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L'université : de la soumission à la consécration

Chapitre 5

La chose de ces dames

Hétéro
  A la fois furieux et anéanti, c’est d’un pas de course que je retourne dans la chambre que je partage depuis deux jours avec Nicolas. Je prends d’ailleurs conscience en m’asseyant sur le lit que les choses n’auraient pas dû tourner comme ça, et je comprends soudainement que c’est sans doute encore un coup de la fraternité. En effet, il était normalement prévu que je partage une chambre avec Camille, mais au dernier moment « une erreur administrative » a eu lieu, qui a octroyé un seul lit simple à cette chambre.  Évidemment…  Je me demande de plus en plus jusqu’où va le pouvoir de cette fraternité dans l’université, et comment ils l’ont obtenu. Ceci dit, au vu de leurs pratiques, il n’est guère difficile de l’imaginer…  Pendant que je tourne et retourne ces pensées dans ma tête, Léna fait irruption dans la pièce. Comme à son habitude, elle porte la tenue typique de l’étudiante anglaise, revisitée façon porno : une chemise stricte sur une jupe à carreaux qui l’est un peu moins, au vu de sa taille microscopique !
— Ta sœur m’a tout expliqué, dit-elle seulement en approchant de mon lit.
  Décidément, ma marraine est toujours au courant de tout dans la minute !
— C’est fini, réponds-je seulement.— Quoi ?— Tu m’as compris. Hors de question que je continue à jouer ce jeu malsain dans lequel tout le monde se fout de ma gueule ! Cette fois c’est vraiment fini.
  Léna me regarde avec une rare intensité, comme si elle me jaugeait du regard.
— Ce ne serait vraiment pas le moment, tu ne te rends pas compte de ce que tu as reçu.— Ce que j’ai reçu ? Si je m’en rends compte, tu peux me croire !— Oh non, mais tu comprendras bientôt. En attendant fais-moi confiance, et pour commencer viens avec moi.
  Sur ce, elle n’attend pas de réponse mais se lève et se dirige vers la porte. Ce n’est qu’une fois qu’elle est arrivée juste devant qu’elle se retourne avec un sourire.
— Alors, qu’est-ce que tu fais ?— Qu’est-ce que tu n’as pas compris dans « c’est fini » ?— Ce doit être le « fini » je pense ! répond-elle en ricanant.
  Puis elle s’approche de moi avec un air de conspiratrice.
— Regarde : en deux jours, tu as déjà obtenu une pipe de ta grande sœur, puis tu as failli la baiser.— Oui mais…— Tu sais que moi, tu finiras aussi par me baiser, m’interrompt-elle. — J’en sais rien !
  Son regard devient noir.
— Tu ne me fais pas confiance ?— Je devrais ?
  Elle soupire, visiblement déçue que je ne la suive pas aveuglément. Mais bon sang, qu’est-ce qui me dit qu’elle tiendra parole ?  Soudain, un sourire s’épanouit de nouveau sur son visage.
— J’ai une idée ! lance-t-elle. Nous allons jouer à un nouveau jeu.
  Allons bon, j’ignore si je dois vraiment m’en réjouir.
— Les règles de ce jeu sont très simples, explique-t-elle en pianotant sur son téléphone. Je vais te laisser profiter de mon corps pendant une minutes, à partir de… MAINTENANT !
  Sur ce, elle lance le chronomètre sur son téléphone qui, effectivement décompte déjà les secondes à une allure folle. Je suis néanmoins surpris et je ne sais pas trop comment réagir.
— Qu’est-ce que tu entends par « profiter de ton corps » ?— Sois imaginatif ! rétorque-t-elle. Mais dépêche-toi, tu n’as plus que 50 secondes…
  Toujours pas très certain de ce que ça implique, mais follement excité par ce que je crois comprendre, j’approche doucement la main de sa poitrine et attrape un de ses seins à travers sa chemise. A ma grande satisfaction, elle ne porte pas de soutien-gorge. Je palpe donc avec délectation la masse de chair volumineuse qui m’est offerte. Je guette sa réaction… qui ne vient pas ! J’ai donc bien le droit de faire ce que je veux…  Fébrile, je déboutonne alors aussi vite que je le peux son haut, puis j’attrape ses deux seins à pleines mains. Mon Dieu, ils sont gros, ils sont beaux ! Je les presse dans mes paumes, je les caresse rapidement avec mes doigts, en m’attardant une seconde sur les tétons, puis j’approche mes lèvres pour les embrasser, les téter.   Malgré ma hâte, j’essaye de prendre mon temps pour profiter des sensations qui s’offrent à moi. Je pince doucement son téton entre mes lèvres, puis je glisse ma langue dessous pour le suçoter. Pendant ce temps, je poursuis mon malaxage en les tenant en coupe dans mes mains. C’est cours, mais c’est merveilleux !  Soudain, le BIP tant redouté de son téléphone retentit, et Léna me repousse aussitôt. Je reste néanmoins accroché à ses seins, continuant à les lécher, à les caresser.
— Stop, Justin ! m’ordonne-t-elle. Si tu n’arrêtes pas tout de suite, on ne recommencera pas.
  Enfin gagné par la raison, j’obéis et lui lâche les seins, qu’elle cache presque aussitôt avec sa chemise. Que c’est dur de s’arrêter ainsi !  Alors qu’elle reboutonne son haut, je me remémore ce qui s’est produit avec ma sœur et décide de tenter le tout pour le tout. Je pose une main sur sa cuisse, puis je la remonte doucement jusque sous sa jupe. Pendant ce temps, mon autre main se glisse sur sa nuque et je l’embrasse tendrement.
— J’ai très envie de te baiser… lui soufflé-je à l’oreille.— Justin, non…
  Mais elle ne me repousse pas.  Gagné ! hurle une petite voix dans ma tête.  Ma main remonte toujours le long de sa cuisse, que je caresse doucement au passage. Bientôt, je glisse sur ses fesses, j’effleure rapidement la raie à travers l’infime barrière de son string, puis je pose ma main sur ses fesses.
— Huuumm, t’as vraiment un petit cul parfait…
  Je sais qu’elle aime quand je lui parle comme ça, alors j’en joue. Soudain, je la retourne contre le mur, violemment, et je lui assène une claque retentissante sur les fesses. Elle ne peut s’empêcher de gémir de plaisir.  C’est bien ce que je pensais, elle adore ça !  Je glisse alors ma main sur le devant de ses cuisses, puis sur son joli ventre tout plat. Je la fais alors descendre, je glisse les doigts sous le tissu…
— Personne ne le saura jamais…
  En entrant en contact avec sa fente, je constate qu’elle est trempée. Non, dégoulinante même. Son string est gorgé de liquide gluant…  Pourtant, alors même que mes doigts effleurent son clitoris, Léna réagit enfin, et avec violence. Elle se retourne brusquement et me colle une gifle en plein visage.
— J’ai dit non ! lâche-t-elle.— Mais… t’es toute mouillée…— Ce sont les règles !— Je m’en fous des règles.
  Je lui attrape alors de nouveau un nichon, que je presse entre mes doigts.
— Allé, laisse-toi faire, tu ne le regretteras pas !— J’ai dit non !
  Cette fois elle s’écarte pour de vrai, confirmant que sa décision est prise. Je fulmine : encore une fois, c’est alors que je croyais être arrivé au but qu’elle se dérobe. Elles se sont liguées pour me rendre fou ou quoi ?!
— Viens avec moi, me dit-elle alors en se dirigeant vers la sortie, comme si rien ne s’était passé.
  Conscient qu’elle a encore obtenu ce qu’elle voulait, je la suis sans un mot. Elle me guide donc dans des couloirs qu’elle semble connaître par cœur (ce qui est sans doute le cas), jusqu’au bureau de la sous-directrice. Je reste alors bêtement planté devant la porte.
— T’es sérieuse ? Tu veux que j’aille me plaindre auprès de la sous-directrice ? — Qui parle de te plaindre ? Tu peux juste lui exposer ton problème ! Et ne t’inquiète pas, je serais avec toi.
  Seulement à moitié rassuré, je n’ai de toute façon pas trop le choix puisqu’elle frappe déjà à la porte. Un peu paniqué par mon état après ce qui vient de se passer avec Léna, je tâte rapidement mon entrejambes, mais constate avec soulagement que j’ai déjà quasiment débandé. Rien n’est visible de l’extérieur en tout cas (je ne me voyais pas trop entrer dans le bureau de la sous-directrice avec une gaule monstrueuse).  La propriétaire des lieux ne nous invite pas à entrer, mais elle vient carrément nous ouvrir la porte. Je suis un peu intimidé en la voyant : son air pincé s’accorde à merveille avec son chignon, ses lunettes qui accentuent son air sévère et son tailleur impeccable. En d’autres circonstances, j’aurais sans doute pu remarquer qu’elle n’était pas mal, malgré sa quarantaine bien entamée, mais sur le moment je me focalise surtout sur ma propre tenue, qu’on pourrait qualifier de débraillée dans cette situation.
— Oui ? demande-t-elle alors que je n’ai toujours pas ouvert la bouche pour justifier notre présence.— Il semblerait qu’il y ait eu une erreur dans l’attribution des chambres, l’informe Léna d’une voix douce.
  La sous-directrice fronce les sourcils.
— Pourquoi ne pas aller voir le secrétariat ? C’est plus de leur ressort !
  Léna lui livre alors l’un de ses plus beau sourire, mi-timide mi-charmeur.
— C’est que je me suis dit… que vous seriez peut-être la plus indiquée pour recevoir cette demande.
  La numéro 2 de l’université me jauge alors du regard par-dessus ses lunettes. Je ne sais pas trop ce que Léna entend par là, mais ça ne me rassure guère.
— C’est possible, lâche enfin la sous-directrice. Entrez je vous prie.
  A moitié soulagé, je m’exécute craintivement. A ma grande surprise, Léna ne m’accompagne pas.
 - Bonne chance ! me lance-t-elle en m’adressant un petit signe de la main.
  Puis la porte se referme sur elle. De nouveau gagné par l’anxiété, je regarde la femme tirée à quatre épingles s’installer derrière son bureau. Connaissant Léna et ses idées étranges, je me demande ce que je suis venu faire ici. Qu’attend-elle de moi ?   Elle m’observe de derrière son bureau sans dire un mot. J’essaie de la regarder mais je n’y parviens pas, trop intimidé. Alors je regarde surtout le sol.
 - Vous venez pour un problème de chambre, donc ? dit-elle soudain.  - Oui madame. - Et vous tenez vraiment à récupérer votre place dans la chambre conjugale, malgré tout ?
  Sa question est posée sur un ton sarcastique évident, qui m’amène à me demander comment elle peut être au courant de ma situation. Il s’agit de la sous-directrice tout de même !
— Oui madame, je préférerais.
  Son sourire s’accentue.
— Très bien, mais ce ne sera pas sans une petite contribution de votre part. Voyez-vous, j’ai énormément de choses à gérer dans cette université, et les petits problèmes d’étudiants ne sont pas ma priorité. Néanmoins, Léna m’a informé que vous disposiez de certains... talents. Je serais très curieuse de voir ça.
  Je la regarde un instant, mais son regard plongé dans le mien me fait immédiatement baisser les yeux. J’ignore pourquoi elle m’impressionne à ce point. Ça ne tient pas uniquement à son statut, il y a autre chose. Une sorte d’aura d’autorité.  Quant à sa remarque, je ne sais pas trop quoi en penser. La première idée qui m’est venue en tête est un "talent" de nature sexuelle, mais venant d’elle c’est évidemment exclu. Pourtant, qu’est-ce que Léna a bien pu lui raconter d’autre sur moi ? Je ne la connais même pas vraiment, finalement !  Il faut dire aussi, à ma décharge, que les événements de ces derniers jours m’ont énormément excité, sans me laisser le temps ou la possibilité de me soulager. Tout ce qui a trait à la sexualité est donc actuellement ma préoccupation principale !  D’ailleurs, j’ignore au fond pourquoi je tiens tant à retourner auprès de Camille. Vu la situation, accepterait-elle encore de coucher avec moi ? Elle ne sait pas que je suis au courant, bien sûr (ou en tout cas je l’espère), mais je pense qu’elle est suffisamment occupée à ce niveau-là pour ne pas avoir envie de remettre le couvert avec moi. Surtout que quand on a un amant, rien n’est moins excitant que son copain... Qui plus est si le copain en question ne l’excitait déjà pas beaucoup avant !  Et même si elle le voulait, le voudrais-je, moi ? Je ne cesserais de repenser à ce que j’ai vu, à son infâme trahison. Et à toutes celles d’avant. Pourtant, en y repensant, ce n’est pas la colère mais une trique colossale qui commence à monter. Et même si ce qu’elle a fait ne m’excitait pas autant, de toute façon j’ai beaucoup trop envie de sexe pour ne pas sauter sur une occasion.
D’ailleurs en ce moment, je sauterais sur n’importe qui, ou presque !  La sous-directrice me ramène à la réalité par un discret raclement de gorge. Aussitôt, je chasse mes pensées et me concentre de nouveau sur la situation.
— Vous n’êtes pas intéressé ? me demande-t-elle.— Si, bien sûr !
  J’ai répondu par réflexe, mais je ne sais même pas de quoi il est vraiment question.
— Vous savez bien sûr de quels talents je parle ? — Euh... à vrai dire non. — Madame, me dit-elle sèchement. — Pardon ? — Je veux que vous me disiez "non madame". Montrez-moi un peu de respect !
  Son autoritarisme me fait froid dans le dos, surtout qu’elle n’a déjà pas besoin de ça pour se faire respecter.
— Pardon : non madame, je ne sais pas. — Vous ne savez pas, mais vous acceptez ? Vous êtes téméraire.
  Je baisse encore une fois les yeux.
— Je vous impressionne ou quoi ? — Oui, un peu.
  Je n’ai pas pu retenir cette confidence.
— Un peu MADAME ! me crie-t-elle dessus. C’est très bien que je t’impressionne, parce que je vais te faire ramper, petit cloporte ! Pour qui tu te prends, de venir ici quémander mon aide ? Tu n’es qu’un élève insignifiant, et je suis l’adjointe du président de l’université ! — Mais... je... c’est que...
  Son changement de ton me terrifie. Qu’est-ce qui lui prends ? Je n’ai rien fait de mal !
— C’est que quoi ? Tu m’as pris pour ton esclave peut-être ? Eh bien nous verrons qui est l’esclave ! — Mais non Madame, c’est juste que Léna m’a conseillé... — Je me fiche de pourquoi tu es ici ! Tais-toi jusqu’à ce que je t’autorise à parler.
  Je ne sais pas comment réagir à ce déferlement de cruauté. Je suis sonné, abasourdi, incapable de réfléchir correctement.
— En attendant, j’aimerais voir si tu fais autant ton malin tout nu. Allé, exécution !
  Là encore, sa demande inattendue me prive de réaction. Mais qu’est-ce qui se passe ici ?
— Madame, je ne vais pas... Enfin je ne peux pas... — Ah, tu ne peux pas ? Mais moi je peux faire beaucoup de choses ! Je peux te rendre la vie impossible dans cette université, si tu ne te plies pas aux règles.
  Est-elle vraiment sérieuse ? Malheureusement, j’ai bien l’impression que oui. Incapable de lui obéir comme de lui désobéir, je reste bêtement debout devant elle. Pourtant, son regard lourd de menace finit par me faire céder. Je retire alors mon T-shirt avec toute la lenteur que m’imposent ma pudeur, ma timidité et la honte de la situation, puis je le laisse tomber à mes pieds. J’hésite à poursuivre tant sa demande me semble incongrue.
— Plus vite ! m’intime-t-elle.
  Terrifié par son ton autoritaire, je déboutonne fébrilement ma ceinture et mon pantalon, puis je le laisse choir à son tour. Je lui lance alors un regard suppliant, incapable de me résoudre à franchir le cap. Je suis déjà en caleçon devant une inconnue, je ne me vois pas me mettre tout nu !  Mais son regard se fait insistant, et même un peu lubrique. Un vague sourire se dessine sur son visage, et elle n’hésite pas à se lécher les babines. Je ne suis qu’une proie sans défense livrée à un terrible fauve...   Dépité, j’attrape alors mon caleçon du bout des doigts et, rouge de honte, je m’apprête à le faire descendre. Mais un nouvel élément m’arrête soudainement, dont je n’avais pas encore pris conscience : je bande comme un taureau !  Comment est-ce possible ? Je suis en train d’être utilisé comme une chose par une femme autoritaire qui pourrait être ma mère ! Décidément, depuis que je suis à l’université, je ne comprends vraiment pas les réactions de mon sexe. Je vais finir par croire que j’adore être utilisé, soumis, humilié.
— Je peux savoir ce que tu attends ? s’impatiente-elle.
  J’hésite encore une seconde, puis je fais enfin descendre mon caleçon à mes pieds. Pas le choix... Un vaste sourire s’étale sur le visage de ma tortionnaire.
— Pour qui tu te prends ? Je t’ai demandé de bander ?
  Sur ce elle se lève, une règle en fer à la main, puis elle s’approche de moi.
— Je suis désolé Madame, je... Je ne voulais pas...
  Elle ne répond rien, mais se place à côté de moi et m’assène un grand coup de règle sur les fesses.
— Tais-toi ! Ordonne-t-elle.
  Mais à ma grande surprise, elle prend ensuite mon sexe en main et l’observe un moment.
— Huuummm... Jolie queue, je vais bien m’amuser avec.
  Excité comme je le suis, aussi bien par les événements de tout à l’heure que par les derniers jours (et, il faut bien le reconnaître, par la situation actuelle), je dois me concentrer pour ne pas tout lâcher au simple contact de sa main.   Soudain, elle lâche ma bite et m’assène un nouveau coup de règle sur les fesses, ce qui m’arrache un cri de surprise.
— Tu peux crier autant que tu veux, mais tu finiras par aimer ça.
  J’en doute vraiment, mais par prudence je préfère ne rien dire. Elle sourit devant mon stoïcisme, qu’elle apparente peut-être à de la soumission. Soudain, elle s’empare de nouveau de mon sexe, qu’elle commence à masturber doucement.
— Tu aimerais que je te suce ? me demande-t-elle d’une voix soudain radoucit.
  Je n’y crois pas : est-elle vraiment sérieuse ??
— Oui Madame, j’aimerais beaucoup, réponds-je avec toute la déférence possible.
  Cela me vaut un nouveau coup de règle, suivi d’un éclat de rire. Elle lâche ma bite et lui assène à son tour un coup de règle en métal. Cette fois ce n’est pas seulement humiliant, mais douloureux. Sous le coup de la honte et de la colère, des larmes me montent aux yeux. Ce qui se joue dans ce bureau me rappelle un peu ce que Paul a fait à Camille pour lui faire comprendre qui était le maître. Sauf qu’elle était consentante !  La sous-directrice s’asseoit alors sur son bureau, face à moi, et entrouvre les jambes. Je constate qu’elle n’a pas de culotte, mais aussi que son sexe n’est absolument pas épilé : une touffe de poils bruns s’épanouit dessus et tout autour. Je n’aime pas trop, mais d’un autre côté ça m’apporte aussi de la diversité dans les sexes qui ne cessent de s’offrir à mon regard ces derniers jours !  Elle ne me laisse guère le temps de réfléchir d’avantage sur son sexe, car elle m’ordonne aussitôt de venir le lécher.
— Voyons si Léna avait raison sur tes talents, ajoute-t-elle.
  Bon sang, mais j’en ai marre de lécher des chattes, moi ! Je veux les baiser, toutes ces salopes qui passent leur temps à m’exciter !  Pourtant, je ne dis rien et je m’exécute docilement, comme toujours. Je m’accroupis entre ses cuisses, je pose mes mains sur ses lèvres intimes pour les écarter un peu, puis je commence à lui lécher la fente. Mon démarrage est un peu brutal, je préfère d’habitude préparer un peu ma partenaire, mais là j’en ai marre de jouer le sous-fifre, je veux aller le plus vite possible. Et de toute façon, ça semble lui convenir.  Je dois dévoiler des trésors d’ingéniosité pour ne pas avoir des poils plein la bouche, je les repousse tant bien que mal avec mes doigts, mais il y en a toujours qui viennent se glisser sur ma trajectoire. Heureusement, Madame semble satisfaite de ma prestation puisqu’elle soupire déjà de plaisir.
— Mets-moi des doigts... soupire-t-elle.
  Je m’adapte alors pour satisfaire son désir : je place ma main gauche en ciseaux pour maintenir ses lèvres écartées (même si elles commencent à l’être de plus en plus toutes seules), puis je fais glisser l’index de la droite le long de sa fente.
— Oublie tes trucs pour minettes effarouchées, mets-moi des doigts tout de suite !
  Je suis un peu surpris par sa demande : Camille, elle, aime beaucoup quand je prends mon temps, et Léna et Anna semblaient plutôt pareilles. Mais après tout, qu’est-ce que je sais vraiment de ce qu’aime Camille ? Et quant aux autres, je n’ai eu l’occasion d’avoir des rapports sexuels qu’une fois avec chaque...  Là encore, je ne cherche pas à réfléchir ni encore moins à comprendre : j’obéis. Je glisse doucement mon index dans sa chatte, puis je commence à la doigter tout en la léchant. Son sexe est trempé, l’intrusion est donc aisée. Puis, à mesure que le rythme de mon (puis mes) doigts s’accélère, elle ne tarde pas à manifester de plus en plus bruyamment son contentement.  Bientôt, je sens son vagin se contracter autour de mes doigts, tandis que ses cris retentissent sans retenue. Je suis parvenu à l’emmener à l’orgasme assez rapidement, ce qui me rend très fier de moi. Peut-être que c’est vrai, que je suis vraiment doué de ma bouche ?!  Lorsqu’elle reprend ses esprits, elle ne tarde pas à me congédier. Alors que je suis sur le point de franchir la porte, elle me lance une dernière phrase :
— Je crois que Léna a raison, tu iras loin dans cette université !
  Malgré ma situation actuelle, cette phrase me remplit d’espoirs. Le tunnel dans lequel je me trouve aura sans doute une fin et, qui sait, la lumière au bout sera peut-être effectivement éblouissante !
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