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Une vie de chienne

Chapitre 2

Zoophilie
Depuis trois jours, je suis excité en permanence. Cela fait trois jours que je me suis fait sauté par un chien et son maître et je n’arrête pas d’y penser. J’ai encore envie de me faire prendre comme une chienne ! Je suis un bisexuel passif ayant une préférence pour la gente masculine. Mes 23 ans, mes 55 kilos pour le mètre soixante-cinq et avec mes cheveux un peu long me classent dans les personnes menues. J’ai une allure assez androgyne. Depuis deux ans maintenant, je m’épile entièrement car cela plaisait à Marc, un homme de 35 ans rencontré dans un bar, avec qui je partageais son appartement. Il était particulièrement bien membré et a donc habitué ma rondelle à de fréquentes dilatations. Après notre séparation, je me suis offert un gode d’une taille similaire à sa queue et je me branle souvent avec.Mais la rencontre fortuite avec Cisco m’a ouvert l’esprit (et pas seulement) à de nouveaux fantasmes. Le souvenir d’être à quatre pattes dans les feuilles mortes monté par Cisco me fait frissonner de plaisir et bander comme un fou. La carte de visite de son maître trône sur ma table basse. J’ai déjà failli l’appeler cent fois ! J’ai fait son numéro autant de fois tout en me branlant mais je raccrochais par crainte de … je ne sais quoi. ‘’Décides toi Paul. Qu’est-ce que tu risques ? Tu as pris ton pied ! Tu as aimé être traité comme une chienne ! Parce que tu es une chienne en chaleur ! C’est ta place !’’ Mon esprit tourne à plein régime.Le weekend approche et j’ai même posé des jours de congé. Je pensais aller voir un ancien petit copain dans le sud.Je décroche le téléphone, compose le numéro et attend. Je suis nu sur mon canapé. Trois, quatre sonneries … je vais raccrocher quand j’entends— Allo !— Bonjour … je suis … heu … l’autre jour, dans le petit bois …je …— Tiens, la petite chienne de Cisco ! je pensais que tu aurais appelé plus vite que ça, vu comme tu as l’air d’aimer la bite ! bien, si tu m’appelles c’est que tu veux recommencer. Donnes-moi ton adresse mail, je t’envoie les indications. — Oui … c’est pauls…@...— Tres bien petite salope !Et il raccroche.Je suis en sueur et terriblement excité. Je bande comme un fou. Je commence à me caresser quand j’entends le signal de ma messagerie. « Rends-toi au village de S… samedi. Prends le train à T.., puis le bus. Il y arrive à 10h20. Quitte le village par la D7. Prends la première route à droite, puis le chemin à gauche quand la route fin un coude. Au bout du chemin, tu trouveras un grand mur, puis une porte. N’apporte rien avec toi et ne te branle pas d’ici là. Cisco a hâte de te revoir »Je reste interdit devant ce message pendant de longues minutes. Je me rends compte que je bande comme un fou, excité. « ….Cisco a hâte de te revoir. » je repense à sa grosse pine me remplissant le cul. Je m’apprête à me caresser mais je lâche ma queue dressée. Il ne faut pas ….Je viens de descendre du bus et je traverse la place du village vers la D7. Depuis ce matin, je suis comme un zombi, ne me laissant guider que par le message reçu deux jours plus tôt. Je ne porte que mon bermuda, des tennis et une chemisette. Les consignes sont facile à suivre et je m’engage dans le chemin et aperçois assez vite le grand mur. Je le longe un moment avant de tomber sur une porte en fer. Je la pousse et trouve derrière un message qui me demande de fermer la porte avec le cadenas puis de laisser mes vêtements dans la boîte disposée par terre. « Puisque tu es venue jusqu’ici, tu es bien la petite chienne que Cisco a trouvée » dit le message au fond de celle-ci. Elle se verrouille également avec un cadenas. Le clic de verrouillage semble résonner. Me voilà nu dans un endroit désert … à la merci de cet homme inconnu …. Et impossible de faire demi-tour maintenant. Je n’ai plus accès à mes vêtements Le chemin s’enfonce dans le sous-bois ou je distingue un petit abri en bois. L’intérieur est vide mais lorsque j’en ressors, des bruits de voix me font me précipiter dans un fourré. Entre les feuilles, je vois apparaitre deux hommes en tenue de travail. Le plus vieux tire sur une cigarette en rigolant des plaisanteries de son compagnon âgé d’une bonne trentaine d’années. Je ne comprends pas ce qu’ils se racontent mais je les vois s’assoir sur le banc adossé à la cabane. Soudain des bruits me font tourner la tête. Un chien ressemblant à Cisco me regarde en aboyant, vite rejoint par le plus jeune des deux hommes. Tapis sous les feuilles, je me dis qu’il ne me verra pas.— Sors de là toi ! dit-il d’une voix forte,, avant de m’attraper par la nuque. Il me traine vers le cabanon.— Regarde dont ce que j’ai trouvé sous les feuilles dit-il à son compagnon en me poussant vers lui. Je ne sais comment réagir. Je me cache le sexe en me tournant. Le chien aboie toujours en se tenant tout pré. — Retire tes mains de là ! dit Louis en m’attrapant le poignet. Le jeune m’attrape l’autre poignet alors que le chien me renifle les fesses. Le contact du museau m’électrise et je ne peux retenir une érection. Louis attrape la base de ma queue à pleine main en emprisonnant mes couilles tout en se saisissant d’une fesse de l’autre main. Je sens ses doigts dans ma raie et contre ma rondelle. — C’est une belle salope que tu as trouvé, dis Louis avec un grand sourire alors que le jeune ouvre déjà son pantalon. Il me présente sa queue déjà bien raide devant la bouche et Louis m’écarte maintenant les fesses à deux mains, délaissant ma verge toute dure. Son doigt tourne rapidement sur mon anus avant de s’y glisser. Je prends le gland turgescent du jeune à pleine bouche alors qu’il me tient la tête à deux mains pour accompagner le mouvement de succion. Il se dégage un instant pour aller s’assoir sur le banc tout en se débarrassant de son pantalon. Il me met à quatre pattes entre ses cuisses pour que je reprenne ma fellation. Le chien à remplacer Louis derrière moi et il me lèche à grands coups de langue. — Une vraie petite chienne celle-là lance Louis en sortant à son tour sa queue pour se caresser. Regarde comment Sako la renifle !— Il va la monter … regarde comme il est excité.Sako s’agite derrière moi. Je me surprends à me cambrer d’avantage pour lui offrir mon cul. Très vite, il donne des coups de reins contre mes cuisses. Les deux hommes rient de la situation. — Il la veut le bougre, et elle l’encourage ! regardes là tortiller du cul ! salope ! Une claque résonne sur mes fesses. Sako se dresse contre moi et Louis guide sa pine tendue vers ma rondelle. Je l’accueille avec un gémissement de plaisir. Il entre au fond de mon ventre et les coups de rein de l’animal me poussent contre la queue tendue du jeune qui râle de plaisir. Il sort de ma bouche en me tirant les cheveux et dirige son membre vers ma figure juste avant de lâcher plusieurs jets de semence épaisse. La pine de Sako est de plus en plus grosse. Il se verrouille en moi tout en lâchant de longs jets de foutre. Ma rondelle distendue me brule. Il se retourne et nous nous trouvons cul à cul. Je suis collé à mon mâle.Les deux hommes rient toujours en m’insultant. Le jeune a un peu débandé après avoir joui sur ma figure mais Louis a toujours une trique de fou. Je reste ainsi un bon moment, Sako m’inondant de sa semence. Je sens ma queue toute raide entre mes cuisses. Mon gland est humide de mouille. Je vois même de ma semence perler de mon méat.Un bruit de botte me fait lever les yeux. Mon maître est là, en tenue de cavalier. — Alors les gars, vous avez la petite chienne !— Oui patron, comme vous avez dit. Elle se planquait derrière mais dès qu’on l’a trouvée, elle s’est laissée faire …une vraie salope celle-là répond le jeune— Elle a pas dit un mot la garce ! ajoute LouisSako me laisse enfin. Sa pine glisse de mon cul avec un bruit de succion. Sa semence se met à couler le long de ma cuisse. La maître s’accroupit près de moi et me tapote la tête.— Je suis content que tu sois venue me dit-il … voyez les gars, c’est une bonne chienne parce que son clito est bien raide même après s’est fait féconder par un bon gros mâle, dit-il tout en me touchant la queue avec le bout de sa cravache. Et regardez-moi ces tétines qu’elle a … ajoute-t-il en m’attrapant un téton avec ses gros doigts, elles sont toutes dures…une vraie chienne en chaleur…et tout ça sans dressage !Il se relève et va s’asseoir prés de de Louis qui bande toujours très fort. — Ecoutes moi bien me dit-il en ma faisant signe d’approcher, en acceptant de venir jusqu’ici, puis de te laisser baiser par mes gars, tu as déjà montré tes motivations. Je te fais une proposition. Tu peux encore tout arrêter. Si tu acceptes, tu es à moi pour toute la semaine. Je te ramène ici après et on verra pour la suite. Sinon, tu peux repartir comme tu es venu. Cette clef ouvre la boîte de tes fringues et la porte. Tu la prends, tu pars et on oublie…ou tu choisis ça !Dans une main, il tient la clef du cadenas, de l’autre, un collier de chien avec une laisse.Je suis à quatre pattes devant lui. Je lève les yeux vers ses mains. Je bande toujours comme un fou.Je regarde le collier…puis la clef…Et je fais un pas vers lui.
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