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L'université : de la soumission à la consécration

Chapitre 3

Perversion

Inceste
Le lendemain matin, je suis tiré du lit par des coups frappés à la porte. Je prends quelques secondes pour émerger et me remémorer les événements de la veille.  Il y a eu bien sûr la gâterie exigée par Léna, puis je suis revenu dans ma chambre pour me coucher, malgré une sévère érection. Là, je me suis retrouvé avec Nicolas qui était déjà rentré. J’hésitais encore sur la conduite à tenir avec lui, à savoir lui parler ou non de ce qui s’était passé, mais il a tiré le premier :
— Ta marraine t’a demandé quelque chose ? m’a-t-il questionné.— La même chose qu’à toi, ai-je répondu, non sans une certaine aigreur.
  Il m’a répondu par un regard étonné, se demandant sans doute comment je pouvais être aussi catégorique. Comme il s’agit tout de même de mon meilleur ami, je lui ai alors tout raconté, sans rien omettre : la requête de Léna, mon refus initial, la scène entre ma sœur et lui que j’ai surprise – il a d’ailleurs sursauté à cette évocation – puis ma brève rencontre avec Charlotte juste après (nouveau sursaut), comment j’ai menti à ma propre jumelle (son souffle s’est un peu calmé). Enfin, après une dernière hésitation, je lui ai raconté la scène que j’ai surprise entre Camille et Paul, puis comment je suis revenu vers Léna.
— Eh bah ! s’est-il simplement exclamé. Sacrée soirée, hein ?!
  J’étais ébahi par son stoïcisme. Ne venais-je pas de lui raconter comment Camille m’avait trompée, faisant avec un autre ce qu’elle n’a jamais voulu faire avec moi ?
— C’est génial, au contraire ! rétorqua-t-il lorsque je lui fis part de mes réserves. Regarde : tu as une maîtresse qui n’est franchement pas farouche, et tu as en plus découvert que ta copine est une sacrée salope, ce qui ne pourra qu’être profitable à l’avenir.— Tu parles, une salope avec les autres ! Toi au moins, Charlotte ne t’a pas trompé…
  Il a alors soupiré.
— Mouais… D’un autre côté, elle est toujours aussi frigide. Tu te rends compte : Anna n’a même pas essayé de lui faire passer le test de la fraternité ! Quelle sainte nitouche…— Eh, c’est de ma sœur dont tu parles ! ai-je rétorqué.
  En fait, je ne pouvais m’empêcher de me dire que les raisons qui me faisaient m’offusquer de son comportement à l’égard de Charlotte n’étaient pas toutes motivées par l’instinct de protection fraternel. J’étais étonnamment satisfait qu’elle ne fasse pas partie de la fraternité.  De nouveaux coups frappés contre la porte me font sursauter, chassant pour de bon de mes pensées les souvenirs embrumés de la veille. Je me lève d’un bond, esquivant le lit de Nico qui se trouve sur le chemin. Nico lui-même est toujours allongé comme un sac en travers de son lit, aussi indifférent aux coups frappés à la porte qu’il le serait à la fin du monde. J’enfile avec hâte un jogging et un T-shirt qui traînent, puis je m’élance dans l’entrée.
— C’quia ? est à peu près tout ce que j’arrive à articuler.
  Je suis surpris de découvrir ma grande sœur, Anna, dans l’embrasure de la porte.
— Si tu veux voir Nicolas, il dort encore, dis-je avec une pointe d’acidité dans la voix.— C’est toi que je viens voir, idiot ! Allé viens, insiste-t-elle en me tirant par le col du T-shirt.
  Je me laisse ainsi guider jusqu’à la salle commune, dans laquelle ne se tiennent que les restes de la veille. Évidemment, personne n’est encore levé.
— Tu vas me dire ce qu’il y a ?— Paul m’a dit qu’il t’avait vu hier, lâche-t-elle.
  Le fumier s’en vante en plus !
— Je peux savoir ce que tu faisais dans sa chambre ?
  La question me laisse sans voix. C’est à moi de me justifier de l’avoir trouvé en train de se faire sucer par ma copine ?
— Il ne t’a pas dit ce qu’il faisait j’imagine !— Bien sûr que si, il se faisait sucer par sa filleule. Tout comme tu aurais dû être en train de faire un cuni à ta marraine.
  Là encore, une seconde m’est nécessaire pour reprendre mon souffle. Je n’avais jamais été très proche d’Anna, et nous n’avions jamais parlé de ce genre de sujet. Alors l’entendre parler de cul avec un tel naturel me laisse pantois.  Et je suis son frère !
— Je… Je ne…— Je suis donc allé voir Léna, poursuit-elle, et elle a fini par lâcher le morceau. Figure-toi qu’elle a essayé de te couvrir, ce qui est tout à son honneur. Mais pas au tien.— Mais j’ai fait ce qu’elle voulait !— Oui, elle me l’a dit.
  Ma propre réaction me fait sourire : je suis tout fier de moi parce que j’ai obéi aux ordres pervers d’une femme rencontrée la veille ! Et plutôt que de m’offusquer d’apprendre que ma copine me trompe, avec le consentement et même les encouragements de ma grande sœur, je dois me justifier de l’avoir découvert !  Je réalise alors (et ce ne sera pas la dernière fois), que je suis en train de me faire manipuler subtilement. L’ascendant psychologique prit ainsi par les membres de la fraternité (aux premiers rangs desquels ma grande sœur elle-même), me conduit pieds et mains liés au sacrifice sur l’autel de leur perversité.   Pourtant, j’aime ça.
— Alors quoi ? Je vais être chassé de la fraternité ?— Non, pas tant que ça n’arrive pas aux oreilles de Jules.— Jules, le parrain de Charlotte ?— Oui, c’est lui le dirigeant de la fraternité.— Mais, Charlotte…
  A ma grande surprise, Anna éclate de rire.
- Quoi Charlotte ? Ne t’inquiète pas, la pauvre petite Charlotte ne risque rien. Jules a tout ce qu’il veut, quand il veut. Et je peux t’assurer qu’une petite fille timide comme Charlotte ne l’intéresse pas.
  Je sens la colère monter petit à petit. Je ne supporte pas d’entendre ma jumelle traitée ainsi. Je l’aime beaucoup, trop sans doute, et ce discours me fait mal pour elle. Pourtant, je suis rassuré qu’elle ne risque pas d’entrer dans cet engrenage.  En ce qui me concerne, je ne sais pas trop quoi en penser. Je n’aurais jamais imaginé tromper Camille un jour, et encore moins que ce soit elle qui le fasse. Et désormais, nous l’avons fait tous les deux. Où cela va-t-il nous mener encore ? J’oscille entre le désir (la fraternité offre un certain nombre d’opportunités intéressantes) et le dégoût (imaginer Camille continuer à me tromper).  Que faire ?
— Nous t’avons prévenu que toute démission était définitive, reprit ma sœur. J’accepte de ne pas en parler à Jules, mais tu vas quand même devoir en payer le prix.— Quoi ? Mais c’est déjà ce que j’ai fait, non ?
  Le sourire d’Anna devient carnassier.
— Devenir l’esclave de Léna ? Non, ça c’est sa condition pour ne rien dire. Mais il y a la mienne aussi.— Tout le monde va avoir la sienne, c’est ça ? Y compris ce salopard de Paul ?— Si ça peut te rassurer, la mienne et celle de Paul se rejoignent. Je l’ai consulté avant de décider quoi faire de toi.
  Évidemment, ça ne me rassure pas du tout.
— Rejoins-moi à 11h devant ma chambre, poursuit Anna. Je t’expliquerai à ce moment-là.
  Sans même me laisser le temps de répondre quoi que ce soit, elle tourne les talons et me laisse planté là.  Bien entendu, je suis présent à l’heure dite, fidèle au poste qu’elle m’a assigné. Ponctuelle elle aussi, elle me fait la suivre jusqu’à un lieu que je connais malheureusement trop bien : la chambre de Paul.
— Mais…— Pas de mais ! rétorque-t-elle. Suis-moi et tais-toi.
  Toujours aussi docile, je m’exécute encore une fois. Elle me conduit à l’intérieur, puis ouvre les doubles portes d’un grand placard mural.
— Entre, m’ordonne-t-elle.— Pourquoi… ?
  Elle hoche la tête de gauche à droite pour seule réponse, signifiant par là qu’elle ne répondra pas à mes questions. Curieux et un peu anxieux quant au tour pris par toute cette histoire, j’obéis néanmoins.  Une fois à l’intérieur, je suis surpris de la voir me rejoindre.
— Pousse-toi un peu, souffle-t-elle en refermant les portes.
  L’armoire est vaste, mais pas assez pour que nous ne soyons pas collés l’un à l’autre. L’interstice entre les portes est toutefois suffisant pour laisser entrer de l’oxygène et même, et j’imagine que c’est là tout le but de la manœuvre, pour voir distinctement la chambre de Paul.
— Tu vas m’expliquer ce que…
  Mais là encore, elle se contente de placer son index devant ses lèvres pour seule réponse.  Je n’ai pourtant pas à attendre longtemps pour connaître leurs intentions. Au bout de quelques minutes à peine, Paul arrive dans la pièce, accompagné d’une jeune femme. Je ne peux retenir un sursaut en l’apercevant : c’est Camille ! Mon sursaut me vaut un coup de coude de ma sœur, qui place de nouveau son index devant sa bouche pour m’indiquer de ne pas parler.  Paul s’approche de ma copine et lui caresse la joue avec délicatesse. Je dois me retenir de ne pas hurler. Mais pourquoi ne fait-elle rien pour l’en empêcher ? Ma petite Camille, si douce, si prude, qu’ont-ils fait d’elle ?  Mais je dois me rendre à l’évidence : ils ne lui ont rien fait en l’espace d’une journée. Elle a toujours été ainsi… mais je n’en savais rien.  Soudain, Paul glisse sa main dans les cheveux de ma copine et l’embrasse avec passion. Le baiser qu’ils échangent est aussi long qu’intense. Le salaud profite de l’occasion pour lui poser une main sur les fesses, et elle se laisse toujours faire.
— J’ai beaucoup aimé ce que tu m’as fait hier, lui murmure-t-il, suffisamment fort tout de même pour que nous l’entendions.— Moi aussi, répond-elle.
  Le sourire du jeune homme s’élargit.
— Recommence alors.
  Sur ce, et sans lui laisser le temps de répondre quoi que ce soit, il déboutonne son pantalon et le fait tomber à ses chevilles, accompagné de son caleçon.  Il ne perd pas de temps le bougre !
— Déshabille-toi, lui ordonne-t-il.
  Une fois encore, Camille lui obéit, totalement soumise. Elle se dévêt devant lui, jusqu’à se retrouver nue, puis s’accroupit pour prendre son sexe en bouche. Le pire, c’est qu’elle s’y prend terriblement bien : elle le lèche, lui caresse les couilles, puis engloutit sa bite avec gourmandise en la suçant bien à fond.
— T’es une sacrée petite chienne toi ! lui dit Paul sans prendre de gant. Tromper son mec comme ça, avec un type que tu ne connais pas, en le suçant à genoux comme une traînée, faut vraiment aimer la bite !
  Au lieu de s’offusquer, Camille soupire d’aise, manifestant ainsi son assentiment. Une fois encore, je n’en reviens pas : ce n’est pas possible, elle est normalement très à cheval sur l’égalité des sexes et le respect de la femme, et voilà qu’elle se laisse avilir de la pire des manières ! Et Paul, qui semble beaucoup apprécier de la traiter ainsi, en rajoute une couche :
— Qu’est-ce que dirait ton copain s’il te voyait ?
  Sans doute trop absorbée par sa tâche, Camille ne répond pas, mais Paul insiste.
— Imagine qu’il soit dans l’armoire, là ! dit-il en désignant l’armoire dans laquelle je me trouve.
  Je suis gagné par une bouffée de panique. Bien sûr, il est au courant ! Tout ça n’est qu’une machination pour m’humilier de la pire des manières !
— Ne t’inquiète pas, ça fait partie du plan, me murmure Anna. Elle ne saura pas que tu es là.
  Partiellement rassuré, je n’écoute pas moins Paul continuer son discours avec appréhension.
— Qu’est-ce que tu lui dirais s’il te voyait ?— Je suis désolé Justin, lance Camille à l’armoire en acceptant de jouer le jeu, mais j’aime trop sa bite !
  Paul est manifestement aux anges.
— Et tu crois que ça lui suffirait ? Qu’il ne voudrait pas comprendre pourquoi tu es si innocente avec lui ?
  Elle hausse les épaules.
— Je sais pas, je le vois pas comme ça c’est tout. C’est lui qui est innocent, avec ses valeurs de respect et de fidélité.— Et tu n’aimes pas être respectée ?— Pas quand je baise.— Salope… soupire Paul en lui attrapant les nichons.
  Il les lui malaxe ainsi pendant un moment en silence, tandis qu’elle continue sa fellation, mais il n’en a manifestement pas fini avec moi, puisqu’il reprend bientôt ses questions :
— Et c’est pas la première fois que tu le trompes, j’imagine ?
  A ma grande horreur, Camille fait non de la tête.
- Qui ? insiste-t-il avec un regard amusé vers l’armoire.- Il y a eu un prof une fois, commence-t-elle.- Un prof ? Coquine !- Il m’avait mis une mauvaise note ! répond Camille, comme si ça expliquait tout.
  Les larmes me montent progressivement aux yeux, que je peine à retenir. Moi qui pensais vivre une aventure si vraie, si pure avec elle ! C’était ma première vraie copine, la première avec qui j’avais eu une relation sexuelle ! Je me voyais déjà faire ma vie avec, avoir des enfants… Au lieu de ça, je me trouve prostré dans une armoire, à la regarder me faire cocu avec un inconnu.
— Qui d’autre ? insiste Paul.
  J’ai envie de lui crier d’arrêter, de me boucher les oreilles pour ne pas savoir, mais ce serait stupide. Surtout qu’au fond, je veux savoir. Je voudrais juste que ce soit faux.
— Quelques mecs rencontrés en boîte, j’aime bien coucher avec des inconnus.— J’ai remarqué ! ricane-t-il pendant qu’elle reprend sa queue en bouche. Mais pas de régulier au moins ?
  Un petit sourire faussement gêné apparaît sur son visage, accompagné d’un léger haussement d’épaules.
— Quoi, si ? Dis donc, j’en ai connu peu des comme toi ! Qui ça ?— Je ne sais pas… glousse Camille en jouant l’ingénue. Tu vas dire que je suis une salope…— Nooon !! ironise Paul avec un sourire jusqu’aux oreilles.— Eh bah de temps à autre… je me tape son meilleur pote, Nicolas.
  La réponse laisse tout le monde sans voix. Ni Paul, ni ma sœur ne s’attendaient manifestement à ça. Mais soudain, Paul éclate de rire :
— Imagine si ton copain était vraiment dans cette armoire ! dit-il en s’étouffant à moitié de rire.
  Et Camille de rire avec lui…  Quant à moi, je ne peux cette fois plus retenir mes larmes, même si la fureur a largement rattrapé la honte et la tristesse. Par chance, je parviens à ne pas me faire entendre, mais tout juste. Même Anna semble prise de compassion pour moi. Leur jeu stupide est sans doute allé trop loin.
— Tu dois laisser tout ça derrière toi, me susurre ma sœur à l’oreille.— Quoi ?— Camille, ce qu’elle a fait, ce n’est pas grave. C’est une nouvelle vie qui s’ouvre à toi !— Mais j’en veux pas de cette vie !
  De nouveau, elle place son doigt devant ses lèvres pour m’inciter au silence. Pendant ce temps, Paul s’est remis de ses émotions et poursuit son œuvre, sans aucune espèce de pitié pour moi.
— Je suis sûr que ça t’excite d’imaginer que ton copain te regarde en train de le faire cocu, hein ?!— Oh oui ! ricane-t-elle de nouveau. Je voudrais qu’il voie la salope que je suis…— Tu voudrais qu’il me voie te baiser ?
  Sans lui laisser le temps de répondre, il l’attrape et la jette sur le lit. Elle se redresse et lui fait face, un sourire d’assentiment aux lèvres, mais il la retourne sans tendresse.
— C’est pas toi qui décides, salope ! Je te baise quand je veux et comme je veux. Maintenant à quatre pattes !
  Encore une fois, Camille semble trop heureuse d’obéir docilement. Elle s’installe comme il le lui a réclamé, dos à nous. Paul lui assène alors une grande claque sur les fesses, ce qui lui fait lâcher un petit cri sous le coup de la surprise et de la douleur.
— Je t’ai dit de parler ? la réprimande Paul en lui collant une deuxième claque, encore plus forte que la première.
  Mais cette fois elle ne bronche pas.
— T’aimes ça, hein ?— Oh oui j’adore !— Salope ! répète-t-il une énième fois en lui donnant une nouvelle fessée.
  Puis je le vois s’adoucir, caresser ses fesses avec tendresse. Une de ses mains se glisse entre les cuisses de ma copine, vient titiller ses parties intimes, tandis que de l’autre il lui malaxe les seins. Elle ne tarde pas à gémir de plaisir.
— Tu veux que je te lèche ta petite chatte ? demande-t-il.— Huuummm… oui… soupire-t-elle.
  A ma grande surprise, cela lui vaut une nouvelle claque retentissante sur les fesses.
- Tu m’as pris pour qui ? T’as ton copain pour te lécher, salope ! Moi t’es ma chienne, t’es juste là pour satisfaire tous mes caprices. C’est clair ?- Oui, très clair, confirme-t-elle, apparemment toujours aussi heureuse de se faire maltraiter.
  Ravi de sa soumission, Paul attrape ma copine et la retourne perpendiculairement à nous – sans doute pour que nous ne rations rien de la scène – puis il se place juste derrière elle. Le gland de ce salopard n’est qu’à quelques centimètres de la matrice de celle que je croyais être la femme de ma vie.
— Tu vas te faire baiser juste devant ton copain, sans capote, par un inconnu, résume Paul. Tu veux toujours ?— Oui ! hurle-t-elle presque, totalement dominée par le désir.— Salope… lâche-t-il une fois encore.
  Sur ce dernier mot empreint de tendresse et de poésie, il s’introduit en elle d’un coup sec, lui faisant lâcher un nouveau petit cri de douleur. Et comme la dernière fois, cela lui vaut une réprimande sous forme de fessée. Il lui attrape ensuite les hanches et entreprend de la baiser comme un animal.  Fasciné par la scène qui se joue sous mes yeux, je me rends compte soudainement que ma sœur me regarde. Mes larmes se sont taries, et je crois bien que l’excitation a pris le pas sur tout le reste. Je bande comme un âne et, vu le regard qu’elle lance à la bosse qui déforme mon pantalon, Anna l’a remarqué.  Soudain, une sensation étrange sur ma queue me fait sursauter : ma sœur vient de poser sa main dessus !
— C’est bien ce qui me semblait, lâche-t-elle, tu bandes.— Non !
  J’ai bien conscience que ma dénégation est stupide et puérile, mais que puis-je faire d’autre ? Reconnaître que voir ma copine se faire baiser sous mes yeux par un inconnu m’excite ? Certainement pas !  Mais ma sœur ne lâche pas ma bite, bien au contraire. Elle déboutonne mon pantalon, fait descendre la fermeture éclair et le descend à mes chevilles.
— Qu’est-ce que tu fais ?
  Surpris par son attitude, je ne sais pas comment réagir.
— Je suis désolée, répond-elle, tout ça est allé trop loin. Je dois bien me faire pardonner, et tu vas exploser là-dedans.
  Sur ce, elle fait descendre mon caleçon et attrape mon sexe, ce qui me fait lâcher un râle de plaisir… et n’est pas loin de me faire tout lâcher d’ailleurs.
— Chuuuut… répète-t-elle pour la énième fois.— Désolé, mais… tu es ma sœur !— Oh ça va, je te demande pas de me faire un gosse non plus ! J’ai pas été cool et je t’en dois une, c’est tout.
  Ses arguments me laissent sans voix, surtout que j’ai bien trop souvent rêvé de cette situation pour m’en plaindre. Avec tout ça, j’en oublierais presque la scène qui se joue devant nous. Mais elle se rappelle bientôt à moi par les gémissements mêlés de Paul et de Camille.  Je laisse donc ma sœur me masturber doucement, et je dois d’ailleurs reconnaître que c’est une experte. Elle me malaxe tendrement les couilles tandis que sa main va et vient sur mon chibre, puis ses doigts abandonnent de temps à autre la masturbation pour me caresser délicatement le gland.   Je profite de la situation, et surtout je ne peux m’empêcher de continuer à regarder ce qui se passe. J’ai beau ne pas l’admettre devant ma sœur, voir Paul baiser ma copine m’excite follement. Je le vois s’échiner en elle comme un diable, lui assénant de temps à autre une claque sur les fesses tandis qu’elle hurle son plaisir…  Sous ce traitement, je ne serais sans doute pas très long à tout lâcher…  Cette pensée en amène une autre… pas désagréable. Pris au jeu, je pose une main sur l’épaule de ma sœur pour l’inciter à s’accroupir.
— A quoi tu joues ? murmure-t-elle.— Suce-moi…— Quoi ?
  La surprise lui fait lâcher ma bite, à mon grand désarroi. Heureusement, elle se reprend vite et se remet à l’ouvrage.
— Ça va pas ? Je suis pas là pour répondre à tes fantasmes, juste pour te soulager ! Je suis ta sœur je te signale !— C’est pas ça… C’est juste que, quand je vais venir…
  Je halète désormais plus que je ne parle, signe que ce moment n’est plus très éloigné. Je ne quitte plus des yeux les fesses de Camille qui se font pilonner à grands coups de rein.
— Je vais en mettre partout dans l’armoire, partout sur toi.
  Anna réfléchit quelques secondes, mais je vois avec satisfaction que l’argument fait son chemin. Heureux d’avoir eu ce trait de génie, je vois ma sœur s’accroupir devant moi.
— Tu fais chier… soupire-t-elle.— Enlève ton haut, je veux voir tes seins…— Alors là tu rêves !
  Ce sont ses derniers mots avant que sa bouche ne se referme sur ma bite tendue à l’extrême. Déjà au bord de la rupture, la simple vision de ma sœur en train de me sucer fait monter l’orgasme presque immédiatement. Il n’est pas encore vraiment arrivé que je peine déjà à retenir mes cris, mais heureusement Paul jouit en même temps.
— Oh putain c’est trop bon ! hurle-t-il, si bien que je suis presque sûr que toute l’université doit l’entendre.
  Il assène claque sur claque à Camille pendant sa jouissance, en la traitant de pute, de salope, de traînée, de chienne et de toute une série d’autres qualificatifs affectueux. Je ne peux m’empêcher d’imaginer son sexe exploser à l’intérieur de celui de ma copine, déversant des torrents de sperme en elle. Même si c’est symbolique (elle prend la pilule), me dire qu’il est en train de la féconder de sa fertile semence, alors que je la voyais il y a peu comme la future mère de mes enfants, me torture atrocement… en même temps que ça m’excite !  Quand il se calme enfin un peu, et que les derniers petits spasmes de plaisir agitent son corps, il attrape les seins de Camille et les malaxe comme on trairait une vache. Il n’y a décidément rien de doux en lui !  Pendant ce temps, je suis moi-même entraîné par l’orgasme le plus intense de ma vie, et de loin ! Entre la fellation prodiguée par ma propre sœur, la vision de ma copine en train de se faire baiser violemment sous mes yeux, et l’humiliation qui m’est infligée (car je finis par croire que j’aime ça), mon plaisir est stupéfiant.  Le premier jet de sperme qui s’échappe de mon sexe est si copieux qu’il me fait presque mal. Vu l’intensité de mon plaisir, il a dû se loger directement au fond de la gorge de ma sœur. Les suivants ne tardent pas à suivre, trop nombreux pour qu’Anna puisse tous les avaler. Elle tente donc de se retirer, mais je l’en empêche en retenant sa tête bien en place sur ma bite.
— Pense à la propreté, dis-je avec une mauvaise foi évidente.
  Lorsque mon éjaculation s’est enfin calmée, je vois ma sœur déglutir avec difficulté pour avaler toute ma semence. Ma satisfaction en la voyant faire est à son comble, et vient presque compenser la douleur de la scène qui vient de se jouer sous mes yeux.  Quand elle a manifestement tout avalé, elle se redresse et me sourit de manière bien plus sensuelle que fraternelle. Elle se rapproche de moi, doucement, et je repense à toutes les fois où j’ai rêvé que je couchais avec elle. Cette idée ne semble plus si folle maintenant…  Enhardi, je lui attrape un nichon, un de ses beaux nichons qui m’ont tellement fait fantasmer… Elle ne dit rien, mais son sourire s’élargit. Elle accepte ! Ma relation avec ma sœur a changé à jamais, je vais enfin pouvoir la baiser !  Elle se rapproche encore, et mes dernières barrières cèdent. Mon autre main se loge sur ses fesses, que je malaxe en même temps que sa poitrine. Nos lèvres se posent l’une contre l’autre, s’entrouvrent… et elle m’expédie une bonne rasade de mon propre sperme dans la bouche !  La salope !!
  Elle a joué avec moi, a profité de mon désir…
— Non mais tu m’as pris pour qui ! lance-t-elle. T’as vraiment cru que j’allais bouffer ton sperme, comme si j’étais ta pute ? Je suis ta grande sœur, et la numéro 2 de la fraternité, ne l’oublie pas !
  Dépité, je me retrouve pris à mon propre piège. Je ne peux pas recracher mon sperme dans l’armoire, je sais qu’Anna ne me le pardonnerait pas.  Et je ne peux pas être viré de la fraternité maintenant, après tout ce que j’ai perdu…  Alors je me résigne, et j’avale mon sperme. Ça me répugne, autant l’odeur que la nouvelle humiliation que je dois avaler en même temps que ma propre semence.
— C’est bien ! me dit ma sœur d’un ton narquois.
  Je me contiens pour ne pas régurgiter, tandis qu’elle ouvre l’armoire après avoir constaté que Paul et Camille étaient enfin partis. Je la regarde s’éloigner, atrocement déçu d’avoir, en un instant, perdu tous mes rêves la concernant…
— Je suis sûr que t’adores ça pourtant, bouffer du sperme !
  Je lui lance ça comme une « insulte », mais elle se retourne avec un sourire plus large que jamais.
— J’aime bien, et le tien n’est pas mauvais. A bientôt petit frère !
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