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Vacances avec ma Filleule

Chapitre 10

Inceste
La journée d’hier a dû être intense pour Alexandra ; j’ai hâte d’avoir son ressenti. Je suis sur la terrasse, allongé tranquillement sur un transat pour profiter des premiers rayons de soleil en buvant mon café matinal. Comme de coutume, je suis nu pour laisser le soleil réchauffer ma peau. Les yeux fermés, je sens une sensation humide sur ma bite molle. Après quelques léchages sur ma tige pour le faire durcir, je sens des dents racler ma hampe. Je reconnais ma déesse du sexe : c’est Delphine qui commence à me prodiguer une fellation. J’ouvre les yeux, et la vision que j’ai est magnifique : je la trouve à genoux au niveau de mon bassin, penchée sur mon sexe déjà dur en train de faire des va-et-vient tout en regardant en direction de mon visage. À mon sourire, elle s’arrête un instant pour me dire bonjour et se remet direct à ma gâterie. Ma main gauche se pose sur sa tête et je commence à caresser ses cheveux. Le rythme s’accélère ; elle commence à me faire des gorges profondes. Je me concentre un max pour ne pas me répandre au fond de sa gorge, mais je ne tiens plus je décharge au fond de sa gorge. Delphine ne bronche pas ; elle continue sa pipe tout en avalant mon foutre. •    Ça t’a plu, mon amour ? •    Parfait, comme d’hab ! •    Maintenant tu vas t’occuper de moi ? •    Pour ça, il va falloir que tu me redonnes de la vigueur. •    Pas de souci : je suis là pour ça, assouvir tous de désirs. •    Parfait. Alors branle-moi, et vite !  Delphine s’affaire à sa tâche. Je lui fais signe de se mettre en position de 69 pour que je commence aussi à la préparer. À peine en position, je plonge ma tête dans sa fente. Mon nez entre en contact avec sa rondelle brune et ma langue commence à fouiller ses plis intimes. Delphine lâche ses premiers gémissements. J’alterne entre ma langue mes doigts. Sa chatte commence à couler, elle devient de plus en plus femme fontaine ; je ne sais pas si c’est la grossesse qui la rend comme ça ou si ce sont les séances de baise, mais je trouve ça génial. Elle goutte comme un robinet mal fermé ; je la lèche avidement. Ma bite est redevenue raide sous ses caresses digitales ; je m’apprête à lui dire de se retourner quand je reçois un liquide chaud provenant de son intimité en plein visage. Au début, je pense que c’est un jet de cyprine, mais à son deuxième je me rends compte qu’en fait elle commence à me pisser dessus. La salope ! Elle profite que je sois bloqué sous son corps, dans l’impossibilité de me dégager sans risquer de lui faire du mal à elle ou au bébé. D’un coup sec, j’arrive à dégager une main et je lui claque le cul pour la faire bouger, mais rien n’y fait : bien au contraire, cette fessée lui fait relâcher totalement sa vessie et je reçois un jet ininterrompu de pisse sur le cou et le torse. Voyant que je suis pris au piège, je me mets à la doigter sans vergogne en lui enfonçant quatre doigts dans sa chatte déjà béante. Son jet de pisse finit de couler. Delphine se retourne et me regarde, souillé, avec un sourire carnassier. •    Tu as aimé ma vengeance ? •    Salope ! Tu vas voir, je vais te baiser comme une chienne ! •    Monsieur est vexé ? Il est en colère ? •    Non. Tu m’as bien eu, certes, mais je ne suis pas en colère. Regarde ma bite comme elle bande dur : tu m’as excité à tel point que tu risques de ne pas pouvoir marcher droit plusieurs jours !  En effet, après l’effet de surprise dû au premier jet de pisse de Delphine, la voir me pisser dessus tout en la doigtant et la fessant m’a donné une trique d’enfer. Je relève Delphine qui se laisse faire pour la mettre à genoux sur le transat. Je baisse complètement le dossier et j’appuie sur sa tête pour lui montrer comment je veux qu’elle se mette. C’est ma position favorite, elle à genoux, la tête plus bas que le cul : cela permet de dilater naturellement ses orifices et d’entrer plus profondément en elle. Ma bite entre d’un trait et sans résistance dans sa chatte coulant de désir ; je constate que de m’avoir pissé dessus l’a excitée autant que moi. Je lui lime le vagin tout en lui mettant deux doigts dans le cul. Elle essaie de retirer mes doigts qui sont bien calés, alors je lui claque le fessier pour la faire cesser. Sa fesse rougit immédiatement ; je recommence, de plus en plus fort.
 •    Tiens, prends ça, grosse chienne ! Je vais te baiser tous tes trous de catin ! •    Oooh ouiiiii… Baise ta salope de femme !  J’assène encore des claques sur son cul qui devient rouge carmin et vire même au violet à certains endroits. Sa chatte est trop dilatée pour que je puisse lui faire mal en la pénétrant ainsi, alors je me retire d’un coup, et en un instant j’échange mes doigts calés au fond de son cul pour ma bite. Delphine hurle de douleur et de surprise. •    Deuxième trou, ma salope ! Tu aimes toujours ? •    Ta gueule. Baise-moi au lieu de me parler. BAISE-MOI !  Mon sang ne fait qu’un tour. Je lui claque encore le cul tout en lui limant la rondelle. Elle a du mal à rester dans cette position ; elle s’agrippe aux bords du transat qui bouge lui aussi sous mes coups de bassin. De temps en temps je reçois des jets de cyprine sur mes testicules ; les bruits de clapotis sont d’une obscénité sans nom. Mon jus monte, je sens que je vais bientôt me répandre au fond de son intestin ; j’accélère le mouvement et j’éjacule de longues saccades de foutre chaud puis, après l’avoir limée encore deux ou trois fois, je me retire pour admirer mon œuvre : son sphincter est béant, et mon sperme coule de son conduit pour aller rejoindre sa cyprine sur le matelas du transat. Je remarque aussi que Delphine a le visage collé sur sa pisse qui a souillé le haut du matelas quelques minutes plus tôt. Elle reste là sans bouger, reprenant sûrement ses esprits après cette joute endiablée. Un courant d’air entre les cuisses me donne un frisson, et par la même occasion une envie de pisser. Sans hésiter, je prends en main ma bite déjà ramollie et la dirige vers son cul. Le jet chaud de ma pisse ne se fait pas attendre ; il atteint son but directement. Je le dirige dans cette rosette brune encore ouverte par mon passage, où ma pisse se mélange à mon foutre pour ressortir en grumeaux et couler le long des cuisses de ma chienne de femme. Delphine réagit à peine ; elle se trémousse de l’arrière-train comme une petite chienne. Je dirige mon jet sur ses grandes lèvres puis remonte à la position initiale. Pour finir, je lui arrose le bas du dos, et une rivière de pisse suit le sillon de sa colonne vertébrale pour finir sa course dans sa chevelure noire et sur sa nuque. Cette rivière dorée la fait réagir : elle se redresse et commence à se retourner. Étant sur la fin de ma miction, avant qu’elle ne parle je la chope par les cheveux et lui enfonce mon sexe mou dans la bouche. •    Nettoie-moi, salope ! •    Huuuummmm… •    Cesse de parler et suce-moi !  Après quelques léchouilles de sa part, je rejette sa tête en arrière. •    Vas te laver, traînée !  Sans un mot, Delphine se lève, et toute dégoulinante de mes fluides elle se dirige vers la salle de bain en boitillant. Je remarque que j’ai été un peu fort sur les fessées : son cul est vraiment très rouge, voire même à sang sous certaines traces de doigts. J’ai des remords ; à son retour de la salle de bain, je lui demanderai d’accepter mes excuses. Après une bonne dizaine de minutes, Delphine revient avec Alexandra. Elle boîte encore légèrement. •    La douche est libre, Monsieur le pervers. •    Merci, petite chienne ! •    En parlant de petite chienne, tu as vu qui j’ai trouvé en train de nous mater ? •    Eh bien, aussi chiennes l’une que l’autre, on dirait… •    Oui. Du coup, je l’ai prise avec moi pour qu’après la douche elle me passe de la crème sur les traces de tes exploits. •    Tu as bien fait ; d’ailleurs, à ce sujet, je voudrais m’excuser d’y avoir été aussi fort. •    Non, non ; tu n’as pas besoin de t’excuser, mon bel amant : je t’ai cherché, et je t’ai trouvé. Et puis tu es le maître des lieux ; tu as donc tous les droits sur nous. •    Bien ! Eh bien, si c’est comme ça que tu le prends, parfait ! Par contre, si tu te sers de mes jouets, j’aimerais à l’avenir que tu les habilles. •    Quels jouets ? •    Alex : tu ne lui as pas mis son collier. •    Excuse-moi pour mes fautes ; je vais le lui mettre tout de suite. •    Laisse. De toute façon, je dois aller à la douche ; je prends Alex avec moi et je le lui mettrai au passage. •    Comme tu veux. •    Et moi, je n’ai pas mon mot à dire ? proteste Alex. •    NON ! •    Tu dois te faire toute petite, ma chère : tu as été une vilaine fille, hier, et les vilaines filles n’ont pas le droit de parler : elles respectent les règles de leurs maîtres. Du coup, aujourd’hui et jusqu’à nouvel ordre, tu porteras ton collier de chienne et tu seras à ma botte. Compris ? •    OK…  Je lui claque la cuisse. •    Oui qui ? •    Oui, parrain ! dit-elle en se frottant la cuisse.  Sur ces mots je me lève, embrasse fougueusement Delphine, me tourne vers Alex et l’embrasse de la même façon. •    Repose-toi, ma chérie ; je risque d’en avoir pour un peu de temps. •    OK. Je pense que je vais prendre un peu le soleil, alors.  Je rentre dans la maison, suivi de près par Alexandra. Nous nous dirigeons vers sa chambre ; elle comprend ce que ça veux dire car elle se positionne à genoux devant moi, les mains sur les cuisses, et attend. Je lui mets son collier et sa laisse. Je tire dessus pour qu’elle se mette debout puis je l’embrasse à nouveau pendant que ma main libre caresse son corps, passe sur son mont de Vénus pour finir entre ses cuisses. Mes doigts s’introduisent dans sa fente déjà moite ; mon intrusion lui fait lâcher un petit cri de surprise. •    Tu vas te laver devant moi, petite traînée : tu es encore impure d’hier ! •    Oui, parrain. •    Après, tu me laveras. •    Oui, parrain.  Je la fais monter dans la baignoire et m’assois sur une chaise près d’elle. Elle commence à régler l’eau. •    Non, tu n’as pas besoin de la régler : les traînées se lavent à l’eau froide ! •    Oui, parrain.  Malgré son regard interrogateur, elle s’exécute sans broncher. L’eau doit être très froide car ses seins pointent immédiatement au contact de l’eau. Je le regarde faire, lui indique où elle doit insister. Je me permets même de la caresser ; sa peau est froide, elle tremble un peu. Je passe mon doigt dans ses plis intimes pour vérifier son hygiène : elle est propre de partout. Je ferme l’eau et prends une serviette pour l’essuyer, et je la frictionne vigoureusement pour la réchauffer. •    Maintenant tu vas me laver. Tu restes à poil et à genoux près de la baignoire. •    Oui, parrain.  Je monte à mon tour dans la baignoire et attends qu’elle règle l’eau. Après plusieurs tests pour voir si la température de l’eau me convient, elle me mouille complètement. Elle ferme l’eau et commence à prendre la fleur de douche. •    Non : tu me laves avec tes mains et du savon.  Elle repose la fleur sans un mot, met du savon dans la paume de sa main et le fait mousser. Elle me lave consciencieusement, passant dans tous les recoins de mon corps et finit par les parties génitales ; un de ses doigts passe dans ma raie, s’arrête au niveau de ma rondelle, la titille un peu et repart vers mes couilles. Elle les malaxe tendrement et remonte vers ma bite qui durcit de plus en plus. Alex s’amuse à faire des mouvements dessus, frotte mon gland décalotté avec la mousse ; la sensation est agréable. Je bande fort ; j’ai envie de son cul. Sans parler, je tire sur sa laisse pour la faire monter dans la baignoire. À peine montée, je lui plaque le visage et la poitrine contre le carrelage, lui écarte les jambes avec mon pied et je tire sur sa laisse pour la faire se cambrer. Je la fesse ; elle crie de surprise. Je lui fais sucer mon pouce ; lorsqu’il est bien lubrifié par sa salive, je lui enfonce dans son petit cul. Elle geint de plaisir. Après quelques va-et-vient, je le retire et présente mon gland à l’entrée de sa rondelle et m’enfonce doucement dans son rectum. À chaque centimètre, Alex griffe le carrelage et couine comme une chatte en chaleur. Une fois enfoncé jusqu’à la garde, je reste immobile un instant. Je tire de nouveau sur sa laisse pour l’obliger à se décaler. Elle pose ses mains sur le rebord de la baignoire, penchée en avant et les jambes tendues. Je décroche sa laisse et m’en sers pour lui fouetter le postérieur. Comme elle crie et se trémousse, ma main droite agrippe le collier pour la maintenir en place, puis ma main gauche qui tient la laisse se pose sur sa hanche et je commence à la bourriner. Alex se met à gémir. Mes couilles claquent bruyamment sur ses grandes lèvres. Je la besogne avec toute ma hargne ; elle a du mal à se tenir. Je ne cherche pas à la faire jouir : je laisse juste mon envie monter et lui crache égoïstement ma sève au fond des intestins sans plus attendre. Un fois fini, je tire sur son collier pour la mettre devant moi à genoux. Alex comprend ce qu’elle doit faire : elle gobe ma bite et la nettoie, comme à son habitude. Une fois sa tâche finie, je sors de la baignoire, et en sortant de la salle de bain, sans me retourner, je lui ordonne de reprendre une douche et de venir sur son coussin sur la terrasse. Une fois sorti et la porte fermée, je prépare son coussin que je place entre le transat de Delphine – qui profite déjà du soleil – et le mien. Delphine me regarde et me sourit tendrement. Je me penche sur elle et l’embrasse tendrement. Je m’installe à mon tour et ferme les yeux en attendant le retour d’Alex.
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