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vacance avec mon maître

Chapitre 7

SM / Fétichisme
Un matin, personne n’étant réveillé, je décide d’aller piquer un plongeon. J’ai le temps, je dois aller réveiller mon maître à dix heures, il n’est que neuf heures. Alors, que je suis en tenue d’Eve entrain de nager dans la piscine, j’aperçois un couple qui se dirige vers notre bungalow. Je ne dis rien, continue à nager. Ils s’approchent, je dois me rendre à l’évidence, ils viennent me voir. C’est un couple assez âgé. Je leur donne dans les 65-70 ans. Ils ont belle allure. Ils s’approchent du bord de la piscine, je nage jusqu’à eux:— Bonjour, Madame, commence l’homme. Je m’appelle Robert et voici ma femme, Simone. Nous sommes les propriétaires. Nous venons de rentrer, et nous venions voir si tout se passait comme vous le souhaitiez.— Oui, tout va très bien.— Personne n’est levé?— Non, je suis la première, j’en profite pour prendre un petit bain .— Vous avez raison, dit la femme, il faut profiter de ces moments-là. Au fait, ne changez rien pour nous, au contraire— Ma femme a raison, ne changez pas de tenue surtout, celle que vous avez vous va parfaitement. Nous repasserons tout à l’heure.— Très bien, A tout à l’heure.
Je retourne nager. Je sens leurs regards sur mon cul. Ce sont des vieux et des vicieux, me dis-je.Je sors de la piscine, m’étale par terre au soleil, jambes ouvertes, bras en croix. Une fois bien sèche, je me lève, il est l’heure d’aller réveiller mon maître. J’ouvre doucement la porte, glisse ma tête sous les draps et commence à lécher sa queue. Après quelques instants de léchage, sa queue commence à prendre du volume, je la décalotte délicatement et commence à sucer le gland. Quand la queue a pris un beau volume, je la prends dans ma bouche et suce. Je continue jusqu’à ce que mon maître me donne sa semence. J’avale celle-ci, sors ma tête de sous les draps:— Bonjour maître, bien dormi?— Très bien femelle— Les propriétaires sont passés, ils ont dit qu’ils repasseraient— Pas de souci. Le petit déjeune est prêt?— Oui maître, je vous apporte votre café.
Je me lève et vais chercher le café. Mon maître est allé s’installer sur la terrasse. Il est tout seul, Maître Michel et Justine sont encore au lit. Je sers le café à mon maître et me mets à côté de lui, dans la position habituelle, mains dans le dos, jambes écartées. Je suis ainsi à sa disposition.
Il boit son café tranquillement. Maître Michel arrive. Il commence à discuter. Justine apporte le café à son maître et se met à genoux à côté de lui. A un moment, mon maître se tourne vers moi— Comment sont-ils les propriétaires?— Assez âgés et vicieux.— Vicieux, c’est vrai que tu es une connaisseuse!— Oui, j’en connais surtout un très bien et cela me convient parfaitement. Alors, en effet, je peux reconnaître très facilement des personnes vicieuses et je suis une connaisseuse. C’est moi qui ai fait que Maître Bernard et Justine se rencontrent. Si je n’avais pas deviné que Justine, une de mes meilleures amies, était une vicieuse, est ce que Maître Bernard l’aurait rencontré? Pas sûr— Bon, si on les invitait pour l’apéro ce midi?
— Très bonne idée, je vais les appeler, dit Maître Bernard
Bien sur, ils acceptèrent. La matinée se déroule tranquillement. Vers onze heures, mon maître me dit d’aller passer une robe, la fuchsia. Elle est très courte, on voit les plis de mes fesses et mes anneaux, le haut est en forme de bustier. Justine met son short en jean qui laisse voir le bas de ses fesses et qui est coupé à l’entrejambe de telle sorte que l’on voit ses lèvres. Elle porte comme haut un débardeur blanc bien trop grand pour elle, ce qui fait que l’on voit très facilement sa poitrine. Quand nous sommes prêtes, nous retournons sur la terrasse. Mon maître nous regarde avec un petit sourire. Je suis sur qu’ils vont apprécier, dit-il, tu es vraiment bandante comme cela, ma femelle. Je souris et le remercie. Il veut me prendre par la taille, je fais un tour sur moi-même pour lui échapper et pars en riant. Je t’aurais, t’en fais pas, dit-il. Bien sûr qu’il m’aura et quand il veut.
Les propriétaires arrivent. Lui, en short et elle en robe. Bien sur, ils nous matent. Une fois les présentations faites, on les invite à s’asseoir. Justine et moi faisons le service pendant qu’ils discutent. Pour servir, je me mets de dos au couple, me baisse jambes tendues ce qui a pour effet de remonter ma robe et de découvrir mes fesses et je remplis les verres. Je prends deux verres et me tourne vers le couple avec un grand sourire pour leur donner. Je vois leurs yeux briller. Apparemment, le spectacle leur a plu. Une fois le service fini, Justine et moi allons nous asseoir juste en face du couple. Quand je m’assoie ma robe remonte et laisse bien voir mon entre-jambe. Justine, sous des prétextes bidons, passe son temps à se baisser, faisant bailler son débardeur, ainsi ils peuvent voir sa poitrine. Le couple est aux anges.
Nous parlons de tout et de rien, de banalité. Nous continuons à les servir et les langues commencent à se délier, les regards deviennent plus insistants.
Le portable de Simone sonne. Elle s’excuse, se lève et s’écarte. Elle revient et dit à Robert— C’est Marion, elle veut venir nous voir ce midi pour fêter ses dix-huit ans— Qu’elle vienne, j’adore cette petiteEt se tournant vers nos maîtres, — Cela ne vous dérange pas? C’est notre petite fille, vous verrez, elle est adorable et très mignonne— Non, pas du tout, répond mon maître, dix-huit ans, cela se fête. Et puis, vous allez manger avec nous. Ce sera à la bonne franquette— Merci pour votre invitation. Je vais aller chercher du champagne et je reviens.
Nous mettons rapidement la table. Robert revient avec trois bouteilles de champagne. On va bien fêter les dix-huit ans de la petite.
Marion arrive quelques minutes après. C’est vrai qu’elle est mignonne, la beauté de la jeunesse et elle est habillée très sexy avec des escarpins à talons fins. Elle donne plus l’impression d’aller à un rendez-vous galant que de voir ses grands-parents. C’est une jeune fille spontanée qui n’a pas la langue dans sa poche. Robert débouche une bouteille de champagne et sert tout le monde. Mon maître arrête Robert en disant que nous ne buvons pas d’alcool. Il prend une flute, la donne à Maître Michel et en prend une pour lui. Ils sortent leurs bites et pissent dans les flutes. Une fois les flutes remplies, ils nous les tendent. Nos invités ont assisté à la scène sans rien dire ni s’offusquer.
Nous reprenons nos places et Marion s’est assise à côté de ses grands parents. Nous tendons nos verres et souhaitons un bon anniversaire à Marion. Nous portons nos flutes à nos bouches et commençons à boire. Marion nous regarde, avec un petit sourire.Mon maître regarde Marion et dit :— Marion, pour ton cadeau d’anniversaire, tu peux disposer de ma soumise comme bon te semble pendant le reste de la journée.
Marion me regarde, remercie mon maître et se contente de dire :— A poil et approche
Je me lève, enlève ma robe, et m’approche. Elle me regarde, soupèse mes mamelles, tire sur mes anneaux, regarde ma plaque, sort son portable, appelle, souris de nouveau,— allonges-toi sur le dos à mes pieds, je vais bien m’amuser avec toi.
Je me mets comme elle me demande, allongée sur la terrasse aux pieds de ma jeune maîtresse. Elle soulève ses pieds et les pose sur mon corps. Je sens les talons des escarpins sur mon ventre. Marion discute avec mon maître. De temps en temps, elle appuie pour enfoncer un peu ses talons. A un moment, elle pose son talon sur ma mamelle gauche et s’amuse à appuyer fort. Cela laisse des traces rouges. Avec son autre pied, elle appuie sur la limite de mes grandes lèvres en haut juste au-dessus de mon clito. Cela fait mal et je grimace. Elle déplace doucement son talon et le pose sur mon clitoris. J’ai un frisson. Elle me regarde et dit :— je crois que je suis sur un endroit sensible— Oui, très sensibleElle appuie doucement— Oui qui?— Oui, maitresse— BienElle appuie plus fort. Je gémis, cela fait très mal. Elle relève le pied. Quelqu’un dit à table. Marion se lève en prenant appuie sur le dossier de la chaise et me marchant dessus. — toi, tu te mets à genoux entre moi et mon grand-père
Je m’approche de la table. Je vois une belle bosse sur le pantalon de mon maître. Je me demande qui le fait bander, est-ce moi qui obéis ou de voir Marion dominer sa femelle?
Je suis à genoux, nue. je suis la seule nue, tout le monde est habillée, même Justine. Cela est très humiliant d’être ainsi, nue.
Marion pose sa main sur ma mamelle gauche. Elle a de jolies mains. Elle a de grands ongles bien durs. Elle s’est fait faire une french manucure. Elle commence par caresser doucement en faisant le tour, la soulevant et toujours doucement, elle plante ses ongles dans ma chaire et se met à serrer. Je me mords les lèvres pour ne pas crier. J’ai les larmes aux yeux. Marion a beau être jeune, mais elle s’est déjà dominée et je suis certaine que ce n’est qu’un début. Cette pensée me fait mouiller. Cela fait très longtemps qu’une femme m’a dominée, qui plus est, une belle jeune femme.Elle mâchouille un bout de viande, l’enlève de sa bouche, m’ordonne d’ouvrir la mienne et me jette la viande dans la bouche.— Manges, salope
Le repas se déroule ainsi, entre les caresses de Marion qui laisse des traces sur mes mamelles et les restes que Marion ne veut plus. De temps en temps, Robert me pelote le cul. Mon humiliation est totale.
C’est Justine qui sert le repas. Je vois ses anneaux qui sortent de son short. Elle doit presque courir pour ne pas faire attendre nos invités. Je peux voir Simone qui s’est installée à côté de sa petite fille. Elle est tout sourire et dit :— Je passe un très bon repas. Vous êtes les meilleurs locataires que l’on ait eus. — Merci, répond mon maître.— Vous resterez bien cet après-midi, dit maître Michel. Il faut que votre petite fille profite de son cadeau. Regardez comme elle est heureuse.
En effet, elle sourit tout en maltraitant ma poitrine, en tirant et tournant mes anneaux des tétons— Oui, Mamie, je crois que c’est le plus beau cadeau pour mes dix-huit ans et je compte bien en profiter.— Restons, de toute façon Robert n’a pas envie de partir et moi non plus d’ailleurs.— Allons prendre le café au bord de la piscine
Tout le monde se lève. Marion prend l’anneau de mon téton droit et tire dessus. Elle m’ordonne de la suivre à genoux. Bien sur, elle marche vite. J’ai du mal à suivre ce qui fait que mon téton est complètement étiré. Arrivée au bord de la piscine, elle se penche et passe sa main sur mon entre-jambe.— Mais, c’est que tout mouille , salope. Tu aimes cela Allez, allonges-toi, sur le dos
Une fois allongée, Marion enlève son string et s’assied sur mon visage. J’ai le nez au niveau de son clitoris, la bouche sur son vagin. Je peux respirer et sentir son odeur. Elle m’ordonne de la lécher. Je sors ma langue et commence à la passer sur ses lèvres, pénétrant un peu. Elle mouille.
Je les entends discuter, une discussion tout ce qu’il y a d’ordinaire entre amis. A un moment, j’entends un gémissement, c’est Justine. Quelqu’un est en train de s’amuser avec elle. Moi, je continue à m’occuper de la chatte de Marion, ma langue rentre complètement dans son vagin. Marion mouille de plus en plus. Je commence à avoir mal à la langue et au visage aussi. Je sens les rayons du soleil qui réchauffe mon corps.Le café s’éternise. Marion bouge de plus en plus son cul sur mon visage. Elle dit — J’ai vraiment très envie d’uriner. J’essaie de me retenir mais je n’en peux plus.
Sur ces paroles, elle se met à pisser. Un gros jet d’urine que je reçois en plein visage. L’urine coule partout et me remplit ma bouche. Je ne peux pas m’empêcher de tousser ce qui fait rire Marion. Quelques gouttes tombent encore. Voilà, Marion s’est soulagée pendant ce temps je continue à lécher. J’entends quelqu’un dire — Et si nous allions jouer aux boules.— Très bonne idée, répond mon maître.
Marion se lève enfin. Je dois avoir le visage cramoisi. J’ai les cheveux poisseux. Je me tourne et je vois Justine entrain de sucer Robert.
— Moi, je vais faire un tour au village et j’emmène mon cadeau, dit Marion— Pas de souci, répond mon maître, profites en bien
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