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Vacances avec ma Filleule

Chapitre 14

Inceste
Sur la route, dans la voiture plus personne ne parle. Delphine pique une sieste largement méritée et Alexandra écoute son lecteur MP3. À un moment, j’entends cependant des petits gémissements qui viennent de derrière. Au début je n’y prête pas plus attention, pensant qu’Alex fredonne ses musiques préférées ; mais plus ça va, plus je reconnais à ces petits bruits elle est en tain de prendre du plaisir. Je décale discrètement le rétro central pour avoir une vue sur ma filleule. Je la découvre le casque sur les oreilles, les yeux clos, la jupe relevée et la main sur son entrecuisse. N’ayant pas de soutien-gorge sous sa brassière, je remarque distinctement ses tétons qui pointent. Maintenant, deux de ses doigts s’affairent dans son vagin et sur son clitoris et, après de longues minutes, une jouissance terrible la traverse, ce qui la fait crier. Cri qui nous surprend tous les trois. Delphine se réveille en sursaut ; moi, je sursaute et Alex se redresse, enlève ses écouteurs et me regarde via le reflet, les joues rouges de plaisir et de honte mélangés.
 
    J’ai crié fort ?    Oui, ma puce. Tu m’as même réveillée !    Désolée.    Pas grave, j’aime être réveillée par des cris de plaisir : ça me donne des envies aussi.    Je sais pas ce qui m’a pris, je stresse pour ce soir.    Tu ne devrais pas, ma filleule adorée ; tout ce que tu as à faire, c’est ce que tu aimes le plus et que tu fais très bien.    Oui, j’aime ça. Mais être en compétition me stresse toujours.    Nous ne sommes pas en compétition, Alex. Vois ça plus comme une dernière soirée entre filles avant la fin des vacances. Que tu gagnes ou que ce soit moi, rien ne changera.    Vraiment ?    Oui, vraiment. Amuse-toi, c’est le maître-mot.    Merci. Je vais essayer de me reposer un peu maintenant.    Oui, dors et repose-toi bien.
 
Sur ces mots, Alex remet ses écouteurs et cale sa tête contre la vitre latérale. Après quelques arrêts pipi et pour manger, la route défile assez rapidement et nous arrivons à l’aire de repos juste avant celle préalablement choisie par Jean pour le concours. Les filles stressent de plus en plus en voyant l’heure arriver ; elles mangent peu.
 
Je reçois un SMS de Jean : « Salut, nous sommes presque tous arrivés. C’est toujours bon pour ce soir ? » Je confirme avec les filles qui me répondent par l’affirmative : « Salut. Oui, toujours OK pour elles. As-tu donné toutes les conditions, et y a-t-il des récalcitrants ? » Il me répond : « Oui tout est bon ; et non, aucun récalcitrant. T’inquiète, je me porte garant. »
 
Ces derniers mots me font sourire : je ne le connais pas plus que les neuf autres, mais bon, je vois qu’il a l’air d’être sérieux quand il a une mission à exécuter. Je lui envoie un dernier message : « Très bien. Pourrais-tu faire mettre les camions de sorte à faire une sorte de carré hermétique à la vue de toute personne étrangère à notre soirée et de façon à avoir de la lumière ? Préviens-moi quand tout sera prêt. » Il répond : « OK ! À tout’. »
 
Après une bonne heure d’attente encore, je reçois enfin le SMS salvateur de Jean nous indiquant où ils se trouvent exactement sur la prochaine aire de repos. Nous montons en voiture, Delphine et Alexandra à l’arrière pour se préparer. Alexandra met un string sous sa jupe et, sous mes recommandations, enlève sa brassière, laissant sa poitrine simplement cachée par les bretelles de sa jupe. Elle met sa veste en jeans pour l’instant. Delphine a changé de vêtements : elle a mis un mini-short en jeans passant sous son ventre rond de femme enceinte, une veste légère fermée sans rien dessous et une étole autour du cou.
 
Aire de la Coloterie ; je mets mon clignotant et prends la direction du parking poids-lourds comme m’a indiqué Jean sur les SMS échangés sur la route. Nous arrivons sur place ; je remarque quatre camions garés à l’écart des autres, dont deux garés face à face. En nous approchant, je remarque Jean qui nous attend appuyé contre son camion. Je me gare un peu plus loin en lui fais des appels de phares en passant à son niveau. À peine arrêté, Jean est déjà à ma portière.
 
    Salut ! Tout le monde est impatient. J’espère, Mesdames, que vous êtes en forme ?
 
Les filles répondent oui par des signes de tête frénétiques.
 
    Dis-moi, Jean, tu as prévu de mettre quoi sur le sol pour les genoux des demoiselles ?    T’inquiète, j’ai tout prévu : j’ai sorti des couvertures bien épaisses pour qu’elles puissent s’agenouiller sans douleur. Surtout pour ta femme qui est enceinte ; il lui faut du confort.    Bonsoir. Moi, c’est Delphine. Ça ne vous gêne pas de vous faire sucer par une femme enceinte ?    Tu penses… Si ma femme avait été ne serait-ce qu’un dixième enceinte comme vous, je ne serais pas allé voir les putes pendant ses grossesses !    OK. Si tout est prêt, alors nous arrivons dans deux minutes.    OK.
 
Jean s’éloigne en direction des camions en sifflant pour avertir que ça va bientôt commencer.
 
    Les filles, vous êtes prêtes ? Quand on sortira de la voiture, nous ne pourrons plus faire demi-tour.    Prête ! répondent-elles en chœur.
 
Nous sortons. Je ferme la voiture, vérifie que j’ai mon portable pour les filmer et prendre des photos, et je les attrape par le bras en me mettant au milieu. En marchant vers les camions, je me fais la réflexion que je dois paraître comme un mac avec ses deux putes. Je souris en arrivant aux roues des camions. Dix camionneurs nous y attendent. Ils dévisagent Delphine et Alexandra des pieds à la tête. Des remarques passent de bouche à oreille et des sourires se fixent sur les visages. Je prends la parole :
 
    Bonsoir, Messieurs. Comme Jean a pu vous le dire pour vous amener ici ce soir, vous avez été sélectionnés pour départager ces deux nymphes sur la fellation. Je vous rappelle les conditions du concours. Il n’y aura uniquement que pénétration orale ; pour vous stimuler, vous aurez tous les droits : les insulter, les peloter, pincer les tétons, biffler…
 
L’assemblée reste muette. Je continue :
 
    Aucune photo ou vidéo ne sera faite, sauf par moi-même. Enfin, les éjaculations se feront sur le visage ou le buste des demoiselles ; la quantité reçue par chacune servira de délibération pour le résultat. Donc quand vous éjaculerez, choisissez la meilleure à votre goût pour la faire gagner. Des questions ?    Non ! répondent-ils en chœur.    OK. Si vous êtes prêtes, les filles, on commence.
 
Delphine et Alexandra se regardent avec un sourire au coin des lèvres. Elles défont leurs vestes mutuellement, et une fois en topless elles se roulent un patin devant les camionneurs, ce qui ne manque pas de les chauffer à blanc. Elles ont à peine le temps de s’installer sur les couvertures qu’elles reçoivent déjà leurs premières bites en bouche. J’écarte les vestes sur le sol et prends mon portable pour filmer.
 
La première de Delphine n’est pas très grande mais très épaisse. Elle la gobe sans trop de difficulté. Elle enchaîne gorges profondes et gobages de couilles. Delphine commence fort. Quant à Alexandra, elle en a une de taille standard. Pareil que Delphine, elle sort direct le grand jeu. Je constate que mes deux nymphos prennent la chose au sérieux et ne veulent laisser aucune chance à l’autre.
 
Les hommes tournent à un rythme soutenu. Delphine se fait malmener ses seins lourds qui pointent de désir. Ils les lui claquent avec leurs mains calleuses et leur bite dure comme une trique. Ses seins rougissent rapidement. Alexandra se fait aussi malmener : ils lui tirent les cheveux et lui imposent leur rythme. Elle a souvent des haut-le-cœur. Toutes deux branlent et sucent toutes les bites à leur portée.
 
Cela fait maintenant 45 minutes qu’elles s’affairent à leur tâche quand les premières éjaculations arrivent sur leur peau hâlée par le soleil du Sud. C’est Delphine qui reçoit les deux premières : une sur le visage qui lui inonde les yeux et le nez, et l’autre sur ses seins zébrés par les sévices reçus au cours du défi. Alexandra reçoit les trois suivantes, toutes sur son visage encore enfantin. Elle est méconnaissable et fait des bulles de sperme en essayant de respirer par le nez.
 
Ensuite s’enchaînent les cinq autres ; j’en oublie de compter tellement ce que je vois m’excite au plus haut point. Je tourne une dernière fois autour d’elles pour les filmer sous les applaudissements et les sifflets des dix participants. Elles sourient et ont l’air ravi de leur performance. En tout cas moi je le suis : elles n’ont rien lâché. De vraies nymphos comme j’aime les voir.
 
Pour la délibération, je suis obligé de visionner le film. C’est Delphine qui gagne : 6 éjacs contre 4 pour Alexandra. Aucune des deux n’a démérité, mais je pense que le ventre rond a fait pencher le choix de certains pour Delphine. Après s’être essuyées sommairement et avoir remercié nos amis d’un soir, nous remontons en voiture, direction l’hôtel pour une bonne douche bien méritée.
En voiture, après quelques minutes de silence Delphine se met à rire et à crier tout fort :
 
    J’ai gagné !
 
Nous nous mettons tous les trois à rire. Nous parlons tout le reste de la route des performances des deux. Alex se plaint d’avoir mal à la mâchoire tandis que Delphine dit avoir les seins en feu. Arrivés à l’hôtel, je ne leur laisse pas le temps de se laver : je les mets toutes les deux à genoux devant moi et leur impose une dernière fellation : ma fellation. Les voir sucer toute la soirée des bites m’a donné une gaule d’enfer, j’ai le gland qui me fait mal.
 
Ma filleule commence à me sucer. Malgré la mâchoire endolorie, elle s’applique merveilleusement bien. Delphine s’occupe de mes testicules ; elle les gobe un par un puis les deux ensemble. Ce traitement de faveur me fait cracher rapidement dans la bouche de Delphine que j’ai attrapée par les cheveux pour me vider en elle. Elle regarde Alex, l’attrape à son tour et lui déverse ma semence dans sa bouche. Après un énorme patin entre elles, elles avalent ce nectar divin à leurs yeux et vont à la douche ensemble. Je n’ai pas droit de venir : elles ferment la porte de la salle de bain à clé, me laissant seul dans la chambre, la bite molle et le bermuda aux chevilles. Je les entends rire et papoter. Je me déshabille et me couche. Je m’endors rapidement, et je ne les vois pas sortir de la salle de bain.
 
Le lendemain, je me réveille le premier et les retrouve toutes les deux dans le même lit, et moi seul dans le mien. Je souris en les trouvant nues l’une contre l’autre. Je les réveille gentiment et appelle le service de chambre pour le petit déjeuner. Nous le dévorons et reprenons la route pour la dernière fois. L’ambiance est triste. Je rassure Alex qu’elle pourra venir de temps en temps à la maison pour des parties de baise avec moi et sa tante. Elle m’embrasse dans le cou pour me remercier. Delphine lui propose même des chats coquins et des petits défis hots. Alexandra, ravie et surtout rassurée, a de nouveau le sourire aux lèvres.
 
Je m’arrête sur une aire de repos avant d’arriver pour baiser une dernière fois ma filleule car je sais que je ne pourrai pas le refaire de sitôt. Rassasiés par cette baise dans la voiture devant les yeux et le téléphone de Delphine, Alex s’habille sobrement pour arriver chez ses parents sans attirer l’attention sur elle. Elle met un jeans, des baskets et un tee-shirt tout ce qu’il y a de plus sobre.
 
Nous voilà chez ses parents. Alex leur dit à peine bonjour et file dans sa chambre ; je prétexte qu’elle est fatiguée de la route. Sa mère nous remercie de l’avoir supportée pendant un mois. Nous sourions et nous lui disons que tout s’est bien passé sans rien de particulier. Après une bonne heure à raconter les moments normaux des vacances, Delphine et moi repartons chez nous.
 
Sur la route, Delphine envoie une photo de ma bite et de sa chatte en MMS à Alex, avec en légende « Un petit souvenir t’attends sur le cloud ci-dessous. » Delphine y met tous les films et photos faits cet été pour un souvenir en commun, et il nous servira plus tard pour les défis coquins que nous ferons à distance. Alex répond en envoyant une photo de sa croupe montrant un des godes que je lui ai offerts cet été calé dans sa chatte et le plug anal cheval dans son cul. La vue de cette photo me donne une érection monstre. J’ai hâte d’arriver pour baiser la seule maîtresse qui me reste et rêve en attendant à nos futurs ébats avec Alexandra.
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