Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 329 J'aime
  • 12 Commentaires

Une soirée avec ma copine et ses amis

Chapitre 2

Orgie / Partouze
Partie 2

    Les couples sont serrés les uns contre les autres. Holly et Zoé ont la chatte qui déborde de sperme, tandis que Marina en a le visage et les seins recouverts. Nous discutons étrangement le plus naturellement du monde. Nous partageons nos impressions, cette orgie était une première pour tout le monde, nous avons tous beaucoup apprécié, même moi malgré ma timidité. Les filles taquinent Zoé en complimentant la taille de mon sexe. Loic charrie Manu pour avoir éjaculé sur le visage de Marina, avouant par après qu’Holly aime ça aussi.
— Hey ! J’ai le droit d’avoir encore quelque secret ! le dispute Holly d’en avoir parlé.
  L’ambiance est étrangement détendue, nous ne nous sommes même pas rhabillés. C’est sans doute idiot, mais avec ce que je viens de faire, je me sens… accepté au sein de leur groupe, ça me fait plaisir. Presque une demi-heure passe, puis nous discutons enfin de ce que nous allons faire du reste de la soirée :
— Il est encore temps d’aller en boite, déclare Holly.— Je ne suis plus très sûre d’avoir encore envie, répond Marina.— Il est encore très tôt. Vous n’allez tout de même rentrer chez vous à cette heure-ci ?— Bien sûr que non, mais je n’ai pas envie de danser, j’ai envie de baiser !— Encore ! s’exclame son mec. Je suis épuisé là, laisse-moi me reposer un peu.— Il n’en est pas question ! — Tu ne vas pas avoir le choix, je suis tout mou.— Je vais vite arranger ça.
    Sans même faire attention à nous, elle s’agenouille devant Manu, confortablement installé dans son fauteuil, et commence à le sucer.
— Purée ! Mais c’est une vraie nympho ! s’exclame Loic. — Tu n’as pas idée…
    Nous continuons de parler comme si rien n’était en train de se passer. J’essaie de détourner le regard de Marina, ce qui est difficile avec les gémissements de Manu. — Hmm, regarde, ça y est, tu es de nouveau dur, fait la rousse après un moment à son copain. Tu vois ? Je te l’avais dit.

  Sur ces mots, elle lui grimpe dessus et le chevauche après avoir enfourné sa queue dans la chatte. Ils sont dans leur propre petit monde. Ils ne font plus attention à nous, ils font passionnément l’amour. Manu la caresse et joue avec ses seins.
  Nous essayons de faire fi de ce qui se passe. Nous abandonnons définitivement l’idée de sortir en boite. Zoé propose que nous jouions à des jeux de société.
— Oui, mais les autres ? répond Loic en faisant référence au couple à côté de lui en train de copuler. Ils sont un peu trop occupés pour se joindre à nous.— On s’en fout, fais-je, on peut toujours commencer une partie sans eux. — Oui, mais non, nous arrête Holly. Moi, toutes ces histoires, ça m’a donné envie d’un second round à moi aussi.
  La voilà qui s’agenouille devant son homme pour le pomper. Zoé et moi la regardons d’un air ébahi. Loic nous fait signe qu’il est désolé :
— Je crois qu’on peut laisser tomber l’idée. Je vais devoir m’occuper un peu d’elle, si vous le permettez.
  Je me suis remis à bander. Zoé rougit et ne sait plus où se mettre, moi non plus. Quand Loic est bien dur, Holly monte dessus en le chevauchant face à nous tout comme tout à l’heure.
— Il n’y a rien de mieux qu’une bonne bite dans la chatte ! déclare-t-elle. — Ce n’est pas moi qui vais te contredire, fait son chéri.
  Je ne sais pas quoi faire. J’aurais bien envie de remettre ça avec Zoé aussi, mais je ne sais pas si elle accepterait. Du coup, nous nous contentons de les regarder tous les deux en attendant qu’ils finissent.
— Allez, restez pas planter là, nous fait Holly. Faites comme nous.
Zoé rougit davantage en détournant le regard.
— Allez Zoé, insiste son amie. Regarde combien il en a envie, il bande ! Il ne demande que ça ! — Tu… tu voudrais bien ? me demande-t-elle. — Tu as encore envie ?— Oui…— Moi aussi…
  Nous nous embrassons, nous allons le refaire, j’en suis follement excité. Une de ses mains atteint ma verge pour me branler tandis que nous échangeons des baisers. Elle la veut, il n’y en a aucun doute.
— Je ferais tout ce que tu voudras, mon amour, lui fais-je. Qu’est-ce qui te ferait plaisir ?— J’aimerais bien que tu me prennes à quatre pattes. — Avec joie.
Elle se met en position à terre entre les fauteuils du salon, je suis trop heureux de la rejoindre. Elle ne bouge pas, elle m’attend. Je me place derrière elle le sexe en main puis le dirige vers son entrée. Je la pénètre en la saisissant par les hanches, c’est terriblement bon.
  Nous revoilà donc à participer à cette folle orgie. Je préfère ça que de rester passif comme un con. Je suis un animal qui a envie de saillir sa chérie, je ne devrais pas avoir honte de ça. Je me sens beaucoup moins gêné que lors de notre première fois. Déjà parce que j’ai plus d’assurance avec Zoé maintenant que nous avons partagé un orgasme ensemble, mais aussi parce que je me sens plus accepté au sein du groupe. Je ne fais rien de mal, je suis comme eux, comme tout le monde : un porc qui a envie de s’envoyer un l’air.
— Chéri, chéri, attends, s’exclame soudainement Marina. J’ai envie que tu changes de trou.
  Mon regard se tourne instinctivement vers elle lorsque je l’entends prononcer ces mots. Je la vois se mettre dos à son homme et agripper sa queue pour la diriger vers son anus. Elle se laisse retomber sans aucune hésitation avant de reprendre sa chevauchée. Nom de dieu, elle se sodomise toute seule. Je pensais que les filles faisaient ça juste pour faire plaisir à leur mec, pas qu’elles le demandaient spontanément parce qu’elles en avaient envie. Ils ont l’air d’avoir l’habitude tous les deux, j’en suis jaloux.
— Hmm, elle me donne envie à moi aussi, déclare Holly. Loic, tu veux bien m’enculer comme une chienne ?— Comme si j’étais capable de te dire non.
  Ils se relèvent du divan. Holly se met à genoux devant le siège et se penche en avant, le torse affalé contre le cuir moelleux. Loic lui lèche un moment la rondelle pour la préparer, puis il y insère son engin.
— Ah ! Oui ! Salaud ! Défonce-moi ! gémit Holly.
  Waow, comme si prendre part à une partouse n’était pas suffisant, voilà que j’assiste au spectacle des deux meilleures amies de ma chérie en train d’en prendre plein le cul. Vu comment elles crient de plaisir, il faut croire qu’elles aiment ça. Ça me fait un effet dingue de les mater, j’en baise Zoé plus fort. J’admire leurs chattes vides, dégoulinantes de mouille — et de sperme pour ce qui s’agit d’Holly— tandis que leurs fions se font limer par d’énormes bites.
    Ce n’est pas que je me lasse du vagin plein de mon sperme de ma petite femme à moi, mais j’admets avoir très envie de les imiter. Je n’ai jamais sodomisé une femme auparavant, bien que j’en ai toujours rêver. Je n’avais jamais envisagé de passer à l’acte un jour avec Zoé, mais maintenant, j’ai du mal à penser à autre chose qu’à son petit trou qui me fait de l’œil juste devant moi. Je secoue la tête, il faut que j’oublie. Je n’oserais jamais lui demander un truc pareil, et elle ne voudrait de toute façon jamais. Ce n’est pas grave, je n’ai pas besoin de ça pour prendre mon pied. Elle a un corps sublime, avec des formes fabuleuses, même de dos, elle est magnifique à regarder, la voir ainsi à quatre pattes pour moi me fait tourner la tête. Elle est si offerte, comme si elle voulait que je lui fasse sentir qu’elle m’appartient.
  Si au début elle était perdue dans son propre monde au point de ne pas faire attention à ce qui se passe autour d’elle, je remarque qu’elle fixe désormais ses amies avec beaucoup d’insistance. Serait-il possible que ce qu’elle voit lui plait beaucoup à elle aussi ?
— Tu n’as pas envie de l’enculer, Ryan ? me fait tout à coup Marina. — Hein ? Quoi ? — Tu devrais te lancer, enchérit Holly.— Ouais, fait comme nous, rejoins-nous, s’y met Manu.
  Ils parlent tous comme si Zoé n’était pas là. Ils me font sentir mal, ces cons. Comme si, sous prétexte que je ne sodomise pas ma copine, j’étais quelqu’un de bizarre. Je n’ai pas envie de la forcer à faire quoique ce soit juste pour « faire partie du groupe ».
— N’ai pas peur, insiste Holly. Elle aime ça, tu sais. On en a déjà beaucoup parlé entre filles. — C’est vrai ? fais-je à l’intéressée.— Oui, répond-telle timidement, les joues roses. — Vraiment ? — Oui, j’adore ça. — Tu… tu voudrais ?— Oui, je n’osais pas te le demander.— Moi non plus…— Allez ! Vas-y Ryan ! m’encourage Marina.
  Zoé se redresse, dos contre mon torse, tournant le visage vers moi pour m’embrasser. Nous échangeons un regard passionné tandis que mes mains parcourent son ventre pour remonter jusqu’à sa poitrine. Je lui presse les seins.
— J’ai envie de toi dans mes fesses, Ryan, me susurre-t-elle.
  Elle se repenche en avant, prête. Je suis stupéfait, elle m’offre son anus, elle m’attend. Je ne sais pas comment m’y prendre… Je mouille un doigt et l’enfonce dans sa raie pour la tester. Elle gémit de plaisir. Je la prépare en la lubrifiant autant que je peux. Je n’en reviens pas, elle me laisse faire, elle le veut. Je me décide alors à passer à l’acte. Je me mets en position, et pointe mon dard vers sa porte de derrière. En essayant de m’y insérer, mon champignon rencontre une certaine résistance, je m’inquiète.
— Vas-y, pousse, me rassure Zoé. Sodomise-moi.
  Je me lance en avant et parvient à faire entrer ma verge. Je m’y loge jusqu’au raz des couilles tandis qu’elle pousse un « raaaaaah » de plaisir.
  Je n’arrive pas à y croire, je suis vraiment dans son cul. Je ne pensais pas pouvoir faire un jour une telle chose avec une fille aussi pure. Elle me demande de lui faire du va-et-vient, je m’exécute. C’est la première fois que je fais ça, mon dieu, c’est incroyablement serré, ce que c’est bon. Cette soirée est décidément pleine de surprises.
— Ouais ! Vas-y ! Défonce-la ! m’exhorte Marina. Défonce-lui le cul, n’hésite pas ! Elle a l’air prude comme ça, mais si tu savais ce qu’elle nous raconte, c’est la pire d’entre nous. — Je confirme ! la soutient Holly.
  Je suis donc leur conseil et deviens plus violent. Elles ont raison, on dirait qu’elle aime ça. Soulagé, je me laisse aller et la prends allégrement ; je n’ai manifestement pas à avoir peur de lui faire mal. Purée, ma nouvelle copine est une cochonne, j’en suis de plus en plus amoureux. À vrai dire, ce sont toutes de sacrées cochonnes, elles se font toutes ramoner l’anus par leurs mecs et elles en crient de plaisir. Nous copulons tous bestialement chacun de notre côté, oubliant presque que nous ne sommes pas seuls. Nous nous laissons guider par notre luxure, nous avons tous faim de sexe et de jouissance, je n’ai jamais pris un tel pied.
  Au bout d’un moment, les garçons ont une idée tordue : ils demandent à leurs chéries de rejoindre Zoé à quatre pattes. Comme elles le sont autant qu’eux, elles acceptent. Holly et Marina se positionnent en levrette de part et d’autre de Zoé. À côté de moi, leurs hommes viennent me rejoindre pour les enculer. Difficile d’ignorer leur présence maintenant, je ne me sens pas rassuré.
  Purée, on devrait filmer la scène. Les filles sont toutes les trois alignées côte à côte et se font sodomiser par leurs hommes qui ne demandent que ça.
— Holly m’a dit que tu n’étais pas très chaud de venir, me taquine Loic, j’espère que tu n’es pas déçu du voyage finalement. — Oh non ! — C’est qu’elle est vachement plus chaude que je ne le pensais, la petite Zoé, commente Manu, je commence à être jaloux. — Moi aussi, acquiesce son ami. — Ne touchez pas à Zoé ! m’emporté-je. Elle est à moi ! Rien qu’à moi ! — C’est qu’il défend son territoire, le petit lion ! Tu es sûr ? Je pourrais te prêter Holly en échange.— Et moi Marina. — Avoue qu’elles te font bander !
  C’est qu’ils m’énervent ces deux-là !
— Hmm, moi je ne serais pas contre, enchérit Holly. Zoé, tu devrais surveiller ton petit copain, il est tellement bien monté que je me le taperais bien.— Et moi donc, la rejoint Marina. J’avais des doutes en le voyant, mais maintenant, je vois que tu l’as bien choisi. — Je l’aime ! fait ma chérie. C’est mon homme, je veux qu’il me défonce.
  Je ne me fais pas prier, j’augmente mon rythme. Mes couilles claquent violemment contre son pubis.
— Oh putain ! C’est la meilleure soirée de ma vie, les filles ! déchante Marina. — Moi aussi, confirme Holly. Je suis si heureuse qu’on partage ce moment toutes les trois, on devrait faire ça plus souvent. Les meilleures amies devraient toujours tout faire ensemble, même baiser avec leurs mecs. — Oui, oui ! répond ma Zoé. — Regarde-moi ça, me fait Manu. C’est quand même un sacré trio de salopes. On en a de la chance ! Allez, donnons-leur ce qu’elles méritent ! Sautons-les comme des chiennes !
Nous nous en donnons à cœur joie. Marina avait raison, pour moi aussi, c’est la meilleure soirée de ma vie. Je vis l’expérience érotique la plus intense que je n’ai jamais vécu. Le bruit de nos discussions est remplacé par celui de nos cris et de nos gémissements. Nous copulons comme des animaux avec ces femelles en chaleur. Manu attrape Marina par les cheveux tandis qu’Holly se prend des fessées de Loic. Soudain, ce dernier grogne bruyamment. Je comprends rapidement qu’il est en train de jouir. Je l’imagine en train d’éjaculer dans son cul, le petit chanceux. Son amante le rejoint rapidement en vient avec lui, un véritable orgasme anal, je n’en reviens pas.
  Lorsque Loic se retire, Holly se redresse et pousse. Du sperme s’échappe de son anus dans des sons de pets répétés. Ils s’embrassent, ils se câlinent, ils ont terminé. Ils nous laissent de la place en s’installant dans le divan pour nous mater.
  Je défonce le cul de ma chérie de toutes mes forces comme Manu le fait avec la sienne, j’ai un mal fou à me retenir. Marina jouit à son tour peu après, je me sens naze de ne pas être capable de faire pareil avec Zoé. Je dois m’y prendre mal, ou alors, elle faisait semblant d’aimer ça. Je n’espère pas, je prends un pied monstrueux à la sodomiser, mais je n’oserais jamais recommencer si je devais apprendre qu’elle le fait juste pour me faire plaisir. Je tiens à ce qu’elle jouisse, je me dois de la rendre heureuse, c’est mon devoir en tant que petit-ami. Je ne suis pas digne d’elle si je ne suis pas capable de la satisfaire. Je redouble de vigueur, stressé, jusqu’à ce que le soulagement arrive lorsque je la sens partir.
  Son fion se contracte comme s’ils cherchaient à m’enfermer, tout son corps se tend avant de se relâcher soudainement dans un long râle. Elle tremble de plaisir, c’est magnifique à regarder, et j’en suis surtout si fier. Je l’aime.
  Nos femmes ont joui, mais nous continuons cependant de les baiser. Moi, j’ai envie de donner un second orgasme à Zoé, mais j’ai l’impression que Manu cherche plutôt à se finir.
— Tu as envie de jouir ? lui demande Marina.— Oh la vache, oui.— Vas-y. Tu peux. Tu m’as follement faite jouir, c’est ton tour maintenant.— Ooh, mon amour…
  Elle se redresse, dos contre lui. Il la serre dans ses bras en l’embrassant. J’ai une vue sublime sur les seins ballotant de la belle rousse. Cela me donne presque envie de jouer avec et s’en sucer les tétons. Il l’attrape par le cou, il la bourre comme un forcené, il lui lime le fion comme un barbare. Tout à coup, ils crient tous les deux, ils partagent un nouvel orgasme, il se vide dans son cul, les yeux perdus dans le vide. La vague de plaisir passe, puis tout comme le couple précédent, ils s’embrassent et se câlinent.
  Comme tout à l’heure, nous sommes les derniers en lice. Manu et Marina ont rejoint leurs amis et nous regardent en faisant des commentaires. Je n’y fais pas attention, toute mon âme est concentrée sur Zoé. Je parviens à la faire jouir une seconde fois, sa chatte en bave de plaisir, j’en suis particulièrement heureux. Je continue de lui ramoner la cheminée, quand elle m’interpelle :
— Pourquoi tu n’as pas joui avec moi ? Tu n’en as pas envie ? — Oh, putain, si !— Alors qu’est-ce qui te retient ? — Je veux te rendre folle ! — Mais tu m’as déjà rendue folle, mon amour ! Tu as été incroyable ! C’est ton tour, maintenant.— Tu es sure ? — Oui, j’ai eu plus que mon compte. Je veux que tu me rejoignes maintenant. Attends, laisse-moi t’aider.
  Nous nous désunissons à contrecœur. Elle me demande de m’installer dans un fauteuil, puis il s’agenouille devant moi pour me sucer. Putain, ce que c’est divin, mais cela ne la dérange pas de gouter à son propre trou de balle ? On dirait que non… Elle ne me pompe pas comme tout à l’heure. L’autre fois, je sentais qu’elle cherchait à m’exciter, ici, je sens bien qu’elle veut m’achever. Je n’y arrive pas, je me retiens. J’ai encore un blocage.
— Elle va vraiment le faire jouir dans sa bouche ? n’en revient pas Loic.— Vas-y ma chérie ! l’encourage Holly, fait le gicler ! — Tu te retiens ? me demande Zoé. — Je… oui…— Mais pourquoi ? — Je n’ose pas… dans ta bouche…
  Je sais, je sais, c’est idiot. J’ai pourtant bien faire pire vu comment je lui ai défoncé le cul ; mais je ne sais pas, c’est pas pareil. Quand je l’ai enculée, c’était par-derrière, ici, je peux voir son visage doux et innocent en train de me regarder, cela me fait culpabiliser d’être un gros dégueulasse. Je ne peux pas souiller quelque chose aussi pur.
— Mais j’en ai envie moi, me dit-elle. Je le veux pour toi. — Zoé…— J’aime le sperme, tu sais. Ce n’est pas ma première fois. Tu n’as pas à t’inquiéter pour moi.
  Elle reprend sa fellation, je vais finir par craquer ! Marina essaie de me convaincre de me laisser aller :
— N’ai pas peur, Ryan. Ce n’est pas « sale ». Moi aussi j’aime le sperme et j’avale celui de Manu. Regarde, j’en ai encore partout. Faut pas te gêner.— Je peux te dire que c’est divin, mon pote, enchérit ce dernier. Quand on a la chance d’avoir une femme qui te le demande, il ne faut pas la refuser !
  Je n’en peux plus… J’ai les couilles qui ne demandent qu’à éclater. Je finis par me résigner. De toute façon, il n’y a pas d’autre issue, je suis prisonnier. Je me sens comme un porc, j’ai honte, mais je fais le faire.
  Je regarde ma Zoé à l’œuvre, ses yeux brûlent de passion, ils me disent « vas-y. Jouis pour moi ». C’est trop, je cède, je sens mes bourses se décharger. Je grogne pour la prévenir, notre public balance des « oui ! oui ! vas-y ! » en comprenant ce qui se passe. Mon jus grimpe le long de ma tige, puis éclate au fond de sa gorge. Elle disait vrai, elle le veut vraiment, car elle fait soudain ventouse autour de ma verge pour mieux me recevoir. Elle continue de me branler d’une main tandis que je lui envoie de nouvelles giclées de sperme à déguster. Elle déglutit, elle avale. Elle pourrait se contenter de me faire éjaculer dans sa bouche puis de recracher après, mais non, elle me boit. Cela décuple mon plaisir et ma volonté de lui en donner encore plus. Je me vide les boules sans retenue, j’ai la tête qui tourne tellement c’est bon. Je ferme les yeux, j’ai l’impression que je vais mourir, je n’arrive plus à respirer. Les autres expriment leur contentement pour moi, pour nous. Je ne regrette rien. Je reprends lentement mes esprits et soulève lourdement mes paupières. C’est fini, je suis complètement à sec. Zoé l’a compris et s’est arrêtée de me sucer. Perverse, elle ouvre la bouche pour me confirmer qu’elle a tout avalé. Je n’en reviens pas. Ma réaction la fait rougir. Elle est formidable. Je n’ose pas l’embrasser avec ça, mais je la câline amoureusement lorsqu’elle vient s’assoir à côté de moi. Ça y est, cette baise est terminée pour tout le monde. Nous ne disons pas grand-chose cette fois. Nous nous regardons et nous nous sourions. Nous sommes bien, heureux, légers, mais la soirée n’est pas encore finie.
Diffuse en direct !
Regarder son live