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Une salle d'attente bien particulière

Chapitre 2

Hétéro
Je sors de chez les coiffeuses et j’ai du mal à réaliser ce qui m’est arrivé. J’ai soixante ans et j’y ai passé plus d’une heure dans une salle d’attente privée, en tête à tête avec Marie, une ravissante poupée de dix-neuf ans. Je dis en tête en tête, mais c’était davantage en tête à queue, puisque cette petite coquine surdouée n’a cessé de me sucer pendant tout le temps, et m’a fait jouir deux fois dans sa bouche avant de tout avaler à chaque fois. Je n’avais pas un sou sur moi pour la remercier, et bien qu’elle m’ait dit que ce n’était pas une obligation je lui ai promis de revenir rapidement pour lui donner sa récompense, largement méritée. Je suis un homme de parole, et après avoir fait une course je m’arrête à un distributeur de billets.Me revoilà au salon de coiffure, toujours accueilli par la patronne:— C’est gentil de repasser, mais il ne fallait pas, vous auriez régularisé la prochaine fois.— Je sais bien, mais il y a des choses qui ne doivent pas attendre. Marie est occupée?— Oui, mais elle en a pour cinq minutes. Asseyez vous et vous pourrez la rejoindre.Je regarde le fonds de la pièce, la porte par laquelle je suis entré dans cette salle d’attente bien particulière, la porte du paradis. Elle s’ouvre et je vois une cliente qui en sort, la cinquantaine, petite, ronde, rouge à lèvres criard, talons hauts, bas résilles, et une petite jupe en cuir noir qui a du mal à contenir ses grosses cuisses: la poufiasse dans toute sa splendeur. La patronne me fait signe d’y aller, et je retrouve Marie:— Mais vous êtes vraiment revenu! Je n’aurais pas cru, il y en a d’autres que je n’ai jamais revus. Mais je ne leur en veux pas, après tout ils n’avaient rien demandé, comme vous.-Oui, mais ils en ont profité ces salauds. Moi aussi je suis un salaud, mais un salaud réglo. Mais dis moi, j’ai vu une femme sortir, tu fais les filles aussi?— Oui, il y a intérêt, c’est notre principale clientèle, les hommes ne sont pas si nombreux.— Ca ne me regarde pas, mais elle t’a payée?— Oui, elle est généreuse à chaque fois.— Sans doute que tu le mérites. Tu lui fais quoi de bon?— Désolée, mais pour le coup ça ne vous regarde pas, c’est confidentiel.— Allez tu peux me le dire, je garderais le secret, promis, et tu as pu voir que je tiens mes promesses.— Ok, si vous voulez tout savoir je ne lui fais rien, c’est elle qui s’occupe de moi. Elle est folle de ma chatte et elle vient pour me lécher.— Et toi, ça te plait?— Vous êtes un petit curieux, il vous en faut toujours plus. Oui ça me plait énormément, elle me fait jouir autant qu’une bonne queue. Je suis toute trempée, et rien que d’en parler je mouille encore.— Hum, elle a de la chance. Tu veux que je te lèche moi aussi? — Maintenant!— Oui, si tu dégoulines autant en profiter. Tu me donnes soif ma chérie, installe toi comme tu le fais avec ta cliente.Elle enlève sa robe, n’a rien dessous, et apparait dans sa parfaite nudité. Si en voyant son visage je m’interrogeais sur sa majorité, en voyant son corps je n’ai plus d’hésitation: elle est femme, délicieusement femme, comme me le confirme ma queue qui s’éveille. Elle s’allonge sur le clic-clac resté ouvert et je me fous à poil avant de la rejoindre.Elle est sagement couchée, les jambes serrées, et je les lui écarte pour venir m’installer au milieu. Je suis à quatre pattes entre ses jambes et ouvre largement ses cuisses pour reluquer sa belle petite chatte. Hum, elle est superbe, toute lisse, ruisselante et elle sent divinement bon. Je ne résiste plus à son attirance et je me vautre la gueule entre ses cuisses, comme un gros porc affamé et assoiffé. Je la lèche, la lape comme chien, m’empresse de recueillir sa cyprine encore chaude. Je nettoie ses cuisses, ses lèvres, son vagin, je l’aspire, je la bois avec de grands bruits de bouche, me délecte de sa liqueur. Je me redresse pour reprendre souffle:
— Excuse moi si j’ai été un peu brutal, mais elle me rend fou moi aussi ta belle chatte. Mais je vais être plus tendre maintenant.Je replonge dans la chaleur moite de son minou et m’efforce de me retenir de la dévorer comme un goinfre, essaie de penser à son plaisir, avant le mien. Visiblement j’y parviens et elle m’offre un premier orgasme que je savoure avec retenue pour prolonger mon régal. Mes lèvres et ma langue parcourent sa vulve, grandes lèvres, petites lèvres, vagin et bien sûr clitoris, rien ne leur échappe. Ses muscles se tendent, ses reins se soulèvent pour mieux s’offrir, et son volcan entre une nouvelle fois en éruption:— Oui, oui, c’est bon, tu es bien toi, tu lèches aussi bien qu’une fille, oui, fais moi jouir...Je suis ravi de ses mots, mais ne peux lui répondre, la remercier, trop occupé à engloutir sa lave incandescente. Je la bouffe encore et encore et ses orgasmes s’enchainent à rythme soutenu. Je me tiens une trique béton, je la veux. Je me relève:— Salope, regarde comme tu me fais bander, j’ai envie de baiser, tu veux?— Oui, mais allez-y doucement, elle est grosse votre bite.— Tu me vouvoies à nouveau! Tu m’as dis "tu" tout à l’heure, tu peux continuer.— Oui, je sais, mais c’était une erreur, excusez moi. Vous m’avez fait disjoncter à me lécher aussi bien. Jamais un homme ne m’a donné autant de plaisir avec sa bouche.— Merci ma puce, tu es gentille. Viens, je veux te prendre, et ne t’inquiète de mon calibre, tu es tellement mouillée que l’on pourrait en mettre deux.— Non, merci, une seule ce sera parfait.Elle se lève, vient contre moi, me tourne le dos et se penche pour s’offrir en levrette. Je plaque mon gland entre ses lèvres, et je me sens comme aspiré par son huître vorace, je suis tout en elle sans même avoir eu l’impression de la pénétrer. Je coulisse dans son jus bouillonnant, frotte mon bourgeon épanoui contre ses douces parois, la lime du gland aux couilles et des couilles au gland:— Oh, petite putain, tu es trop bonne. Ta bouche et maintenant ta chatte, ce sont mes deux meilleurs trous depuis longtemps.— Vous aussi, décidément je vais finir par vous croire tous.— Mais tu peux ma salope. Et les autres qu’est ce qu’ils pensent de ton petit trou.— Rien, aucun n’y a pensé.— Moi j’y pense, il est trop beau ton cul. Tu ne t’es jamais faite prendre par derrière?— Non.— Tu veux essayer?— Si vous voulez.— Ca j’ai compris, mais toi, ça te ferait plaisir une bite entre les fesses.— Je fais ce que vous voulez.— Tu as du mal à comprendre, ou tu le fais exprès. Je ne veux pas te forcer, je veux savoir si.......La porte s’ouvre, et revoici la patronne. Elle s’approche de nous et nous regarde, intéressée:— Marie vous donne satisfaction?— Oui, comme je lui ai dit elle a deux orifices de rêve.— Et comme on dit, jamais deux sans trois. Elle est encore vierge anale et il serait temps qu’un mâle viril déflore son petit œillet. Il ne vous plait pas son beau petit cul?— Oui, bien sûr, mais je ne suis pas sûr qu’elle en ait envie.Elle se met alors en colère, saisie Marie d’une main par les cheveux pour relever sa tête et lui aboyer au visage:— C’est quoi cette histoire! Depuis quand tu te permets de dire ce que tu veux et ce que tu ne veux pas! Tu es là pour servir et la fermer. Tiens pour t’apprendre.Elle lui donne une bonne gifle, relève la main pour en asséner une seconde, mais je la saisis fermement par le poignet:— Laisse la, elle n’a rien dit, c’est moi qui aie eu cette impression, tout comme j’ai l’impression que toi tu dois aimer avoir une bite dans le cul.— Mais ça ne vas pas! Lâchez moi.— Oui, mais avant je vais t’enculer.— Vous êtes malade, lâchez moi ou j’appelle.— Vas-y, appelle, et ensuite moi j’appelle les flics pour qu’ils enquêtent sur ton salon.— Ok, on peut s’arranger. Vous voulez quoi?-Je te l’ai dit, je veux t’enculer, et je pense que tu en as envie.— Même pas en rêve, et de toute façon je n’ai pas le temps. J’ai ma meilleure cliente qui arrive dans moins de dix minutes.— Mais c’est largement assez pour te farcir, à condition que tu te montres conciliante.Elle se radoucit et accepte de se pencher au côté de Marie. Je relève sa jupe sur ses reins, elle des bas autofixants et un string que je descends à mi-cuisses. Je suis toujours au chaud dans la petite, bien ancré dans sa chatte, et je me dégage presqu’à regrets pour venir derrière la nouvelle élue de ma queue.Je glisse mes doigts dans la fente dégoulinante de Marie, pour les huiler, puis je fouille le fion de la patronne sans hésiter, un doigt, deux, trois, elle gémit, son souffle s’accélère:— Tu aimes ça, salope, attends que je te foute ma bite et tu vas aimer encore plus.Sitôt dit sitôt fait, je plaque mon gland distendu sur sa rondelle et je m’introduis à fonds d’un seul coup de rein. Elle pousse un petit cri suivi de gémissements lorsque je me mets en action Je n’ai que quelques minutes et je la matraque, je la pilonne, comme un bourrin. Je grogne de désir, elle feule de plaisir, et lorsque je décharge entre ses reins elle s’abandonne à un violent orgasme. Je lui donne tout, jusqu’à la dernière goutte, puis je reste en elle et passe ma main sous son ventre, entre ses cuisses:— Tu es toute mouillée cochonne, ca t’a plu salope, autant qu’à moi. Putain, qu’est ce qu’il est bon ton cul! Dommage que l’on ait eu si peu de temps, mais si tu veux on pourra se rattraper plus longtemps une autre fois. Je n’attends pas de réponse, qui risquerait être désagréable vu les circonstances, et j’embraye:— Ne bouge pas, je vais te mettre un bouchon pour éviter les fuites; ça ferait mauvais effet si tu pissais du sperme au salon.J’enlève son string, je m’essuie la queue avec le peu de tissu, j’essuie ses coulées vaginales, et j’enfonce sa petite culotte dans son anus resté ouvert, en prenant soin de laisser dépasser un peu de ficelle pour qu’elle puisse le retirer facilement. Elle se retourne et je la saisis par la mâchoire:— Et bien tu vois, tout c’est bien passé et dans les temps, il suffit que chacun y mette du sien. Et maintenant écoute moi bien: Marie n’y est pour rien dans ce qui s’est passé, c’est juste entre toi et moi. Alors ne t’avise pas de vouloir te venger sur elle. Je vais revenir et il vaut mieux qu’elle n’ait pas à se plaindre de toi.Elle s’apprête à partir mais je la retiens encore quelques secondes. Je sors une liasse de billets de la poche de ma chemise, et lui tend un billet de vingt euros:— Tiens, pour le temps passé c’est largement suffisant.— Mais je n’en veux pas de votre fric, vous pouvez le garder.— Ah non, désolé mais tu vas le prendre. J’ai toujours payé les putes.Je passe mes mains sous sa jupe et je glisse le billet sous le haut de son bas. Elle est pressée, ne cherche pas à discuter, et sort de la pièce.Marie a gardé sa position pendant tout ce temps, sans oser bouger, pétrifiée. Je viens devant elle et la fait se relever:— Ca va ma puce?— Non, vous ne vous rendez pas compte de ce que vous avez fait, elle va me tuer.— Non, ne t’inquiète pas, elle ne va rien te faire. Mais je reviendrai, et si elle t’a touchée elle aura à faire à moi.Je la serre dans mes bras, plaque ma queue contre son ventre, ma queue ratatinée et qui ne peut plus rien pour elle. Je caresse sa chatte toute mouillée et m’excuse de ne pas lui avoir donné davantage de plaisir. Elle me dit que ce n’est pas grave, que c’était très bien, et me fait un tendre bisou reconnaissant. Je lui rend, on en échange d’autres jusqu’à ce que nos lèvres se touchent, se soudent. On s’embrasse à pleine bouche, des baisers goulus que j’assaisonne à la crème de son plaisir. Mes doigts récupèrent sa liqueur en évitant de la faire encore jouir, juste pour la nettoyer. Je les suce, lui donne à sucer, et on échange des patins savoureux.Je me rhabille pour la quitter, veux lui offrir son petit cadeau, mais elle refuse, me disant qu’on verra la prochaine fois si je reviens mais que pour aujourd’hui c’est gratuit. Je n’insiste pas pour ne pas la contrarier, la vexer.Je repasse par le salon, la cliente de la patronne a des papillotes sur la tête, ce qui lui laisse quelques instants de libre. Elle me raccompagne jusque dehors pour pouvoir discuter librement:— Je ne vous ai pas demandé votre parole, mais je peux compter sur vous pour ne rien dire à la police?(Je l’ai tutoyée dans la petite pièce, dans le feu de l’action, mais il me semble plus raisonnable de la vouvoyer à nouveau) — Ne vous inquiétez pas, je ne tiens pas à ce que vous fermiez, j’ai trop envie de revenir. De mon côté je compte sur vous pour être gentille avec Marie.— Oui, bien sûr. Je m’excuse, c’est la première fois que ça m’arrive de lever la main sur elle, mais j’ai eu une journée difficile et j’étais à cran.— Je comprends, et je m’excuse à mon tour. J’étais très excité moi aussi, pour d’autres raisons.— J’ai bien vu et je ne vous en veux pas. J’ai eu ce que je méritais, et puis finalement la punition a été bien agréable.— Je vous l’ai dit, on remet ça quand vous voulez, où vous voulez.— J’ai bien compris, mais laisser moi le temps d’y réfléchir. En attendant, et si vous voulez avoir Marie la prochaine fois, il vaut peut-être mieux que je vous note le rendez-vous dès maintenant.Elle est futée la patronne, je pensais revenir dans cinq ou six semaines comme à l’habitude, mais elle me conseille de revenir dans quatre semaines, avec un bon argument: Marie est réglée comme du papier à musique, tous les vingt-huit jours, et en venant toutes les quatre semaines je suis sûr de tomber en bonne période.
A suivre.....
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