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Vacances chez Valérie

Chapitre 1

Zoophilie
Cette année, j’ai décidé de prendre une semaine de congés pendant la période scolaire de Pâques chez une amie rencontrée par le biais d’Internet. Elle s’appelle Valérie, la quarantaine, et habite à Nice. Je n’ai jamais vu à quoi elle ressemblait, ce sera la surprise du début des vacances.
J’arrive sur Nice par TGV aux alentours de midi. Lui ayant communiqué le numéro de la voiture, elle m’attend donc sur le quai. Comme je mettais régulièrement des photos de moi sur le forum où nous étions inscrits tous les deux, elle ne tarde pas à me reconnaître. Et donc, pour moi, à mettre un visage à un prénom. C’est une belle femme ronde aux cheveux châtains, les yeux verts ... Vêtue d’une robe blanche de saison, qui lui sied à merveille. Je ne peux être indifférent à ses formes, ayant toujours eu une certaine attirance pour les rondes. En plus, elle semble prendre particulièrement soin d’elle.
Avant de partir chez elle déposer mes bagages, on décide d’aller prendre un verre au Pub qui se trouve juste à côté de la gare. On discute un peu, comme on avait l’habitude de le faire sur le Net ou par téléphone. Cela faisait sept ans que nous nous « connaissons », et nous avons souvent pu discuter de choses diverses. Quelque fois, on discutait même de sexualité sans trop de tabou.
A la fin de nos verres, nous partons chez elle afin de manger un bout par la même occasion. Elle me dit que cet après-midi, il y a une exposition sympa au Musée d’Art Moderne et d’Art Contemporain. On s’y rend donc vers 15 heures, et on prend notre temps pour parcourir l’ensemble des couloirs. Mais parfois, plutôt que regarder les objets de l’exposition, c’est plutôt elle que je regarde, et que je n’hésite pas à prendre en photos. Je ne peux m’arrêter de regarder ses formes généreuses, et je crois qu’elle l’a deviné assez vite. Ayant fait le tour de l’exposition, on rentre donc chez elle afin de manger et voir ce que l’on va faire ensuite. Nous sommes tous les deux en vacances, donc on compte bien en profiter un maximum. Je lui propose un ciné, qu’elle accepte volontiers. En attendant la séance de 22h, on regarde un peu la télé, on discute tranquillement, ... Puis nous partons au cinéma. Il sera près d’une heure du matin quand nous en sortirons. Nous rentrons donc chez elle afin d’aller dormir. Malgré le fait d’avoir dormi dans le train, je commence à accuser un peu le coup.
J’occupe la chambre d’ami, voisine à la sienne. Avant d’aller au lit, nous nous faisons la bise. Je la vois partir vers sa chambre, tout en lui regardant son joli fessier qui me donne envie. Pendant que je me déshabille, je l’entends prendre une douche. J’aimerais être dedans avec elle, mais ayant 20 ans de moins qu’elle, je me dis qu’il n’est même pas possible que quoi que ce soit se passe durant une semaine. Une bonne demi-heure après m’être couché, une envie terrible d’uriner me prend. Pour me rendre aux toilettes, je suis obligé de passer devant sa chambre. La lumière est toujours allumée, elle est probablement en train de regarder la télé ou autres. A mon retour, je vois sa porte grande ouverte. Valérie est sur son lit en train de m’attendre, vêtue d’une nuisette en satin rose. Elle savait comme se vêtir pour ce moment car je lui avais dit que je trouvais sensuelle une femme qui porte du satin, et que le rose me stimulait sexuellement. Quant à moi, je n’ai qu’un boxer, et elle remarque bien les formes de mon « jouet », comme elle l’appellera ensuite. M’y sentant invité, j’entre donc et me met à côté d’elle. Elle me dit, avec son accent du Sud, qu’elle avait bien remarqué que je ne cessais de la regarder sous tous les angles. Je lui dis alors qu’elle me plait beaucoup. Elle me répond que c’est réciproque, et qu’elle comptait bien faire des choses avec moi pendant ma venue. Comme elle me le dit, son boulot lui a pris pas mal de temps ces derniers mois, et elle n’a eu aucune relation sexuelle depuis au moins 2 mois ½. C’est comme si elle s’était réservée pour moi en fait.
On commence à s’embrasser langoureusement, et je ne puis m’empêcher de plonger ma main dans son tanga en dentelle rose afin de pouvoir toucher son clitoris. Quelques minutes après, elle retire sa nuisette, s’étend et je vois deux jolis seins tombants comme je les aime. Ils sont bien gros, dus à ses rondeurs. De larges aréoles qui m’appellent, ses tétons sont bien ressortis et très durs. J’en prends un à pleine bouche, que je ne manque pas d’embrasser et de mordiller légèrement. Idem ensuite pour le second. Elle me dit que je lui procure une sensation qu’elle n’avait jamais rencontré avec certains, et qu’elle va tout faire pour que je puisse passer une nuit comme je n’en ai jamais eu. Je lui fais confiance, c’est très bien parti. Je sens alors sa main descendre vers mon membre, qui s’est bien gonflé. Je me lève sur son lit, et elle se met à genoux face à mon bas. Elle lèche mon boxer au niveau de mon pénis. Puis elle me l’abaisse pour laisser le « jouet » à l’air. Elle le prend tout doucement dans sa bouche, puis l’engloutit petit à petit. Sa bouche est bien chaude, elle me pompe comme personne ne me l’avait fait. Quand elle me disait que je n’allais pas le regretter, je crois qu’elle n’avait pas tort du tout. Je sens alors un léger filet de pré sperme sortir de mon chibre. Elle s’en délecte, tel un nectar, qu’elle avale ensuite et elle reprend son travail. Jamais je n’ai ressenti un tel plaisir avec une femme. Elle s’arrête quelques minutes après et s’allonge. Je lui retire son tanga pour voir apparaître son clito tout lisse. Elle écarte les jambes, pour me laisser venir lécher son minou bien humide, rempli de désirs. Elle est excitée au point de pousser quelques gémissements, qui m’excitent également. Au bout de quelques instants, je me retire pour aller l’embrasser à nouveau. De là, elle prend un préservatif, me le montre puis le jette. Elle me dit : « N’y compte même pas, j’ai envie que tu m’appartiennes ! ». Waouh, c’est la première fois qu’on me dit ça. Je m’exécute donc, retourne à son entrejambe et j’enfonce ma verge dans sa chatte bien mouillée. Tout doucement, elle se met à gémir. Puis progressivement, cela s’amplifie. C’est qu’elle est chaude, la Valérie. Je n’aurais jamais cru ça d’elle. Après quelques positions, elle avait envie de sucer à nouveau mon membre recouvert de son jus. Je lui offre donc. Et quelques minutes après, je le range à nouveau dans son minou pour une nouvelle séance de va-et-vient. Je lui dis que je crois que je ne vais pas tarder à jouir. Elle me dit : « Vide-toi en moi, je veux être toute à toi ! ». Je la bourre pendant quelques instants encore, puis je m’arrête pour réaliser son désir. Je sens mon foutre couler dans son minou. C’est une sensation indescriptible tellement c’est intense. Nous nous fixons avec un regard complice. Elle respire tout en étant essoufflée avec un grand sourire sur son visage angélique. Je retire mon chibre pour qu’elle puisse l’astiquer un bon coup. Elle me pompe royalement, et je ne peux m’empêcher de lui fournir une dernière rasade de mon jus, qu’elle avalera après me l’avoir bien montré. Puis elle me fait m’allonger, place son vagin au-dessus de ma bouche grande ouverte et recrache tout le foutre dedans. Une fois qu’elle sent s’être bien vidée, elle viendra tout me reprendre avec sa langue, fouillant toute ma bouche à la recherche du « St-Graal », qu’elle avalera à nouveau. Pareil pour moi, j’avale le reste.
Elle s’allonge alors à côté de moi, en posant sa main sur mon torse. Je lui dis que je n’ai jamais fait l’amour à quelqu’un de cette façon. Elle a son petit sourire à nouveau sur ses lèvres, et nous nous faisons de petits bisous. Elle me répond qu’elle attendait depuis longtemps que je vienne, parce qu’elle avait été séduite par nos discussions. Et comme elle est ménopausée depuis quelques mois, c’est pour cela qu’elle m’a offert ce privilège de me lâcher en elle. Elle ne peut d’ailleurs pas s’empêcher de se toucher le minou, expulsant de petits gémissements à mes oreilles. Elle me dit aussi que j’ai bien su combler son appétit sexuel, qu’elle n’avait pas été aussi « salope » comme ça depuis plusieurs années, ... Nous nous embrassons amoureusement. Je lui murmure que je suis tout à elle jusqu’à mon départ, qu’elle pourrait faire ce qu’elle veut de moi jusqu’à lundi. Elle a à nouveau un sourire jusqu’aux lèvres, comme si elle attendait que je le lui dise. Elle me dit qu’il y a plusieurs choses qu’elle aimerait essayer, et qu’elle attendait ma venue pour tenter tout cela. Elle me demande si j’acceptais de faire du triolisme, que ce soit avec des femmes et/ ou des hommes. Je lui dis que non, que je suis très ouvert sexuellement. D’autant plus que j’avais déjà essayé avec un homme, et que l’expérience m’avait bien plu sans pour autant la réitérer. Elle sourit de nouveau, elle est trop belle quand elle réagit ainsi. Elle, une belle femme mûre et qui, plus est, est magnifique avec ses rondeurs, je ne saurais lui dire non à quoi que ce soit.
Etant tous les deux très excités et n’arrivant forcément pas à trouver le sommeil alors qu’il est près de 4h du matin, elle me demande si elle peut à nouveau me tailler une pipe. C’est en fait ce qu’elle préfère, avoir une bonne bite dans la bouche. Surtout lorsqu’elle sent le foutre se déverser ensuite dans sa bouche. Je la laisse donc me pomper à nouveau pendant 10 minutes, avant de lâcher la purée. Elle me dit alors que mon foutre est très onctueux. Elle prend le maximum dans sa petite bouche, et vient m’embrasser avec. Nos langues remuent mon liquide dans nos bouches, c’est intense. Elle éloigne un peu son visage du mien, et je vois des filaments de sperme se construire. D’un regard complice, nous avalons en même temps mon jus. Elle me dit que ça va être une semaine très intense, car elle n’a jamais eu l’occasion de rencontrer un bisexuel. Et que du coup, elle pourra réaliser ses fantasmes, dont nous nous mettons à discuter. Parmi ceux-ci, elle a envie de voir son mec se faire prendre par d’autres hommes. Je lui demande par combien. Elle me répond que 3 ou 4 gars, ça devrait être sympa et ça durerait un petit moment. J’accepte sa proposition, d’autant plus que c’était également un de mes fantasmes. Ensuite, elle voulait offrir à son mec d’autres femmes mûres, en plus d’elles. Idem, j’accepte direct. Puis, elle me dit qu’elle m’expliquera plus tard pour les autres. Je lui dis qu’il n’y a pas de problème, surtout que nous avons une semaine pour bien nous amuser.
4h30, on discute toujours, le sommeil n’arrivant pas à cause de l’excitation. Je me mets à bander de nouveau. Etant allongé, elle se met à genoux au-dessus de ma verge en érection, la saisit et se l’enfonce délicatement. Je pose une main sur chacune de ses fesses, et commence à la bourrer de nouveau. Elle gémit de plaisir dès les premiers contacts, me disant de continuer sans m’arrêter. Quelques minutes après, elle se retire pour changer de position, et surtout de me demander de la sodomiser. J’écarte alors ses belles fesses que je ne manque pas d’embrasser par la même occasion, je lèche quelques secondes son trou, puis je m’exécute. A peine ai-je commencé à la pénétrer qu’elle gémit déjà. « C’est bon, vas-y, n’aies pas peur. Je veux ta queue au plus profond de moi. », telles furent ses paroles. Plus on baisait, et plus elle devenait salope. Je n’ose même pas imaginer ce que cela aurait été si j’avais retardé mon voyage. Au bout d’un moment, sentant le foutre monter, je lui demande où elle souhaite que je me vide. « Là où tu es, hummmm, vas-y, c’est bon là ! Oh oui ! » qu’elle me répond. Et quelques instants après, je laisse le jus sortir et tapisser l’intérieur de son petit trou. Je retire mon membre délicatement pour que rien ne sorte, et termine de me branler à son entrée. De là où je suis, je la vois soupirer de plaisir. Son sourire, ça montre qu’elle est comblée. Elle n’arrête pas de passer sa main sur son trou afin de récolter le liquide précieux qu’elle aime tant. M’allongeant à ses côtés à contre-sens, elle se retourne et termine de me lustrer. Cette fois-ci, elle voudra garder le foutre en elle. Une fois ceci fait, elle se retourne à nouveau pour que nous puissions nous regarder. Elle me dit que c’était trop bien, et qu’elle espérait que la jeunesse puisse la contenter ainsi. Je lui souris à mon tour, et l’en remercie. Elle met sa main à mon pénis dégrossi, et ne cesse de le toucher. « C’est mon joujou rien qu’à moi ! » dit-elle. « Oui, rien qu’à toi ! » lui répondis-je. On discute encore un peu de ses précédentes relations, et je la vois fermer tout doucement ses yeux. Un dernier baiser, et j’éteins les lumières. Elle me tient fortement la main en me disant qu’elle m’aime, et qu’elle n’aurait jamais pu jamais imaginer une telle fin de soirée.
Morts de fatigue tous les deux, nous ne tarderons pas à nous endormir. Surtout que demain, la journée risque d’être encore plus chaude. Mais ça, ce sera l’objet d’un prochain récit, que je prendrai le temps d’écrire prochainement.
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