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Vacances...

Chapitre 5

Inceste
Près d’un an a passé, c’est de nouveau les vacances. Ce soir c’est la fête d’anniversaire de Clémence. Je suis impatient d’en voir le déroulement. Ça promet d’être chaud ! Oh personne n’a parlé d’une orgie familiale mais… Je sais, sans qu’il me l’ait expressément dit que mon fils Philippe n’attend que cette date pour dépuceler sa fille, Fred m’a avoué à demi-mots que sa nièce le fait bander et moi-même, après avoir fait l’amour avec Annie (c’est arrivé cet hiver, lors de mes séjours en ville), je ne serais pas contre baiser mon autre petite fille.Le plus dur à été d’arracher la décision à son père : il voulait fêter ça chez eux, en petit comité et nous laisser en dehors de leurs petites affaires. J’ai du parlementer, lui rendre visite plusieurs fois pour le décider. Enfin il a accepté de célébrer l’anniversaire chez moi, à condition que, au moins au début, la fête se déroule comme s’ils étaient seuls chez eux, traduction pour ceux qui n’auraient pas compris : qu’il soit le premier à baiser Clémence ! Tout compte fait la résistance de mon fils a été une bénédiction. Sans elle je ne serais pas aussi souvent descendu en ville, où Catherine se dévouait pour rendre mon séjour le plus agréable possible. C’est au cours d’un de ces voyages que j’ai enfin pu faire l’amour à Annie. Comme je ne rencontrais jamais la mère et la fille ensemble, je ne sais si Catherine ignore qu’Annie participe à mon bonheur ou si elle fait semblant de ne pas savoir. Par contre avec ma belle-fille… Mes efforts et sous-entendus ont été vains…Zut ! Qu’est-ce qu’on va faire du « petit » qui n’a pas encore « l’âge » ? Comment lui demander de quitter les festivités ? Je proposerai aux parents de lui permettre exceptionnellement de regarder sa console de jeux dans sa chambre… Il ne me reste qu’à préparer la table et le salon…
Après le gâteau d’anniversaire et la remise des cadeaux, Catherine a accompagné son fils dans sa maison. Elle revient seule comme prévu. Je me fais peut être des idées, mais j’ai l’impression qu’elle a ôté son soutien gorge.— Il est couché ? demande Fred.— Pas encore, je lui ai permis de jouer comme Papa l’a suggéré. Il m’a promis de ne pas traîner et d’aller au lit rapidement. J’irai tout à l’heure voir ce qu’il en est.— Bah laisse-le tranquille, ce n’est pas tous les jours qu’on fête les dix huit ans de Clémence, lui dis-je.— Tout est bien donc, on peut commencer, annonce mon gendre.— Commencer quoi ? interroge Clémence.— Ma puce, lui dit Philippe son père, tu es une adulte maintenant et…— Je sais, je suis majeure.— C’est ça. On peut te parler de certaines choses… Euh…— Que veux-tu dire Papa ?— Euh… Ces dernières années tu… Euh… Tu t’es transformée et… Euh…— Ton père veut dire que tu es devenue une belle jeune fille, dit Catherine.— Que les hommes aimeraient avoir pour petite amie, complète Marco, moi le premier !Clémence le regarde étonnée.— Mais tu… Tu es mon frère !— Et alors ? Cela ne m’empêche pas de te trouver bandante.— Oh ! Tu…— Ton frère a raison, tu es désirable, l’interrompt Philippe avant qu’elle continue.— Oh Papa !— Je choque ? Embrasse-moi pour montrer que tu ne m’en veux pas. Clémence approche la bouche de sa joue.
— Non, pas comme ça !Philippe prend sa fille dans les bras. — Embrasse-moi comme une adulte. Tu en as le droit maintenant !Il s’empare des lèvres de sa fille. Clémence un peu inquiète lance un regard à sa mère, comme pour recueillir son assentiment. N’ayant pas décelé de reproche dans le visage inexpressif de celle-ci, elle se blottit dans les bras paternels et accepte le baiser. Je devine le ballet des langues dans la bouche de la jeune fille. Marco semble vivement intéressé. Je regarde Carole. Elle n’exprime ni dégoût ni approbation comme si cela ne la concernait pas. Le couple se sépare pour respirer. Clémence veut reprendre le baiser.— Il y a d’autres façons de prouver combien tu m’aimes, tu sais.— S’il te plait, Papa. Montre-moi.— Je me proposais de te l’expliquer dans ma chambre. Tu veux bien ?— Oh oui Papa !Une fois le couple monté, nous nous regardons un peu éberlué de la rapidité des événements. Ça démarre fort ! Mon fils Philippe avait averti : il agira comme s’il était chez lui ! Annie se rapproche de moi et me murmure :— Clémence n’est pas aussi naïve qu’elle en a l’air : On a parlé. Elle a deviné que son père veut la sauter et qu’il attendait avec impatience son anniversaire. Cela n’avait pas l’air de la choquer. Je la soupçonne d’en être amoureuse.— Comme toi n’est-ce pas ? lui dis-je sur le même ton.— Euh…Changeant de conversation, elle me déclare :— T’as pas envie de me faire l’amour ?— Devant tout le monde ? Je croyais que tu voulais le cacher.— On n’a qu’à s’isoler.J’aimerais bien mais je me suis promis de baiser Clémence après son père. Étant un peu fatigué je ne veux pas gaspiller mes forces.— Ils auraient tôt fait de comprendre, puis je ne suis pas en forme. Occupes-toi plutôt de Marco.Le dit Marco ne fait pas attention à sa cousine et se rapproche de Catherine qui le repousse.— Pourquoi rembarrer ton neveu ? lui reproche son mari. Il ne te veut pas de mal. Moi, je suis sûr que ma fille ne me chassera pas, n’est-ce pas Annie ?Il l’attire contre lui et prend sa bouche pour un baiser. Catherine interroge du regard sa belle-sœur qui détourne les yeux pour ne pas avoir à répondre. Elle hausse les épaules et laisse Marco l’enlacer. Au sourire du garçon, je devine qu’il a constaté que la poitrine est libre sous la robe ! Il la place à quatre pattes sur le tapis et soulève la jupe sur les fesses. Elle est nue dessous ! Sacré Catherine ! Ni une ni deux, il quitte t-shirt, pantalon et slip et la prend en levrette. Fred et Annie se sont déshabillés de leur coté et baisent sur le canapé. L’ambiance est plutôt chaude ! Si je ne voulais pas me réserver pour Clémence, je tenterai ma chance auprès de ma belle fille !— Nous sommes les deux seuls raisonnables, me dit-elle. Tu n’as pas envie de les imiter ?— Euh… Ce n’est pas l’envie qui m’en manque, mais ces temps-ci je suis un peu fatigué. Tu es choquée par la tournure que prend la soirée ?— Pas du tout. Que Philippe dépucelle sa fille était prévu de longue date, je savais depuis l’été dernier que Marco a le béguin pour sa tante et que Fred fasse l’amour à Annie m’indiffère. Simplement, je n’éprouve pas le besoin de faire comme eux.La pièce s’emplit de soupirs et de gémissements de plaisir. C’est beau des personnes qui font l’amour ! Je note à son regard brillant que ma voisine n’est pas indifférente au spectacle.— Cela ne te fais pas chaud au cœur de les voir ainsi prendre du plaisir ?— Je dois reconnaître qu’ils y mettent du leur mais je ne les envie pas.Tout à coup Annie s’exclame :— Ouiii ! Je viiiieeennns !Son cri déclenche l’éjaculation simultanée de Fred et Marco.— Aaaaah ouiiii !— Aarrgghh !Catherine plus discrète, jouit en se mordant les lèvres ne laissant échapper qu’un faible gémissement.— Mmmmmh !La porte s’ouvre sur Philippe et Clémence. Ils s’encadrent dans le chambranle  nus comme des vers, lui fier comme un paon, elle intimidée se cachant derrière. Je devine que son père a du insister pour qu’elle descende sans vêtement. Son visage s’éclaire quand elle remarque que son frère et sa cousine sont déshabillés comme elle. Annie se précipite à sa rencontre.— Alors ? Comment c’était ? C’était bien ? Raconte-moi.— Tu peux pas la laisser tranquille ! s’interpose Marco. Viens, laisse-les dire sœurette.Il l’entraine dans un coin de la pièce, l’enserre dans ses bras et plaque un baiser sur la bouche. — Oh Marco ! Que fais-tu ?— Tu vois, je t’aime moi aussi, laisse-moi te le prouver.Je regarde Carole. Ne va-t-elle pas intervenir ?— Nous avons promis à Marco qu’il… Euh… Participera à l’anniversaire de sa sœur, dit-elle en réponse à mon coup d’œil interrogateur.En fait de participation celle-ci est particulièrement active ! Déjà sa main explore le sexe de sa sœur. — Ouiii !… Euh… Maman, est-ce qu’il peut ?— Si tu en as envie, oui.Clémence, forte de cette autorisation embrasse son frère. Après quelques caresses facilitées par le manque de vêtements, le garçon installe Clémence sur le divan et se couche entre ses cuisses. — J’attendais ce moment avec impatience. Je t’aime ma chérie.— Je t’aime aussi.— Tu veux bien ?Pour toute réponse Clémence attire son frère.— Aaah !Je me promets de les surveiller : Pas question de laisser passer mon tour ! J’interviendrai dès que Marco aura terminé. Je regarde autour de moi. Philippe s’approche de sa nièce. Je l’entends lui murmurer :— Ça ne te fait pas envie ?— Ta fille t’as pas suffit ? Tu veux me baiser aussi ? lui rétorque-t-elle sur le même ton.Au lieu de répondre, il l’embrasse sur la bouche et l’entraîne sans résistance sur l’autre canapé. Ce n’est pas la première fois qu’ils vont ensemble ces deux là ! Sacré Philippe, je ne le connaissais pas sous cet angle ! Catherine regarde son frère étonnée, puis son mari. Devant le manque de réaction de celui-ci elle hausse les épaules et s’enfonce dans son fauteuil. J’épie l’attitude de Carole.— Oui, ça fait un an que ça dure, me dit-elle. J’ai préféré tolérer qu’il couche avec sa nièce majeure plutôt qu’avec sa fille tant que celle-ci était mineure. Il a pu ainsi patienter jusqu’à ce jour.Fred s’approche de nous et se penche sur sa belle-sœur. Il dépose un baiser dans le cou et m’interpelle :— Tu permets, Michel ?— Ce n’est pas parce que mon mari se tape ta fille que je suis obligée de te consoler ! rétorque Carole qui se dégage. Non merci, occupe-toi de ta femme plutôt !Fred se réfugie à coté de Catherine.— Tu ne dis rien à mon frère pour ta fille ? reproche-t-elle… Oh ! C’est parce que tu veux… Avec Clémence ?… — C’est sa fête non ? En attendant viens contre moi. Catherine repose la tête sur son épaule. Machinalement, elle caresse la verge de son mari. Serrés l’un contre l’autre ils contemplent Annie prendre du plaisir entre les bras de son oncle.— Ah Tonton… Tu es… Je jouiiiis !— Tu es ma niiiièce prrrréférée… Aaaaah !Clémence ne boude pas son plaisir sous les coups de Marco :— Oh c’est bon !— Han !… Tu es… Han !… Ma sœur… Han !…  Chériiiiie !— Ouiiii !… Je… Je jouiiiiiis !— Aarrgghh !Je me précipite. Je ne tiens pas à ce que Fred prenne ma place ! C’est mon tour de la baiser, je me suis réservé pour ça non ? Je prends Marco par les épaules, le remets entre les bras de sa mère qui lui caresse les cheveux et me penche sur Clémence qui me sourit.— Alors ma chérie ? Pas trop fatiguée ?— Non Papy. Je t’ai pas remercié pour le cadeau que tu m’as fait.Comme à son frère et sa cousine, je lui paye les leçons de conduite pour passer le permis.— Ce n’est rien. Pas trop surprise du déroulement de la soirée ?— Un peu, je m’attendais pas à ça.— Tu es heureuse ?— Oh oui ! Tu sais Papy, j’ai toujours rêvé de Papa. Qu’il m’ait fait l’amour a été une merveilleuse chose. J’imaginais pas que ce serait aussi bon.— Et ton frère ? — Oh lui ! Depuis le temps qu’il me tournait autour…Je caresse sa poitrine, elle me sourit. Examinant autour d’elle, elle demande :— Où sont passés Maman, Papa et Marco ?Je regarde à mon tour, ils ne sont plus dans le salon.— Ils doivent être montés dans une chambre.— Pourquoi ?— Ben… Euh… Tes parents aiment Marco autant que toi et…— Ils font l’amour ensemble ?— Euh… Probablement.Je titille ses tétons qui s’allongent. Entre deux soupirs, elle m’interroge :— Pourquoi ils se sont isolés ?— Tu leur demanderas.Elle voit Fred qui a placé Catherine à quatre pattes sur le tapis du salon.— Qu’est-ce qu’ils font ?— Euh… Il n’y a pas que toi qui aies le droit de t’amuser. Les autres aussi… Euh… J’ai envie de toi, tu sais.Elle jette un regard sur la bosse de mon short et me sourit.— Je le vois bien… Viens Papy !Baiser une toute jeune fille est un vrai délice bien que Clémence soit inexpérimentée et ne réponde pas aussi bien que Catherine ou Annie. A coté Fred encule sa femme qui glapit son plaisir. Annie les regarde avec une pointe de jalousie : Pourquoi elle et pas moi pense-t-elle vraisemblablement.Entre mes bras, Clémence se tord de jouissance :— Oui Papy !… Ouiii !… Papyyyyyy !— Aaaah ! répond en écho Catherine.Je suis épuisé. Cette étreinte m’a vidé. Fred se dégage du cul de sa femme et vient vers nous.— C’est mon tour maintenant.Il me pousse sur le coté pour prendre ma place entre les cuisses ouvertes de sa nièce.— N’est-ce pas que tu veux bien de moi ?— Oui Tonton, fait moi jouir aussi… Aah… Oui Tonton… Aah !— Han !De son coté Annie se penche vers sa mère. Les deux femmes se sourient et vont ensemble sur l’autre canapé. Elles s’embrassent et ne s’occupent plus de nous.Philippe, sa femme et Marco, reviennent au salon, tous trois dénudés. Carole, au bras de son mari semble transfigurée. Où est la duègne coincée de tout à l’heure ? Philippe et son fils échangent un clin d’œil complice. Selon toute vraisemblance, ils ont fait l’amour ensemble comme Marco nous l’avait avoué l’année dernière. Ils regardent avec indulgence Clémence subir sans déplaisir son oncle.— Aah !… Aah !… Aah !— Han !… Han !… Han !La jouissance est longue à venir. Ils sont fatigués tous les deux. Sur le canapé voisin Catherine et sa fille se caressent à qui mieux mieux. Enfin Clémence pousse un râle de plaisir.— Aaaaah !Fred se relève fier de son exploit. Carole s’empresse autour de sa fille.— Ma chérie, ça va ? Que penses-tu de ton anniversaire ?— Oh Maman ! Merci, merci. Je l’oublierai jamais !La mère et la fille s’embrassent tendrement.— Je suis fatiguée, Maman.— Je te comprends, quatre hommes c’est beaucoup pour toi, surtout pour une première fois. Ramasse tes affaires Marco, il est temps de nous coucher. Bonsoir tout le monde !Elle emmène sa fille à l’étage. Philippe et Marco les suivent. Catherine émerge de ses caresses avec Annie.— Euh… Bonsoir. Nous allons renter nous aussi. Nous aussi sommes fatigués, n’est-ce pas Fred ?— Oh moi, je suis encore capable de te prouver mon amour.— Prétentieux ! On verra quand nous seront chez nous ! Au revoir Papa, dors bien.— Au revoir.Je les regarde disparaître vers leur maison… Cet anniversaire a été un succès, on s’en souviendra.
A suivre… 
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