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  • Histoire érotique écrite par Anonyme
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Université

Chapitre 1

Divers
J’avais 21 ans et je venais à peine de commencer mes études d’histoire lorsque j’ai rencontré Marine, à l’université.    Je l’avais repéré à l’amphi qui ne manquait pourtant pas de jolies étudiantes. J’avais d’abord flashé sur son visage presque enfantin d’une clarté éclatante parsemé de taches de rousseurs, sur sa bouche sensuelle qui semblait incarner l’expression de l’innocence, son petit nez légèrement retroussé et ses cheveux blonds dorés tombant négligemment sur ses épaules.     Ses magnifiques yeux verts s’étaient portés sur moi avec un peu d’insistance à plusieurs reprises, suffisamment en tout cas pour que j’ai le courage de lui adresser la parole. Tout était allé très vite, car elle m’avait effectivement remarqué, et il faut dire que j’avais mon succès à l’époque auprès des filles avec mes allures de jeune premier romantique aux cheveux bouclés.    Nous avions tout de l’apparence d’un très jeune couple bien sage et sérieux au travail, et notre timidité respective avait rendu nos deux premiers rendez-vous presque comiques de par la gaucherie et les rougissements qui trahissaient nos émotions.    Mais c’était bientôt pour mieux libérer les frustrations de notre éducation bourgeoise et protégée.     Dès l’instant que nos lèvres s’étaient effleurées pour la première fois dans l’obscurité d’une salle de cinéma , nous nous étions livrés sauvagement à la délectation de la découverte de nos corps, repoussant chaque fois les limites du raisonnable...    Je me souviens bien sûr de ce premier baiser, de nos langues qui s’enveloppaient et glissaient l’une contre l’autre pendant que déjà ma main caressait ses seins menus aux pointes tendues. Sa poitrine adolescente ferme et hardie n’avait besoin d’aucun soutien.     Elle avait emprisonné ma langue dans ses lèvres et me suçait la pointe lentement alors que le souffle accéléré de son nez mutin me caressait la joue .    Elle portait une courte jupe plissée qui me rendait facile l’accès à la chaleur de l’intérieur de ses tendres cuisses. Le contact en était délicieux , la fermeté de ses chairs répondait à mes caresses par de légers frissons de la peau, légèrement moite, plus chaude encore alors qu’un de mes doigts déjà effleurait l’étoffe de coton qui recouvrait son sexe. Ma délicieuse étudiante glissant délicatement sa main derrière ma tête, caressa un instant mes cheveux, ce qui électrisa mon corps jusqu’à la pointe des pieds. La caresse bientôt se transforma en pression plus déterminée pour diriger ma bouche mêlée de nos salives de la sienne, à son cou gracile, puis bientôt à ses seins que je libérais entièrement de toute entrave. Sans maîtriser mon geste, j’avais fait sauter les boutons du corsage. Ce qui ne semblait pas la gêner, car c’est des deux mains désormais qu’elle m’intimait d’embrasser sa poitrine. Mes lèvres , ma langue, caressaient, léchaient, baisaient ses ravissants tétons dont je jouissais comme d’une friandise divine, à la fois sucrée, salée, tendre, fondante, chaude et humide.     Ma main entrait au contact, sous sa culotte, d’un mont de venus à peine couvert de fins poils bouclés . Mes doigts glissaient dans la commissure de ses lèvres intimes sans effort. Elle était toute mouillée.    Au même instant elle avait plongé les doigts fins de sa main au delà de ma ceinture à l’intérieur de mon slip. Elle empoignait mon sexe tendu, brûlant de désir et imprima un va-et-vient régulier sous mon pantalon.    Alors que je suçais ses seins voracement elle commença a faire imprimer un mouvement de balancier à son bassin, ce qui eut pour effet de frotter son sexe gluant contre la paume de ma main. Elle étouffait à peine de petits soupirs aigus que nos voisins ne pouvaient qu’entendre.    C’est peut être pour cela qu’elle s’est dégagé de mes caresses insistantes , pour se glisser à genoux dans le faible espace que laissaient les fauteuils et frotter son visage contre la bosse de mon pantalon. Avec agilité elle avait rapidement ouvert ma braguette et j’avais à peine le temps de réaliser la situation , qu’elle engloutissait mon vis au plus profond de sa gorge.    C’est moi qui empoignais sa chevelure à pleines mains , pour accompagner les mouvements de sa tête, de plus en plus rapides.     Ce soir là elle engloutit tout mon sperme et nettoya consciencieusement de sa langue mon sexe, jusqu’à la dernière goutte . En se redressant elle fit glisser sa culotte humide pour me l’offrir en cadeau. Ensuite elle acheva de déchirer son corsage qu’elle laissa en lambeaux sur place afin d’être entièrement nue sous sa veste.    En sortant de la salle il faisait nuit. Nos caresses reprirent, alors même que nous marchions dans une ruelle obscure. Je glissais un doigt sous ses fesses fermes et charnues qui ondulaient à chaque pas pour le remonter et la pénétrer brusquement, mais elle retint mon geste. Elle m’avoua sa sensibilité de vierge .     Tout d’abord je ne pouvais pas la croire, penser qu’une telle sensualité puisse se dégager d’une jeune fille sans aucune expérience, me semblait impossible.     Un peu plus tard, assis sur un banc des bords de Seine, je lui demandais si même sans pénétration, elle n’avait pas eu d’autres expériences. Mais elle refusa de me répondre...    Nos expérimentations intimes ne connurent pas de limites. Tout était prétexte à faire l’amour, le moindre endroit, le plus bref instant qui nous était disponible.     Ainsi en plein cours d’amphi de la Sorbonne il nous arrivait de quitter notre place pour baiser derrière les gradins qui avaient supportés tant fessiers illustres, tout en entendant l’orateur continuer son discours.    Un jour Marine m’invita à participer à ce petit jeu en venant assister au cours de son tuteur de mémoire. C’était un homme d’une soixantaine d’années que je trouvais assez moche et insipide et qui assénait son cours de façon soporifique. Aussi je ne perdais pas grand chose à manquer une part de son discours, en disparaissant de sa vue pour aller pénétrer en levrette ma tendre étudiante, tout en faisant glisser mon doigt humecté de salive dans le trou de son cul.    Cette opération avec d’autres variantes se reproduit quelques jours après, puis la semaine suivante.    Un soir, alors que nous étions encore dans l’amphi , Marine glissa discrètement comme au premier jour sa main fine dans mos slip. Elle commençait à me branler doucement quand elle se mit à m’avouer: ’ Malgré son âge et le fait qu’il soit marié, il n’hésite pas à me faire des avances appuyées.’ Je regardais étonné son regard attendri porté sur le vieux professeur.    Mais je n’osais pas la croire quand elle me dit au coin d’un verre, une fois le cours achevé, qu’elle n’était pas insensible à ses charmes.    Elle s’empressa de vouloir me rassurer sur notre relation, mais m’avoua que son attirance pour les hommes mûrs ne datait pas d’hier.
    Tout cela avait commencé avec le patron de son père, un homme marié qui avait des enfants plus âgés qu’elle, et qui l’avait séduite dans les locaux même de leur lieu de travail alors qu’elle était venue apporter un dossier oublié par celui qu’elle appelait bien que majeure encore son papa.    Elle avait bien trouvé qu’il venait un peu plus fréquemment à la maison pour des prétextes apparents de travail à terminer, mais ce n’est qu’au bout de plusieurs visites qu’elle réalisa qu’elle était la responsable involontaire de ces déplacements.     Un jour qu’il la trouva seule, il lui proposa de l’emmener chez lui, ce qu’elle accepta sans savoir trop pourquoi. Tout comme elle accepta de se laisser dénuder presque entièrement pour ne garder que ses mocassins vernis, et la chaîne argentée qui lui servait de ceinture. Alors elle se laissa caresser dans toutes les parties, jusqu’aux plus intimes de son corps tout juste formé. Elle laissa les mains larges de ce père de famille respectable, explorer ses moindre recoins. Cette bouche qui avait donnée tant d’ordres à son propre père était là pour ne plus satisfaire que ses propres désirs à elle. Elle faisait frémir ses petits seins, déposait une multitude de baisers respectueux sur ses reins, sur ses fesses, effleurait ses jambes pour caresser enfin ce sexe totalement vierge jusqu’ici d’un contact masculin.    Plusieurs fois elle était revenue, et c’était toujours le même rituel de ces caresses cérémonieuses qui duraient toujours plus d’une heure, sans qu’il cherche jamais à la pénétrer, à enfreindre la part qui lui semblait la plus émouvante de son être: sa virginité.    Puis leur relation s’était arrêtée à la suite d’un déménagement, mais il en restait pour elle une sensibilité particulière à l’égard de la maturité des hommes, perçus tour à tour en de telles circonstances comme des pères ou comme des enfants. Des hommes, qui si elle ne les aimaient pas vraiment et alors le physique importait guère, lui apportaient cette certitude d’être pleinement elle-même: une femme encore en devenir.     Je découvrais Marine sous un jour que je n’avais pas soupçonné, alors que nous nous connaissions depuis bientôt trois mois. Elle m’avoua que sans jamais accepter de se laisser pénétrer, elle s’était livrée à d’autres jeux érotiques avec des hommes plus âgés, qu’elle connaissait à peine, jusqu’à s’aventurer seule dans des boîtes échangistes pour assouvir ce désir qui devenait une drogue.     J’étais ainsi le seul jeune homme, le seul qui avait rompu sa virginité, mais dans son esprit les hommes mûres gardaient une place à part dont elle restait encore dépendante.    ’Mon tuteur m’a invité à dîner chez lui vendredi soir. J’ai accepté parce que j’en ai très envie, mais à la seule condition que tu viennes. Sa femme sera là. Elle est au courant de beaucoup de choses et cela ne la dérange pas.’    Plus tard, elle me dit que le vieux professeur était au courant de notre manège à l’amphithéâtre et qu’il imaginait, tout en parlant, ce qui se passait derrière la balustrade.    J’avais finalement accepté l’invitation de celui que j’appelais un peu facilement ’le vieux cochon’ avec un sentiment mêlé de peur, de curiosité malsaine et de désir irrationnel.    Le soir venu nous nous présentions devant le portail d’une vaste demeure bourgeoise de la proche banlieue. Un homme grand nous introduit dans la maison où nous accueillirent le professeur et son épouse. C’était une grande femme élégante d’environ une cinquantaine d’années, très séduisante dans sa longue robe de soirée qui soulignait ses formes élancées. Son décolleté audacieux dévoilait une poitrine plus souple que ferme mais qui attirait irrésistiblement le regard. Sa peau légèrement halée était marquée des délicates ridules des femmes qui ont vécu. Son allure était altière, mais la partie la plus réussie de ce que me révélait son anatomie s’était ses jambes incroyablement longues et fines magnifiées par le port de hauts talons.    Marine c’était quand à elle habillé selon les désirs de notre hôte. Des couettes, un T-shirt blanc laissant deviner le contour de sa petite poitrine, des mocassins , une jupe courte et fluide légèrement évasée couvrant un string.    Installés bientôt dans le salon nos couples se faisaient face.     J’étais impressionné par le regard de cet homme dévoré de concupiscence à l’égard de mon amie. De mon coté, madame ne me laissait pas indifférent, et son regard dirigé avec insistance vers moi, me laissait espérer en une agréable diversion possible à l’abandon programmé de Marine aux caresses lubriques du vieux.    Le signal des festivités orgiaques vint d’une façon inattendue des gens de maisons, qui nous apportaient et desservaient les plats.    Une délicieuse soubrette que j’avais ici à peine remarqué nous apporta des amuses-bouches le torse apparent. Ses seins lourds ballottaient négligemment à chacun de ses gestes, de part et d’autre des bretelles déliée de son bustier . Elle fait passer les plateaux et offrait à notre vue ce magnifique spectacles de mamelles imposantes et fières aux larges aréoles brunes.     Je pensais que cela allait en rester là , mais une fois gagnée notre place pour dîner, nos singuliers serveurs nous laissaient à nos conversations pour s’enlacer langoureusement et se livrer debout à d’impudiques étreintes.     La main de l’homme s’était glissée dans la raie du cul de la servante, qui bientôt se trémoussait pour accompagner du mouvement de ses hanches la caresse appuyée. Brusquement elle se cambra ,ce qui laisse penser qu’un doigt avait forcé son trou étroit. Alors que le serveur triturait ses chairs intimes avec dextérité, il embouchait maintenant un de ses mamelons et suçait la chair tendre avec une telle fougue que le bruit que faisait sa bouche couvrit presque les légers gémissement de la soubrette.    Tout cela bien sûr m’amenait à un degré d’excitation incroyable.    Mon hôtesse visiblement émoustillée me sourit malicieusement, et c’est seulement alors que je découvre toute la beauté de son regard pénétrant. J’aime la clarté sans ambiguïté de ses regards des femmes mûres qui n’ont plus peur de fixer un homme qui leur plait.     Pourtant mon attention est détournée bientôt par l’attitude de nos voisins.    Si en venant à cette invitation j’avais accepté de m’aventurer dans les voix nouvelles de l’échangisme cela ne se faisait pas sans douleur. Ce que dans mes fantasmes j’acceptais complaisamment , à savoir partager ma copine avec un inconnu, j’allais le voir réalisé, et tout cela maintenant m’échappait.    Ce professeur décidément peu sympathique dont le visage rougeoyant perlait de sueur, contourna la table pour s’approcher de Marine qui le suivait ingénument du regard.     Ce n’était pas la Marine que je connaissais, avec ce caractère affirmé qui aimait souvent dominer. Elle était comme une petite fille prête à obéir en tout point à son maître. Rapidement les mains moites et tremblantes du sexagénaire avaient déboutonné le corsage de ma copine. Il pétrissait bientôt de façon fébrile avec ses doigts boudinés et fripés, la poitrine ferme et menue à la blancheur éclatante. Je ne reconnaissais qu’à peine cette étudiante superbe qui était à coté de moi , littéralement en transe et dont la main avait glissé vers la braguette du vieillard pour en extraire avec dextérité un sexe mou et poisseux. Elle imprimait à la chair ridée des mouvements de va-et-vient .     Ensuite il empoigna ma jeune compagne par les cheveux pour qu’elle dirige son visage vers la hampe de chair flasque, dont l’odeur repoussante parvenait jusqu’à moi.    Marine n’eut aucun mouvement de recul. Elle englouti dans sa bouche le gland rougit du vieil homme, et bientôt je vis coulisser tout près de moi ces ravissantes lèvres, le long de la tige de chair repoussante qui se raidissait doucement.    Discrètement, pendant ce temps , la femme du professeur s’était assise à coté de moi, sur la chaise jusqu’ici laissée libre. Instinctivement en sentant sa présence je me tournais vers elle, pour blottir mon visage au creux de sa poitrine. D’un geste tendre elle me caressait les cheveux.     C’est moi maintenant qui était comme un enfant, un enfant qui avait besoin de tendresse, de réconfort.     Catherine, je connaissais maintenant son prénom, se livra complaisamment à cette attitude maternelle que j’attendais d’elle. Et alors que Marine et son professeur s’étaient dérobés à nos regards main dans la main et que j’entendais leur rire complice dans une pièce voisine. Mon hôtesse me susurrait délicatement à l’oreille des mots tendres.    Elle libéra bientôt un sein pour en porter la pointe délicate et sucrée à mes lèvres. Sa poitrine était sublime, de taille moyenne, ses mamelles moelleuses répondaient à mes caresses par l’érection de leurs larges tétons roses et clairs. J’étais comme un nouveau-né qui tète sa mère , et madame se prêtait visiblement au jeu , soupirant de plus belle: ’ Vas-y mon bébé, bois-moi, fais-toi du bien.’ Un liquide sucré perlait même du bout de ses seins, que j’absorbais avec délectation.    Elle m’invita ensuite à la rejoindre sur le canapé pour que je continue à lui sucer la poitrine. Elle avait maintenant glissé une main sous ma chemise et me caressait doucement le dos.    J’étais lové en boule, contre son corps en position foetale. Elle fit glisser mon pantalon et sa main parcourait maintenant mes fesses, puis mes cuisses. Je l’entendais murmurer: ’Comme tu es beau, comme tu es jeune, tu pourrais être mon fils.’    En me blottissant contre elle, je cherchais plus de chaleur encore, et ma main s’insinua sous sa robe. Quel jouissance de sentir entre mes doigts ce liquide poisseux, presque brûlant, qui collait à ma peau.     Elle se fit glisser sur le dos et me demanda d’enfouir ma tête entre ses cuisses, de m’allonger sur elle. Mon sexe était au contact de sa joue. Elle décalotta mon gland pour le caresser tout d’abord de son souffle apaisant.    Mes narines étaient saturées de ses effluves femelles. J’enfouissais mon nez dans les replis de son sexe en chaleur, velu, soyeux, qui dégageait une senteur fauve, âcre qui m’enivrait. Je l’entendais souffler: ’Bois-moi, bois le jus de ma chatte, s’il te plait, s’il te plait!’     Déjà, alors que je sentais le long de mon sexe ses petits coups rapides de la langue, j’employais la mienne à laper sa cyprine, appuyant comme un fou dans le sillon gluant de ses chairs intimes . Je suçais bientôt son clitoris, le triturais de la langue et des lèvres. C’est l’instant qu’elle choisit pour engloutir mon sexe , l’aspirer au plus profond , le recracher pour l’aspirer en un mouvement insupportable.    Je me dégageais, pour ne pas l’asperger si vite du flot de sperme que je contenais difficilement. Et me positionnais derrière elle , la faisant pivoter pour l’entreprendre en levrette. Je l’assaillais avec tout ce qui me restait de force. Sa tête partait en mouvements désordonnés et elle criait si fort ...    C’est alors que la vit à nouveau... celle que j’aimais si tendrement et que j’avais fini pourtant par oublier.    Marine avait rejoint seule sa place à table, et avait rajusté ses vêtements comme si rien ne s’était passé. Et je ne savais alors rien de ce qui s’était vraiment passé.    Je crus percevoir de la tristesse dans ce regard vaporeux, qui me regardait fixement jouir de la croupe accueillante de la femme du professeur.    Posséder cette femme devant ma copine qui me regardait, loin de me rendre coupable curieusement, me donnait un étrange sentiment de puissance. Ostensiblement, mon regard rivé dans celui de Marine, je forçais de mon pouce la rosette luisante de ma belle amante. Je pistonnais son anus alors qu’elle criait de plus en plus fort. Je déversais dans sa matrice des flots de sperme.    A bout de jouissance je m’allongeais tout du long sur son corps en sueur.    C’est alors que je distinguais sous la longue nappe, les pieds d’un hommes... Les paupières de ma petite Marine tremblaient légèrement, et ses yeux semblaient se dérober. Elle était en train de jouir sous les coups de langue répétés de son professeur.
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