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Une semaine de soumise

Chapitre 4

SM / Fétichisme
Jeudi

Je me réveille, toute heureuse d’être là tout contre mon maître. J’aime ses instants de quiétude. Doucement, je me glisse sous le drap et commence à sucer mon maître. Sa queue gonfle rapidement. Je le suce. Cela dure longtemps. Plus que d’habitude mais j’arrive à mes fins. J’avale le sperme de mon maître. Son goût un peu âpre est absolument délicieux.
Je me lève et je vais préparer le petit déjeuner.
Quand mon maître arrive, je me mets à coté de lui. Nue, jambes écartées,mains dans le dos à sa disposition. Il s’amuse avec mes petites lèvres comme souvent.
Tes trous seront libre pendant deux jours me dit il. On va les mettre un peu au repos. Il faut que tu sois en forme pour le WE. Je vois que tes marques commencent à s’estomper.
Cela va me faire tout drôle de ne pas sentir l’œuf, de ne pas avoir l’anus ouvert. Je me demande ce que mon maître me prépare pour le WE.
— Tu mets des barrettes à la place des anneaux.
Je file dans la salle de bain, me prépare. Je passe une robe et reviens dans la salle. Mon maître me regarde, soulève ma robe, me donne une claque sur les fesses. Bonne journée, dit il

Je prend le bus. Quelques pelotages, rien de bien particulier. Ce n’est qu’une bande de naze.Touchez les fesses des filles leur suffit.
Je rejoins Corinne. Je lui narre ma soirée. Elle, elle n’a rien fait, juste dormir.
Arrivée au bureau, je m’attelle à la tache. Midi arrive, sans que je n’ai vu le temps passer.Nous mangeons rapidement et retournons bosser. Vers 14H30, je regarde mon portable. RienPas un message.

Je n’aime pas quand mon maître ne m’envoie pas de message. Cela me met le blues alors je me rappelle des deux trois événements marquant de ma vie de soumise.
Le premier a été celui-ci.
Après que je lui ai téléphoné pour lui dire que j’étais sa soumise. il m’a dit :
— Je veux tout savoir de toi. Vient ce soir à 18H précise chez moi.
Bien sur je m’exécutais.Là, il me regarda et me demanda : — Tu as une culotte.— Oui, maître— Enlève ta culotte et ton soutien-gorge.Je les enlevais.
— Bien, dit il, maintenant tu ne mettras plus de sous-vêtement.— Mais ma poitrine est volumineuse et tout le monde la verra— Ce n’est pas mon problème.
Je pense que ce sera dure d’être sa soumise. Il est exigeant et certainement très sévère
- Voilà, maintenant je veux tout savoir, dit mon maître Premièrement, tous les combien te masturbes tu ?— Tous les jours maître— Comment?— En me caressant le clito avec deux doigts dans le vagin— es tu vaginale au clitoridienne?— Les deux je crois
Je reçois une gifle. — Tu as oublié quelque chose— Excusez moi maître— A quel age as tu été dépucelée et par qui ?— A 16 ans par un mec de mon lycée, maître— Où?— Derrière le gymnase de mon lycée. Il ne savait pas s’y prendre. Contrairement à ce qu’il disait, il était encore puceau— Les mecs toujours entrain de se vanter. As tu aimé ?— Non, maître— Première pipe?— A 17 ans Maître. Avec un homme de 40 ans. Il m’expliquait comment m’y prendre. Il était gentil. — Première sodomie?— Je n’ai jamais pratiqué maître
Mes réponses ont eu l’air de le satisfaire. J’étais humiliée. Je me mettais à nue. Je ne lui cachais rien. Je n’avais plus de jardin secret. Pourtant, j’étais excitée de dire toutes ces choses, d’être obligée de le dire et j’étais fière de lui dire.J’avais confiance en lui et je savais que c’était lui qu’il me fallait.

La deuxième fait marquant de ma vie de soumise, c’est le jour de mon mariage avec mon maître.Mes témoins étaient Corinne et Justine, une amie que j’aime bien.Le mariage s’est déroulé normalement. La mairie, l’église, le vin d’honneur, le repas, rien de bien particulier.
Vers 3h du matin, beaucoup de monde était parti. Ils ne restaient plus que quelques personnes. A ce moment, mon maître se mit au milieu de la piste de danse et m’appela. Je m’approchais .Il demanda à mes témoins de venir à leur tour. Justine et Corinne se mirent à coté de moi. Il prit le micro, demanda aux musiciens de jouait un air de jazz en accompagnement et parla :
— Voilà, vous avez vu la mariée. Je vais vous présenter ce qu’elle représente pour moi. Mesdemoiselles les témoins, enlevez la robe de la mariée.
Justine et Corinne baissèrent la fermeture éclair de ma robe.celle-ci tomba à mes pieds.
Je me retrouvais en porte-jarretelle et bas, sans culotte, ni soutient-gorge au milieu de la piste de danse devant une dizaine de personnes sans compter les musiciens. J’avais envie de mettre mes mains devant mon pubis et mes seins, pourtant je n’en fis rien. Je savais que mon maître n’aurait pas aimé.
Comme vous pouvez le constater, elle ne porte pas de sous-vêtement et entièrement épilée. C’est une règle que je lui impose. Je vous présente ma soumise.— Mets toi à quatre patte. Prête à te faire saillir.
J’entendis un murmure dans la salle. Je ne savais pas si c’était un murmure d’approbation ou de gène. Je m’exécutais et me mettais à quatre patte. Mon cul tournait vers mon maître.
Celui-ci se mit derrière moi, me donna deux grandes claques sur les fesses et me pris. Voilà, dit il, c’est ma chienne. Je la saillie. Il continua et il jouit.
Il alla chercher une chaise, la mis devant moi à environ 2 mètres et s’assit. Ainsi, il allait pourvoir assister au spectacle.

Mon maître dit :
— Si les deux demoiselles d’honneur veulent bien se mette en positon à coté de la mariée.
Corinne ne se fit pas prier. Elle se déshabilla , se retrouva en dim up et se mit à ma droite. Elle, quand il s’agit de prendre du plaisir, elle est toujours la première. Justine hésita. Son cavalier de la soirée, Michel un ami de mon maître, lui dit.
— Déshabilles toi et mets toi à coté de la chienne.
Justine s’exécuta. Nous étions toutes les trois à quatre patte.
Mon maître dit :— Messieurs les témoins, à vous les premiers. Les demoiselles d’honneur attendent vos vits avec impatience. Que saillie soit faite.
Je vis Corinne grimacer. j’entendis un halètement. Corinne était entrain d’être prise. J’entendis un bruit de claque et Justine poussa un petit cri. La voix de Michel. Tais toi, sinon tu auras droit à une vraie fessée. Cambres ton cul que je puisse te saillir correctement.
Justine ne dit plus rien. — Mais c’est qu’elle mouille celle là. On dirait qu’elle aime cela, s’étonna Michel
Michel avait l’air ravi d’avoir trouver une telle cavalière.
Mon maître regardait.— La mariée à l’air de s’ennuyer pendant que les deux autres sont entrain d’être baisées . Quelqu’un peut s’occuper d’elle dit mon maître.
Je sentis une queue raide me pénétrer. Devant moi, une jupe qui se relève, la fille se baisse et écarte les jambes.
— Lèche.
Je sors ma langue et lèche avec gourmandise le minou qui m’ai présenté La queue a déjà finit. Le sperme chaud dans mes entrailles. Trop rapide à mon goût.
— Bon, dit mon maître, maintenant enculez les toutes les trois. Michel, elle te plaît tant que cela Justine— Oui, elle est bonne, répondit Michel, et j’aimerai voir comme ,elle réagit quand je l’encule.
Une queue force mon anus. Elle est grosse et bien lubrifiée. Elle rentre facilement. Il faut dire que mon maître m’encule très régulièrement. Dire que j’étais pucelle de ce coté quand je l’ai connu.
Corinne gémit . Elle me regarde. Je vois ses yeux briller. Elle me dit : Il est un bon celui là. Sa queue est grosse et longue. Que du bonheur.
Justine grimace quand Michel l’encule mais ne dit rien. Il lui donne deux grandes claques bien sonores sur les fesses. — Didier, celle là me plaît bien. Peut être y a t il quelques choses à en tirer. Je crois que je vais m’occuper d’elle.-Bien Michel. Tu penseras à me dire si nous avons bien fait de te la confier. Ma soumise m’a dit que vous devriez vous entendre. Penses à la remercier comme il se doit.
Celui qui m’enculait venait de se retirer, Michel en profita pour me donner deux grandes claques sur la fesses gauche. Les larmes ont monté. Je sentis une autre queue m’enculer.
Corinne commença à pousser son petit cri. Elle allait jouir.
La soirée continua . Je fut prise par toute l’assistance. J’ai léché plusieurs chattes et à la fin, j’ai sucé les quatre musiciens. Corinne s’est chargé de la chanteuse et Justine est restée avec Michel.
A la fin, mon maître me demanda de me mettre au milieu de la piste de danse et de me branler pour que tout le monde me voit jouir.
La jouissance arriva très vite. Ma cyprine se mélangea avec le sperme. Le tout coulait le long de mes cuisses. Mes trous étaient un peu irrités après avoir été autant utilisés.

Corinne rentre dans mon bureau. — Tu ne pars pas ce soir ?— Je n’ai pas vu l’heure passer.
Je me dépêche. J’arrive juste à temps pour prendre mon bus
J’aperçus la jeune fille.Quand elle me vit, elle s’approcha et se colla à moi.Sa main palpa mes fesses. Elle me chuchota dans l’oreille :— Tu ne portes jamais de sous-vêtement ?Je me tournai et la regarda droit dans les yeux:— Non jamais— Tu te laisses peloter par tout le monde— Oui toujours— Tu es annelés. Pourquoi ?Je m’appuyais sur elle et lui chuchotait :— Tout ce que je fais, c’est sur ordre. Et c’est mon maître qui décide. Je ne fais rien sans son consentement. Mais, toi, tu es une suiveuse pas une leader.
Elle était décontenancée et ne savait plus quoi faire ni dire.Je souris et lui dit :— Tu vois, j’ai raison.
On avait parlé très bas. Personne ne nous a entendus.
Je descends du bus. Arrivée à la maison, je me déshabille. Me dépêche de tout préparer. Quand mon maître arrive, je lui sers son whisky. Moi, j’ai droit à mon apéritif.
Je lui narre ma rencontre dans le bus. Comme je m’en doutais, cela l’intéresse pas et il me dit de ne plus lui parler.
Une fois que mon maître a fini de manger, il me dit que nous recevons un couple ce WE et de prévoir en conséquence.
Mon maître va se coucher. Moi, je prépare la deuxième chambre et commence à réfléchir ce que je ferais à manger pour cet fin de semaine.
Une fois tout rangé, je vais me coucher au pied du lit.
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