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Vacances avec ma Filleule

Chapitre 6

Inceste
  Le soir venu, après un repas tranquille, avec Alexandra nous nous préparons pour aller en ville voir le feu d’artifice. Je mets une chemisette en lin avec un pantalon en toile de couleur bleu jeans. Delphine est avec moi dans la chambre pendant que je me prépare ; elle est allongée sur le côté sur le lit et se caresse le ventre en me regardant. Une érection se pointe, je m’approche d’elle et, sans un mot de ma part, Delphine comprend mon envie. Elle gobe ma bite d’une traite et commence à me sucer. Elle est une experte ; je gicle rapidement au fond de sa gorge et finis de me préparer.   Je descends et retrouve Alexandra dans le salon en train de regarder son portable. Elle se lève, et tout en tournant sur elle-même me demande si elle me plaît. Elle est habillée d’une minirobe violette avec des ballerines noires. Le devant de sa robe est normal, mais son dos complètement ouvert laisse voir qu’elle ne porte pas de soutien-gorge et s’arrête au niveau de ses deux fossettes d’amour au niveau des reins.   Je m’approche d’elle pour vérifier qu’elle n’a pas mis de string. Alexandra écarte sans broncher les cuisses et se laisse inspecter. •    Ça te va comme tenue, parrain ? •    Oui, ça va, mais il te manque des bijoux. •    Tu veux que je mette quoi comme bijoux ? •    Vas chercher ton plug anal ; je m’occupe de ton collier.    Elle part en courant dans sa chambre. Pendant ce temps, je prends son collier de chienne et attends son retour. Elle revient, le plug à la main. •    J’aime quand c’est toi qui me le mets, parrain. Tu peux faire ça pour moi ? •    Bien sûr ; tourne-toi et penche-toi un peu.    Elle s’exécute en s’appuyant sur la table basse et en écartant les jambes. Je lubrifie l’objet en le mettant dans ma bouche et, sans sommation, je le lui cale entre ses petites fesses rebondies. Après une petite claque sur le cul, Alexandra se redresse et redescend sa robe. Elle pointe du doigt le collier, et sur un ton interrogateur me demande : •    C’est pour moi ? •    Oui : c’est un nouveau collier que je viens de t’acheter ce matin. •    Mais c’est un collier de chien ! •    Tout à fait ; de chienne, plus  précisément. Regarde, j’ai même fait graver ton nom dessus.    Je le lui donne pour qu’elle constate. Après quelques instants, je le lui reprends et me place derrière elle pour l’attacher autour de son cou. Je me remets devant elle et regarde l’effet rendu. 
•    Tu es magnifique ! •    T’es sûr ? •    Oui, une vrai petite chienne très docile ; et si tu n’es pas sage, sache que j’ai la laisse qui va avec ! •    Mais je suis toujours sage, parrain… •    Bon, finis les préparatifs, on s’en va. •    Je monte en voiture.    Nous embrassons Delphine et partons en direction du port où se déroulera le tir du feu d’artifice. Sur le chemin, je pose ma main sur le haut de sa cuisse et commence à la caresser. Sa réaction ne se fait pas attendre : elle écarte allègrement les cuisses et m’invite à la doigter. Je ne me prive pas de cette invitation et lui loge deux doigts dans son vagin chaud et trempé.   Le port est déjà rempli de monde. En attendant l’heure du tir, nous nous baladons bras dessus bras dessous comme deux amants. En passant devant le restaurant de la dernière fois, Alexandra croise le regard du serveur qui lui sourit immédiatement. Alexandra se colle encore plus à mon bras et devient toute rouge. Je souris à mon tour, et nous continuons notre route. Un peu plus loin, je lui dis : •    Tu aimerais baiser avec ce serveur ? •    Pourquoi tu demandes ça ? Je suis pas une pute ! •    C’est pas la question ; j’ai pas demandé si tu te ferais payer, mais si tu baiserais avec. •    Ché pas… •    Tu sais que lui, vu les regards qu’il te lance, il serait prêt à visiter tes orifices ? •    T’es con ! •    Non, sérieux. Je suis prêt à le parier. •    Tu crois ? •    Sûr ! •    Ça n’arrivera jamais, de toute façon, et on repart bientôt. •    Justement, profite du moment présent. •    Bon, arrête, parrain ; ce soir, je suis là avec et pour toi. •    D’accord. Allons trouver une place sympa pour admirer le spectacle.    Sur ces mots, nous allons un peu plus sur les collines pour pouvoir bénéficier de la vue sans être trop dérangés.   La nuit est tombée et le feu d’artifice va bientôt commencer. Nous nous sommes installés à l’aplomb du port, près d’une barrière protégeant les gens de tomber dans le vide à l’extrémité de la falaise. Personne à nos côtés. Le tir commence, et nous profitons un max de la vue. Alexandra et moi sommes serrés l’un contre l’autre ; ma main caresse son dos, ce qui lui provoque quelques frissons. Je bande comme un âne. Étant seul, je me cale derrière elle et commence à me frotter contre son cul. Alexandra réagit au quart de tour : elle ondule du bassin.   Mes mains passent dans sa robe pour atteindre ses seins que je titille pour les faire pointer un max. Alexandra s’accroche à la barrière et commence à gémir. J’ouvre mon pantalon et pointe ma bite à l’entrée de sa chatte qui coule déjà de plaisir. J’entre dans son vagin sans rencontrer la moindre résistance. Ses ondulations s’amplifient je la laboure sans retenue. Ses cris de jouissance sont étouffés par les explosions. Mes couilles claquent sur son entrejambe.   Je relève sa robe pour admirer son cul « pluggé » et ma bite qui lui lime la chatte. Je sors mon téléphone et prends une photo que j’enverrai à Delphine plus tard. Je me termine au fond de son vagin pendant le bouquet final ; elle jouit à son tour. Je me retire et, comme une chienne bien dressée, Alexandra se met à genoux devant moi et me nettoie la bite. Une fois propre, je remonte mon pantalon et l’aide à se relever à son tour. Elle prend un Kleenex et essuie ses cuisses souillées par le foutre qui sort de sa chatte.   Le spectacle terminé, nous redescendons vers le port pour prendre une collation avant de rentrer à la maison. Sur le chemin, nous surprenons un ado, la bite à la main, en train d’essayer de se cacher. Nous passons sans même le regarder et finissons notre route. Un peu plus loin, Alexandra me demande : •    Tu crois qu’il nous a vus baiser ? •    Bien sûr. Pourquoi crois-tu qu’il se branlait ? •    Ché pas… Par envie ? •    C’est toi son envie ; il se souviendra tout sa vie de son 14 juillet. •    Et moi de mes vacances tout entières !    Sur ces mots, elle m’embrasse sur la joue et s’agrippe à mon bras.Après quelques verres en ville, nous repassons devant le restaurant. •    Alex, reste là cinq minutes ; je vais faire quelque chose. •    OK.    J’entre dans le restaurant et cherche du regard le serveur de la dernière fois. Je le vois au fond de la salle ; je me dirige vers lui et l’aborde. •    Bonsoir ! •    Bonsoir ! •    Je peux vous poser une question ? •    Allez-y, Monsieur. Que puis-je pour vous ? •    Vous ne vous souvenez sûrement pas de moi… •    Si : vous êtes l’homme qui est venu avec deux merveilleuses femmes, dont une enceinte.    Incroyable, il se rappelle de nous. •    Tout à fait. Bon, voilà mon désir : je suis en train d’éduquer la plus jeune des deux. •    Éduquer à quoi ? •    Au plaisir charnel. Ayant bien avancé à ce sujet, j’aimerais lui faire pratiquer le sexe avec deux hommes en même temps, et par la même occasion découvrir la double pénétration. •    Et en quoi puis-je vous être utile ? me dit-il, les yeux grands ouverts. •    À être le deuxième homme. Alexandra vous trouve à son goût. Du coup, connaissant les hommes et leur faiblesse pour un coup de bite, je me permets de vous proposer un plan à trois. •    Je suis flatté de la proposition, mais j’ai une petite amie et je dois lui demander si elle serait d’accord. •    Votre petite copine accepte que vous ayez des relations extraconjugales ? •    Oui, comme la vôtre, à ce que je vois. •    Parfait. J’abuse un peu, mais votre copine participerait si vous vous le lui demandiez ? •    Alors là, c’est sûr qu’elle acceptera. •    Super ! Du coup, c’est plus un plan à trois mais à quatre. •    Non ; à cinq : vous oubliez votre femme. •    Malheureusement, suite à de petits soucis, elle est en repos forcé. •    Dommage… Baiser une femme enceinte, c’est un fantasme que j’aurais aimé réaliser. •    Bon, on peut peut-être se tutoyer ? •    OK. Tu t’appelles comment, au fait ? •    Benjamin, mais appelle-moi Ben. Voici mon numéro de téléphone. Si vous êtes libres demain avec ta copine, appelle-moi et je te donnerai l’adresse. •    OK. Moi, c’est Cédric. Merci, et à très vite !    Je quitte le restaurant et rejoins Alexandra qui s’est assise sur un banc, plongée dans son téléphone. Inconsciemment, elle a les jambes ouvertes, ce qui me laisse une vue imprenable sur son intimité nue et imberbe. Je passe ma main entre ses cuisses et remonte jusqu’à sa chatte. Elle ne bronche même pas. •    Tu as eu ce que tu voulais, parrain ? •    Pas encore. •    Tu l’auras quand ? •    J’espère demain ; on verra. •    OK. On rentre ? Je suis un peu fatiguée. •    OK.    Nous nous dirigeons vers la voiture. En rentrant, je repense au futur et je commence à bander. Alexandra le remarque et, sans rien dire, elle pose sa main sur ma bite. Ce geste termine mon érection croissante. J’ouvre mon pantalon et Alexandra se jette sur mon sexe pour le gober. Elle se relève, détache sa ceinture pour se mettre à genoux sur l’assise de son fauteuil et replonge dans mon entrejambe. C’est délicieux…   Ma main droite caresse son dos, puis son cul. J’attrape son plug et le sors de son anus. Son sphincter reste légèrement dilaté ; je décide de le pistonner avec deux doigts, ce que fait immédiatement réagir Alexandra : elle geint tout en me suçant. Je lui crache tout mon amour pour elle au fond de la gorge ; elle avale, et après avoir bien nettoyé sa colonne de chair préférée avec la langue, elle se redresse, remet son plug et se rattache comme si rien ne venait de se passer.   Arrivés à la maison où Delphine dormait déjà, je porte jusqu’à son lit Alexandra qui s’est endormie dans la voiture. Je la déshabille entièrement, ne lui laissant que son collier. J’embrasse ses seins et lui retire son plug avec les dents ; j’en profite pour lui faire une feuille de rose et la couvre avant d’aller me coucher également.Mon téléphone vibre. Je regarde ; c’est un message de Cédric : ils sont OK pour venir demain...
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