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Une vie de dominateur

Chapitre 2

Hétéro
Le lendemain quand Solange est arrivée pour la séance de pose, elle était méconnaissable : robe printanière multicolore mettant en valeur sa taille fine et ses petits seins arrogants, escarpins, bijoux fantaisie, ses longs cheveux blonds libérés du chignon, elle était superbe. Longuement je l’ai complimentée pour sa beauté et son élégance. Elle s’est dirigée en virevoltant vers le paravent pour se déshabiller. J’ai eu l’impression qu’il lui tardait d’être nue. D’ailleurs elle est ressortie très vite de sa cachette : juchée sur ses hauts talons et vêtue uniquement d’un adorable string brésilien en dentelle noire. J’appréciais les conseils donnés certainement par Nady. Ce n’était plus Jeanne d’Arc marchant vers le bûcher. Solange avançait lentement vers le divan me laissant tout le temps de l’admirer et de la complimenter à nouveau.
Sans avoir besoin de mes conseils, elle a pris la position : bras en croix et à plat ventre sur un coussin qui accentuait la cambrure de ses reins. Quand mon modèle était bien en place sur la toile j’avais pour habitude de compléter le dessin par une série d’accessoires fruit de mon imagination et de mes fantasmes.En l’occurrence j’avais prévu de figurer deux puissants tendeurs fixés aux poignets de Solange pour maintenir ses bras en croix, de fines lanières de cuir liant ses jambes l’une contre l’autre et une lourde chaîne fixée aux chevilles lui interdisant tout mouvement.
Pour réaliser ce tableau j’avais pris une toile de même format que celle où j’avais représenté Fatima ma superbe servante noire allongée sur le dos et écartelée : les jambes maintenues par des sangles fixées aux chevilles, les bras repliés sous les reins. Une lanière apparente permettait de comprendre que les poignets étaient attachés entre eux. Cette position inconfortable obligeait Fatima à bomber le torse mettant en valeur sa superbe poitrine. Enfin tout le haut de son corps était immobilisé par deux lourdes chaînes fixées à un collier d’esclave.
J’avais imaginé de donner le même titre à ces deux tableaux de même format : ? esclave préparée pour recevoir son maître ?. Tous les érotomanes amateurs de soumissions sauraient apprécier le parallèle : la noire en position pour être prise par devant, la blonde pour être prise par derrière. Dans sa naïveté charmante, Solange n’avait pas encore compris où je voulais en venir.
La séance de pose terminée elle est venue vers moi, sans pudeur dans sa nudité érotique, pour voir mon travail. Je bandais comme un bouc en rut, mais j’avais décidé de me maîtriser. Je ne voulais pas brûler les étapes. Heureusement Solange est vite partie se rhabiller derrière le paravent pour réapparaître dans sa charmante robe multicolore.
Il y avait, dans un coin de l’atelier une copie en plâtre du David de Michel-Ange. Solange s’est attardée longtemps devant la statue et puis elle est venue vers moi, rougissante :
— Ysan, vous allez me trouver ridicule mais je veux vous poser une question. Je suis vierge, je n’ai jamais vu le sexe d’un homme, ce n’est pas plus gros que celui de la statue ?
— mais non Solange, vous n’êtes pas ridicule, au contraire je suis ravi que vous me posiez cette question. C’est la preuve de toute la confiance que vous avez en moi. Michel-Ange a représenté là un jeune éphèbe. Le sexe d’un homme adulte est beaucoup plus gros et si vous voulez je vais vous montrer le mien.
Il faisait toujours très chaud dans mon atelier, je ne voulais pas que mes modèles prennent froid et j’avais pour habitude de travailler nu sous ma blouse d’artiste. Sans attendre la réponse de Solange j’ai vivement ouvert ma blouse pour lui montrer mon sexe en forte érection. Elle a été surprise mais m’a paru plus fascinée que troublée:
— mon dieu !!!! il est énorme !!!
— ne soyez pas effrayée Solange, essayez au contraire de le toucher, il faut vous habituer aux hommes.
Délicatement elle a pris ma bite dans une main alors que de l’autre elle caressait mon gland. J’ai bien cru que j’allais décharger, mais j’ai réussi à me maîtriser. Elle, semblait préoccupée :
— Ysan je vais encore vous poser une question qui vous paraîtra stupide : tous les hommes n’ont pas un sexe aussi gros que le votre je pense ?
— c’est vrai j’ai été gâté par la nature, mais je ne suis pas une exception. Les noirs en particulier ont une verge bien plus impressionnante.
— mais comment une femme peut-elle prendre un tel engin dans sa petite fente.
— sans problème Solange, la nature est bien faite. Toutes les femmes y trouvent du plaisir non seulement par devant mais aussi par derrière où le trou est encore plus petit.
— la sodomie !!! mais c’est un péché mortel !!!
— c’est peut-être un péché mortel mais quand vous aurez essayé vous ne pourrez plus vous en passer.
— Ysan vous êtes le diable ! je m’en vais vite, à demain.
Elle s’est approchée de moi et comme la veille s’est pendue à mon cou pour m’embrasser. Cette fois je ne lui ai pas tendue la joue, elle m’a embrassé trois fois sur les lèvres. Moi je la serrai par la taille, frottant mon sexe contre son ventre. Dès son départ je suis allé à la cuisine raconter la scène à Fatima :
— mais alors Maître vous ne l’avez pas encore baisée !!
— décidément c’est chez toi une idée fixe, Fatima. Je t’ai dit que mademoiselle Solange était vierge, je ne veux pas la dépuceler à la sauvette.
— vous avez raison Maître, pour une femme la première fois c’est important, mais maintenant vous devez être complètement engorgé. Votre bite va éclater, il faut que je vous soulage !
Sans me demander mon avis, Fatima s’est agenouillée devant moi et a pris en bouche ma verge turgescente qu’elle a enfoncée jusqu’à la garde. Je n’ai jamais compris comment elle pouvait avaler sans s’étouffer une bite aussi grosse que la mienne. Elle a amorcé de rapides mouvements de va et vient, ses lèvres pulpeuses caressaient délicieusement sur toute sa longueur mon sexe en feu. Pour moi le plaisir était particulièrement violent chaque fois que mon gland frottait contre le fonds de sa gorge. A ce rythme, je n’ai pas tardé à éjaculer. Comme à son habitude, Fatima a tout avalé et semblait se délecter de mon sperme.
Dans la soirée, j’ai téléphoné à Nady, la spécialiste du prêt à porter chez qui j’avais envoyé Solange :
— toutes mes félicitations Nady, tu as complètement transformé Solange, c’est une véritable métamorphose !
— ce n’est pas fini, il y a encore du travail, mais elle est adorable ta petite comtesse. Et puis elle ne regarde pas à la dépense, pour te plaire elle m’achèterait toute la boutique. Je vais maintenant m’occuper de ses dessous.
— déjà tu lui as fait remplacer son horrible culotte en coton par un string adorable, c’est un grand progrès.
— oui mais je connais tes goûts Ysan. Je vais maintenant lui faire porter tout ce que tu aimes : porte-jarretelles, guêpières, nuisettes, déshabillés transparents. Au fait, l’autre jour en bavardant avec Solange j’ai cru comprendre que tu ne l’avais pas encore baisée, j’espère que ça y est maintenant, qu’elle a eu droit à ta grosse bite !!
— chez vous les filles c’est une idée fixe, tous les jours Fatima me pose la même question. Et bien non je ne l’ai pas encore baisée, Solange est vierge je veux y mettre les formes.
— alors je vais lui proposer une robe de mariée pour le grand jour, tu vas te régaler gros vicieux.
Le lendemain Solange est arrivée pour la séance de pose vêtue d’une nouvelle robe, encore plus élégante que celle de la veille. J’ai eu droit au triple baiser sur les lèvres. Elle a disparu derrière le paravent pour ressortir très vite en string et talons aiguilles. Au lieu de se diriger vers le canapé elle s’est approchée de moi avec beaucoup de décontraction dans sa nudité provocante. Je bandais comme un bouc, elle voulait simplement voir le résultat de mon travail. J’avais travaillé, seul dans la soirée. Elle a pu découvrir sur la toile les tendeurs, les chaînes, les lanières de cuir qui immobilisaient son corps :
— ainsi Ysan, voilà comment vous m’avez transformée en ? esclave préparée pour recevoir son maître ?. Mais pourquoi m’avez-vous imposée cette position à plat ventre ? vous pensez à la sodomie ?
— bien sur Solange, apprenez q’une esclave doit tout accepter de son maître.
— Ysan vous êtes le diable mais je vous adore.
Et elle est partie prendre la pose sur le canapé. Moi j’ai commencé à peindre dans un état d’excitation fébrile. Il ne me restait que quelques retouches, la séance a été brève, j’avais terminé la toile. Solange, toujours nue est venue voir le résultat et nous avons appelé Fatima. J’aimais bien avoir son avis, elle a été enthousiaste :
— oh maître !!! votre peinture est très réussie, on voit bien que mademoiselle Solange est en position pour se faire enculer.
— Fatima votre langage me choque mais il est vrai que notre grand peintre a beaucoup de talent et d’imagination. Je l’avoue, je prenais beaucoup de plaisir à ces séances de pose. Voilà maintenant c’est fini, je vais le regretter.
— mais si mademoiselles Solange le veut bien, moi j’aimerai que mon maître fasse un tableau où l’on soit toutes les deux.
— Fatima votre idée est géniale : deux femmes, races et civilisations différentes mais unies dans un même esclavage. Ysan acceptez ce sera super !!!!
— Votre idée est excellente je vous vois toutes les deux attachées au poteau qui est au fond de l’atelier. Je peindrai autour de vous une foule d’hommes qui vous jaugent et vous palpent. On intitulera la toile ? le marché aux esclaves ? ce sera le clou de l’exposition !! Allez déshabille toi Fatima, prenez la pose deux et on commence !!
Fatima qui était nue sous sa blouse de travail a vite été déshabillée. A ma grande surprise j’ai vu alors Solange observer avec étonnement le pubis parfaitement épilé de ma sculpturale servante, puis enlever string et chaussures pour se retrouver dans la même nudité qu’elle. Main dans la main elles se sont dirigées vers le fond de l’atelier. Ma petite comtesse calquait son allure sur celle de Fatima qui avançait lentement en ondulant de la croupe. Moi j’étais grisé par le spectacle que m’offraient ces deux jeunes femmes, chutes de reins superbes, culs magnifiques, marchant vers le poteau des suppliciées.
D’instinct elles ont pris la bonne pose : enlacées l’une contre l’autre, chacune d’une main dissimulant le sexe de l’autre, le visage apeuré et les yeux baissés des esclaves soumises. J’ai commencé à dessiner et à peindre dans une excitation fébrile. En une heure l’ébauche de la toile était terminée, je pouvais maintenant continuer à travailler seul.
Mes deux Venus, enfin libérées de la pose sont venues me rejoindre en courant, pressées d’admirer mon travail. Ces deux filles superbes près de moi, mon excitation était à son comble. Je bandais comme un taureau. Nu sous ma blouse d’artiste, ma bite pointait, ce qui n’a pas échappé à Fatima :
— mon maître est trop excité, il ne va pas pouvoir continuer à travailler, il vous faut le soulager mademoiselle Solange.
— moi ???? mais je ne saurai pas ma petite Fatima. Je suis vierge. Hier Ysan m’a fait voir son sexe, je l’ai juste caressé, c’est tout ce que je sais faire.
— Alors je vais vous faire voir, ce n’est pas difficile de soulager un homme et c’est très bon.
Sans plus attendre Fatima s’est agenouillée devant moi. Elle a ouvert ma blouse et avalé ma queue jusqu’a la garde, comme la veille. Solange s’était rapprochée ne voulant perdre aucun détail de la scène. Dans l’état où j’étais il ne m’a pas fallu longtemps pour décharger. Comme à son habitude, Fatima a tout avalé avec délectation, léchant ma verge pour ne pas perdre les dernières gouttes. Solange était impressionnée :
— ainsi Fatima vous avez avalé tout le sperme de votre maître. J’ai eu l’impression que vous y trouviez du plaisir.
— demain essayez, mademoiselle Solange, faites moi plaisir. Vous verrez c’est très bon et mon maître sera ravi. Je vous donnerai des conseils.
— j’ai peur de ne pas savoir, mais vous êtes tellement gentille que je veux vous faire plaisir. Demain c’est moi qui soulagerai Ysan. Mais, je voulais vous poser une autre question Fatima : comment avez-vous fait pour avoir le pubis parfaitement épilé, moi je trouve que mes poils sont disgracieux.
La conversation de ces deux jeunes femmes m’amusait beaucoup. J’étais devenu un simple objet sexuel. Très sérieusement elles conversaient pour décider qui me ferait quoi demain. Je n’ai pas voulu me mêler de leur programme, par contre la question de Solange concernant l’épilation m’intéressait au plus au point. Il me fallait sans plus tarder exploiter la situation :
— vous avez raison Solange, pour une jeune femme aussi belle que vous c’est très bien d’être épilée. Il vous faut aller voir de ma part mon amie Katy. Je vous donne son adresse et je la préviens de votre visite. Elle a un important institut de beauté et saura vous faire une épilation au laser définitive. Je vous préviens c’est assez douloureux.
— oh ! merci Ysan et peu m’importe de souffrir, j’ai envie d’être belle. J’irais dés demain.
Tout en parlant, Solange est allée chercher ses vêtements derrière le paravent et c’est rhabillé devant nous dans une décontraction parfaite. Rendez vous fut pris pour une séance de pose le surlendemain. Avant de partir elle s’est pendue à mon cou pour m’embrasser sur la bouche. J’en appréciais l’habitude, mais cette fois Fatima assistait à la scène et s’est empressée de faire des commentaires :
— mademoiselle Solange est très amoureuse de vous maître, soyez gentil, ne la faite pas attendre plus longtemps, il vous faut la baiser. Mettez lui votre grosse queue. Elle a même envie d’être prise par derrière, je l’ai compris mais elle a un peu peur. La prochaine fois il vous faut m’enculer devant elle pour la rassurer.
Je n’ai pas répondu à Fatima, elle me proposait tout un programme mais moi j’avais le mien. Il est vrai que j’étais très amoureux de Solange, elle était très amoureuse de moi. Je savais parfaitement où je voulais la conduire mais Fatima n’avait pas besoin de le savoir..........
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