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vacance avec mon maître

Chapitre 3

SM / Fétichisme
J’entends du bruit. Cela se passe la niche d’Anne. J’entends la voix d’un homme qui, lui dit de sortir son cul sans sortir sa tête et d’écarter ses fesses. Une voix féminine, ce n’est pas celle d’Anne, dit de prendre un préservatif dans la boîte qui est sur la niche. Des claques sonores, des gémissements et cela s’arrête. Plus de bruit. Je me rendors.
Je suis réveillée, quelqu’un a soulevé ma couverture et me donne une grande claque sur les fesses. — Allez, debout
C’est le couple, c’est elle qui s’était amusée avec ma laisse. Elle me prend par les cheveux, me force à me lever, me dit de baisser la tête mais de rester jambes tendues et écartées. Mes anneaux sont toujours attachés à mes cuisses, ainsi, mon vide-couille est bien ouvert. Son mari va me saillir pendant que je la lèche et je dois la faire jouir. Je me baisse, jambes bien raides et commence à la lécher. Je sens la queue chercher mon vide-couille. Elle force l’entrée. Mon vide-couille est sec mais il a mis un préservatif avec lubrifiant et il finit par rentrer. J’écarte les lèvres de la femme avec mes mains, aspire le clito. Je passe mes doigts sur sa chatte, elle est trempée. J’enfonce trois doigts, les ressorts. Je mets mes mains sur ses fesses et avec les doigts qui ont été dans sa chatte, je cherche son anus et commence à enfoncer les trois doigts. L’homme continue à me saillir mais ce n’est pas un bon coup ce qui me permet de me concentrer sur la femme. Elle gémit de plus en plus fort. Je force pour rentrer un quatrième doigt dans son anus, la femme ne dit rien. De mon autre main, je commence à rentrer deux doigts dans sa chatte pendant que je lèche son clito. Le clito est gonflé. Les jambes de la femme tremblent. L’homme s’est vidé, je l’ai à peine senti. Alors que je remue mes doigts dans son cul et sa chatte, je mordille légèrement son clito. La femme jouit. Je n’arrête pas, continue. Elle couine en jouissant. J’ai aspiré entièrement son clito et tire dessus. Un grand râle, les jambes tremblent, ses mains s’agrippent à mes cheveux. Elle relâche ma chevelure, je sors mes doigts de ses orifices et arrête de la lécher. Elle relève ma tête, me regarde, commence à m’embrasser. Mes mains remontent sur sa poitrine pour prendre ses tétons. Je les prends avec les ongles, elle m’embrasse avec plus de fougue. Je les tourne en pinçant plus fort. A ce moment, je sens quelqu’un dans mon dos. Un souffle dans ma nuque, et un ordre, écartes tes fesses que je t’encule. C’est mon maître. Je lâche les tétons de la femme et j’écarte mes fesses tout en répondant au baiser de la femme. Mon maître met sa queue devant mon sac à foutre et pousse. Il m’encule profondément, c’est bon de sentir la queue de mon maître. Maintenant, prends son téton gauche et son clito, et tu les pinces fort, dit mon maître. Je me fais un plaisir d’exécuter les ordres de mon maître. La femme gémit, bouge du bassin, je sens qu’elle va jouir de nouveau. Mon maître bouge en moi. Laure, tu mets tes mains dans le dos, ordonne mon maître. Ainsi, cette femme s’appelle Laure. Je continue à maltraiter son téton et son clito. Et toi, femelle, tu jouis pendant que je t’encule. Je n’attendais que cet ordre. J’adore quand mon maître est comme cela, puissant, sur de lui, dominateur. Laure jouit, je la suis rapidement et mon maître se vide en moi. Je suis heureuse. Il se retire, me dit d’arrêter de caresser Laure, j’enlève mes mains à regret et m’écarte de Laure. Il est quatre heure du matin, allez tous vous coucher, ordonne mon maître. Je retourne dans ma niche sous ma couverture et m’endors très vite.
Je suis réveillée le matin par le soleil qui commence à chauffer et le bruit que fait Annie. Je sors la tête de ma niche et je vois son maître est en train de la baiser. Elle est couchée sur la niche, je peux voir les marques d’hier soir sur sa peau. Elle a les yeux dans le vague et crie merci mon maître. Anne sort sa tête à son tour, me dit bonjour, regarde Annie et dit, elle avait besoin de jouir. C’est vrai que la pauvre Annie n’avait pas joui hier, elle devait être frustrée.
Je me lève, sors de la niche. Je vais uriner sur la pelouse au vu de tout le monde. Je sais que je n’ai pas droit aux toilettes. Je reviens, marchant les jambes un peu écartées pour que mes lèvres ne frottent pas l’une sur l’autre. Je vois mon maître attablé avec Laure et son mari. Je m’approche d’eux, me mets debout à côté de mon maître, jambes écartées, mains dans le dos. — Tiens, voilà la femelle qui t’a fait jouir, Laure. C’était bon? Dit mon maître — Oui, très bon, je sens encore mon clito et mon téton gauche— C’était le but du jeu, que tu te souviennes— Je ne vous oublierai pas, vous savez. Ce serait dommage, un si beau et bon souvenir.— Vas la lécher, femelle. Uniquement avec la bouche, interdiction de mettre les dents.
Je m’approche de Laure, me mets à quatre pattes. Laure soulève sa robe. Elle porte un string. Je le prends entre mes lèvres, tire dessus. Laure soulève ses fesses, son string descend. J’insiste, le string arrive aux genoux et enfin à ses chevilles. Je m’approche de son sexe, je commence à la lécher. Je sens un coup sur mes fesses. Tu seras fouettée jusqu’à ce que Laure jouisse, dit mon maître. Je m’active, il faut que je la fasse jouir rapidement. Cette salope se retient, je vais avoir le cul en feu. Enfin, je sens sa cyprine coulée. Je m’active encore plus, faisant pénétrer ma langue, titillant son clito gonflé. Ca y est, elle jouit. Elle a mis du temps, j’ai mal aux fesses, elles doivent être écarlates. J’ai des larmes aux yeux, mon maître n’a pas épargné mon cul..
La maîtresse de maison m’appelle. Je dois rejoindre Annie et Anne à l’entrée. Je me dirige vers le hall, là je vois Annie et Anne couchées chacune sur un tréteau. Leurs orifices bien visibles. Un mors en métal en forme de O dans la bouche tenue par une lanière, ainsi elles ont la bouche grande ouverte. Une cagoule qui les empêche de voir. Les pieds et les mains sont attachées avec des menottes au tréteau. Une homme se tient à côté d’elle. Un troisième tréteau m’attend. Je m’approche L’homme me fait mettre en position, coucher sur le tréteau. Il me met des boules Quies, la cagoule. Je n’entends et ne vois plus rien. Le mors en O en métal est installé. Mes pieds et mes mains sont attachés. Voilà, je suis prête. Je sais que j’offre une vue parfaite pour les invités qui viennent dans le hall. Mon cul bien visible, mon vide-couille ouvert à cause des anneaux attachés aux cuisses, mes mamelles pendantes avec les anneaux dessus, mon cul écarlate suite à la fessée que j’ai reçue.
Je sens quelque chose qui rentre dans ma bouche, c’est une queue. Elle rentre profondément. Je suis baisée par la bouche. Un objet est introduit dans vide-couille, sans aucune préparation, je ne peux pas l’identifier. Une claque sur une fesse. Je ne peux pas me préparer, je ne sais pas ce qui va se passer. La queue se retire après avoir éjaculé, je ne peux pas avaler et le sperme coule hors de ma bouche. On enlève l’objet de mon vide-couille. Je me fais enculer , rapidement, puissamment. Une main caresse mes lèvres vaginale , trouve mon clitoris, le décapuchonne et commence à le pincer, une autre main trouve mon téton gauche est le pince. Je suis sure que c’est Laure. Je sens ma mouille qui sort de mon vide-couille. Une queue rentre dans ma bouche, les mains continuent leurs pincements. Une brûlure sur le bas des reins, cela doit être une badine. La queue est grosse et reste dans ma bouche. Les mains s’arrêtent, dommage, j’aurais aimé qu’elles continuent. La queue se retire sans avoir joui. Plus rien, le vide, je me sens abandonnée. Je voudrais crier, je veux mon maître, je veux que mon maître me saillisse, qu’il prenne possession de sa chienne, mais je ne peux pas. On me détache, m’enlève la cagoule et le mors, enlève les cordes qui retiennent les anneaux— Voilà, je vous rends votre soumise, très cher. Vous pouvez revenir quand vous voulez, elle a été très bien.— Merci, je n’y manquerai pas, répond mon maître.
Il prend la laisse, l’attache aux anneaux des grandes lèvres et avance. Je le suis, je suis fatiguée, j’ai envie de me reposer. Arrivée à la voiture, je passe ma cape, m’assoie à la place du passager. Mon maître démarre. Quelques minutes après, je dors profondément.
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