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En vacances avec ma cousine et sa meilleure amie

Chapitre 3

Inceste
La porte s’entrouvre et, mes yeux s’étant habitués à l’obscurité, je reconnais Claire.
— Tu ne dors pas ? dis-je.— Non… Ça te dirait de discuter un peu, on n’a pas encore eu trop l’occasion mais il faut bien qu’on apprenne à se connaitre.— Oui, bien sûr, avec plaisir !— Cool ! Suis-moi alors.
Nous allons dans sa chambre et elle s’assied sur son lit tandis que je m’assois en face d’elle sur le canapé. Nos visages sont éclairés par la lampe de chevet qui diffuse une lumière tamisée, toute en ombres et en contrastes.
— Tu ne crois pas que si nos parents nous voient ici ils vont trouver ça bizarre ?— Pas de risque ! Je t’ai dit, ils ne viennent quasiment jamais ici, surtout à cette heure-là et puis de toute façon, les escaliers grincent tellement fort qu’on les entendrait arriver quoi qu’il arrive ! »
Me voilà rassuré. Je me détends donc et profite de la conversation pour dévorer ma cousine des yeux. Elle porte une nuisette assez fine, noire et rouge qui met ses bras et ses jambes nus bien en évidence. A travers le tissu, je crois pouvoir deviner la forme du soutien-gorge qui maintient sa poitrine. Claire a croisé les jambes, c’est une sage décision parce que la nuisette est courte et dans notre position actuelle, je risquais à tout moment d’entrevoir sa culotte.
J’appris beaucoup de choses sur ma cousine au cours de cette discussion. Son lycée se trouvait en ville et son père l’y emmenait en voiture tous les matins en allant au travail. C’est là qu’elle avait rencontré Marianne et elles étaient rapidement devenues inséparables. Elle me raconta comment elle avait eu du mal à concilier d’un côté ses résultats scolaires toujours très bons et de l’autre, ses relations amicales ou amoureuses avec des garçons plutôt turbulents. J’appris, info importante, qu’elle était célibataire depuis 6 mois ! Elle se moqua gentiment de moi quand je lui dis que j’aimais bien la poésie et je lui rendis sa plaisanterie quand elle déclara être fan de comédies musicales. Finalement, ma cousine me raccompagna jusqu’à ma chambre et me souhaita une bonne nuit en déposant un baiser sur ma joue. Je dormis très bien cette nuit-là.
Le lendemain, je me lève tôt pour aller préparer le petit déjeuner comme je l’avais promis. Je prépare une pâte à pancakes et je commence à les cuire en ajoutant au dernier moment quelques myrtilles fraiches.
— Ça sent bon !
Je me retourne et aperçois Claire dans l’embrasure de la porte.
— Tu t’es levée tôt aujourd’hui, lui dis-je.— Ça m’arrive. Qu’est-ce que tu nous prépares de beau ?
Nous parlons cuisine pendant un moment pour finir par un échange plutôt intéressant :
— Tu sais faire les mille-feuilles ? me demande ma cousine.— Oui, j’en fais de temps en temps. Tu aimes ça ?— J’adore ! Je crois que je pourrais fondre pour n’importe quelle personne qui m’offrirait un mille-feuille.— J’y penserai ! lui réponds-je avec un ricanement. »
Je me promets de lui confectionner une mille-feuille un de ces jours, je crois que j’ai très envie de faire fondre ma cousine.
Le reste de la matinée se passe sans événement notable et à midi, mon oncle nous propose de profiter du soleil, particulièrement éclatant aujourd’hui, pour aller à la piscine. Claire et moi trouvons l’idée excellente et nous donnons rendez-vous au bord du bassin pour 14 heures.J’arrive un peu en retard au rendez-vous. Après avoir contourné la maison en suivant un petit chemin en gravier, j’arrive au bord de la piscine. Claire est déjà en train de nager.
— Viens, me dit-elle, l’eau est chaude !
Je constate que ma cousine avait raison de dire que ma chambre est la seule pièce de la maison à avoir une vue sur la piscine. Entre le bassin et le mur se trouvent trois transats. Je pose ma serviette et mes vêtements sur l’un d’eux et me jette à l’eau.
J’ai remarqué que Claire regardait avec insistance mon torse aux abdos bien dessinés et c’est donc sans culpabilité que je l’observe à mon tour. Elle porte un maillot de bain de sport une pièce noir et bleu qui lui comprime la poitrine et la maintient en place mais laisse deviner ses tétons qui forment un léger relief. Son maillot et fermé derrière par une petite fermeture éclair.

Le bassin a des dimensions très respectables mais est peu profond : j’ai pied partout. Une bataille d’eau commence et ma cousine m’envoie de l’eau dans les yeux sans discontinuer. Je recule autant que je peux jusqu’à buter contre le bord de la piscine. Impossible de battre en retraite plus longtemps ! Je passe donc à l’attaque en attrapant ma cousine par la taille et en la jetant loin de moi. Elle ressort de l’eau en riant et la bataille reprend. J’essaye une nouvelle fois de l’attraper par la taille mais cette fois, ma main dérape sur le tissu de son maillot et par accident, je touche le bas de son sein droit avant de la jeter plus loin.J’ai le rouge aux joues mais ma cousine fait comme si de rien n’était. Nous continuons à jouer dans l’eau pendant un long moment encore puis je décide de remonter à la chambre et je sors de l’eau.
— Pars devant, je vais rester ici pour bronzer un peu ! me dit-elle. Le soleil est idéal !
Elle sort à son tour de l’eau. Son corps est magnifique et avec ses cheveux ruisselants sur lesquels le soleil se reflète, elle a l’air d’une vraie sirène.
— Cyril, tu peux m’aider une seconde avant de remonter s’il-te-plait ?— Oui bien sûr !
Elle me tourne le dos.
— Tu peux descendre la fermeture éclair pour moi ? »
Heureusement qu’elle est de dos sinon Claire aurait vu le début d’érection que sa requête avait provoqué chez moi. Je m’approche d’elle et faisant bien attention à ce que mon sexe qui commence à durcir ne rentre pas en contact avec ses fesses. Je prends la languette de la fermeture éclair entre deux doigts et je la tire vers le bas. Je la descends lentement pour profiter au maximum du moment présent ! Un bout du dos de Claire se dévoile peu à peu ; je vois le bord de ses omoplates et la fermeture éclair descend le long du creux de sa colonne vertébrale. La peau de son dos est lisse, magnifique et parsemée à certains endroits de grains de beauté. Il me faut fournir un effort surhumain pour résister à la tentation de la toucher. Et je descends encore la languette jusqu’au losange de Michaelis de ma cousine avant de m’arrêter.
— Descends la bien jusqu’en bas s’il-te-plait.
Docilement, je descends la languette le plus bas possible. Je peux maintenant voir le départ de ses deux belles fesses qui, elles, sont encore cachées par le bas du maillot.
— Merci pour ton aide ! - De rien, bafouillé-je. »
Et je pars au pas de course, en espérant qu’elle n’a pas vu mon érection.
Je monte en vitesse dans ma chambre pour me désexciter mais en y entrant je constate que j’ai laissé ma fenêtre ouverte avant d’aller nager. C’était une bonne idée, finalement, de vouloir aérer la pièce… Tout doucement, je m’avance jusqu’à la fenêtre. Sans bruit, je me penche en avant.
La vue est pour ainsi dire… inimitable !
Claire est nue, allongée sur un transat en train de faire bronzer son joli dos. Elle se sert de ses mains comme d’un oreiller et profite du soleil les yeux fermés. Une serviette blanche, posée sur ses fesses, les dissimule à ma vue. Je commence à me masser le pénis à travers mon maillot de bain. La sensation est agréable et, les yeux rivés sur ma cousine, j’accélère le rythme de mes caresses.
Soudain, j’entends les escaliers grincer et la voix de ma mère qui m’appelle :
— Cyril ! Où es-tu ?
Si elle me trouve en train de reluquer ma cousine en me caressant le sexe, autant dire que ça va mal se passer… J’enroule à la va vite une serviette autour de ma taille pour dissimuler mon érection et je vais à la rencontre de ma mère.
— Qu’est-ce qu’il y a, Maman ?-Rien de particulier. Je suis venu voir comment est ta chambre.
Merde ! Si elle regarde par la fenêtre, je suis fichu. Elle rentre dans la pièce.
— Oh ! Quelle jolie décoration ! s’exclame-t-elle. Et je vois que tu as fait ton lit. Si tu pouvais y penser quand on est à la maison ça serait bien aussi tu sais !— Très drôle Maman… Tu pourrais descendre avec moi s’il-te-plait, j’ai oublié quelque chose dans la voiture et il me faudrait les clés. »

Nous descendons donc. Danger écarté ! Mais quand je remonte, quelques minutes plus tard, le doux spectacle est déjà terminé. Claire a déjà remis son maillot et elle entreprend de finir de se sécher les cheveux avant de remonter…
Je reste dans ma chambre pendant un moment et j’en profite pour me changer. Puis, alors qu’il doit être autour de 16h30, je me mets à la recherche de ma cousine. Je toque à la porte de sa chambre mais elle n’y est pas. Je la retrouve finalement allongée sur le canapé du petit salon, en train de faire la sieste. Je m’approche d’elle.
— Claire, tu dors ?
Pas de réponse. Elle porte un mini short en jeans et un débardeur gris. Sa poitrine se soulève doucement au rythme de sa respiration. Elle a l’air calme, tranquille. Elle est très belle quand elle dort. Je me penche sur elle et je dépose un petit baiser sur son épaule. Elle ne réagit pas, elle doit dormir à poing fermé ; sans doute la piscine l’a-t-elle fatiguée… Très lentement, je tends une main vers son mini short. Je garde les yeux rivés sur son visage, attentif au moindre signe de réveil tandis qu’avec deux doigts je frotte doucement le tissu au niveau de son entre-jambes. Je fais ça pendant quelques secondes puis je me lève et je quitte la pièce sur la pointe des pieds.
Si je m’étais retourné à ce moment-là, j’aurais vu ma cousine avec les yeux entrouverts et un petit sourire sur les lèvres...
Le diner se passe dans le calme même si je sens le regard de Claire qui me dévisage tout au long du repas. Le soir, je lis un peu avant d’éteindre la lumière. Mais, comme la veille, aux alentours de minuit, Claire vient gratter à ma porte et me propose de discuter dans sa chambre. Elle porte toujours sa jolie nuisette rouge et noire qui la met si bien en valeur. Nous reprenons nos places de la veille, respectivement sur le lit et le canapé-lit.
— Tu te rappelles que tu me dois un gage ? demande ma cousine au milieu de la conversation.— Euh… J’avais oublié. Qu’est-ce que tu vas bien pouvoir me demander ?
L’inquiétude doit se lire sur mon visage.
— Ben…La piscine m’a un peu engourdie, j’aimerais que tu me masses les épaules.— Je m’attendais à pire.— Tu t’attendais à quoi ? dit-elle en riant.— Je sais pas… A pire. Assieds-toi au bord du lit
Elle s’exécute et je me place juste derrière elle, à genoux sur son lit. Je n’ai jamais vraiment fait de massage alors je m’applique pour la détendre au maximum. Je passe mes mains sur ses épaules en appliquant une pression douce. Je fais de même avec sa nuque. Le contact entre mes mains et sa peau créé une impression de chaleur très agréable pour nous deux. A plusieurs reprises, je lui demande ce qu’elle pense du massage et elle me répond par « mmmh c’est très bien » ou encore par « continue encore un peu ». Je peux sentir sa respiration qui est encore plus calme que lorsqu’elle faisait sa sieste. J’en déduis que j’arrive bien à la relaxer et ça me rend un peu fier. Je finis par arrêter mes mouvements.
— Alors, ça va mieux ?-Ah ouais, là je suis bien détendue ! Je vais dormir comme un bébé, répond ma cousine avec un sourire charmeur. Dis-moi Cyril, tu aimes mes épaules ?-Je les aime tellement que je les embrasserais, lui dis-je avec un clin d’œil pour qu’elle comprenne bien que je plaisante.
Elle se tourne vers moi et plante son regard dans le mien.
— Vas-y, fait toi plaisir ! m’invite-t-elle avec un sourire d’encouragement.
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