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Vacances avec ma Filleule

Chapitre 11

Inceste
Quand Alex arrive, elle est nue, les cheveux mouillés ne portant que son collier et son plug queue de cheval inséré dans son anus. Sans un mot, elle s’assied sur son coussin et profite du soleil. Des gémissements me font sursauter ; j’ai dû m’assoupir un peu. Je regarde autour de moi et trouve Delphine sur le transat, les jambes repliées, se pinçant les tétons. La tête d’Alexandra se trouve dans son entrecuisse ; elle lui lape la chatte avec frénésie. Je savoure ce spectacle avec émotion et fierté. Dire qu’il y a à peine un mois cette petite ne connaissait rien au sexe et que maintenant elle ne peut passer un après-midi sans lécher, sucer ou se faire baiser… Pris d’une érection immédiate face à ce tableau, je commence à me branler doucement en les regardant faire. Alex alterne entre léchage et doigtage ; vu les différents gémissements de Delphine, j’imagine qu’elle change de trou. Je me masturbe vigoureusement quand Delphine tourne la tête vers moi et me fait signe de m’approcher. J’arrête mon affaire et me lève pour aller dans sa direction. À distance de main, elle m’attrape par la bite, me tire vers sa bouche et, sans une once d’hésitation, elle me gobe littéralement la bite jusqu’à la garde. Sa langue tourne autour de mon gland et s’introduit aussi dans mon méat. Elle me gobe les couilles et recommence immédiatement après ses gorges profondes dont je suis friand. Je ne vais pas tarder à venir ; le rythme soutenu de ses va-et-vient me font lâcher des rasades de foutre au fond de sa gorge. Je me retire de sa bouche et vais me rasseoir sur le transat. Alexandra cesse se qu’elle était en train de faire pour venir embrasser sa tante. Elle est déçue : elle espérait récupérer un peu de semence, mais c’était sans compter sur la soif insatiable de Delphine. Les deux filles se bécotent encore un peu et Alex retourne dans l’entrejambe de Delphine pour la finir. Après quelques minutes à une cadence inouïe, Delphine finit par éjaculer de forts jets de cyprine qui maculent la terrasse et aspergent le bras d’Alex. C’est officiel : Delphine est devenue une femme fontaine, pour mon plus grand bonheur. Maintenant, j’espère qu’elle gardera cette prouesse après sa grossesse. Delphine à du mal à redescendre ; Alex, quant à elle, me demande si j’ai besoin d’elle, et suite à ma réponse négative elle rentre dans la maison, se pose sur le canapé de façon à ce que je puisse la voir et commence à se doigter seule. Elle ne lésine pas, écartant outrageusement les cuisses et s’enfonçant directement deux ou trois doigts au plus profond de son vagin, puis les autres suivent rapidement tandis que son autre main s’affaire sur ses seins. Elle les pétrit et les pince. Comme elle est placée en contre-jour et que je veux voir de plus près le spectacle, je me lève de mon transat et viens m’installer sur l’un des fauteuils du salon. De se savoir matée de près décuple chez Alexandra ses prouesses. Elle change de position pour se mettre genoux sur l’assise du canapé, la tête appuyée sur le dossier. Sa main droite retourne immédiatement sur sa fente tandis que la gauche commence à jouer avec son plug qu’elle s’amuse à retirer et à remettre. Après quelques minutes comme ça, elle le retire complètement et s’affaire exclusivement sur sa chatte qui coule de plaisir. J’ai une vue imprenable sur sa chatte béante. Ses doigts sont rentrés au maximum dans ce petit nid rose et humide, et elle s’amuse à les faire tourner par des mouvements du poignet. Ce spectacle est au summum de la luxure ; après un bon quart d’heure à se doigter devant moi, elle atteint enfin son but et s’écroule sur le canapé, prise de spasmes de plaisir. Lovée sur le canapé et haletante encore de sa performance, elle me regarde avec plein d’étoiles dans les yeux. •    Le spectacle t’a plu, parrain ? •    Oui, il était magnifique, aussi bien dehors que dedans. Et toi, tu t’es fait plaisir ? •    Oui, mais… •    Mais quoi ? Tu voulais autre chose ? •    Oui, j’aurais voulu me fister seule devant toi, pour te faire voir. •    Rassure-toi, c’est normal que tu ne puisses pas le faire directement. •    Cécilia a bien réussi, elle, à me fister, et j’ai les mains aussi fines qu’elle. •    Oui, certes, mais elle t’avait lubrifiée avant et elle avait un autre angle de pénétration. Mais rassure-toi : si tu veux le faire, avec un peu d’entraînement tu y arriveras. •    Tu en es sûr ? Tu ne dis pas ça pour ne faire plaisir ?
•    Non. Regarde : depuis le début, est-ce que je t’ai déjà menti ? •    Non ; c’est vrai, tu as toujours été franc avec moi. •    Allez, repose-toi un peu. Et si tu veux, ce soir nous irons en ville pour notre dernière soirée de vacances. •    Déjà ! •    Eh oui, ma chérie : demain nous faisons les valises, et après-demain nous remontons sur Paris. •    C’est trop nul ! J’ai pas envie de vous quitter… Je vais me faire chier, moi, à la maison, sans toutes ces parties de baise, et je ne pourrai même pas me balader à poil dans la maison ; papa me tuerait. •    Que tu dis ; il aimerait peut-être ? •    Lui ? Pfff ! Il ne pense qu’à sa télé ; c’est même sûr qu’il ne baise plus maman. •    Dommage, car elle est magnifique, ta mère. •    Tu trouves ? Plus que moi ? •    Tu fais ta jalouse ? Tu n’es pas faite pareil, alors ne te compare pas. Mais ta mère a été le sujet de plein de mes fantasmes quand j’étais aussi jeune que toi. •    Ah ? En fait, je suis ta roue de secours ; tu n’as pas réussi avec elle, alors tu me baises. •    T’es ridicule, Alex ! Tu es aussi belle que ta mère, hormis sa poitrine qu’elle a toujours eue énorme. •    C’est vrai que j’aimerais bien avoir la même poitrine… Et comment tu sais qu’elle est énorme, sa poitrine ? •    Je te signale que c’est ma cousine et que nous passions toutes nos vacances ensemble, donc je l’ai vue plus d’une fois en bikini, et même une fois je l’ai vue toute nue sous les douches du camping ; je l’avais espionnée avec ton oncle. •    Tu étais déjà un vicelard, mon parrain d’amour ! •    Tout à fait. •    Bon, je vais prendre un bain pour me préparer après.  Alexandra se lève d’un bond du canapé, m’embrasse sur la bouche et file en sautillant vers la salle de bain. Je la regarde s’en aller avec le sourire aux lèvres. •    Qu’est-ce qui te rend aussi heureux, mon amour ? •    Tout : toi, Alex, vous voir vous lécher, me sucer avec complicité. •    Elle partait où comme ça ? Je la fais fuir ? •    T’es nulle ! Elle est partie prendre un bain et se préparer : ce soir nous sortons pour notre dernière soirée de vacances. •    Ah oui, c’est déjà le retour après-demain… C’est nul, c’est passé trop vite. •    C’est vrai, mais toutes les bonnes choses ont une fin. •    Oui… Eh bien, c’est nul ! •    Allons nous préparer aussi.
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