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Vacances avec ma soeur

Chapitre 1

Début

Inceste
Tout a commencé il y a de ça quelques années, c’était alors les fameuses vacances d’été. Ma sœur et moi vivions à l’époque : toujours chez nos parents, pourtant, j’avais alors 21 ans et ma sœur en avait trois ans de moins. D’ailleurs laissez-moi vous la présenter : ma sœur, Juliette de son prénom, est une jeune fille aussi charmante qu’intelligente, brune aux yeux bleus, avec des formes plutôt avantageuses (poitrine ; fessier). Moi ? C’est Guillaume, je suis un jeune homme plutôt sportif : j’adore le basket, brun aux yeux bleus : comme ma sœur, d’ailleurs nous partageons tous les deux la même passion en commun : le dessin, nous adorons dessiné, elle, ce sont principalement les dessins dits « réalistes », contrairement à moi qui suis plutôt dans le manga. Depuis tout petits, Juliette et moi sommes quasiment tout le temps ensemble et aimons passer de bons moments tous les deux. Voilà, maintenant que les présentations sont faîtes, continuons mon histoire.
Ce jour-là, ma sœur et moi étions seuls à la maison, tout simplement car : nos parents étaient partis quelques jours auparavant en vacances dans les îles en amoureux. J’avais donc la charge de la maison, ainsi que de ma sœur.
— Il fait chaud... j’aurais tellement aimé pouvoir me baigner dans la piscine, s’exclama Juliette assise à côté de moi.
— Je sais... moi aussi, mais il faudrait que nous nous rachetions tous les deux un maillot, lui répondis-je car nous avions oublié nos maillots chez nous, là nous étions dans notre maison de vacance.
— Ça te dirait que l’on aille en acheter dans la boutique d’à côté ?
— Vas-y ! Lui dis-je tout en me levant.
Nous sommes donc sortis de la maison en direction d’un magasin non loin de celle-ci. Nous le connaissions déjà plutôt bien car c’est ici que nous faisions nos courses depuis déjà quelques semaines. Mais celui-ci vendait également des vêtements, notamment des maillots de bain.
— Nous y voici, répliqua Juliette tout en observant de haut en bas les maillots de bain.
Nous observâmes donc chaque maillot, à vrai dire, c’est surtout Juliette que prit le plus de temps à se décider, car moi je suis parti sur un modèle très classique : un maillot de bain pour homme noir. Ma sœur quant à elle, hésitait sur deux modèles : un joli bikini deux pièces imprimé bandeau (bleu et Blanc) ; ainsi qu’un bikini un peu plus osé mais tout de même très joli, noir, avec un haut qui s’attache au cou ainsi qu’au dos.
— Je ne sais pas lequel choisir... s’exclama Juliette tenant dans ses mains les bikinis.
— Si tu veux il y a des cabines d’essayage, lui répondis-je les lui en montrant.
— Ah oui ! Je ne les avais pas vues, merci Guillaume ! Me répondit-elle en se dirigeant vers l’une d’elles.
— De rien.

— Par contre tu peux rester devant le rideau pour être sûre que l’on ne me voit pas ? Me demanda Juliette déjà dans sa cabine.
— Oui bien-sûr, lui répondis-je en me dirigeant à mon tour vers celle-ci.Après quelques minutes, Juliette m’appela :
— Guillaume ? Tu peux me dire ce que t’en penses ?
— D’accord, lui répondis-je en ouvrant un peu le rideau pour pouvoir la voir.
— Alors ? Me dit-elle en voyant que je la regarde.
— Il est pas mal, teste l’autre pour voir ? Lui demandai-je en refermant le rideau.
Quelques instants plus tard, Juliette me rappela :
— Guillaume ?
— Oui, lui répondis-je en rouvrant le rideau.
À peine l’ai-je regardé, que je ressentis comme une vague de chaleur montée en moi. Ce bikini-là était beaucoup plus sexy. Il lui allait à merveille et épousait parfaitement ces formes (poitrine ; fessier) avantageuses.
— Il te va super bien ! Lui dis-je honnêtement.
— Oui je trouve aussi, me répondit-elle toute contente. Il a vraiment l’air de te plaire en tout cas, me dit-elle en me voyant la contempler de haut en bas.
— Oui, il est vraiment très joli.
— Du coup je prends celui-là ? Me demanda Juliette en me souriant.
— Prends les deux si tu veux ! Lui répondis-je en lui souriant également.
— C’est vrai ! Merci ! Me répondit-elle tout en se tournant vers moi pour me faire un bisou.
— Mais de rien, si ça peut te faire plaisir c’est le principal.
Après avoir donc acheté nos maillots, nous rentrâmes à la maison : pressés de nous baigner dans la piscine. Une fois rentrés, nous sommes directement montés chacun dans notre chambre pour enfiler notre maillot. Une fois le mien enfilé, je suis allé toquer à la porte de sa chambre pour voir si tout se passait bien.
— Juliette ? Ça va ?
Pas de réponse, je restai rationnel et me suis dit qu’elle devait déjà être en bas en train de m’attendre. Je me dirigeai donc vers la salle bain : à l’autre bout du couloir, car j’y avais oublié mon portable. J’ouvris donc la porte sans toqué, en ouvrant celle-ci, je fus immédiatement surpris de voir ma sœur, seins nus, en train de mettre son joli bikini. Elle aussi était étonnée et essayait bien que mal de cacher ses jolis seins. Je refermai donc immédiatement la porte tout en lui disant :
— Désolé...
Elle ne me répondit pas. Je descendis donc en bas : dans l’entrée, en attendant qu’elle descende. Une fois en bas, je ne pouvais m’empêcher de repenser à ce que je venais de voir brièvement : ma sœur Juliette ; seins nus ; au milieu de la salle de bain. Je sais très bien que dans la logique des choses : je ne devrais pas le faire, car c’est ma sœur. Mais il faut bien avouer qu’elle est plutôt bien gaulée pour son âge. Une fois prête, Juliette me rejoignit dans l’entrée.
— Encore désolé... m’excusai-je en la regardant arriver.
— C’est pas grave t’inquiète, ça devait arrivé un jour ou l’autre, me répondit-elle en me regardant également.
Bizarrement, Juliette ne semblait pas si gênée que ça, ce qui m’étonna car elle était plutôt d’ordinaire un peu timide. Bref, nous sommes donc sortis tranquillement dans le jardin, tout contents de pouvoir enfin prendre un bain dans cette jolie piscine. Une fois devant celle-ci, je sautai en premier dans cette eau si agréable en vue de la chaleur qu’il faisait.
— Elle est super bonne ! M’exclamai-je à peine arrivé dans celle-ci.
— Ah ouai ? Me demanda Juliette avant de sauté à son tour.
— Ouai grave, lui répondis-je en me déplaçant un peu pour lui laisser de la place.
Juliette prit un peu d’élan, puis sauta à son tour dans la piscine.
— Alors ? Lui demandai-je en la regardant.
— J’avoue, elle est grave bonne ! Me répondit-elle toute contente. Encore merci pour le, fin, les maillots.
— Mais de rien, lui répondis-je en m’approchant un peu d’elle.
Après avoir passé une bonne heure dans la piscine, Juliette et moi sommes sortis de celle-ci, pour nous allonger sur les transats.
— Attends-moi, je reviens, me dit-elle en retournant chercher quelque chose dans la maison.
Je l’attendis donc assis tranquillement sur mon transat. Quelques minutes plus tard, je la vis revenir avec quelque chose dans la main droite.
— Je l’ai enfin trouvée ! S’exclama Juliette
— C’est quoi ?
— Un tube de crème solaire pardi ! Me répondit-elle en rigolant.
— Ah... bonne idée ! Tu as raison, lui répondis-je en lui souriant.
— Tu pourrais m’en étaler sur le dos s’il te plaît ? Me demanda-t-elle tout en s’allongeant sur son transat.
— Oui pas de soucis ! Lui répondis-je tout en me levant du mien.
Elle me donna donc cedit tube de crème, puis je me mis derrière elle : une jambe de chaque côté de son transat. Je mis un peu de crème sur mes mains, les frottai, puis commença à lui étaler la crème solaire sur le dos.
— Si tu veux, tu peux dégrafer mon haut, ça m’évitera d’avoir des marques.
— D’accord, comme tu veux.
Je dégrafai donc son haut, puis lui fis comme une espèce de massage histoire de bien étaler la crème. Une fois ça fait, je m’allongeai à mon tour sur mon transat.
— Bonne sieste ! S’exclama Juliette.
— Merci, à toi aussi.
Après s’être reposé pendant environ une demi-heure, je me réveillai en premier. Je m’assis tranquillement sur mon transat, regardant Juliette dormir. Puis vint au tour de Juliette de se réveiller, « le seul problème » est qu’elle avait totalement oublié que son haut était dégrafé.
— Alors ? Bien dormis ? Me demanda-t-elle insouciante.
— Euh... Oui, Oui, lui répondis-je trop attiré par ses si jolis seins.
Je pris donc mon courage à deux mains et le lui dit :
— Par contre, tu as oublié quelque chose.
— Quoi ? Me répondit-elle insouciante.
— Ton haut, lui répondis-je tout en symbolisant avec mes mains sur mon torse.
— Décidément, je me doute que tu ne vas t’en plaindre ? Me répondit-elle en rigolant.
— Euh... à vrai dire, non. Mais si tu veux je peux t’aider à le remettre.
— Oui je veux bien, me répondit-elle en me souriant.
Je me levai donc et me positionna derrière elle. Je pris son haut de maillot de bain et le ragrafai dans son dos. Toujours derrière elle, je fus surpris de la voir m’attraper la main d’un seul coup, sans raison. Du moins, c’est ce que je pensais, quelques instants après, elle plaqua celle-ci sur son sein droit.
— Alors, il te plait ? Me demanda-t-elle
— Mais, t’es folle ? Lui répondis-je surpris.
— Tu vas pas me faire croire que ça ne te plait pas ?
— Si, mais je ne mis attendais pas c’est tout... lui répondis-je un gêné.
— Tu peux le malaxer un peu si tu veux.
— D’accord, lui répondis-je tout en malaxant tendrement son sein.
— Tu fais ça bien dis donc, s’exclama-t-elle en rigolant.
— Merci... lui répondis-je toujours un peu gêné.
Au fur et à mesure que je malaxais son sein, sa respiration s’intensifiait.
— Merci beaucoup Guillaume... me dit-elle entre deux respirations.
— De rien Juliette, si ça peut te faire plaisir, lui répondis-je en lui souriant.
Tout à coup, la sonnette retentit dans la maison. C’était notre voisin qui sonnait à la porte pour nous rendre un outil que nous lui avions gentiment prêté quelques jours auparavant. Je retournai vers le jardin et dis à Juliette :
— Je suis désolé, mais je pense que je vais commencer à faire le repas pour ce soir.
— C’est pas grave t’inquiète, me répondit-elle en se levant de son transat. Je monte me changer en attendant.
— Juste une question : tu voudrais manger quoi ce soir ?
— Je sais pas... un truc frais, me répondit-elle tout en s’apprêtant à mon les escaliers.
Je réfléchis à ce qui pourrait lui faire plaisir, et après avoir cherché pendant quelques instants, j’ai trouvé ! : « une salade de pâtes », c’est frais et c’est bon, que demandé de mieux ? Une fois celle-ci terminé, je décidai de faire une surprise à Juliette, je vais lui faire : « une salade de fruits » en dessert, elle en raffole en plus c’est frais, parfait. Une fois ma salade de fruits terminés, je la mis tranquillement au frigo en attendant pour qu’elle soit bien rafraîchissante. Une fois ça fait, je m’approchai des escaliers et appela Juliette :
— « Juliette ! », à table !
— J’arrive, me répondit-elle.
Je pris donc la salade de pâtes et la déposa sur la table de la terrasse.
— Mmm... miam ! S’exclama Juliette une fois descendue des escaliers.
— Va t’asseoir j’arrive tout de suite.
Elle alla donc s’asseoir tranquillement sur l’une des chaises à côté de la table, puis je la rejoignis comme prévu. Une fois assis, je commençai par servir ma sœur :
— « Stop, ça ira »
Puis vint à mon tour de me servir.
— Bon appétit ! Lui dis-je en lui souriant.
— Merci, à toi aussi ! Me répondit Juliette en me souriant également.
Après avoir chacun fini notre assiette, je lui dis :
— Juliette ? J’ai une surprise pour toi !
— Ah bon ? C’est quoi ? Me demanda-t-elle intriguée
Je rentrai donc chercher le plat de salade de fruits que j’avais mis dans le frigo auparavant.
— Tadam ! Voici la salade de fruits ! Répliquai-je à Juliette en lui montrant le plat.
— Woaw ! Merci Guillaume ! Me répondit-elle toute contente.
— De rien, je sais que t’adores ça donc voilà !
— C’est super sympa ! Merci beaucoup !
Après avoir bien mangé, c’est le ventre plein que nous débarrassâmes la table tranquillement. Ensuite, nous nous sommes posés dans le canapé : devant la télé, pour voir si il y avait quelque chose d’intéressant à regarder : rien ! Nous décidâmes donc de monter dans ma chambre pour voir un film sur mon ordi.
— Dans ta chambre ? Tu es sûr ? Me demanda Juliette. Je préférerais plutôt que l’on aille dans ma chambre, tu ne penses pas ?
— C’est comme tu veux, lui répondis-je en lui souriant.
Donc nous sommes finalement partis dans sa chambre. Une fois arrivés devant, à peine la porte de celle-ci ouverte, qu’une délicieuse odeur vanillée émanait de sa chambre. Juliette s’assit aussitôt sur son lit et m’invita à m’asseoir à ses côtés. Une fois tous les deux assis sur celui-ci, elle attrapa son ordinateur portable.
— Tu voudrais voir quel film ? Me demanda Juliette tout en écrivant son mot de passe sur l’ordi.
— Je sais pas, mets un film que t’aimes bien, lui répondis-je en lui souriant.
— « Sublimes créatures » par exemple ? Me demanda-t-elle.
— Oui si tu veux, lui répondis-je gentiment.
Nous nous sommes donc installés bien confortablement, puis nous commençâmes à regarder le film. Juliette et moi étions un peu à l’étroit car son lit n’était pas très grand, mais nous pouvions tout de même être environ deux dessus. Ce sont les bras entrelacés : comme pour se faire un câlin, qu’au fur et à mesure que le film se déroulé, nous commençâmes à sombrer, exténués par la journée que nous venions de passer.
Et c’est ainsi que s’achève ce premier chapitre, si celui-ci vous a plu : n’hésitez pas à « liker » (si j’puis dire), ça m’encouragera d’autant plus à écrire le chapitre 2 qui devrait sortir prochainement. À très bientôt !
David.
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