Une Vie de Chienne (3)Je marche péniblement derrière mon maître. Il me tient en laisse et je suis obligé de courber le dos pour ne pas tirer sur la chaine. J’ai choisi le collier. Je n’ai même pas hésité avec la clef dans l’autre main. Je me suis approché et mis ma tête sous le collier qu’il m’a tout de suite fixé au cou.Le chemin nous mène vers une clairière où se trouve une camionnette. Louis ouvre la porte coulissante puis celle d’une cage en métal. Il prend la laisse dans les mains du maître et me tire à l’intérieur. Je m’y glisse à quatre pattes. La porte se referme contre mes fesses. Je ne peux plus bouger.La porte coulissante claque et je me retrouve dans le noir. Le véhicule démarre rapidement. Je suis secoué dans ma cage étroite, puis la route s ‘améliore.Me voilà embarqué par un inconnu, vers un lieu … inconnu… J’ai accepté de me soumettre à cet homme que de reprendre la clef pour repartir. Une semaine …. Je vais rester une semaine sous son emprise …comment en suis-je arrivé là ? Quand j’ai regardé ses mains avec le collier et la clef, je me suis dit que j’étais à ma place, à quatre pattes devant ces hommes qui venaient de me baiser … parce que depuis longtemps il me plait de m’imaginer dans cette situation, à la merci d’une personne autoritaire. Je sais que j’y suis à ma place… coincé dans ma cage, je roule vers ma destinée…et je bande. Je suis excité à l’idée de m’avilir.On roule toujours. Cela semble durer longtemps, surement à cause de la douleur dans mes genoux. On s’arrête enfin et la porte s’ouvre en grand. Ebloui, je ne vois pas grand-chose. La cage s’ouvre et je suis tiré dehors et forcé de me mettre à quatre pattes. Je ne vois que les bottes du maître. Je lève un peu les yeux sur une pelouse s’étalant devant une grande bâtisse. Il me semble apercevoir des gens sur une terrasse. Le maître m’entraîne vers une grange. Je le suis péniblement en marchant sur mes mains et mes genoux. — Avance ! lance-t-il en se tournant vers moi, il va falloir que tu apprennes à ne pas tirer sur ta laisse.La porte de la grange s’ouvre à notre approche. Un type ressemblant à Louis salue le maître.— Etienne dit celui-ci, met la nouvelle dans son box, je m’en occuperais après le déjeuner. Tu peux la laver un peu … Sako et Jean se sont un peu amusés sur elle.— Bien patron … — Amène-lui Cisco si tu veux …— Cisco ? ok patron … Etienne attrape la laisse et me tire vers l’arrière de la grange. Avec un tuyau, il m’asperge d’eau froide et me frottant partout. Il me glisse même un doigt dans le rectum avec le tuyau tous prés. Je sens de l’eau couler en moi.— Pousse, ordonne-t-ilJe pousse pour expulser la flotte et je me mets à uriner en même temps. Il rigole tout en m’arrosant la queue et les couilles. Il me ramène dans la grange et me fait entrer dans un box. La paille tapisse tout le sol et dans un coin une couverture est dépliée. Il attache la laisse à un anneau près de la couverture. Il me regarde un instant…comme si j’étais vraiment un animal. Il me tâte les fesses, malaxe mes couilles, attrape mes tétons. Ces ‘’caresses’’ bien que viriles finissent pas me faire bander. — T’es une chaudasse … dit-il avec un sourire vicieux tout en m’attrapant la queue maintenant bien dure. je vais devoir ….Sans finir sa phrase, il sort du boxe et revient avec des bracelets en cuirs qu’il me place aux poignets. Il fixe ensuite la petite chaine de chaque bracelet à mon collier. Il se redresse en me donnant une claque sur les fesses et me laisse seul.Les chaînes m’empêchent de me caresser. Je me couche sur la couverture, épuisé par cette matinée riche en émotion. Je suis réveillée par des coups de langues sur mes fesses et mes cuisses. En ouvrant les yeux, je découvre Cisco en train de me faire la fête. Il tourne autour de moi en bougeant la queue … et en bandant déjà pas mal. Il est tout excité de me voir. Son sexe pointe en dehors de son fourreau. Machinalement, je me mets à quatre pattes. Les chaines aux poignets m’obligeant à me tenir les fesses relevées. Ses coups de langues se font plus précis sur mes fesses et ma rondelle. J’écarte un peu les cuisses. Comme c’est bon de sentir cette langue agile sur ma queue et mon anus. Très vite Cisco se positionne pour me saillir. Apres quelques coups de bite sur mes cuisses et mes fesses, sa pine trouve ma rondelle. Elle s’y glisse et il se plaque contre mes cuisses, son membre grossissant encore dans mes entrailles. Je gémis sous ses coups de boutoir et sa queue qui gonfle. Déjà je sens sa semence m’arroser le fondement, son jus chaud me remplir. Il se plaque contre moi, m’arrachant un cri de plaisir. La boule à la base de sa queue grossit encore. Je suis soudé à lui et il se déverse encore et encore. La sensation est extraordinaire. Je me sens vraiment chienne, sa chienne. Quel plaisir de sa faire remplir, ainsi, de se faire saillir par ce mâle viril. Il donne encore quelques coups de rein et cela me fit monter mon jus. Je le sens couler dans ma queue. J’aimerais pouvoir me branler. Il s’est tourné et se tient collé contre mes fesses. J’ai posé la tête dans la paille et j’attends que mon mâle se retire. Je suis bien. Il finit par se retirer, laissant ma rondelle ouverte, sa semence coulant les longs de mes cuisses. C’est le deuxième chine qui me couvre aujourd’hui …Toujours dans la même position, je n’entends pas tout de suite la porte du box s’ouvrir. Mon maître est de retour.
