Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 56 J'aime
  • 1 Commentaire

Vacances...

Chapitre 2

Inceste
Le lendemain je surveille la maison de ma fille. Pas d’éclats de voix, pas de bruit même, je rentre faire mon ménage. Dans la matinée, j’aperçois Catherine qui me fait un petit signe.— Ça va ?— Ça va, merci, répond-elle.Je suis soulagé, tout semble normal. Un peu après Annie sort balayer la terrasse. Elle m’adresse aussi un petit signe. J’admire un instant la jeune fille en t-shirt moulant et short effrangé qui met en valeur ses cuisses fuselées. Une douce chaleur monte dans mon bas ventre. Cette fille est un morceau de choix. Marco a bien de la chance de pouvoir en profiter. J’en serais presque jaloux. Depuis que la veille avec Catherine j’ai rouvert une porte généralement interdite, je n’ai plus honte de mon désir, le tabou de l’inceste ne me fait plus peur. Malheureusement, la grande différence d’âge… N’empêche, il faut que je lui parle. Je ne veux pas qu’à cause d’elle sa mère qui est aussi ma fille, souffre.Après le repas je sors, une tasse de café à la main. Annie allongée sur un transat, bouquine. Elle porte la même tenue que ce matin, t-shirt et short effrangé.— Tu te reposes Annie ?— Oui Papy.— Ne voudrais-tu pas venir ici ? J’aimerais parler un peu avec toi, il y a longtemps qu’on ne l’a plus fait.— Tout de suite Papy.Elle se précipite à l’intérieur de sa maison pour ressortir une minute après en robe légère.— De quoi tu veux parler Papy ? annonce-t-elle en entrant dans le salon.— Tu sais, tu n’avais pas besoin de te changer pour venir ici !— Tu n’aimes pas ma nouvelle robe ? s’étonne-t-elle en tournant pour la faire admirer.La souple corolle se soulève et dévoile au-delà des genoux les cuisses bronzées.— Oh si ! Elle est très jolie et te va à ravir. Tu ne m’embrasses pas ?Elle se suspend à mon cou et m’inflige deux gros baisers sur les joues. Je la serre contre moi. Pas d’attache de soutien-gorge dans le dos, pas de bourrelet sous le tissu de la robe, serait-elle nue dessous ? Malgré moi ma queue grossit à cette pensée. Je m’écarte brusquement. Annie ne semble s’être rendu compte de rien, tant mieux. Après un instant d’hésitation (la peur de me trouver trop près peut-être ?) j’indique le canapé.— Asseyons-nous là.Je prends place. La jeune fille se love contre moi, ce que je voulais éviter ! Mon sexe grandit encore plus, mais comment l’empêcher ?— Que voulais-tu me demander Papy ?Pendant le repas, j’avais affuté mes arguments, mais maintenant de la savoir tout près, de sentir son parfum, m’intimide et je ne sais plus ce que je dois dire. Plusieurs secondes sont nécessaires pour que les souvenirs reviennent. Je me lance après un long silence.— Ta mère m’a dit pour hier.— Ah ?— Oui, elle m’a révélé ce qui s’est passé quand elle vous a surpris toi et Marco.Annie se renfrogne et grogne entre ses dents. Ai-je bien entendu ? Il me semble qu’elle murmurait : « Pourquoi elle avait besoin d’en parler celle-là ».— Que marmonnes-tu ?
— Rien… Que veux-tu que je te dise : oui, elle nous a surprit Marco et moi entrain de baiser et au lieu de partir et de nous laisser terminer en paix, elle est venue vers nous. On a bien remarqué qu’on lui faisait envie et on en a profité.— Quand même… A la rigueur Marco a des excuses bien que ce soit sa tante : ta mère est une belle femme qui fait tourner bien des têtes, mais toi…Annie se fait câline contre moi. Malgré moi ma main caresse le dos de ma petite-fille.— Tu m’en veux Papy ?— Je ne comprends pas comment toi, tu as pu en arriver là.— Tu sais Papy, les garçons m’attirent, je ne peux le nier, mais les filles aussi…— Ah ?— Oui, et quand j’ai vu hier Maman si belle, si désirable, je n’ai pas pu résister… C’est si mal que ça ?— Je ne veux pas que ta mère souffre de tes lubies, sinon tu auras affaire à moi !Annie se redresse une lueur espiègle dans le regard.— Ah ? Et qu’est-ce que tu feras ? Me donner une fessée ?— Tu la mériterais !— A ta guise !Elle soulève sa robe et se couche sur mes genoux, le cul nu.— Je suis prête, tu peux y aller !Ah c’est ainsi ! J’assène trois maîtresses claques sur les gobes joufflus.— Aïe !… Aïe !… Aouh ! T’es pas fou ?— Ben, ce n’est pas ce que tu voulais, non ?— Euh… Pas comme ça, pas si fort.— Comme ça alors ?Je caresse les fesses rosies par la correction infligée. Annie ne dit plus rien et laisse les doigts glisser sur les rondeurs. D’avoir ma petite fille presque nue sur mes cuisses me ferait perdre la tête. Ah ! Si j’étais plus jeune… Mieux vaut ne plus y penser. Je soupire mais mon sexe, coincé contre son ventre, n’est pas si raisonnable.— Oh Papy ! Qu’est-ce qui grossit, tu bandes ?— J’ai des excuses, non ? Tu as un si joli cul.— Et tu aimerais te le faire.— Ne dis pas de bêtises.Je la fais descendre de mes genoux.— Allez, tiens-toi convenablement ! Qu’est-ce c’est cette mode de se trimballer sans dessous ? Tu tiens absolument à ce que j’ai des ennuis avec les voisins ?— Je voulais te montrer ma robe et j’ai pas eu le temps d’enfiler des sous vêtements. Tu es fâché ?Pas le temps, mon œil ! Je la soupçonne de l’avoir fait exprès. Elle se met à tourner à toute vitesse, la corolle s’envole jusqu’à la taille dévoilant les fesses roses, le ventre plat et une touffe brune de poils follets. Un peu essoufflée elle s’assied à mes cotés et jette un coup d’œil intéressé à la bosse du sexe qui a grossi. Tout à coup elle fait me basculer, s’installe entre mes genoux et descend le short.— Annie ! Que fais-tu ?— Ben tu le vois, je contrôle ton état d’excitation… Oh ! Ce n’est pas raisonnable Papy, tu risques l’infarctus ! Il faut faire quelque chose.Idiotement je tente de me dérober, un reste de morale bourgeoise peut-être ?— Annie, voyons ! Je t’en prie, cesse ces enfantillages !Elle fait la sourde oreille et prend mon sexe en main.— Arrête de bouger, Papy !Oui, pourquoi je bouge ? Elle fait ce que j’ai toujours rêvé qu’une jolie fille me fasse, je devrais être comblé… Je suis comblé ! Les doigts d’Annie entourent ma queue, c’est divin ! D’accord c’est ma petite fille mais c’est elle qui a pris l’initiative, non ? Puis les relations incestueuses ne me font plus peur maintenant ! Quand Annie veut descendre mon short sur les chevilles, je m’empresse de l’aider…Elle se place à califourchon en me tournant le dos, reprend la verge frémissante et la porte à ses lèvres. Oh sa langue !…  Je ferme les yeux sur mon plaisir.— Relève ma robe, s’il te plait.Machinalement j’obéis. Le splendide fessier attire mon regard… Et mes doigts.— Caresse-moi Papy, tu sais faire ?Oui, ça je sais ! Je tire sur son bassin pour le rapprocher de mes lèvres…Annie est une experte en sucette, sachant allier léchage de la tige, du gland et pénétrations dans la bouche. Elle sent quand la jouissance monte et la ralentit par de douces pressions à la base de la hampe. De mon coté je ne suis pas en reste et déploie toute ma science pour amener ma petite-fille à l’orgasme. Je suis tout fier d’y parvenir avant de lâcher prise. A la fin n’y tenant plus, je veux me retirer, mais elle n’est pas de cet avis.— Hon ! Hon !Elle me tète jusqu’à ce que j’éjacule dans sa bouche. Elle déglutit soigneusement et termine par un léchage coquin du gland et de la tige. Reprenant place à mes cotés sur le canapé elle m’interroge.— Alors Papy ? Tu es calmé ?— Ben toi alors ! Tu peux dire que tu m’en bouches un coin ! Où as-tu appris ces vilaines choses ?— Ça t’a pas plu ?— Oh si ! C’était… C’était merveilleux… Merci ma chérie… Merci.— Tu n’étais pas mal toi non plus, j’ai rarement autant joui dans un 69.Je me lève péniblement.— Où vas-tu ? demande Annie.— Chercher à boire, n’as-tu pas soif ?— Si mais reste ici, je sais où se trouvent les boissons.— Merci, sers-moi un pastis bien corsé, dis-je en me rasseyant, j’en ai besoin.La jeune fille fait le service et ouvre pour elle une boite de coca…— Ah ! Ça fait du bien, dit-elle en essuyant la bouche du revers de la main.— Oui, ça fait du bien… Dis, tu m’excuseras d’insister mais je ne veux pas que tu fasses du mal à ta mère.— Sois tranquille Papy, je l’adore Maman et il n’est pas question qu’elle souffre par ma faute, surtout maintenant que nous nous sommes trouvé un point commun.— Ah ? Lequel ?— Ben notre goût pour les caresses féminines ; car je t’assure, elle a apprécié hier.— C’est ce qu’elle m’a dit. Mais je t’en prie soyez prudentes. Il ne faudrait pas que cela parvienne aux oreilles de ton père.— Oh Papa ? J’en fais mon affaire, d’ailleurs il n’a rien à dire.— Pourquoi ça ?— Parce que il me saute lui aussi.— Oh !— Ça te choque ?— Euh… Non, tu fais ce que tu veux, tu es majeure… Euh… J’espère que tu étais majeure quand ça a commencé, n’est-ce pas ? — Tout à fait ! C’est même le cadeau qu’il m’a fait pour mes dix-huit ans.— Ton cadeau ? Ce n’était pas plutôt un cadeau pour lui ?— Non, non je t’assure c’est un vrai cadeau qu’il m’a fait… Tu sais Papy, je n’étais déjà plus vierge, deux ans de cela que j’avais perdu mon pucelage. Mais les garçons me décevaient : Pout ! Pout ! Pout ! Terminé ! Ce n’est pas ça qui me faisait grimper aux rideaux. C’est à ce moment que j’ai commencé avec des copines. Avec elles au moins on prenait son temps… J’ai eu de belles jouissances…Je la laisse s’enfoncer dans ses souvenirs.— Pour ne pas passer pour une pimbêche ou une gouine, j’ai accepté de sortir avec des garçons mais la plupart du temps j’ai réussi à limiter leurs prétentions à des sucettes et fellation, parfois un 69…— C’est de là que vient la science dont tu as fait étalage tout à l’heure ?— Tu as deviné… Avec Papa, le jour de mon anniversaire, ça a été autre chose. Il m’a fait découvrir le plaisir. C’est dans ses bras que j’ai ressenti mon premier orgasme vaginal. Ça oui c’était un cadeau, le meilleur cadeau pour mon anniversaire.— Parce que le mien de cadeau était moins bon ?Je suis un peu vexé car comme à son cousin Marco avant elle, je lui avais payé les leçons de conduite pour passer le permis. Elle saute à mon cou et m’embrasse sur les deux joues.— Mais si, ton cadeau était sensationnel Papy, mais c’est pas pareil.— Non, en effet ce n’est pas pareil. Et depuis, tu fais souvent l’amour avec ton père ?— Ça dépend, ce n’est pas régulier.— Et avec les autres garçons ?… Non ?… J’ai l’impression pourtant que cela ne marche pas trop mal avec ton cousin, non ?— Lui est potable.— Et coté cœur ?— Là c’est le calme plat. L’année dernière j’avais le béguin pour un étudiant, mais ça n’a pas duré… Trop con…— J’espère pour toi que tu trouveras l’âme sœur à laquelle tu pourras sans crainte te raccrocher.— Oh ! Je ne suis pas pressée… Dis, je peux retourner à la maison ? Maman doit se demander ce que je fiche… Puis… Euh… — Qu’est-ce qu’il y a encore ?— Je sais que cet après-midi elle est seule. Je suis sûre qu’elle ne refusera pas si je lui propose qu’on se caresse… T’es pas d’accord ? ajoute-t-elle devant mon froncement de sourcil.— Loin de moi l’idée de t’en empêcher… Mais promets-moi que tu n’insisteras pas si elle refuse.— Promis !Je la regarde se diriger vers sa demeure. Sa robe virevolte au rythme de sa marche. J’ai encore le souvenir de sa bouche sur ma queue… Ah ! Si j’étais plus jeune…
A suivre… 
Diffuse en direct !
Regarder son live