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Vacances chaudes avec ma tante

Chapitre 1

Inceste
Cette histoire s’est déroulée pendant un voyage aux Etats Unis. Ma tante partant pendant un mois là-bas avait proposé à mes parents de m’emmener. Nous devions résider chez une de ses amies. Ma tante avait alors 35 ans, célibataire, on ne lui avait jamais connu de copain et on se demandait donc si elle était lesbienne. Elle faisait près d’1m75 avec de longues jambes et une belle poitrine, très ferme, que j’avais eu le loisir de voir à plusieurs reprise lors de vacances précédentes, lorsqu’elle était en maillot de bain, toujours deux pièces, ou bien un simple t-shirt.Après être resté une dizaines de jours chez l’amie de ma tante à visiter les environ de Los Angeles, durant lesquels j’ai pu voir quelle lingerie elle avait emporté pour ces vacances. J’étais un peu décu, cela faisait en effet des années que je me plaisais à regarder sa lingerie. Très sexy, elle aimait la dentelle, la soie, le satin, portait à priori souvent vu la quantité bas et porte jarretelles ... Pourtant, elle n’avait emmené que des dessous que je trouvais vieillot. J’ai alors pensé qu’elle avait emmené des vêtements plus pratiques mais aussi qu’elle pouvait montrer avec moins de gêne à son amie, sa fille mais aussi dans les différents hôtels.Nous partimes donc tous les deux pour Las Vegas. Le voyage se déroula sans encombres, malgré la chaleur.Je savais que c’était la capitale du jeu, mais c’est aussi la capitale du sexe. Entre les serveuses, hôtesses, les cabarets, les magazines porno qui jonchent le sol, les N° de téléphones de prostituées avec leurs photos dans les cabines téléphoniques ...Elle me dit qu’elle allait faire les magasins car elle ne se voyait pas rester comme ça dans cette ville. C’est vrai que son short dévoilait ses jambes et que son débardeur laissait entrevoir ses seins mais ça faisait quand même légèrement touriste allemand en vacances. Elle me demanda de l’accompagner ce que j’acceptai tout de suite.
— Je ne vais pas acheter grand chose, mais quelques vêtements pour les 3-4 jours qu’on va passer ici.
Notre arrivée à l’hôtel confirma l’impression que j’avais de cette ville. Il s’agissait d’un grand palace, très chic ( nous avions eu un gros rabais grâce à l’amie de ma tante qui connaissait quelqu’un dans une agence de voyage ) et pourtant les différents services de VOD proposaient à 80 % des films porno.Rapidement, je me rendis compte que ma tante cherchait une robe de soirée. J’étais ravi de la voir les essayer. Je pouvais la voir dans toutes ces robes, décolletées, échancrées, fendues ...Je profitais également des habillages, déshabillages de ma tante puisque le rideau ne fermait pas jusqu’au bout.Elle se décida pour une longue robe noire, avec un large décolleté qui mettait en valeur son 95 C et qui était fendue jusqu’au milieu de la cuisse.Elle me demanda ensuite de retourner dans la chambre et qu’elle allait nous chercher à manger. J’y suis donc retourné et en profitai pour prendre une douche qui me permis de me raffraichir et de me masturber en pensant à ce que je venais de voir.
Ma tante tarda un peu mais je me dis qu’elle prenait son temps et découvrait la ville avec un peu d’avance sur moi. Elle arriva environ une heure après avec notre repas et trois grand sacs. Elle pris ensuite une douche et mis la robe qu’elle venait d’acheter. Elle sortit alors du second sac un costume pour moi
— Je ne vais quand même pas être la seule à être bien habillée— Merci mais il ne fallait pas.— Ne t’inquiète pas, je l’ai loué. Si tu n’es pas bien dedans, tu pourras le rapporter dès demain.— Bon alors, on y va ?
La soirée se passa très bien, nous nous sommes énormément amusés et on est alors rentrés nous coucher.Le lendemain, on nous annonça qu’il nous faudrait changer de chambre pour une autre, plus petite. En arrivant dans la nouvelle chambre, surprise : un seul lit !Très grand certes, mais j’allais passer la nuit prochaine dans le même lit que ma tante.La seconde soirée se passa comme la première. Nous nous sommes couchés, chacun bien de son coté.
Au milieu de la nuit, je me reveillai. Je me rendis compte que j’avais pas mal bougé puisque j’étais au milieu du lit. J’avais du mal à me rendormir, pensant à ma tante qui était là, tout près de moi.
C’est alors qu’elle se retourna et se blottit contre mon épaule. Elle dormait toujours. Je profitais de sa proximité. Sa main comença à descendre et elle commença à me caresser à travers mon caleçon.Je mis ça sur le compte de l’alcool mais me laissai faire.Cela dura un moment puis elle dégagea ma bite et commença à me branler. Elle y mettait beaucoup d’application et je sentais qu’en même temps, elle y allait doucement pour ne pas me réveiller. Je me mit à faire semblant de ronfler pour qu’elle continue. C’est alors que le la sentie descendre aufond du lit et qu’elle commença à me sucer.Elle me suçait fort et je sentais sa respiration s’intensifier. De mon coté, j’ai commencé à gémir pour essayer de l’exciter un peu plus. Elle a du sentir mes spasmes car juste avant ma jouissance, elle m’engloutit entier dans sa bouche. Elle avala alors tout mon sperme puis nettoya ma queue avec application. Une fois terminée :
— Hop, ni vu ni connu mon neveu. Merci, je me suis régalée.
La nuit s’est terminée comme ça.Le lendemain, la journée ressembla aux deux autres. Mais en fin d’après midi :
— Je suis fatiguée, je pense que je vais rentrer à l’hôtel. Si tu veux, continue à flaner.— Non, moi aussi je suis naze. J’ai hâte qu’on puisse se coucher
Elle ne dit rien sur le moment mais fit un grand sourire, probablement en pensant à ce qu’elle avait fait.
— Bon alors c’est décidé, on y va.
Le repas fut rapidement englouti.Elle me dit alors d’aller prendre ma douche et qu’elle ferait de même ensuite.Je sortis donc de la douche, lui laissant la place. La douche s’arrêta. Elle se sécha les cheveux puis plus aucun bruit. Après quelques instants, elle me demanda de lui donner le 3e sac, sans regarder ce qu’il y a à l’intérieur. Elle passa sa main à travers la porte pour que je lui donne le sac. Elle sorti de la salle de bain après une petite dizaine de minutes.Elle était magnifique, le sac contenait un déshabillé en tulle blanche transparent, un soutien gorge en dentelle, un tanga, un porte jarretelle assorti et des bas blancs, complétés pas des talons aiguilles blancs..
— Whaou ! Ca te va super bien.— Ca te plaît ? Je suis contente. Et bien ce soir, c’est à toi de profiter. C’est chacun son tour.— Comment ça ?— Tu sais de quoi je parle, je ne suis plus une gamine, je sais quand quelqu’un dort et quand il est
réveillé. Et cette nuit, tu ne dormais pas mon cochon.
— Non c’est vrai, c’était très bon.— Et tu vas, voir, c’est pas fini, j’ai envie d’en profiter de ta queue. Viens.
Et commença à me caresser et me sucer. Elle y allait fort, en tout cas, beaucoup plus que la nuit précedente.Je lui caressai les seins pendant qu’elle s’activait. Le tissus était si doux et la vue de sa bouche sur ma bite ainsi que sa lingerie m’excitaient énormement.
— Mmm tu aimes ça hein ? T’es plus expressif que la nuit dernière.— Oui c’est bon, continue.
Elle retira son déshabillé, son soutien gorge et mis ma bite entre ses seins.
— Et ça, tu aimes ? Tu les aimes mes seins. Ca fais des années que tu les mattes.— Oui je les aimes, ils sont beau, continue, serre moi— Comme ça ?
Elle resserra ses seins en me donnant des coups de langues.Elle recommença à me sucer et me branla encore plus vigoureusement
— J’ai une idée, ne bouge pas, je reviens.
Elle alla dans la salle de bain et revint avec un gobelet.
— Ce soir, je vais te vider mon grand et tu vas mettre tout ton sperme dedans que je puisse le boire.
Elle recommença à me sucer jusqu’à ce que je jouisse et veilla à ce que mon sperme aille dans le gobelet.
— Mmm ça commence bien, je sens que je vais aimer. Viens maintenant.
Elle s’allongea sur le bords du lit. Je me mis à genou pour enlever son tanga et commencer à la lécher. Sa chatte était bien épilé, probablement pendant sa douche. Elle posa ses pieds sur mes épaules.
— Tu me diras comment est mon goût.
Je commençai par la caresser doucement, mon index passant entre ses lèvres et remontant jusqu’à son clitoris.Elle se tortillait de plaisirJe commençai alors à la lécher en insistant bien et en essayant d’aller bien partout.
— Mmmm c’est bon. Mais met moi tes doigts.
Je lui mis un doigt bien profond pour l’enduire de cyprine et la gouter.C’était délicieux, légèrement sucré. Je lui mis alors ma langue bien profond et me releva pour l’embrasser à pleine bouche.
— Alors ?— Mmm c’est vrai que c’est bon. Viens par là, ta bite me manque
Je me mis au dessus d’elle et recommença à la lécher pendant qu’elle s’activait sur mon gland.Les mouvements de son corps m’excitaient, sans parler de sa bouche.Elle jouit la première, je la suivi peu après et elle pris soin de récolter mon jus.Elle se leva alors comme un diable posa un pied sur une chaise.
— Viens, prends moi comme ça.— Oh oui, j’arrive.— Prends moi bien fort, je t’ai dit que j’allais profiter de ta queue tu vas voir.— Mais fais donc, je suis à toi.— Mmm, tu vas voir.
Elle se pencha alors en avant en se cambrant.
— Alors, tu vas laisser ma chatte longtemps comme ça ?
Je me mis derrière elle et la pris d’un coup sec.
— Aaaah oui, comme ça, prends moi comme une chienne, défonce moi.
Elle se trouvait en face d’une glace et je pouvais voir ses seins qui se balanceaient au rythme de mes va et vient et son visage, déformé par le plaisir.
— Oui oui, prends moi comme ça ... encore. Oui !!! Elle est bonne ma chatte, hein ?
Elle se caressait le clitoris en me disant cela et je sentais qu’elle reculait les fesses pour sentir ma bite.Je ne la reconnaissais plus. Je me doutais bien qu’elle était chaude. J’avais déjà vu sa lingerie avant, j’avais vu des godemichets énorme et il ne pouvait en être autrement. Mais cela dépassait tout ce que j’espérais. J’étais avec une vrai nympho qui voulait se faire défoncer et qui en redemandait.Elle jouit encore une fois et me fit jouir en me suçant, n’oubliant pas son gobelet.
— Alors, la vieille est encore en forme, hein ? Tu vas voir comme on va s’amuser cette nuit. Viens, allonge toi sur le lit, sur le dos.
C’est ce que je fis, sans me faire prier. J’en redemandais. Je la voyais déambuler devant moi en porte jarretelle avec ses bas et ses escarpins. Il n’en fallu pas plus pour que je rebande.
— Je vais te demander quelque chose, reste allongé, ne bouge pas. Elle retira ses chaussures, puis
ses bas en me faisant un strip tease improvisé. Elle fit glisser ses bas le long de mon corps et attacha mes poignets avec le premier et mes chevilles avec le second.
— Voilà, tu es mon gode, maintenant. Je veux juste que tu me dises quand ça viendra.
Elle s’agenouilla sur moi en me tournant le dos et commença à se déhancher. Je voyait ses fesses à quelques dizaines de centimetres. Je ne pensais qu’à les malaxer. A plusieurs reprises, elle se pencha en avant comme pour me narguer. Puis elle se tourna.
— Elles te plaisent mes fesses, ne t’inquiète pas, tout à l’heure.
Elle continua à se déhancher tout en caressant ses seins, et ses tétons gonflés par le désir.Elle se pencha en avant et son visage était à quelques centimètre du mien quand elle jouit.Lorsque je jouis à mon tour, elle recupera mon sperme.Elle me détacha et se mit sur le dos sur le lit.
— Viens. Montre moi ce qu’un petit jeune peut faire.
Je me mis sur elle et elle m’entoura avec ses jambes. Le lit était ferme comme il faut et elle pouvait sentir au mieux chaque coup de queue, ce qu’elle ne manqua pas de me faire remarquer. Après quelques minutes à se faire défoncer, elle se redressa et se mis à quatre pattes.
— Prends moi par derrière. La chatte encore ...
Je me rendais compte qu’elle était insatiable et j’avais bien l’intention d’en profiter.Sa chatte était béante, sa cyprine dégoulinait de sa chatte sur ses cuisses tellement elle mouillait.J’en ai profité pour lui donner un coup de langue pour gouter ce jus que j’aime tant.Je commençai à la prendre en levrette tout en caressant son petit trou pour le préparer.Elle faisait des va et viens pour sentir plus ma bite.
— Oui ... vas-y ... prends moi fort.
Chaque mot était entrecoupé, au rythme de nos coups.
— Vas-y, je crois que mon trou est prêt, viens— D’accord, tiens espèce de cochonne.— Oh oui, insulte moi. Je suis ta chienne. J’ai envie de sexe et je veux ta queue.
Je la pénétrais donc pendant qu’elle se caressait la chatte.Elle avait la tête contre le matelas et jouit rapidement.Elle me fit jouir en me branlant et récupéra mon sperme.Le gobelet était presque plein à ras bord et comme promis, elle le bu d’une traite.
— Mmmm c’est divin.
Elle avait mon sperme sur la lèvre supérieure et un peu qui coulait le long du menton.
— Merci mon neveu pour tout ça. Je me suis régalée. J’espère que toi aussi. J’ai trouvé un vrai étalon.— Oui je me suis régalé et j’espère bien qu’on va recommencer.— Bien sûr qu’on va recommencer, j’ai pas baisé comme ça depuis des mois alors on va profiter. De toute façon, on va continuer tout de suite. On va juste prendre une douche, on est tout poisseux.
Tu viens avec moi ?C’était le début de trois semaines de baise intense. On était à 10000 km de Paris, personne ne nous connaissait, on pouvait se laisser aller et assouvir tous nos fantasmes.
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