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vacances à la campagne

Chapitre 2

Gay
Plus nous avancions sur le chemin et plus je me rendais compte que nous allions vers la lisière de la forêt ou se trouvais le champ de Baril. Une fois arrivé: surprise! Baril n’étais pas là. Monique qui avait une idée derrière la tête, prit la parole et nous dit, puisque notre âne préféré n’est pas là, il va falloir que nous nous amusions autrement, sur ces paroles il fit passer sa robe au dessus de sa tête et se retrouva nue devant nous avec ses seins lourds qui ballottaient.— Alors les garçons je ne vous fais pas envie, en disant cela elle se tourna sur elle-même nous montrant sa croupe rebondie, dans laquelle était enfoncé un gode dont seul le socle ressortait (je comprenais maintenant sa démarche bizarre). Dis donc Pierre, je sais que mon frère n’a jamais touché une femme mais toi tu es plutôt du genre touche à tout, tu n’aurais pas envie de mon cul.Pendant qu’elle me parlait elle enlevait, se qui s’avérait être un plug d’au moins 10 cms de diamètre, c’est vrai que son anus dilaté par le plug m’attirait énormément. Je me jetais sur elle. Elle tomba à genou et se mis à quatre pattes, j’en profitais pour lui écarter le fesses et lui rentrer ma langue le plus profondément possible. Pendant ce temps Jean n’était pas en reste et il défit rapidement mon pantalon sous lequel je ne portais aucun sous-vêtement et il me pratiquait les mêmes caresses que je faisais à sa sœur. Je me relevais et présentais mon gland à l’entrée de son anus, elle recula violemment et s’empala d’un coup sur ma verge, je ne touchais pas les bords tellement elle était dilatée. Jean de son coté rentrais ses doigts dans mon cul doucement mais surement, très rapidement sa main était engloutie par mon anus qui ne demandais que cela.N’étant pas assez serré dans les fesses de Monique, j’y ajoutais ma main droite et me branlais dans son cul, j’étais au ange, je défonçais ma cousine et je me faisais défoncé par mon cousin, qui non content de m’avoir enfoncé sa main droite rajouta sa main gauche dans mon cul et il me punchait de plus en plus vite en sortant les deux poings serrés et les renfonçant aussitôt. Le plaisir était trop violent pour nous trois et nous nous mirent à jouir en hurlant comme des bêtes.Je sortis ma bite et ma main du cul de Monique pendant que Jean en fit de même, nous nous allongeâmes dans l’herbe repu de fatigue.Dans l’affaire le seul qui n’avait pas été trop gâté c’est Jean car lui qui a le cul qui le démange en permanence, n’avait pas été servi.Après un petit repos mérité avec Monique nous nous sommes entendu pour nous occuper de son frère, lui n’avait pas joui et sa queue était tendu prête à éclater. Je le pris dans ma bouche et lui prodiguais une pipe énorme en l’enfonçant de plus en plus loin dans ma bouche jusqu’à la glotte j’étais à la limite des hauts le cœur mais je voulais qu’il jouisse avec se qu’il m’avait fait subir. Pendant que je lui faisait cette fellation je lui écartais les fesses et Monique en profita pour lécher l’anus de son frère. Elle fouilla dans son sac de plage et en retira un pot de graisses, elle s’enduisit l’avant bras et glissa ce dernier dans le cul de Jean. C’était la première fois qu’une femme s’occupait de lui et il ne s’en plaignait pas. Elle pistonnait son frère lentement et à chaque aller et retour elle s’enfonçait un peu plus dans son cul. Le fait de m’avoir défoncé sans avoir joui et maintenant l’avant bras de sa sœur dans ses entrailles le fis décharger à gros bouillon au fond de ma gorge, quel plaisir d’avaler son sperme. Je me dégageais de lui, le laissant le cul relevé les jambes écartées au maximum et les épaules au sol. J’embrassais Monique à pleine bouche, elle retira sa main du cul de son frère et m’enduit également l’avant bras de graisse. Elle enfonça à nouveau son poing dans son cul, son avant bras coulissait comme dans du beurre, j’approchais ma main de son avant-bras et glissais le long de se dernier en m’enfonçant dans le cul de mon cousin, bientôt il avait nos deux avant bras dans le cul, enfoncés jusqu’au coude. Nous écartions nos deux bras l’un de l’autre afin d’essayer d’ouvrir encore un peu plus son cul. Je vis sur le visage de Monique un regard sadique, elle prit de la graisse de sa main gauche et fis en sorte de glisser sa mains entre nos deux avant bras. Cela devenait énorme Jean commençais à râler, je ne sais si c’était de plaisir ou de souffrance, toujours est-il que Monique continuait sa pénétration, jusqu’à ce que sa main glisse d’un seul coup dans l’anus martyrisé de son frère, il se mit à hurler et nous ne bougions plus de peur de lui faire mal. Nous sommes restés immobile comme cela au moins cinq minutes, et c’est Jean qui se mit à bouger le premier. Nous avons encore fait plusieurs aller et retour avec nos trois mains dans son cul, nous les avons regroupés toutes les trois et nous les avons sortis ensembles. Nous avions l’impression que son cul refusait de les voir sortir, jusqu’au moment ou d’un seul coup elles sortirent dans un grand bruit de sucions, son cul était dilaté à outrance et ses chairs anales ressortaient de son anus. Nous les avons repoussés à l’intérieur nous nous sommes rhabillé et nous avons dû soutenir Jean jusqu’à la maison, où nous l’avons couché afin qu’il se repose.Cela faisait un moment qu’il avait envie de se faire défoncé, mais il faut dire que là nous avions fait fort. Nous l’avons pris chacun notre tour dans nos bras et l’avons embrassé longuement, avant de s’endormir il nous a regardé dans les yeux en nous disant merci à vous deux je n’ai jamais joui aussi intensément et je ne pensais pas que ma petite sœur était aussi salope, j’espère que nous recommencerons.
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