Chapitre III : Révélations Les jours qui suivirent, j’étais toujours aussi distante avec les filles. La honte était revenue, et j’étais surtout honteuse d’avoir pris du plaisir en pensant aux filles. Je vous précise que ça n’est plus arrivé par la suite. Quelques jours après ma découverte des relations incestueuses d’Agathe et sa fille, cette dernière nous laissa pour une partie de la journée. Elle avait prévu de passer cette partie de journée avec des copines à elle.Malgré moi, je l’imaginais aller en réalité chez un garçon, pour se faire sauter. Histoire de me changer les idées, et pour préparer le repas du soir, je me suis assise à la table de mon salon, et ai commencé à éplucher les pommes de terre.Agathe vint s’installer devant moi. Elle s’empara d’une pomme de terre, et commença à l’éplucher.« Bon. Y en a marre Maman. Tu vas me dire ce qui se passe ? »Je la regardais, sans rien dire. J’ouvris la bouche, mais Agathe me coupa l’herbe sous le pied : « Et ne me parle pas de Joséphine (c’est mon amie qui était à l’hôpital) ni de ton boulot. Il y a autre chose et je n’aime pas te voir dans cet état. Soit sincère à la fin. Je veux t’aide, mais je ne peux rien si tu ne parles pas. »J’hésitais. Si elle voulait que je dise la vérité, j’allais la dire. Mais j’avais peur des conséquences. Sauf qu’elle avait raison. Je ne pouvais pas garder ça pour moi.« Je vous ai vues, Chloé et toi. (Agathe me regardait, surprise, et pas sûre de ce que je voulais dire) Vous êtes des lesbiennes incestueuses. »Pour le coup, ce fut à son tour d’être incapable de parler. Je n’avais pas repris le contrôle de mes émotions, mais je continuais :« Vous étiez en plein 69. Comment tu as pu faire ça ? Comment réagirais-tu si elle avait le même type de relation avec son père ?— Honnêtement, vu le mépris qu’elle a pour lui, je pense que ça n’arrivera jamais. Ceci dit, si ça devait arriver, et s’il la respectait, je les laisserais prendre du plaisir.— Quoi ? (Nouveau choc. Mais je l’avais cherché, celui-là). Donc pour toi, l’inceste, c’est normal ?— Pas normal. Acceptable. Je te l’ai dit Maman. À son âge, Chloé a de l’expérience, et elle est libre de son corps. Nous nous donnons du plaisir.— Je… Je…— Tu as été choquée de nous voir ?— Bien sûr que oui. Quelle question.— Tu n’as pas été excitée ?— Je… N… Non… Pas… du tout. »Le sourire ravageur d’Agathe se dessina de nouveau sur son visage.
« Bon. Je crois qu’on a des choses à se dire. Viens. On va s’asseoir sur les fauteuils. Ça sera plus confortable. »Je la suivis mécaniquement. Elle s’installa sur le canapé. Je pris place sur un fauteuil, juste devant elle. « Si je commençais par te raconter comment ça a commencé ? C’est tellement gravé dans ma mémoire. Je pense que je n’oublierai jamais.C’était l’année dernière. Nous venions de nous séparer avec Luc (le père de Chloé, vous vous en doutez), mais même depuis longtemps, il ne me touchait quasiment plus. J’étais totalement en manque, et j’avais pris l’habitude, même avant notre séparation, de profiter de moment de tranquillité pour me donner du plaisir seule.Un jour que j’étais à la maison, et Chloé en cours, j’en ai eu envie. Tu l’as remarqué, j’aime me foutre nue pour ma masturber. C’est donc ce que j’ai fait. Je me suis assise sur mon canapé, à poil, et j’ai commencé à me caresser.J’avais fermé les yeux, pour me focaliser sur mon plaisir. Et je ne les rouvris qu’une fois arrivée à l’orgasme, soit après une bonne demi-heure. Oui, je sais prendre mon temps (elle avait dit ça après avoir vu ma surprise, et avant de rire).Quand j’ai ouvert les yeux, je suis restée bouche bée. Chloé était allongée sur le tapis, elle aussi nue, les jambes écartées, et deux doigts dans sa chatte.Elle m’a souri et elle s’est levée. Elle s’est alors posée sur moi. Elle a placé son genou près de ma chatte, et sa chatte à elle sur ma cuisse. Je sentais d’ailleurs à quel point elle était mouillée. Elle posa un petit bisou sur mon front. J’allais dire quelque chose, mais elle posa son doigt sur ma bouche et m’a dit : ‘Tu es très excitante ma petite Maman. C’était un plaisir de te regarder te masturber.’Son doigt glissa sur mon cou, et sur mon sein droit. Elle le posa sur mon mamelon. J’ai senti une vague d’excitation partir de mon sein et parcourir tout mon corps. ‘Tu as de très beaux nichons. Je suis jalouse’, qu’elle m’a dit. Puis son doigt glissa encore sur mon ventre, les poils de ma chatte, puis arriva sur mon clito. J’aurais voulu bouger ou dire quelque chose, mais mon corps ne réagissait plus. Il profita seulement de la nouvelle vague de plaisir qui me traversait. ‘Et ta chatte… Je n’ose pas en parler.’Elle posa ses lèvres sur les miennes. D’abord doucement. Un petit smack. Puis plus intensément. Mon esprit était toujours sur off, et je me suis mise à l’embrasser aussi.‘J’ai envie de te bouffer la chatte Maman… Tu l’as déjà fait avec une fille ?’ Je fis non dans la tête. ‘Moi quelques fois, avec ma copine Magalie. Et tu as déjà eu une relation incestueuse ?’ Encore non. Elle rigola. ‘Là, moi non plus. Nous allons découvrir ça ensemble.’Ses lèvres se mirent à parcourir mon corps. Elle m’embrassa dans le cou. Puis elle s’attarda sur mes seins, qu’elle léchait, suçait, mordillait… Elle descendit ensuite sur mon ventre, prenant un peu de temps pour mon nombril, avant d’arriver sur ma chatte.Quand sa langue s’est posée sur moi, j’ai presque joui immédiatement. Des décharges électriques parcouraient mon corps sans arrêt. Chloé sait y faire. Elle me léchait, et vint me mettre deux doigts. Quand j’approchais de l’orgasme, elle arrêtait quelques instants de me lécher, sans arrêter de me doigter par contre. Ça me permettait de redescendre un peu, avant qu’elle reprenne. Elle me fit le coup quatre fois, avant de me laisser jouir.Elle s’éloigna du canapé, et s’allongea de nouveau sur le tapis. ‘Viens Maman. Viens gouter la chatte d’une autre fille. La chatte de TA fille.’Encore secouée par l’orgasme que je venais d’avoir, j’ai voulu me jeter direct sur sa chatte, mais je me suis dit que je voulais aussi gouter son mignon 85B.Je me suis agenouillée à côté d’elle, et je me suis penchée pour emboucher son petit mamelon. Inexpérimentée, je me suis mise à le sucer comme un bonbon. J’avais peur de mal m’y prendre, mais Chloé avait l’air d’aimer. Je continuai de lui sucer le sein, et posai ma main sur l’autre, pour le caresser et le malaxer. ‘C’est bon Maman. Tu t’y prends très bien.’Je t’avoue que j’aurais voulu qu’elle me guide au lieu de simplement me complimenter, mais avec le recul, je me dis que si ça a été aussi explosif pour nous deux ce jour-là, c’est justement parce que nous étions spontanées.Je lâchai son sein, et ma main glissa sur son ventre, et atteignit sa toison intime. Je me suis mis à la caresser, comme un petit animal. Chloé gloussait. Puis je me suis fait violence, et poussais ma main vers sa fente. Elle a soupiré ‘Oui !’ C’était la première fois que je touchais une chatte qui n’était pas la mienne. J’avais peur d’être maladroite, puis je me suis contentée de reproduire les gestes que je faisais pour moi. Je masturbais ma fille de dix-neuf ans, tout en lui suçant le sein.Je me sentais folle.Je me sentais excitée. Excitée, et joyeuse.Au bout d’un moment, je me suis dit ‘Maintenant !’J’ai arrêté mes caresses, et je me suis allongée sur le tapis, entre ses jambes. J’ai approché ma tête de son sexe. Je n’avais jamais léché de chatte de ma vie. Je n’avais d’ailleurs jamais gouté ma mouille. Je ne savais pas quoi faire. J’ai regardé Chloé, qui s’est contentée de me sourire. J’ai arrêté de réfléchir. J’ai sorti ma langue de ma bouche, et j’ai touché les lèvres vaginales de Chloé. J’ai été surprise par le gout, l’odeur, la chaleur. Surprise et excitée.Je finis par prendre confiance en moi, et à carrément la lécher. Elle a soupiré des ‘Oui’, avant de les gémir, et de les hurler.Ça n’avait mis que quelques minutes, mais je l’avais fait. J’avais fait jouir une femme avec ma langue. J’avais fait jouir ma propre fille avec ma langue.Je me suis allongée à ses côtés. Je n’oublierai jamais son sourire à ce moment précis.Elle a alors pris un air grave. ‘Tu sais Maman… Si tu ne veux plus qu’on le fasse, je comprendrai parfaitement.’ Pour toute réponse, je me suis penchée vers elle pour l’embrasser, ma main sur son sein.Depuis, à chaque fois que nous en avons envie, et ça veut dire très souvent, nous faisons l’amour. »
