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Une très bonne soirée

Chapitre 1

Hétéro
J’ai 16 ans, bientôt 17. Je m’appelle Antoine et j’ai une sœur de 18 ans, Elodie. Elle a fêté son anniversaire il y a deux semaines avec tous ses amis et la famille, c’est à dire moi et nos parents.
C’était pendant les vacances de pâques, nous fêtions son anniversaire dans la cave, seul endroit de la maison où il y avait assez de place pour accueillir les 30 invités. La cave se compose de cinq pièces : la salle de danse, la cafétéria, les toilettes (un peu rudimentaires mais après tout, c’est une cave), la chaudière et le débarras.
La soirée devait commencer vers 18h30. La musique tournait à fond et vers 19h00 tous les invités s’amusaient déjà sur la piste. Ma sœur était ravie, tous ses amis étaient venus pour elle. De mon coté, je ne connaissais pas trop ses amis. Certes je connaissait ses meilleures amies qu’elle invitait régulièrement à la maison mais ça s’arrêtait là. C’est ainsi que je restai seul une grande partie de la soirée sur mon téléphone.
En plus de ne connaître que peu de monde, j’étais le plus jeune. Je dois avouer ne pas m’être amusé durant longtemps. Mais peu avant minuit, alors que la plupart des boissons alcoolisées avaient été consommées, les meilleures amies de ma sœur vinrent s’asseoir près de moi. Elles étaient toutes les trois un peu pompettes sans aucun doute, mais Charlotte, l’amie d’enfance d’Elodie, semblait encore un minimum lucide.
— Coucou toi, me dit-elle visiblement un peu sonnée. Qu’est-ce que tu fais tout seul ici ? — Rien, comme tu peux le voir. — Tu n’as pas envie de danser un peu avec nous ? — Je ne suis pas bon danseur tu sais...— Ce n’est pas bien grave ! Choisis en une parmi nous et danse avec elle.
Proposition très alléchante, les trois filles étaient majeures et sublimes. Deux brunes, Charlotte et Juliette, et une blonde, Emily. Toutes trois me faisaient vraiment envie, de beaux seins ronds et fermes, de même pour leurs fessiers. Danser avec l’une d’elles était un rêve mais le choix était difficile.
— Dépêche toi de choisir, la prochaine chanson sera un slow, tu ne voudrais quand même pas rater ça ?
Charlotte m’avait dit ça en me faisant un clin d’œil et en glissant sa main sur ma cuisse, très proche de mon sexe qui réagit aussi tôt par cet appel. Ce petit geste mis un terme à mon hésitation et mon choix se portait donc pour Charlotte qui me semblait vouloir faire plus que danser avec moi.
Quelques instants plus tard, je tenais Charlotte tout contre moi dans un slow langoureux. Elle avait passé ses mains autour de mon cou et me caressait doucement les cheveux. Par respect et aussi par timidité, j’avais laissé mes mains sur ses hanches et je ne les bougeais pas. C’était un moment magique, je pouvais sentir les seins de Charlotte contre mon torse. Malgré notre différence d’age, j’étais déjà plus grand qu’elle d’une dizaine de centimètres.
Vers le milieu de la chanson, Charlotte se fit plus insistante et se colla un peu plus à moi. Elle m’entraîna dans un collé-serré sensuel et je pouvais sentir qu’elle prenait plaisir à se frotter comme ça contre moi. Ma jambe collée entre les siennes poussait de plus en plus fort contre son sexe. JE ne voulait pas que les autres nous voient comme cela, surtout pas mes parents ou ma sœur qui aurait pu être vexée mais je ne pouvais que me laisser faire.
Charlotte poussa le bouchon encore plus loin lorsque’elle prit ma main et la repoussa sur ses fesses. Au début, j’étais surpris car nous étions entourés d’autres danseurs qui pouvaient sûrement tout voir de notre danse indécente mais l’instant était trop intense pour que je m’en préoccupe plus longtemps. Après quelques secondes d’hésitation, je serra ses fesses dans mes mains ce qui la fit gémir doucement à mon oreille. Elle prenait plaisir à mes caresses devant tout le monde et cela m’excitait encore plus. Charlotte, complètement excitée s’abandonna complètement dans mes bras et m’embrassa dans le coup à plusieurs reprises ce qui me fit frissonner de partout.

Lorsque la chanson prit fin, Charlotte ne me laissa pas le temps de me lamenter car elle prit ma main dans la sienne et me tira hors de la piste de danse. Je me retrouvais seul avec elle dans le couloir séparant la salle que nous venions de quitter au débarras. Aussitôt la porte fermée derrière nous, Charlotte se jeta sur moi, passa ses bras autour de mon cou et m’embrassa sur le bouche avec passion et ferveur. Je ne m’y opposa pas, cette jolie brune de 1m65 était tellement belle que la repousser aurait été un aveu direct d’homosexualité et pourtant, ce n’est pas mon cas. Je la pris de mes bras et répondit à son baiser par un autre tout aussi langoureux. Nous nous embrassâmes ainsi quelques minutes dans le couloir mais nous étions tout deux tellement excités que nous voulions plus. Je plaquai Charlotte contre le mur et caressai son sublime corps avec douceur. Je ne voulait pas la brusquer mais elle semblait vouloir aller plus vite et m’enserra de ses jambes. Je la portai dans mes bras, mon sexe collé au sien mais séparé par les tissus de nos vêtements.
Sans plus attendre, je la portai jusque devant la porte que j’ouvris et j’entrai avec elle dans mes bras dans le débarras. Cette petite pièce était remplie de cartons mais il y avait assez de place pour nous deux. Nous n’avons pas décollé nos lèvres pendant le déplacement et je fermais non sans peine la porte derrière nous. La musique était assez forte, il était donc peut probable que quelqu’un nous entende. De notre côté, nous n’entendions pas la musique, ou très peu. Je déposai Charlotte sur un carton face à moi. Elle ne me laissa reculer que lorsqu’elle vit que je souhaitait me déshabiller. Elle en profitait pour faire de même en enlevant sa robe. J’avais devant une sublime femme aux formes prononcées qui ne voulait que moi. Elle était sublime, en sous-vêtements à attendre que je la rejoigne pour m’unir à elle. Charlotte n’était pas très patiente, c’est pour cela qu’elle m’arracha mon pantalon et mon caleçon à deux mains tandis que j’enlevais mes chaussures. Je me retrouvais nu devant elle toujours en sous vêtement.
Malgré l’épaisseur de son soutien-gorge, je pouvais apercevoir ses tétons durcis pas l’excitation et le désir. Elle m’agrippa de ses bras et de ses jambes et m’attira contre elle pour m’embrasser à nouveau. Sans prendre le temps de retirer sa petite culotte, Charlotte pris mon sexe entre ses mains pour le mettre au fond du sien. Elle recula le tissus qui l’empêchait de le faire avant de me pousser vers elle.
D’un coup, je me retrouvais au fond de son antre humide et chaude. Elle était tellement mouillée que je n’avais eu aucune peine à entrer dans cette petite chatte visiblement peu visitée avant moi. Le plaisir me submergea autant qu’elle. Charlotte gémit à mon entrée assez violente mais ne semblait pas avoir eu mal. Je débutai alors un va-et-vient lent et ample tandis qu’elle ondulait du bassin pour ressentir le plus de sensations possible.

Après quelques minutes, nous accélérâmes et je la pilonnai avec vigueur tandis qu’elle ne pouvait se retenir de gémir son plaisir qu’elle tentait d’étouffer dans mon cou. Je sentais ses ongles transpercer mon dos pendant que ses jambes me serraient de plus en plus fort pour que j’aille à chaque fois au plus profond d’elle. Ses gémissements étouffés se muèrent en petits cris aigus tandis que j’accélérai de plus en plus mes va-et-vient. Son sexe se serra alors violemment autour de ma verge tandis qu’elle jouissait d’un orgasme puissant. Elle était envahie de spasmes provoqués par le plaisir.
Après que Charlotte se sois un peu calmée et reposée, je suis sorti de son antre trempée. Je pensais devoir me rhabiller mais visiblement mon amante avait encore envie de mon sexe encore dur. Je n’avais pas joui et Charlotte semblait vouloir encore en profiter ce soir. Elle pris mon sexe en main et me masturbait lentement durant quelques instants avant de s’agenouiller face à moi. Je ne pensais pas qu’elle ferais une telle chose mais elle ne montra dans son regard aucune hésitation. Elle embrassa mon gland de ses lèvres avant de les ouvrir et d’enfourner mon sexe entièrement dans sa bouche.
Durant de longues minutes, Charlotte m’a sucé avec sensualité tout en me regardant dans les yeux d’un air coquin qui en disait long sur ses envies de la soirée. Elle avalait goulûment chaque centimètre de chair de ma verge tout en faisant rouler sa langue sur mon gland. Je pensais ne plus pouvoir tenir longtemps lorsqu’elle s’arrêta net. Devant ma mine déconfite elle m’embrassa et me souffla à l’oreille :
— Je veux que tu jouisse en moi...
Aussitôt, le sourire revint sur mes lèvres alors que Charlotte se penchait sur le carton, dos à moi, en me présentant son magnifique cul. Elle se caressait une fesse d’une main tandis qu’elle se caressait un sein de l’autre. Je n’hésitai pas une seule seconde et me plaçai derrière elle. Charlotte pris mon sexe en main et sans même regarder le guida vers sa chatte humide. Pour la deuxième fois de la soirée je la pénétrai avec vigueur et passion. Mes mains sur ses hanches ou ses fesses me permettait de maintenir un rythme rapide. Elle aimait être prise ainsi, je l’ai appris grâce à ses gémissements qui étaient plus forts et plus longs.
Les minutes passèrent et Charlotte joui une deuxième fois sous mes coups de boutoirs. Son sexe se resserra à nouveau sur le mien tandis que ses spasmes de jouissance la fit se redresser. Je continuai de la pénétrer en lui caressant un sein d’une main et le clitoris de l’autre. A peine avait elle encaissé son second orgasme qu’u troisième la submergea. Je maltraitait toujours avec force son sexe de ma main et de ma verge.
A cette troisième jouissance de mon amante, je ne pus résister plus longtemps et je me déversai en elle par de longues giclées de sperme chaud. Nous sommes restés emboîtés l’un dans l’autre alors que nous étions affalés sur les caisses en carton tandis que nous reprenions nos esprits.
Une fois le calme revenu, nous nous sommes rhabillés non sans se caresser, loin de là. Nous avons pris de longues minutes à nous rhabiller car nous avions beaucoup de mal à nous séparer plus longtemps que quelques instants. Nos lèvres ne cessaient de se chercher et nos corps de se coller pour profiter encore un petit moment de la présence de l’autre.
Lorsque nous sommes ressortit du débarras, il était près de deux heures du matin. Nous avions couché ensemble pendant près de deux heures non-stop. J’allai ouvrir la porte de la salle de danse lorsque Charlotte me tira par le bras et m’embrassa avant de me dire :
— Je ne suis pas saoul, je n’ai pas couché avec toi juste pour le plaisir, Antoine.— Moi non plus.— Je t’aime...— Moi aussi.
Elle m’embrassa encore une fois.
— J’espère qu’on remettra ça très vite...— Quand tu veux.
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