me lime en douceur, et j’y prends un grand plaisir. Je bande à mort et elle s’éclate à me pomper si j’en crois ses gémissements de plaisir non simulés. C’est parti pour une longue séance, jusqu’à ce que la patronne fasse son entrée:— Ca va Monsieur, tout se passe bien?— A la perfection, votre petite Marie est parfaite, une vraie perle.— Oui, je sais, elle est très douée. Je venais vous prévenir qu’une de mes filles va vous prendre dans dix minutes. Je parle de vous faire coiffer bien sûr.— Merci, je serais prêt.Elle repart, et sans que je n’ai à le lui dire, ma belle suceuse sais ce qu’elle a à faire. Elle s’active à fonds la caisse sur mon sucre d’orge, avec la ferme intention de ma faire décharger à nouveau. C’est bon, et je vais l’insulter, l’injurier, pour m’exciter encore plus et gicler à temps voulu:— Oui, oui, pompe salope, putain de vicieuse gourmande, vide moi les couilles, il me reste encore plein de bon jus comme tu l’aimes, putasse, trainée, chienne...Elle me fait venir et j’éjacule sans retenue. Elle prend tout, engloutit tout, et je l’insulte encore.Elle m’essuie la queue, comme une professionnelle, et je me rhabille. Je la remercie chaleureusement pour ce merveilleux moment, et lui promets de revenir pour sa récompense.Je me fais couper les cheveux, glisse un pourboire à ma coiffeuse, et passe à la caisse. C’est la patronne et je lui confirme ce que j’ai dit à Marie:— Je m’excuse pour la petite, mais je n’avais rien à lui donner. J’ai une course à faire et puis je reviens avec ce qu’il faut.— C’est gentil, mais ne vous donnez pas cette peine. Vous reviendrez j’espère, et vous verrez alors.— C’est sûr que je vais revenir, mais je n’aime pas laisser de dettes. Alors à tout à l’heure, dites bien à Marie que je reviens.— Comme vous voulez Monsieur, à tout à l’heure.
A suivre...
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