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Vacances avec ma Filleule

Chapitre 3

Trash
Après nos douches, nous prenons le repas de midi. Pendant le café, je fais part du planning de la fin de journée. •    Delphine, monte dans la chambre, déshabille-toi et attends-moi. •    OK. •    Alexandra, je vais passer le reste de la journée uniquement avec ta tante dans notre chambre. Je veux que rien ne nous dérange ! •    Et moi alors, qui va s’occuper de moi ? •    Patience, ma chérie ; pour le moment, je t’ai offert des jouets : alors fais-en bon usage car demain je m’occupe de ton train arrière. •    Mais je sais pas faire toute seule ! •    Tu as un miroir dans ta chambre ; observe tes orifices, titille-les et insère-toi tes doigts ou tes jouets dans le trou que tu veux. Tu as des lubrifiants : fais-en bon usage !  Je l’embrasse à pleine bouche et quitte la pièce sans me retourner. Au passage, je vais dans la cuisine pour prendre la bouteille d’huile d’olive, le meilleur lubrifiant au monde pour ma part. Arrivé dans la chambre, je trouve Delphine sur le lit, entièrement nue. Elle a fermé les volets en espagnolette, ce qui fait une lumière tamisée mais cache la visibilité au voisinage. Je m’approche et l’embrasse tendrement. Elle me rend mon baiser. •    Tu sais ce que je te prépare ? •    Non. •    Tu vas être ma poupée et mon vide-couilles tout le reste de la journée ! •    Huumm… •    Tu es fatiguée ? •    Non. •    OK. Quand je vais commencer, le seul moment où tu pourras dire « stop », c’est si tu as des douleurs au niveau du ventre ; sinon tu devras te laisser faire, seulement prendre du plaisir, et surtout m’en donner. Tu es prête ? •    Oui.  Je me déshabille à mon tour. Elle est à genoux sur le lit, les mains sur ses cuisses face à moi. Je l’attrape par les cheveux et lui plaque le visage sur ma bite. Elle pose une main sur cette dernière. En lui tapant le dessus de la main, je lui fais comprendre qu’elle n’a pas le droit de me toucher, juste de recevoir. Elle remet sa main sur sa cuisse et ouvre sa bouche comme une chienne bien dressée. Avec un coup de hanches, je lui fouette la joue avec ma bite avant de la lui enfoncer sans ménagement dans la bouche. Ses dents raclent sur ma hampe ; ça me donne des frissons, et j’aime. Mes mains se posent de part et d’autre de sa tête ; je lui impose un rythme soutenu à ma fellation d’accueil pour lui indiquer qu’elle n’est pas là pour une baise soft. Je rejette sa tête en arrière ; un filet de bave joint encore ses dents à mon gland. Je vais dans l’armoire et sors le sac de mes dernières emplettes. Je prends une pochette où se trouvent des cordes de bondage. 
•    C’est quoi ? •    Des cordes. •    Pour quoi faire ? •    Te ficeler ! •    Comme un rôti ? •    Oui, que je vais prendre un plaisir immense à fourrer.  Sur ces mots, je m’approche d’elle et lui accroche les mains dans le dos. Je passe ensuite les brins en dessous de son ventre et retourne derrière. Les liens passent de nouveau devant, mais cette fois par-dessus le ventre. Je fais le tour de chaque sein avec un brin différent, je serre légèrement les contentions au point de faire rougir ses seins et de faire sortir un liquide blanchâtre de l’un des mamelons. Je le lèche et je continue. Je noue les deux liens ensemble entre ses seins et remonte vers sa gorge. Là, je fais un nœud et en refais un au niveau de sa nuque. Les liens descendent dans son dos, où je continue à faire des nœuds à chaque croisement avec la corde et ses poignets. Elle ne peut plus bouger le buste. Je la pose délicatement sur le dos et me positionne au niveau de ses pieds ; je cherche comment je pourrais les lui accrocher. En effet, c’est ma première expérience de bondage ; j’y ai déjà pensé et j’ai regardé plein d’articles sur le sujet, mais c’est la première fois que je passe à l’œuvre. Après quelques secondes de réflexion, je me décide à prendre deux autres liens et entoure ses chevilles avec. Ensuite je les accroche à la corde qui passe sous son ventre en l’obligeant à garder les jambes fléchies mais assez mobiles pour pouvoir les écarter à ma guise. J’ai fini ma contention sexuelle. Je lui bande les yeux avec un loup occultant et la remets sur ses genoux pour la prendre en photo. Je quitte la pièce sans rien dire, la laissant seule au milieu du lit. Je vais chercher des épingles à linge, une plume qui traîne dans un vase en guise de déco et un tuteur en bambou qui me servira de cravache. Quand je reviens, elle n’a pas bougé, et essaie d’écouter tous les bruits qu’il y a autour d’elle. J’ouvre les volets ; le soleil transperce la pièce et vient chauffer sa peau. •    Qu’est-ce que tu fais ? Si on nous voit ? •    Chut ! C’est pas toi qui a dit « Profite de tes vacances, personne ne te connaît. » ?  Elle ne répond rien. Avec la plume, je caresse ses seins ; elle frissonne et commence à pointer. Je parcours tout son corps avec la plume. Je prends un épingle à linge et pince un téton avec. Elle redresse la tête. Je fais de même avec son deuxième sein ; même réaction de sa part. Je la remets sur le dos, mais cette fois-ci la tête légèrement dans le vide. Je lui écarte aussi les pieds et pose des pinces sur ses grandes lèvres. Au passage, je lui insère quelques doigts dans sa chatte humide et les lèche avec gourmandise. Elle mouille : c’est signe que je peux continuer à jouer avec son corps. Je récupère encore un peu de sa cyprine et la lui fais lécher. Elle me gobe les doigts comme une affamée. Je les retire et pose mon gland gonflé sur ses lèvres à demi closes. Elle le gobe sans demander son reste. Lors mes va-et-vient, mes couilles tapent son nez. Je sens son souffle entre mon chibre et mes boules. Ça a tendance à m’exciter. Étant en position de faiblesse, et moi énervé comme un chien en chaleur, je décide de tenter une gorge profonde sur Delphine. Elle a déjà tenté a plusieurs reprises sans jamais y arriver ; la dernière fois, elle y était presque, donc je tente le coup. Je commence par lui baiser la bouche de plus en plus rapidement et avec rage. D’un coup, je l’attrape par la nuque et pousse mon pieu au plus profond de sa bouche. Elle essaie de crier, mais seuls des bruits étouffés en sortent à cause de ma bite ancrée dans sa bouche. Elle salive un max. Je ressors complètement de sa bouche, et avant qu’elle ne la referme j’y rentre d’un mouvement sec. Ses lèvres sont proches de la base de ma bite. Je retente l’expérience deux ou trois fois quand soudain je sens ses lèvres sur mon pubis. Je baisse les yeux : effectivement, Delphine est en train d’avaler ma bite jusqu’à la garde. Je réitère cette performance à plusieurs reprises et la prends même en photo. Des larmes s’échappent du loup et elle salive un max. Je décide d’en rester là pour le moment et de laisser reposer sa mâchoire. Je la fais pivoter sur le lit. •    Salaud ! Tu as failli m’étouffer avec ta bite, enculé ! •    Chut. Je te l’ai dit : tu es ma chienne, et je fais ce que je veux de toi. Alors SILENCE !  Sa rébellion m’a énervé encore plus ; maintenant je veux la baiser pour l’entendre couiner de douleur et de plaisir. Son maquillage a coulé et elle a de la bave au menton. Je ne résiste pas au désir de l’embrasser à pleine bouche en lui agrippant les cheveux, puis je rejette sa tête aussitôt après. Toujours sur le dos et les jambes écartées, elle a néanmoins perdu ses pinces à linge. Je lui remets celles des tétons en les pressants biens pour lui faire sortir un petit cri de douleur à chaque pose. Ensuite je me positionne entre ses cuisses et l’attire vers moi. Mon gland cogne sur ses grandes lèvres. J’empoigne ma bite et la fais passer dans son sillon ruisselant. La chienne ! Malgré ses protestations, elle mouille de plaisir. Il ne m’en faut pas plus pour continuer sur le même rythme. Je l’embroche d’un coup sec. Cette introduction profonde lui fait lâcher un cri de surprise. Je recommence plusieurs fois ce scénario pour finir par lui limer le vagin. Elle gémit de plus en plus fort. Ses seins bougent au tempo de mon bassin ; je lui arrache les pinces et lui bouffe les tétons. Je sens que je vais bientôt venir, alors je me retire et m’approche de son visage pour me décharger complètement. Delphine sursaute au premier jet de foutre, mais étant excitée elle aussi, elle cherche à attraper les suivants avec la bouche grande ouverte et la langue sortie. Je fais exprès de gicler ailleurs que dans sa bouche. Après m’être vidé sur son visage et ses seins, je m’essuie avec ses cheveux et descends dans la cuisine boire un coup, la laissant seule sur le lit, souillée et encore ficelée. Je remonte à peine cinq minutes plus tard en lui apportant un verre d’eau avec une paille. Je la redresse ; elle est couchée sur le lit, les jambes repliées sur le côté. Je retire son loup et lui présente le verre avec la paille. •    Tu  ne me décroches pas ? •    J’ai pas encore fini avec toi ! Tu ne seras détachée que quand j’en aurai envie.  Sans un mot de plus, elle boit son eau. Je l’embrasse, ma langue rentre dans sa bouche, et la sienne fait de même. Avec ce baiser je comprends qu’elle aussi a apprécié d’être malmenée. Je pense alors que je vais intensifier la joute. Je lui retire ses liens ; sa peau est marquée par ces entraves sexuelles. Je la mets à quatre pattes et lui enfonce la tête dans les oreillers. Sa croupe m’excite ; sa raie s’est écartée, me laissant voir son anus lisse et sa chatte luisante. J’y plonge le visage et me délecte de son goût et de son odeur. Ma langue pénètre son anus et sa chatte à tour de rôle. Elle gémit de nouveau, et moi je bande de nouveau. Je me redresse et la fesse sans ménagement. Un cri étouffé sort des oreillers ; sa fesse rougit immédiatement. Je recommence trois ou quatre fois ; son cul et rouge vif. Je prends une fiole de lubrifiant et lui en verse dans son sillon et dans ma main. J’introduis deux doigts dans son anus puis, après quelques allers-retours, je lui en mets trois. Ma bite remplace mes doigts. Je m’enfonce jusqu’à la garde sans retenue. Ses gémissements me donnent le rythme. Après quelques minutes, je sors de son conduit et prends un gode de diamètre légèrement plus gros que ma bite. Je le lubrifie et l’insère dans son cul. Je commence à la pistonner et à le tourner au plus profond de son ventre. Elle gémit, elle crie de plaisir. Je le cale bien au fond et commence à me présenter à l’entée de sa chatte toute dégoulinante. Elle met sa main à l’entrée de son vagin et relève la tête. Nos regards se croisent, et elle comprend qu’elle n’a rien à dire, mais juste à recevoir. Je place mon gland à l’entrée de son puits d’amour et commence à la pénétrer doucement ; sa chatte est étroite par rapport à d’habitude : c’est la première fois que je tente une double pénétration sur Delphine. Elle empoigne les oreillers et lâche des petits cris de douleur lors de mon intromission. J’arrive au fond de son vagin et me cale quelques secondes sans bouger pour qu’elle s’habitue à être remplie de part et d’autre. Elle se décrispe ; je prends ça pour une approbation et je commence donc mes va-et-vient. Au fur et à mesure, ses cris de douleur sont remplacés par des gémissements. Je la besogne sans retenue maintenant, je sens que je ne vais pas tarder à éjaculer ; je décide donc de lui arracher son gode et de me vider au fond de ses entrailles. Une fois le gode enlevé, son anus reste béant. Je me retire de son vagin et cale mon gland à l’entrée de son cul. Pris de spasmes, j’éjacule ma semence dans son trou et sur son cul tendu. Après quelques jets bien fournis, je la pousse sur le côté pour la retourner et l’attrape par les cheveux pour lui faire lécher mon sexe encore raide. Je lui fais avaler la totalité de ma bite. Ses dents raclent sur ma tige, mais j’ai envie de pisser. Toujours dans l’euphorie de la domination, je me mets en tête de la souiller encore plus et de me répandre sur elle. Je tire sa tête en arrière, et après l’avoir bien regardée les larmes aux yeux et toujours un filet de bave reliant sa bouche à mon gland, je commence à uriner sur elle. Au contact de ma pisse sur son visage, elle essaie de reculer ; mais je la tiens bien fermement par les cheveux : elle ne peut que subir mon châtiment. Je dirige le jet sur sa poitrine et son ventre bien rond. Une fois fini de pisser, je lui présente ma bite pour qu’elle me la suce, mais Delphine garde la bouche fermée. Je la bifle (une gifle avec la bite) ; elle obtempère et me suce encore un peu. Je relâche mon étreinte et rejette sa tête sur les oreillers. Je la prends une dernière fois en photo, et tout en sortant de la chambre je lui dis : •    Change les draps et va prendre une douche : je suis crevé, j’aimerais dormir maintenant.  Sans attendre la moindre réaction de sa part, je descends, prends une douche et enfile un short avant qu’elle n’arrive. Je m’installe dans le salon où se trouve Alexandra qui regarde la télé. J’entends Delphine descendre et la machine se mettre en route, puis la douche couler. J’attrape ma filleule par les cheveux et lui roule une pelle sans rien lui dire ni lui demander. Je  la repousse sur le canapé et remonte dans ma chambre sans un mot. Je m’endors rapidement jusqu’aux premiers rayons du soleil le lendemain matin qui me sortent de ce sommeil revigorant. Je tourne la tête et je vois Delphine nue en train de dormir à mes côtés. Je souris et me dis que la séance d’hier ne lui a pas déplu, et me rendors encore quelques instants.
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